Une Merveilleuse Charmeuse - Suite Et Fin - De Bon Matin, Une Baise Hors Du Commun

Lorsque Maxime se réveilla, il sentit dans son boxer une phénoménale érection matinale comme il n’en avait pas eu depuis fort longtemps. Son pénis était tellement dur que cela lui faisait presque mal. Lydia quant à elle n’était plus dans le lit. Maxime en fut un peu étonné, mais il n’osa pas se lever pour aller la retrouver. Il en avait pourtant très envie. Repensant aux différents événements de la soirée de la veille, il ressentait un profond désir de lui faire l’amour.

Par bonheur, il vit arriver Lydia peu de temps après. Vêtue d’une ravissante petite nuisette blanche, elle vint lui apporter le petit déjeuner au lit. Sur le plateau il y avait du café, des croissants et un jus d’orange fraichement pressée. Maxime fut enchanté de cette charmante attention et ne manqua pas de lui faire savoir :
- Oh ma chérie, c’est adorable. On ne m’avait jamais apporté le petit déjeuner au lit. C’est trop gentil !
- Mais de rien mon chéri, je suis contente que ça te fasse plaisir.

Lydia déposa le plateau sur la table de chevet et lui dit :
- Alors mon chéri tu as passé une bonne nuit ?
- J’ai passé une nuit magnifique ma belle. Quel bonheur de s’endormir en te serrant dans me bras.
- Humm… moi aussi je me suis sentie trop bien dans tes bras tu sais.

En disant cela, Lydia vint à nouveau se blottir contre lui. Maxime la serra très fort pour lui signifier son amour. Depuis leur récente rencontre, ils n’avaient pas encore eu l’occasion de parler de leur sentiment l’un envers l’autre. Maxime se lança à lui faire à une timide déclaration :
- Tu sais j’ai adoré notre soirée d’hier. Je n’ai jamais rencontré une fille aussi fun que toi prête à toutes les folies.
- Moi aussi j’ai adoré la soirée que nous avons passée. Même si je t’avoue que j’ai eu un peu peur aussi.
- Oh je suis désolé ma chérie. Je me rends compte que je suis allé un peu trop loin. J’étais pris par l’excitation du moment.


- Ce n’est rien mon amour. J’aime bien avoir un peu peur par moment. Je t’avoue que ça m’a aussi beaucoup excitée. J’adore être surprise.

Maxime était réellement ravi de cette réponse. Il se disait que leur histoire allait lui permettre d’avoir une vie sexuelle riche et épanouie nourrie de plein d’expériences diverses et variées, ce qui lui manquait cruellement jusqu’à présent. Il entendit surtout que Lydia l’avait appelé « mon amour ». Lui aussi se sentait très amoureux d’elle, mais il avait encore un peu de mal à lui dévoiler ses sentiments. Il préféra l’embrasser tendrement.

Leur baiser fut long et langoureux et fit monter d’un cran la tension sexuelle. Tout en l’embrassant, Maxime lui caressait le dos, s’amusant à faire de doux va-et-vient de sa nuque jusqu’à ses fesses. Il constata alors que Lydia portait un joli petit string ficelle. Une fois de plus, Lydia s’était apprêtée à son goût, sexy et élégante, pleine de fantaisie. Elle lui chatouillait doucement la cuisse du bout des doigts, puis vint poser sa main sur son boxer. Elle lui caressa lentement la bite, puis la tient plus fermement, commença à le branler à travers le boxer. Sentant l’éjaculation venir, Maxime décida de lui faire marquer une pause.

Tout à coup, il cessa de l’embrasser, se redressa, descendit les fines bretelles de la jolie nuisette, lui embrassa le cou et dirigea sa bouche vers les seins de Lydia. Il lui suça un téton, puis l’autre… Il conduisit ensuite la main de Lydia vers cette belle poitrine, lui posa sur son sein. Elle comprit aussitôt qu’il souhaitait la voir se caresser. Prise d’un petit fou rire gêné, Lydia s’exécuta. Jouant avec ses deux nichons, les serrant l’un contre l’autre, puis les tenant fermement dans ses mains, tandis que Maxime les léchait avec passion.

