Collection Étrange Phénomène. Manon Et Les Zombies (1/5)
Mais qui peut taper sur la porte de mon laboratoire dans le centre de recherche que je dirige depuis 2 ans.
Je fais de la recherche sur des mouches.
Il semble que ces petites bêtes aient des vertus pour calmer les personnes hypernerveuses.
Jai 32 ans, jolie petite brune pas très grande mais avec des seins qui plaisent à mon mari.
Javais 20 ans quand je lai rencontré en première année de fac.
Lui était en troisième année de médecine.
Il voulait devenir généraliste, je voulais dès les premiers jours morienter vers la recherche.
Nous avons rapidement été amant.
Nous avons rapidement vécu ensemble.
Ses parents avaient du bien dans une petite ville de province à 200 kilomètres dici.
Il est parti les voir pour le week-end du Premier mai.
Le centre où se trouve mon laboratoire est calme car la plupart sont en week-end prolongé de 5 jours.
Susy mon assistante travaille elle aussi car des ennuis de santé de son fils lont obligé à prendre des congés.
Ça fait des heures que je suis dans ces pièces isolées du monde car Antoine est parti chez ses parents pour soigner sa mère.
Ma belle-mère est âgée et commence à être atteinte de perte soudaine de mémoire.
Avec Antoine nous avons bien peur quelle soit atteinte de la maladie dAlzheimer.
Il est parti la voir car il y a une semaine, son père lavait retrouvé assise dans la cuisine de chez leurs voisins à boire leur café.
Des travaux sur mes bestioles mont contrainte à rester et jen profite pour faire des expériences demandant du temps et donc de la concentration.
Qui peut donc tambouriner sur la porte du sas afin de pénétrer dans mon labo en toute sécurité ?
Je regarde la caméra.
Cest Susy qui tape des deux points sur la porte.
Son comportement minterpelle, elle a la tête penchée vers larrière comme si sa nuque avait une raideur et ses yeux semblent fixes.
Jai vu quelques minutes dun film de zombies, jai tellement trouvé ça con que jai changé de chaîne.
Angélique Marquise des Anges, là encore, sans vraiment être ce que jaime mais pour sendormir dans son fauteuil et ainsi récupéré cest parfait.
Bref, derrière la porte de mon labo je semble être confrontée à ce genre de problème.
Susy est devenue un zombie et mempêche de sortir risquant de me faire mourir de faim.
Ça va être long avant que je meure car si je dois rester sans manger, jai autant deau potable que je désire.
Je perds un peu pied.
Me sentant seule.
Les ordis, Internet.
Bien sûr les réseaux extérieurs semblent morts.
Je minstalle devant laquarium où les mouches qui me servent batifolent entre elles.
Les coups sur la porte finissent par me taper sur les nerfs surtout quand jy pense, si Susy est dans cet état bien dautres personnes sont susceptibles davoir été atteints.
Quai-je à ma disposition ?
Des scalpels, des seringues et des produits anesthésiants.
Je veux surtout épargner Susy, elle est mon amie depuis que nous travaillons ensemble.
Cette jolie blonde est bandante.
Si javais été lesbienne au lieu dhétéro cest avec elle que je me serais gouinée.
Mais je penserais au cul plus tard bien que depuis quil est parti la bite de mon homme commence à me manquer.
Si je fais entrer Susy dans le sas, je pourrai la faire entrer et prendre sa place dans le sas le temps quelle repère ma présence.
Et je pourrais prendre sa place pour sortir.
Je suis souvent dans mon labo mais je fais du sport avec Antoine.
Du self-défense basé sur la rapidité.
Je prépare une seringue de liquide à haut pouvoir dendormissement et je commence la manuvre.
La faire entrer dans le sas cest facile, une fois la porte débloquée, elle tape et pousse et se retrouve piégée là où je le voulais.
Deuxième partie de mon plan.
Je déverrouille, je tire la porte devant moi.
Susy est plus rapide, le peu que jai vu du film zombie, notre chaleur, donc notre sang est la cause de leur envie de nous bouffer.
Nous roulons au sol et jai la chance de pouvoir la tenir au cou.
Son cou est froid, mon bas-ventre entre en contact avec sa robe qui sest relevée.
Malgré mon pantalon je sens que son sexe semble avoir un semblant de vie.
Je sens mais je réagis avec ma seringue que je lui plante dans lépaule.
Le temps que lanesthésiant fasse effet, la chercheuse reprend le dessus.
Jai peur que si le sang sarrête de circuler, le produit soit inefficace.
