Collection Étrange Phénomène. Manon Et Les Zombies (3/5)

Nous avons décidé de partir rechercher Antoine mon mari.
Nous savons qu’en quittant l’enceinte du laboratoire nous avons de grandes chances de devenir des zombies.
Mais nous sommes bien obligés, sinon c’est la mort assurée.
Le restaurant de la société que je devais rejoindre quand Susy a commencé à tambouriner à la porte de mon labo étanche à quelques consommables mais à trois nous aurions vite faite de tout épuiser.

J’ai pris la décision de rejoindre mon mari même s’il m’a cocufié avec celle que j’ai moi-même fisté.
Nous décidons de prendre ma voiture.
Hélas, toutes celles que nous essayons de démarrer semblent avoir elle aussi avoir subi le nuage jaune maléfique.

- Il va falloir y aller à pied.
Susy, tu retournes près de ton mari.
- Crois-y, je reste avec toi, s’il est transformé en zombie, il est bien comme il est.

Mon assistante semble avoir une dent contre celui qu’elle semble faire cocu allègrement.
Même quand elle était zombie, elle a réussi à le tromper avec moi.
Nous marchons, marchons quand la nuit approche.
Nous avons croisé quelques groupes de zombies mais nous les avons tous évités refusant le contact.
Pourtant parmi eux certains garçons présentaient de belles bites.
Deviendrais-je accro au sexe alors que je suis une fille sage depuis que je suis petite.

- Regardez cette maison, elle semble accueillante, nous allons l’emprunter pour la nuit.
Je vais vous ouvrir.

D’un grand coup d’épaule Gaspar nous fait le passage.
Nous avons fermé la grille elle nous protégera des zombies qui semblent infatigables.
Quelle chance qu’une simple porte les retienne.

- Regardez, il y a à manger dans la cuisine.
Le repas est prêt, on dirait qu’ils nous attendaient.

Nous dévorons et surtout nous picolons.
Principalement du Bourgogne il y avait une bouteille sur la table.



- La bouteille est vide, je vais voir à la cave si j’en trouve une ou deux autres.
- Arrête, on va être bourré et demain il y a des kilomètres à faire.
- Si la cave est aussi bonne que cette bouteille, on pourra rester quelques jours.
Retrouver ton mec, qui te fait cocu, marchant comme un robot, tu as le temps.
Je descends.

Gaspar nous laisse.

- Manon, je peux te demander quelque chose ?
- Bien sur Susy, si je peux répondre.
- Tu sembles prendre à la légère la tromperie de ton mec, moi si j’avais appris que le mien me trompe je me vengerais et je me foutrais qu’il soit devenu un zombie.
- Chacun ses valeurs, je veux voir ce qu’il est devenu pour pouvoir faire définitivement mon deuil de notre couple et que je puisse refaire ma vie.
- Avec des zombies, il y en a plein les rues.
- Et nous deux ce serait possible.

Susy se lève et vient s’asseoir sur mes genoux.
Elle prend ma tête dans ses mains alors que nos langues se trouvent.
Ma main part sous sa jupe.
Un cri monte de la cave.

- Vite les filles venez m’aider.
Manon amène les seringues.

C’est Gaspar qui hurle pour qu’on descende dans la cave.
Quand nous arrivons il maîtrise une femme vêtue de cuir de la tête aux pieds mais ses cuissardes sont dans cette matière, sauf son cul où il appuie son genou lui tenant les bras au-dessus de sa tête.

- Pique là, je vais avoir du mal à tenir longtemps.
La fille tourne la tête nous montrant de magnifique yeux de zombie.
Je la pique et je peux admirer le local où nous sommes.
Un deuxième zombie mâle, black, le sexe bandé à me faire envie.
La jeune femme s'endormant est black elle aussi.
Mais le plus étrange, c’est que le garçon attaché sur une croix couchée au sol et aux pieds de la fille, il y a une cravache.
Autour d’eux plusieurs caméras.

Le zombie mâle cherche à se détacher.
Heureusement les menottes le maintenant semblent solides.

- Occupez-vous de la fille, je m’occupe du mec.
Je veux voir ce que ça fait une autre bite que celle d’Antoine dans ma chatte.
Ce beau gosse aimant le masochisme aura du mal à me résister de la façon où il est menotté.

Je vois Susy s’approcher de Gaspar et lui sort la queue.
Celle que je prends en main est aussi impressionnante que l’autre.
Nous avons deux mâles en ruts car rapidement l’agent de sécurité bande.

