Collection Zone Rouge. Lait Maternel (1/1)

- Bonjour Lucette, je m’excuse de passer de si bonne heure, mais tu sais entre la pharmacie et le temps que je passe à la mairie, c’était le seul moment que j’ai trouvé.
- Entrez monsieur le maire, vous êtes le bienvenu, avec mon fils à nourrir à changer, vous êtes l’un des premiers à venir voir mon bébé.
- Un premier c’est émouvant surtout le fils de Louis mon cantonnier, dire que c'est moi qui vous ai mariés.
Mais dit moi, je sais que vous l’avez appelé Pierre, c’est beau Pierre.
C’est vrai que c’est le nom de ton beau-père.
- Oui monsieur le maire, mais asseyez-vous à côté de moi, j’allais lui donner le sein.
- Fait Lucette, il faut que ton premier rejeton devienne fort pour devenir un bon footballeur comme son père.
- Arrêtez monsieur le maire, j’en ai marre qu’il me laisse seule, trois soirs et le dimanche tout l’après-midi.
- Oui, mais il t’a fait un beau bébé bien joufflu.
- Tu dois avoir du bon lait bien gras.
Pierre tête le droit, je peux goûter le gauche ?
Regarde quand je le sors de ton peignoir, j’ai largement ma place de mettre ma tête.
- Oh, monsieur le maire, mais vous me tétez plus fort que Pierre.
- Téter, c’est comme faire du vélo, tu reprends et tu retrouves le rythme et comment tes lèvres doivent appuyer sur le téton.
Je vais t’avouer une chose que je garde pour moi.
J’ai tété maman jusqu’à l’âge de huit ans.
Quand elle m’a quitté pour suivre un beau gitan qui passait avec sa caravane, je me suis senti frustré.
- Si ça vous permet de recouvrer votre jeunesse, continuez, Pierre dort sur mon sein droit et le gauche est si gorgé de lait qu’il me fait mal.
J’ai dit à Louis de m’acheter un tire-lait, mais il oublie toujours.
- Arrête de lui demander, si tu acceptes, je viendrais tous les jours vers 9 heures te téter.
Bien sûr on garde ça pour nous.


À cette heure là, Louis sera au café, il me serinait depuis des mois pour que je les autorise à faire cette pause.
Lui aura sa pause-café et moi ma pause lait maternel.

Voilà comment depuis quelques jours, je viens tous les jours satisfaire ma phobie du lait maternel tiré directement du sein.

- Buvez monsieur le maire, maman est contente de t’apporter tes vitamines.
Tu es un bon gros bébé.
- Et que faite vous monsieur le maire, pourquoi posez-vous votre main sur ma cuisse ?
- Pierre est encore couché et il dort à poing fermé.
J’avais envie d’un peu plus.
As-tu eu ton retour de couches ?
- Ton lait diminue, si nous en faisions un deuxième.
- Monsieur le maire, mais Louis.
- Demain tu me diras ce que tu penses de ce que je vais proposer à ton mari tout à l’heure.
Tu lui as dit que je venais te téter, il est venu me voir il y a quinze jours.
- C’est vrai que je lui ai dit, on se dit tout et surtout après qu’un matin il soit passé devant l’immeuble avec la camionnette de notre commune et vous ayant vu sortir monsieur le maire.
- Je sais il est venu me voir.
Pourquoi crois-tu qu’il ait eu le poste d’entraîneur de nos équipes seniors ?
Il rêvait de l’avoir, toi aussi tu es gagnante, il a eu le poste s’il arrêtait de jouer.
Ça évite qu’il ait de nouveau un pied dans le plâtre.
- Caresse-moi et suce-moi, je te tète toi aussi tu me tètes.

Du sein à ma queue, tout baigne.