Lydia se sentait à nouveau très excitée. D’autant plus que Maxime ne se contentait pas de lui lécher les seins. Il lui embrassait chaque partie du corps avec fougue. Il avait également fait glisser son doigt sous son petit string ficelle et l’avait délicatement introduit dans la fente de son sexe.
Il l’a doigtait ainsi avec de plus en plus d’énergie faisant monter en elle un désir ardent. La main de Lydia vint à nouveau se poser au niveau du sexe de son partenaire.

Ivre de désir, elle retira brusquement le boxer et se mit à le sucer. Avec sa langue, elle lui léchait magnifiquement la bite, sur toute la longueur, de la base jusqu’au gland. Maxime profitait pleinement de cette belle fellation et lui fit remarquer :
- Oh ma chérie… comme c’est bon se faire sucer comme ça de bon matin. Tu fais ça trop bien en plus.

Lydia apprécia ces compliments et se sentant valorisée le suça de plus belle n’hésitant à y aller à pleine bouche. Elle avala goulument la bite de Maxime qui devint raide comme un piquet. Bien qu’ayant le sexe en bouche, elle continuait d’exercer des petits mouvements circulaires avec sa langue tout autour son gland.

Maxime n’avait même pas besoin de lui indiquer le chemin, mais afin de renforcer son plaisir, il passa la main dans ses cheveux, puis appuya sur le haut de son crâne pour la forcer à aller un peu plus en profondeur. Lydia lutta alors pour supporter l’intrusion de son pénis dans sa petite gorge. Elle se me mit à taper sur la cuisse de Maxime pour se dégager de cette étreinte un peu trop brutale. Il lui maintenait fermement la tête, mais au bout de quelques secondes, il se décida à la libérer afin de la laisser respirer.

Elle sortit alors le sexe de sa bouche et prit une grande inspiration. Un flot de salive coulait de sa bouche. Elle l’essuya rapidement, puis comme attisée par la flamme de ce nouveau défi, elle reprit précipitamment le sexe en bouche et l’enfonça bien au fond de sa gorge. Maxime exultait. Son plaisir était à son paroxysme. Sa queue en était toute chaude. Et tandis qu’elle lui suçait la bite avec grâce, elle lui caressait également magnifiquement bien les couilles. Maxime se mit à genoux. Il se saisit de son engin et lui indiqua le mouvement à suivre. Faisant des aller-retour dans la bouche de Lydia c’est à présent lui qui menait la danse.
Il lui baisait littéralement la bouche et Lydia semblait apprécier cela, faisant des grands bruits de gorge et de déglutition.

Cette fellation leur procurait à tous deux un immense plaisir et Maxime ne se priva pas de l’exprimer :
- oh mais tu es vraiment une merveilleuse petite suceuse… on ne m’a jamais sucé comme ça… c’est trop bon putain !!!

Il avait bien envie de jouir là maintenant dans sa bouche, mais il avait aussi terriblement envie de la pénétrer. Il arrêta alors Lydia en plein dans son élan, se redressa et coucha sa partenaire sur le ventre. Puis il se mit à frotter sa grosse bite humide et dure sur ses deux petites fesses. Il se servit de sa queue pour lui administrer de bonnes petites tapettes sur le cul. Cela venait renforcer en lui un sentiment de virilité exacerbé. Il dirigea sa main vers le tiroir de la table de chevet et en sortit un préservatif qu’il enfila avec hâte, ne voulant pas faire patienter Lydia plus longtemps.

Maxime se pencha à son oreille et lui chuchota :
- Tu veux que je te fasse l’amour ma chérie ?
- Oui… vas-y mon amour… je n’attends que ça.

Lydia s’allongea sur le flan pour lui indiquer la position dans laquelle elle voulait être prise. Maxime vint se coller à elle, son torse contre son dos. Il remonta son genou afin de pouvoir la pénétrer plus facilement. C’est à ce moment qu’il l’a pénétra et commença à lui faire l’amour le plus tendrement du monde. En position de la cuillère tout en lui embrassant affectueusement le cou. Dans sa main, il lui tenait fermement son sein.

