Les Aventures De Françoise (7 Et Fin)
Résumé des épisodes précédents : Françoise est une femme mûre, directrice d'école. Son mari Gérard ayant connu un grave ennui de santé qui l'a rendu impuissant, elle s'est refusée à abdiquer toute vie sexuelle et a connu plusieurs aventures. La dernière en date est un jeune enseignant stagiaire, Guillaume, qu'elle a fini par séduire alors qu'il était également courtisé par une collègue tout aussi mûre, Laurence. Mais Gérard a reçu des lettres anonymes qui lui ont fait connaitre son infortune conjugale. Plutôt que de continuer à lui mentir, Françoise a fait le choix de tout lui avouer et Gérard a accepté de jouer le rôle du cocu complaisant au point même de participer aux ébats de Françoise et Guillaume. Le dernier épisode a vu l'entrée en scène de la fille du couple, Marjorie.
**********
Depuis quelque temps, Françoise s'inquiétait pour sa fille Marjorie. Celle-ci, âgée de 38 ans, venait de se séparer de son compagnon et n'en finissait plus de se plaindre de l'ingratitude des hommes. Elle s'en prenait fréquemment à sa mère comme si elle était responsable de cet état de fait. Françoise s'en ouvrit à son amie Muriel. Divorcée de longue date, celle-ci n'en poursuivait pas moins une vie sexuelle active et possédait une solide expérience de la gent masculine. C'est pourquoi Françoise souhaitait connaitre son avis. Et la sollicita en ces termes :
- Avec Marjorie, nous avons toujours été très proches mais depuis que j'ai une liaison avec Guillaume, elle m'en veut, même si Gérard me laisse faire. C'est à croire qu'elle me reproche de ne pas avoir rendu les armes puisqu'elle ne peut même pas arguer que je trompe son père.
- Cela fait combien de temps qu'elle n'a plus de mec, Marjo ?
- Sauf erreur, au moins six mois.
- Alors, ne cherche pas. C'est parce qu'elle ne baise plus qu'elle est de mauvais poil. Mais elle ne l'avouera jamais, telle que je la connais.
- Bon alors, qu'est-ce qu'on peut faire ? Je ne vais quand même pas demander à Guillaume de la sauter.
- Non, il faut que tu sois en dehors du coup. Tiens, j'y pense, je vais te proposer un truc. Le week-end prochain, je pends ma crémaillère dans ma nouvelle maison de campagne. Je vais l'inviter et toi aussi avec Guillaume et Gérard s'il veut venir. Je vais demander à mon copain Kevin d'inviter un pote à lui que je connais, un vrai canon, Karim, 25 ans et une bite à faire peur (je le sais, je l'ai sucée...), une vraie mitraillette au plumard.
- Marjorie n'aime pas les jeunots, elle me l'a assez dit.
- Mouais. J'attends de voir quand elle aura fait la connaissance de Karim. Bon alors, qu'en dis-tu ?
- Pourquoi pas ? De toute façon, ce sera un après-midi agréable.
- Et une soirée aussi. J'ai plein de chambres à disposition. Vous pourrez rester coucher.
- Bon alors, il ne te reste plus qu'à convaincre Marjorie, je ne m'en mêlerai pas.
*******
Avant de poursuivre cette narration, une présentation de l'hôtesse s'impose. Dans sa jeunesse, Muriel avait posé nue dans le magazine Lui grâce à un physique exceptionnel de grande blonde aux formes pleines. Mariée à un riche promoteur qui lui avait fait deux s, elle avait finalement divorcé à 50 ans et bénéficié d'une confortable pension alimentaire ainsi que de biens immobiliers comme justement cette maison de campagne au bord d'une rivière. A l'approche de la soixantaine, son corps s'était un peu arrondi mais ses seins lourds et bien accrochés, ses hanches en amphore, sa croupe pulpeuse et son regard luisant la rendaient encore très désirable. En particulier par les jeunes hommes recherchant des femmes d'expérience et sans gros tabous, ce qui était son cas. Elle-même prisait les corps frais, musculeux, sans graisse et évidemment bien membrés. Kevin était précisément un de ceux-là. Agé de 28 ans, brun et mince comme un fil mais doté d'un conséquent costume trois pièces, il régalait Muriel qui en avait fait son chevalier servant et le rémunérait comme tel.
