Lui

Il existe des expériences qui marquent à jamais notre vie. Celles ci peuvent être de toutes sortes et vécues très différemment. Chaque être humain par sa diversité à quelque chose à nous offrir et c’est cette découverte qui nous fait avancer.

Je suis Alba, une jeune femme de 19 ans avec une sexualité un peu floue, les femmes me plaisent autant que les hommes. Je suis une grande adepte des lectures érotiques depuis plusieurs années et je me suis rendue compte il y a peu que toutes ces lectures s’orientaient vers une même catégorie... La soumission.
De nombreuses questions sont alors venues a moi... Pourquoi déjà ces pratiques m’intéressaient elles ? Était ce bizarre ? Pervers ? Quelques mois à y réfléchir et un jour je décidais de franchir le cap. Pourquoi ne pas essayer ? Au fond il y avait peu de risque. Une annonce postée le matin et l’après midi déjà plusieurs réponses. Une réponse parmi toutes attira mon attention, voici ce qui était dit :

« Bonjour charmante demoiselle, je serai ravi d'être celui qui te fera découvrir ce monde de plaisir qu'est la soumission. Mais je ne dois certainement pas être le seul à désirer mener ce corps magnifique sur les chemins de l'abandon au plaisir sans pudeur. Voici donc un résumé de ma déontologie BDSM:
BDSM signifie : Bondage Domination Soumission Sadisme Masochisme

> 1_ D-S n'est pas S-M : Le sadomasochisme consiste à jouir de donner (sadisme) ou recevoir (masochisme) la souffrance.
Une relation de domination peut devenir S-M mais pas ment... Le D-S est pour ainsi dire un jeu de rôle, un cadre formel de libération et de désinhibition des partenaires l'un par l'autre. Là ou un couple ordinaire pourra prétendre tout partager de ses fantasmes sans jamais savoir si c'est vrai, chacun gardant peut-être une certaine réserve, le format D/s permet une libération progressive de cette réserve par l'abandon de l'un aux ordres de l'autre....

> 2_ Un(e) soumis(e) n'est pas un(e) esclave.

(sauf si elle le souhaite) la soumission est toujours offerte, jamais exigée. la soumise l'offre à son maître comme condition préalable à la relation, c'est pourquoi c'est à elle de mettre le marqueur de sa condition lorsque son maître lui demande. Pour démarrer une séance de "jeu". Poser l'ambiance est indispensable, utiliser des accessoires est un moyen simple de parvenir à de bons résultats...) En se soumettant, la soumise libère son maître (si tant es qu'il en ai besoin) qui pourra à son tour la libérer des limites qu'elle s'impose malgré elle. Il s'agit de la libérer d'elle-même, d'où l'utilité de ramener régulièrement la soumise à un état d'objet, état qui la libère d'une volonté qui va contre ses désirs.

> 3_ Tout refus d'obéir provient d'un excès du maître. la soumise peut toujours tout refuser mais lorsqu'elle sort ainsi de son rôle, cela autorise le maître à la punir. non pas de manière revancharde ou pour lui faire du chantage (bien que la menace puisse avoir un effet érotique, son usage doit rester mesuré) mais pour réaffirmer le cadre de la relation et la soumise recevra sa punition avec plaisir afin de réaffirmer son adhésion. Une punition doit donc toujours être d'un degré inférieur à ce que la soumise a refusé. (avec possibilité de jouer sur l'intensité) A noter, certaines soumises plus libérées que leurs maîtres se font provocantes, elles veulent être punies et cherchent donc des punitions d'un niveau supérieur à ce qu'elles refusent...

> 4_ il n'y a pas de règle, pas de limites. Les mots de sécurité seront généralement réservés aux pratiques S-M (à cause des risques de blessures) la séance consistera, après la mise en condition préalable, à des défis que la soumise devra relever, il s'agit de transgresser progressivement ses limites en lui imposant ce qu'elle désire faire sans jamais l'avoir osé. Jouer en public, discrètement ou ouvertement; être offerte à d'autres partenaires, s'ouvrir à d'autres sexualités ...

> à très bientôt j'espère. »

Cette réponse me produisit un effet fou, une chaleur dans le bas ventre que je n’avais que rarement rencontré. Et sur un coup de tête je répondis à ce mail, de façon très brève en disant que je souhaitais le rencontrer. Les conditions étaient claires, je savais ce que je faisais. Le matin de notre rencontre un nouveau mail arriva, je fus à cet instant prise de panique, j’allais rencontrer un homme sans ne rien savoir de lui. Lui savait à quoi je ressemblais, moi absolument pas. J’ouvris son mail et fut quelque peu surprise de voir qu’il me demandait de venir habillée comme il le souhaitait. Les ordres étaient simples « Une jupe sans collants, un haut léger, des talons et surtout aucun sous vêtements » la tenue enfilée je me sentais à moitié nue, je reçue l’adresse du café où je devais me rendre et m’asseoir à une table. Un homme vint s’asseoir en face de moi, ce devait être lui. La panique apparue en moi et mes yeux se baissèrent sans que je ne pu un instant le regarder. Il commença à me regarder doucement et m’annonça les 3 règles de bases de ma soumission. Je devrais ensuite lui dire si oui ou non j’acceptais de vivre une première séance avec lui pour tester.

