Marie Ma Nouvelle Voisine - 44 - Dimanche Après-Midi
Le repas s'est effectué dans une bonne ambiance, et Brigitte a avoué avoir pris beaucoup de plaisir dans les bras de Marie, mais s'étonne d'avoir été traitée comme une chienne pendant la ballade et que malgré ses réticences, elle a aimé lécher la vulve pisseuse de Sarah.
Après le repas, les 4 convives s'installent sur les transats pour se reposer et discuter. Puis Bernard propose d'aller boire un verre en ville. Proposition acceptée par les 3 autres, Marie s'éclipse pour aller dans sa chambre et revient quelques minutes plus tard avec deux robes similaires et en tend une à Christine, qui lui dit :
« Mais Marie, j'ai ma robe ! »
Marie : « Tu ne pensais tout de même pas mettre la robe que tu avais ce matin, pour faire de l'exhibe en ville. Allez enfile cette robe, et tu verras que tu seras plus sexy et provocante »
Chrisitne hésite alors que Marie a déjà enfilé la sienne. Elle met tout de même la robe que Marie lui prête, et voyant que cette robe couvre à peine ses fesses et dévoile une partie de sa poitrine. Elle est génée, regarde son mari et dit :
« Bernard, tu crois vraiment que je peux sortir ainsi? »
Bernard : « Ma chérie, profite d'être en compagnie de Marie, pour t'initier à l'exhibition, ce sera pour toi plus facile que de le faire plus tard seule »
Convaincue, elle accepte de sortir ainsi et les 4 amis sortent de la maison et montent dans la voiture de Bernard, avec Cello à ses côtés et les deux salopes sur la banquette arrière. Bernard s'arrête à un bon kilomètre de la place, où il y a de nombreuses terrasses de café. Ils empruntent tout d'abord une petite rue et Marie profite, qu'il y a peu de monde dans cette ruelle, pour marcher devant les 3 autres relever l'arrière de sa robe jusqu'à la taille et dévoiler son cul. Après une dizaine de mètres, elle se tourne, recouvre ses fesses et dit :
« Allez Christine, à toi maintenant ! »
Son amie, regarde autour d'elle, et rassurer car la rue semble déserte, elle imite son amie et marche devant eux la robe relevée jusqu'à la taille, sous les encouragements du groupe.
Les deux femmes s'assoient côte à côte, et les 2 males en face d'elles. Dans cette position, les hommes masquent leurs femelles à la vue d'une partie des autres personnes présentent autour d'elles.
Marie saisit la cuisse gauche de Christine et la pose sur sa cuisse droite. Ainsi, elle ouvre les jambes de la brune et elle commence à caresser ses cuisses, de plus en plus haut, jusqu'à atteindre son sexe. Christine se laisse caresser et pose sa main sur la vulve de sa camarade. Marie confesse aux deux hommes :
« Vous savez que cette petite salope est trempée... Bernard, ta femme est prête pour s'exhiber avec moi et bientôt seule »
Les deux femmes se doigtent maintenant doucement pour ne pas jouir en public et Marie caresse parfois les seins de Christine au travers de sa robe. La brune excitée, dévoile alors le sein droit de son amie et roule son téton entre ses doigts, pendant quelques secondes.
Marie suggère alors une idée : « Pourquoi Christine ne viendrait-elle pas le samedi matin, s'exhiber dans le sex-shop ? »
Christine : « Oh non je ne pourrais jamais faire comme toi ! »
Marie : « Chérie, tu aimes t exhiber, et dans la boutique, tu sera à l'abri et personne ne sera choqué par ta tenue. Ceux qui te verront sont des gens qui aiment le sexe, et voyeurs ».
Christine presque convaincue dit : « Et comment devrais-je m'habiller ? »
Cello répond : « Tu ne seras probablement pas payé, puisque tu viendras juste pour t'habi à l'exhibition, et aussi il faut demander l'accord du gérant, mais il pourrait t'offrir une tenue le samedi, car avec deux salopes dans le magasin, cela attirera encore plus de client ».
Bernard : « Une tenue sexy chaque samedi, sait plutôt pas mal, surtout qu'en on voit le prix de certaines robes ».
Pendant cette discusson, les deux putes ont continé à se caresser, et elles commencent à gémir doucement. Cello se lève et dit :
« Je crois qu'on va y aller, avant que nos deux chéries jouissent sur place ».
Pendant le retour à la voiture, les deux salopes dénudent totalement leurs poitrines, montrant parfois leurs fessiers ou leurs chattes trempées. Sur le chemin vers la maison, Cello indique une autre trajet à Bernard, et le fait s'arrêter dans une clairière, endroit que connait très bien Marie. Cello ordonne aux femelles de descendre de la voiture, et de retirer leurs robes. Une fois nue, il recupère les deux vêtements et leurs dit :
« On vous retrouve de l'autre coté du bois »
L'automobile redémarre, laissant les deux femmes totalement nue. Christine commence à s'affoler en voyant la voiture s'éloignée, mais Marie la rassure en disant qu'elle connait bien l'endroit et qu'il ont à peine deux kilomètres à faire pour retrouver la voiture. Elle prend la main de son amie et elles quittent la clairière, marchant parfois difficilement avec leur talons hauts, dans le sentier tortueux de la forêt.
En arrivant près du but, elles aperçoivent la voiture de Bernard, et Christine est soulagée de voir que son mari est bien au rendez-vous. Cello descend de l'automobile pour les acceuillir et passe ses mains sur le sexe des deux femmes. Il se penche vers Bernard et dit :
« Mon cher Bernard, nous avons avec nous, deux belles salopes ! Elles ont les tétons bien dressés, et leurs chattes trempées ».
Cello leur donne leur robe et met une serviette de bain sur le siège, afin que les deux femelles ne tachent pas la banquette de leurs mouilles.
En rentrant les 2 couples découvrent Sarah en train de sucer Alban. La jeune femme s'interrompt quelques secondes pour dire :
« Je fais une pipe d'adieu à Alban, comme Sabine vient me chercher ce soir »
Cello : « C'est bien ! Continue je t'en prie »
Sarah reprend son ouvrage, sans se préoccuper des 4 autres personnes, jusqu'à ce qu'Alban jouisse dans sa bouche.
Marie revient sur son idée d'entraîner son amie au sex-shop et dit :
« Dites monsieur Cello, vous pensez que mon patron va accepter que Christine s'exhibe sans sa boutique ? ».
Cello : « Tu sais dans ces d'endroits, ce genre de chose est plutôt fréquente ».
Bernard : «Et si on en parlait demain matin chez nous vers 9 heures devant un bon café ».
Les deux couples prennent rendez-vous et se quittent.
Une fois seul, Cello dit à Marie :
« Encore un, qui va être très vite cocu, et qui se doute de rien ».
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