Françoise avait fait la connaissance de Muriel trente ans plus tôt lorsqu'elle était l'institutrice de ses deux filles. Une amitié réciproque en était résultée et elles se rencontraient de temps à autre pour évoquer leur vie quotidienne. L'influence de Muriel n'avait pas été sans conséquence sur le virage libertin de Françoise. Celle-ci avait toujours admiré sa liberté sexuelle mais aussi fait un complexe physique envers l'ancienne poseuse de Lui. Elle considérait, avec son mètre soixante, faire pâle figure à côté de son amie qui annonçait un mètre soixante quinze pour autant de kilos qu'elle. "A côté de toi, je suis un vrai pot à tabac", lui disait Françoise avec dépit. Mais Muriel la démentait en lui affirmant que les petites femmes rondelettes avaient aussi leurs amateurs masculins et qu'il lui suffisait de mettre ses charmes en valeur pour les séduire. Françoise en avait tenu compte et force lui était d'admettre que la conquête de Guillaume lui donnait raison. Ses érections impressionnantes, dès qu'ils étaient nus ensemble, confirmaient l'attirance du jeune homme pour son corps charnu. Son comportement sexuel, de plus en plus débridé, faisait de Françoise une maîtresse passionnante pour celui qui avait été son stagiaire. Au grand dam de sa fille Marjorie, qui avait du mal à accepter cette liaison sentant le stupre.
******
Le jour de la pendaison de la crémaillère arriva. Françoise et Gérard se présentèrent ensemble mais sans Guillaume, troublé par l'hospitalisation récente de son père et peu enclin à faire la fête. Ce fut la première anicroche de cette journée, pleine d'imprévus. Le deuxième fut l'arrivée de Philippe, frère cadet de Muriel, athlétique quinquagénaire à la chevelure argentée, qui n'était pas invité mais s'était imposé. Marjorie, craignant de s'ennuyer, était venue accompagnée d'une amie, Audrey, solide blonde aux cheveux courts, ancienne tenniswoman et solitaire comme elle. L'assistance était également composée de Kevin, boy friend de Muriel et de son pote Karim, tous deux faits dans le même moule (grands, secs, bruns de peau et de poil, à peine trentenaires) et d'un couple de quinquas amis de l'hôtesse, Corinne (qui lui ressemblait étrangement avec ses longues jambes et sa chevelure teinte en blond) et son mari Christophe au crâne totalement rasé.
Les présentations furent faites autour d'un barbecue de brochettes pris en main par Kevin, de boissons diverses et variées (notamment un punch) puis de jeux organisés par Muriel, tant et si bien que la détente fut à l'ordre du jour. Françoise fut cependant désappointée de constater que Marjorie traitait avec un souverain dédain le beau Karim qui, incité par Muriel, avait tenté sa chance auprès d'elle. En revanche, elle tournait autour de Philippe, frère de l'hôtesse, qui se montra vite flatté par l'intérêt que lui portait cette brune pulpeuse en débardeur et mini-jupe, étant assez friand de croupes rebondies et de cuisses musclées. Françoise crut bon de se rapprocher de Karim pour l'excuser de l'attitude de sa fille. Mais quand le jeune homme plongea le nez dans son décolleté, il est vrai très généreux (Françoise portait un top dégageant les épaules et ne tenant que par ses seins opulents), elle ressentit un petit picotement au niveau de son bas-ventre qui lui fit changer son fusil d'épaule. Puisque Marjorie ne voulait pas de ce Karim à la réputation si flatteuse, pourquoi n'en profiterait-elle pas à sa place ? Aussi décida-t-elle de ne plus le lâcher d'une semelle. Comme le jeune homme regardait de temps à autre du côté de Gérard, son mari, Françoise glissa à l'oreille de sa cible : "ne t'inquiète pas, mon mari et moi, nous sommes un couple très libre". Karim comprit alors qu'il ne quitterait pas cette petite fête sans avoir baisé, la différence tenant simplement au fait que sa partenaire ne serait pas la fille mais la mère, et qu'il ne perdrait peut-être pas au change, tout compte fait.