- Et tous les deux, occupez-vous de la nana, elle pourrait se réveiller et vous mordre, j’ai mis une faible dose d’anesthésiant.
Gaspar tu baiseras Susy plus tard, sexe là.

De mon côté, j’ôte ma culotte et pressée de me venger de la trahison d’Antoine, moi qui en temps normal écarte simplement mes cuisses je m’empale sur ce pieu m’appelant.
C’est chaud, je suis chaude et sans aucune difficulté le sexe entre en moi.

- Elle se réveille, tu avais raison Manon si je t’avais baisé Susy, nous aurions recommencé à être des zombies.

Comme je suis placée, je laisse mes amis s’occuper de la jolie black, je sens les couilles du mien sur mes fesses, je suis arrivée au bout de cette verge gigantesque.
Monter et descendre, le long de cette tige, c’est facile, je lubrifie à fond sentant ma cyprine couler entre nos deux corps.

- Qui es-tu, où est Océane, elle va m’arracher les yeux !
- Soit sage, laisse-moi profiter, ta copine elle se fait sauter par mes amis et de la façon dont j’entends les cris, comme toi elle est redevenue femme.

Qu’il se taise que je profite, pour une fois que je m’éclate.
Je comprends mieux Susy de prendre des amants même si parmi eux il y a Antoine.
Chercheuse surtout avec des mouches s’est bien mais salope se balançant sur cette belle verge entièrement revenue à la vie c’est mieux.

J’ai conscience qu'il y aura trop de verges à sauver. Surtout avec tous les hommes de cette planète, mais je vais m’atteler à en satisfaire un maximum.
En tout bien tout honneur car ce sera pour sauver la race humaine que ma chatte se relayera sur les unes ou sur les autres.
Est-ce les circonstances qui font de moi celle que je pense devenir quand du plus profond de moi un orgasme monte le long de mes reins.
Océane aussi semble aimer ce que Gaspar lui fait car ce sont bien les cris d’une femme en pleine possession de ses moyens qui jouit elle aussi.
Je tourne la tête et je vois que Susy en manque de bite suce l’anus de son amant tout en se fistant elle-même.
Elle se lève, s’approche de moi, me prend la tête dans ses mains et c’est un baiser profond qui nous unit.

- On peut nous expliquer, pour commencer détachez-moi.

C’est Océane étant à son tour libérée vient ouvrir les menottes retenant celui qui nous dira s’appeler Rayan.
C’est dans la cuisine devant une bouteille de vin d’un meilleur cru que celui des êtres humains que nous dégustons.

- Merci de nous avoir ramené à la vie.
Nous sommes mariés depuis deux ans et nous avons décidé de venir vivre en métropole.
En Guadeloupe, tous les deux nous étions au chômage.
Au début ça été dur avant que les films sadomasochistes viennent nous sauver.
J’ai installé le studio que vous avez vu dans les sous-sols, mais regardez, nous faisons des films en extérieur.
Même dans la forêt nous en tournons.
Je l’attache, elle m’attache et nous vendons nos cassettes à une maison de production qui nous les achète.
C’est ainsi que nous gagnons notre vie.
Vous aussi vous êtes dans le porno.
- Pas du tout, je travaillais dans un laboratoire entièrement sécurisé pour éviter que certaines souches sensiblement dangereuses puissent s’échapper.
- C’est peut-être toi qui par ton travail as fait ce que nous étions devenus.

Allons dormir, demain nous allons reprendre notre longue route.
- Je dois vous avouer quelque chose mes amis.
- Gaspar tu as baisé ma femme pour la première fois avec ta verge alors que c’est moi qui l’ai dépucelé.
Manon, c’est aussi la première fois qu’une autre femme qu’Océane danse sur ma bite.
- Et danse très bien Rayan surtout que pour moi aussi ta bite était la première à entrer en moi depuis qu’Antoine m’a dépucelé.
- Antoine ?
- Mon mari que je vais rejoindre pour savoir comment va évoluer ma vie.
- On vous accompagne, à tous nous aurons plus de chance de repousser ceux que vous nous avez expliqué ce que nous étions devenues.

En disant ces mots, Rayan se met à battre des bras comme le fond les zombies dans les films qu’ils ont dû voir au cinéma bien loin de la réalité que nous vivons.
Nous dormons tous dans leur chambre à l'étage, bien protégée des monstres qui doivent entourer la maison.
Au matin, je sens qu’une langue vient me lécher les seins.

- Antoine, laisse-moi tranquille, je dors…

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