- Monsieur le maire, je veux bien pour le bébé, mais Louis après-avoir eu son fils m’a toujours dit que c’était le seul.
- Et toi Lucette te souviens-tu ce que tu me disais lors de la remise des prix à l’école pour tes 12 ans.
Je vois à ton regard que tu as oublié.
Je te demandais ce que tu voulais faire comme travail dans quelques années.
- Non, j’ai oublié.

- Tu voulais être maman avec une chiée de bébé.
Il faut toujours assouvir ses envies d’, on le regrette toujours quand on est vieille si on se laisse dicter sa vie par un mari.

Une femme, un homme même vieillissant et tout est dit.

- Oh, monsieur le maire, elle est grosse et vous me remplissez bien.
C’est la première fois que je fais l’amour à quatre pattes sur la moquette.
- En levrette Lucette en levrette, je suis content d’être le premier à te prendre dans cette position.

Quelques heures plus tard à la mairie.

- Monsieur le maire, je vais vous casser la gueule.
- Assieds-toi et calme-toi, je sais je baise ta femme et je veux lui faire un bébé ou toi d’ailleurs pour qu’elle ait toujours du lait à me donner.
- Un fils c’est tout, un deuxième me poserait trop de problèmes.
- Regarde ta mère la Mauricette, elle en a eu cinq, toi l’aîné et tes deux sœurs et après tes deux frères.
Tu t’es posé la question pourquoi aucune ressemblance avec toi ?
- Oui.
- Ce sont mes quatre s, je tétais ta mère en même temps que toi et je lui aie fait ses s afin que pour ta femme sa source reste en service.
Il va en être de même pour ta femme, en contrepartie Paul le chef cantonnier prend sa retraite.
J’ai à choisir entre toi et Jean, si tu accepte que je lui fasse un , tu auras le poste.
En plus, pour prévoir l’avenir, nous construisons avec les services de l'État un immeuble.
La commune aura deux cinq pièces, trois-quatre pièces et 6 deux pièces.
Lucette et toi à trois personnes vous pouvez prétendre à un trois-pièces.
Tu auras un des cinq pièces et nous ferons trois s à Lucette dans les mois prochains afin que je continue à avoir du lait maternel.
- Bien monsieur le maire.
Mais c’est moi qui aurais à les élever !
- C’est vrai, je vois que tu hésites, je t’ai presque convaincu.

Accepte, les s auront la cantine gratuite comme ça a été le cas pour toi et tes frères et sœurs.
Et comme pour eux, je vais ouvrir un livret dès la naissance pour prévoir leurs études.

Voilà, c’est vrai, je profite d’une position dominante pour me payer des salopes.
Ces femmes et ces hommes prêts à faire la carpette devant moi pour ces petits avantages.
Boire le lait maternisé j’ai essayé celui pour les nourrissons que les femmes tirent, mais j’ai moins de plaisir que celui but à la source.

- Alors Lucette, il t’a dit, je fais un gros effort pour vous.
- Oui, monsieur le maire, je vous attendais.

C’est ainsi que je me fais sucer par Lucette et que je la baise lui faisant un premier bébé.
Dans les mois suivants Louis aura sa fille car chacun de ces s a ma marque familiale.
Une tache en forme d’étoile.
Louis baisait sa femme mais mes spermatozoïdes étaient plus rapides.
J’ai respecté ma parole, je baise sa femme mais dans le cinq pièces où je les ai aidés à emménager.
Tout le monde dans notre petite ville de presque 4 000 habitants loue mon abnégation à m’occuper de mes administrés.
Lucette, comme la mère de Louis, je vais les baiser même sans leur faire d’s en vieux célibataire que je suis.

Aujourd’hui dans la presse locale et national, une information vient de tomber.

« Dans la petite ville de Trifouilly les Oies.
Le maire vient d’être arrêté.
C’est grâce à Marie, la fille de la préparatrice de sa pharmacie que la police l’a menotté.
Il lui a proposé de la téter contre une promotion dans son commerce.
Elle venait d’avoir un bébé et il semble que monsieur le maire soit accro à ce lait maternel.
Les premières investigations ont fait apparaître que monsieur le maire a commencé ses propositions malsaines dans les premiers jours après sa première élection.
Si monsieur le maire s’était contenté de sucer les seins de ces femmes, le problème aurait été moindre.