Heureusement, je sens que les forces de Susy diminuent jusquà ce que je puisse la lâcher.
Elle dort, du moins elle est inerte.
Je la tire jusquau fauteuil et je linstalle du mieux que je le peux.
Sans avoir lesprit malsain, je soulève sa robe et jécarte sa petite culotte rose.
Je mets la main sur sa chatte, cest chaud.
En un geste de chercheuse et non sexuelle, je lui mets trois doigts dans le vagin, cest encore chaud.
Quand jai fait mes études, jai étudié ce que certains appellent les dérives sexuelles.
Trois doigts puis ma main avec du mal pour la faire entrer dans sa totalité.
Bref, je me rappelle en geste de médecine, je fist Susy.
Je sens que quelque chose change dans lintérieur de ce corps.
Je sens même son cur repartir au bout de mes doigts quand elle semble avoir un orgasme.
Jattends que leffet du liquide anesthésique sestompe pour la voir rouvrir ses beaux yeux bleus bien retrouvés.
- Que mest-il arrivé ?
Jai perdu mes esprits et je me retrouve dans votre bureau.
Pourquoi avez-vous une main dans ma chatte, voulez-vous quon ait un rapport lesbien ?
Je sens que Susy a repris vie normale, je quitte sa chatte.
- Te sens-tu bien ?
- Oui, comme le jour où jai pris une cuite entraînant la perte de mon pucelage.
- Cest un moindre mal.
Suis-moi en faisant attention.
Pour commencer, tutoie-moi, lépreuve que lon vient de traverser nous le permet.
Allons au poste de garde demander à la sécurité si elle existe toujours, afin de voir la bande qui senregistre pour te montrer ce qui test arrivé.
Quand je disais « si elle existe toujours, » javais raison.
Nous traversons deux autres laboratoires, des collègues sont là tournants dans la pièce.
Par chance la porte est fermée mais par malchance leur laboratoire était ouvert.
La pièce daprès, la directrice est là aussi.
Sa porte est ouverte et par chance en se déplaçant à aucun moment son cerveau malade la vue.
Susy a un éternuement.
Madame, comme nous lappelons, tourne la tête, semble humer lair et se dirige vers nous.
Elle est en retraite dans quelques jours, elle a 61 ans.
Jai fisté mon amie, je me vois mal en faire de même avec elle.
Alors je referme la porte.
Si je marrête à chaque cas, nous y passerons la journée sans savoir si le mal nous ayant atteint, pardon, les ayant atteints est général sur la planète ou centralisé un labo ayant fait une mauvaise expérience.
Le garde devait être en ronde car la porte est fermée.
Cest avec prudence que nous entrons.
Personne, il devait être en ronde au moment où laccident a eu lieu.
Dans la salle des enregistrements vidéo, je sais comment se classent les CD.
Jours, mais ce sont ceux qui sont dans les enregistreurs qui mintéressent.
Secteur de mon labo et caméra qui est au-dessus de sa porte.
- Cest incroyable comment jétais, merci de mavoir sauvé la vie.
- Tient regarde cette boîte, derrière les autres cest bizarre que Gaspar lait placé là.
Jouvre des CD.
Jen mets un.
Les gens sont cons, ils oublient que les caméras tournent vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Celle que jai placée dans le lecteur montre une partie du bureau de madame.
La caméra est dans le couloir que nous venons de remonter.
La date et lheure défile 23 heures 33, 34.
Madame est la poitrine nue sur son bureau et Gaspar le gardien ayant posé son appareil de contrôle de ses rondes à son côté.
Gaspar est bien monté, il fait du karaté et a des abdos en béton.
Dommage que ces vidéos soient sans le son.
À la façon dont elle tourne la tête, elle doit jouir intensément car son regard sans être celui quelle avait quand on la enfermé dans son bureau devenu zombie est à la limite de la pâmoison.
61 ans, mariée 5 s une vie professionnelle irréprochable du moins jusquà je maperçois de la salope quelle était.
« Elle était » est idiot surtout quand on essaye dentrer comme le faisait Susy tout à lheure.
La porte est coulissante automatiquement grâce à une cellule.
Jai pensé à tout et je devrais penser à tout si par chance nous échappons à cette boule de muscle qui entre.
Nous nous réfugions dans la pièce aux enregistrements.
Une nouvelle fois je suis coincée dans une pièce sans autre sortie que la porte quon arrive à refermer.
Au moment où jarrive à la claquer, jai le temps de voir que Gaspar même dans son état bande
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