Les règles étaient simples : ne jamais le regarder dans les yeux, autorisation de ne poser que 3 questions par jour et obéissance totale.

J’acquiesçai rapidement d’un hochement de tête, incapable de prononcer le moindre mot partagée entre la peur et l’excitation. Les choses se sont ensuite passées très rapidement, nous sommes sortis du café et il m’a demandé de le suivre, arrivée à sa voiture, nouvel élan de panique... vais je réellement monter dans la voiture d’un parfait inconnu ? Mais la chaleur dans mon intimité m’a rapidement fait ouvrir la portière et je suis ainsi montée vers ma nouvelle vie.

2-3 mots pour indiquer la route, une main se glisse sur ma cuisse, il me demande de les écarter et relève ma jupe, j’obéis sans réfléchir, j’ai l’impression de ne plus être moi même. Sa main glisse vers mon sexe, il voit rapidement que je suis trempée et me le fait remarquer, le rouge me monte aux joues et je resserre rapidement les cuisses. Arrivés chez moi il me demande de me mettre à genoux dans mon salon et de baisser les yeux, j’arrête de réfléchir et obéis. Je me laisse porter par ses ordres en fermant les yeux. Il est derrière moi, soulève mon haut et l’enlève, il titille mes tétons en soupesant ma poitrine. Il est dos à moi et fouille dans un sac, je n’ose pas me retourner. Il me demande de lever la tête, et passe un ruban sur mes yeux, je ne vois plus rien. Je suis au milieu de mon salon à genoux avec uniquement des talons et une jupe, les yeux bandés. Il joue un instant avec mes seins et me pousse vers l’avant pour me mettre à 4 pattes, il relève ma jupe et touche mes fesses et m’enfile un doigt dans mon intimité, celle ci est de plus en plus humide, il me glisse un deuxième puis un troisième en me disant que bientôt il pourra me fister très facilement.

Un inconnu avait 3 doigts dans mon intimité et cela m’excitait, il me fit marcher à 4 pattes jusque la chambre, je sentais le sol sous mes genoux, il me pinça le nez et je compris que je devais ouvrir la bouche, il m’enfonça son sexe d’un coup jusqu’au fond de la gorge, je suffoquais mais il ne relâcha pas la pression. Il me demanda de lui faire la plus belle fellation que possible pour voir ce dont j’étais capable, il me demande de lui sucer les boules. J’essayais de m’appliquer du mieux possible ne sachant pas ce qui pouvait arriver si je le décevais.

Il m’ordonna par la suite de me lever et parcourut mon corps avec ses mains, il s’attarda sur mon sexe et mes seins, il me pencha en avant et me mis alors 5 fessées, j’émis une plainte ce qui le motiva à m’en remettre 5 de plus. Il m’expliqua que je n’avais pas à me plaindre ou que du moins il ne devait pas l’entendre et que chaque plainte exprimée sans qu’il me donne la parole serait punie de la façon de son choix. Je me retins donc et reçue les fessées suivantes en serrant les dents.

La suite de la séance fut réalisée pour me faire découvrir le côté soft de la domination, à 4 pattes sur le lit ; il me lia les mains et les genoux, j’avais ainsi les fesses et mon intimité totalement offertes, il recommença alors par me doigter et entreprit de me mettre un doigt dans l’anus, je lui demandais de ne pas faire ça, j’étais terrorisée à l’idée de me faire sodomiser ou même qu’il touche à mon petit trou. Une nouvelle salve de fessée atterrit sur ma fesse droite, puis il se rendit dans le salon et revint avec un bâillon qu’il me mit dans la bouche en me disant qu’une bonne soumise se devait de se la fermer et n’avait pas son mot à dire. Je me mis à pleurer, totalement paniquée, j’étais attachée sur mon lit, les yeux bandés sans pouvoir parler, totalement à la merci de celui qui allait devenir mon maître. Je le sentis passer derrière moi et il enfonça son sexe en moi d’une traite me faisant sursauter un grand coups, il entreprit de me baiser sauvagement en me disant que si je continuais ainsi je serai une bonne soumise. Ses coups de reins étaient de plus en plus rapides, il redressait ma tête en me tenant par les cheveux. Chacun de ses mouvements me faisait l’effet d’un marteau, mon bas ventre était plus que bouillant, des fourmillements m’envahir et mon corps était proche de la rupture, il me claquait les fesses en même temps qu’il me prenait et au comble de mes sensations il se retira et m’éjacula sur mon dos et mes fesses, j’étais exténuée et mon corps était totalement faible. Il me détacha, m’enleva mon bâillon et mon bandeau et me caressa doucement les cheveux. J’étais totalement nue mais incapable de bouger, comme vidée de toute énergie.

Il retourna dans sa valise et en sortit un collier, il le posa à côté de moi et il me dit « Je vais à la douche, si cette séance t’a plus et que tu veux m’appartenir, je veux que quand je sorte, tu sois à genoux tête baissée avec le collier autour du cou. Sinon tu peux te rhabiller et je repartirai ».

Ma réflexion fut très courte, et à sa sortie de la douche j’étais nue à genoux devant la porte de la salle de bain avec mon collier de soumise autour du coup. Je n’étais plus Alba, mais sa soumise.