L’enquête auprès de certaines d’entre elles fait apparaître qu’il faisait des propositions sur le compte de sa commune contre des rapports sexuels ayant pour but de garder sa source de lait maternel plus longtemps.
Ces s seraient sous le nombre donné par une source fiable serait de 58 mais et qui seront 60 quand les jumeaux qu’une paroissienne ayant avoué qu’elle avait fait partie de son tableau de chasse aura accouché.
Un problème pour les investigations, la consanguinité aux files des années.
Ils sont déjà sûrs que le chef cantonnier a accepté son poste contre les deux s que monsieur le maire a faits à son épouse.
Louis, serait son fils et Josette sa fille.
Les deux jeunes gens seraient demi-frère et sœur et le maire c’est bien gardé de leur dire.
Qu’en est-il des s du couple et peut être d’autres couples dans la commune.
L’e pour monsieur le maire semble être loin de sa morale.
Attendons de nouvelles découverte par la police. »

« Nouvelle divulgation dans l’affaire des bébés et du lait venant de seins de femmes acceptant que monsieur le maire leur fasse des s.
L’avocat du maire de Trifouilly les Oies demande sa relaxe.
À aucun moment monsieur le maire n’a contraint ces couples d’autoriser le maire à avoir des rapports entre eux.
Même les soi-disant cadeaux offerts au couple sont improuvables.
Le cantonnier a gagné sa promotion par son travail.
Un seul point aurait pu lui être reproché.
Le couple était en attente d’un appartement plus grand.
Quand leurs cinq pièces leur ont été attribuées c’est sur proposition de la commission d’attribution sans que le maire en fasse partie.
Enfin la plainte de sa préparatrice, une personne dont nous tairons le nom a déclaré à la police que monsieur le pharmacien l’avait remise en place devant témoin car elle le harcelait.
Il semble que monsieur le maire étant célibataire, elle ait essayé d’avoir un avec lui pour qu’il hérite de la pharmacie. »

« Monsieur le maire de Trifouilly les Oies est libéré sans inculpation.
Il vient de faire une déclaration. »

- Chers concitoyens, toutes les calomnies crachées sur ma personne étaient autant de fakes news pour me forcer à quitter ma mairie.
Je suis soutenu par mon parti qui connaît ce genre de calomnies d’autres maires de la couronne parisienne ayant subi ce même genre d’attaque.
Je serais mon propre successeur à mon poste de maire pour le bien de mes concitoyens !

Je sais, je suis un salopard, mais je connais mes administrés, plus on m’attaque et plus je suis élue au premier tour des élections municipales.
Une dernière chose que vous serez les seuls à connaître.
Dans la commission d’obtention des locations d’appartements, 3 femmes 2 hommes.
Deux des femmes, je suce leur lait et les deux hommes ont accepté que je le fasse contre des postes d'adjoints importants à la mairie.
Quant à la pharmacie, c’est ma petite pharmacienne qui prendra ma place dans quelques années qui a témoigné contre une grosse ristourne sur la session de mon officine à mon décès.
Un peu comme un viager.
La mairie, j’avais décidé de lâcher mais je veux faire voir à ces petits joueurs qui commande à Trifoully les Oies.
Enfin, pourri pour être pourri autant l’être jusqu’au bout.
Mon notaire à ma mort pourra donner la liste de mes 60 s, les jumeaux étant nés, à la police qui devra faire la répartition avec lui, à part égale de ma pharmacie et de ma villa sur la côte ayant une vue magnifique à chacun d’entre eux.
Je vais encore m’amuser de la crédulité de mes administrés pendant quelques années.
Je vous laisse, la maman des jumeaux m’attend, je suis partageur avec mes deux s.

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