La belle Lydia se mit à respirer de plus en plus fort. Elle poussait de jolis petits soupirs de contentement. Tout en lui faisant l’amour, Maxime lui tenait désormais le bras. Il accéléra le mouvement de son sexe, s’amusait à faire des aller-retour de plus en en plus rapide. Il donnait de plus en plus de force à ses coups de bite. Lydia se pinçait les lèvres. Elle s’accrocha d’une main aux barreaux de son lit.


Maxime eut alors envie de changer de position. Il se retira du sexe de Lydia, la saisit par les hanches, s’allongea sur le dos se plaçant en dessous d’elle. Lydia était désormais étendue sur lui, le visage enfoui dans le cou de Maxime. D’une main elle se saisit de se bite et l’inséra dans sa chatte devenue toute mouillée. Dans cette position, Maxime pouvait la pénétrer mais aussi stimuler son clitoris.

Il lui procura ainsi un immense plaisir et Lydia se laissa aller à gueuler :
- Oh oui mon chéri vas-y… c’est trop bon… continue… vas-y… tu me baises trop bien…

A ces mots, Maxime se sentit surpuissant. Pris dans la folie de leurs ébats, il positionna Lydia sur le ventre, lui releva le bassin et la plaça en position levrette. Il se mit alors à lui faire l’amour avec force et vigueur. Lydia s’accrocha aux barreaux du lit et se servit de son autre main pour jouer avec son clitoris. Elle se mit à gueuler de plaisir :
- Oooh ouiii... Maxime putain !!! Tu me défonces trop bien ! Vas-y continue… je sens que ça vient… tu vas me faire jouir !

Maxime n’en avait pourtant pas fini. Il se retira un instant pour reprendre son souffle. Mais ce n’était qu’une très courte pause. Puis, il lui décrocha le bras du barreau, l’attrapa par les hanches, la souleva et la reposa sur le lit, toujours allongée sur le ventre. Sauf que lui était debout hors du lit. Il tira sur les jambes de Lydia, se mit accroupi et enfourna sa bite dans sa petite chatte en feu.

Quand Lydia exprima en avoir assez de cette position peu confortable, Maxime se retira et elle put s’allonger sur le dos. Il l’a pénétra dans la position du missionnaire. Il a désormais envie d’en finir et pour provoquer l’éjaculation, il donne de plus en plus de virulence à ses coups de bite. Afin de pouvoir manœuvrer avec plus de force, c’est lui désormais qui se tient aux barreaux du lit. A force de recevoir ses gros coups de butoir, Lydia finit par en avoir mal. Pourtant, elle en redemande encore :
- Vas-y fonce mon chéri… défonce-moi bien putain ! Allez vas-y… fais-moi jouir…

La tigresse en furie plante ses ongles dans le dos. Il hurle de douleur et se venge en lui assénant des violents coups de bite dans sa chatte littéralement explosée. Leur étreinte effrénée se termina dans une parfaite extase, celle de la jouissance, une éjaculation ultime dans le vagin de Lydia. Tout deux poussaient des grands cris de soulagement. Quel bel orgasme ils venaient d’avoir.

Maxime retira la capote et fila la jeter à la poubelle de la salle de bain. Quand il revint, il trouva Lydia allongée dans le lit, toute recroquevillée sur elle-même tel un petit fœtus. Il vint lui embrasser tendrement la joue, puis se glissa sous les draps et la serra très fort dans ses bras. Lydia lui prit alors la main et la serra très fort contre sa poitrine. Elle lui dit alors timidement :
- Maxime, je crois que je t’aime.
- Lydia ma chérie, je crois que je t’aime aussi.

La matinée était déjà bien entamée. Pourtant tout deux restèrent longtemps dans cette position, profitant simplement de l’instant présent, savourant le bonheur de leur amour naissant.

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