Lorsqu'arriva la fin de l'après-midi, tout le monde était très chaud et pas seulement à cause de la température estivale, élevée ce jour là. Le punch et, pour certains, l'excitation sexuelle, avaient fait leur oeuvre. Muriel, qui n'était vêtue que d'un simple paréo, s'en débarrassa en un tournemain, exhiba un string qu'elle fit aussitôt glisser et courut complètement à poil vers la rivière qui, en bas de la propriété, se trouvait être une retenue d'eau formant comme une piscine naturelle.
*******
Depuis un moment, Françoise avait pu constater que Audrey papillonnait autour de Karim. La différence d'âge tournant en faveur de la tenniswoman, la quasi sexagénaire conclut qu'elle devait prendre l'initiative si elle ne voulait pas être spectatrice des ébats futurs entre le beau brun et la solide blonde. Tout en nageottant, elle se mit à frôler Karim qui, loin de la repousser, considérait ses seins, raffermis par l'eau fraiche, avec de plus en plus d'intérêt. Françoise se débrouilla pour les coller dans le dos du jeune homme à deux ou trois reprises. Non seulement il ne se déroba pas mais il se retourna et empauma ses lourdes mamelles avec un plaisir évident. Il lui murmura à l'oreille : "tu as la plus belle paire de nichons de toutes les filles présentes". Françoise gloussa. Il est vrai qu'avec son 120D et ses globes en forme d'obus, elle écrasait les petits et moyens nénés présents, à l'exception notable de Muriel, également bien pourvue par la nature. Elle profita de cette circonstance favorable pour glisser sous l'eau sa main entre les jambes de son flatteur, histoire de vérifier ce que Muriel lui avait dit sur les attributs sexuels de Karim qu'elle n'avait qu'entre-aperçus. Elle réprima de justesse un cri de surprise. Sa main avait saisi un épais bâton de chair légèrement durci qui grossit sous sa main en un temps record. Quelle bite ! Muriel n'avait pas exagéré. Elle se mit à la branler légèrement pendant que Karim soupesait ses seins et leurs langues se rencontrèrent.
Dans la piscine naturelle, les autres baigneurs les observaient, conscients qu'ils assistaient aux prémices d'un accouplement pour le moins inattendu, compte tenu de la différence d'âge des deux protagonistes. Ce flirt poussé provoqua le rapprochement de deux couples légitimes, celui de Corinne et de Christophe, mais aussi celui de Muriel et de Kevin, qui à leur tour s'embrassèrent, se pelotèrent, se collèrent et même se branlèrent. Corinne et Christophe furent les premiers à sortir de l'eau. La blonde s'allongea sur un petit rocher plat et ouvrit grand les cuisses pour s'offrir à la bouche de son mari qui entama un long et appliqué cunnilingus. Muriel et Kevin s'éloignèrent à leur tour de la piscine naturelle pour s'allonger à même l'herbe en se caressant mutuellement. Françoise prit la main de Karim et l'attira vers le bord où l'eau ne faisait que des clapotis. Elle eut la satisfaction de constater une érection spectaculaire et sans même se mettre au sec, l'emboucha. La densité et la longueur de la queue lui provoquèrent immédiatement un plaisir buccal intense. Elle avait plein la bouche de son gland, le poussait jusqu'à la glotte. Cette pipe magistrale mit Karim au bord de l'éjaculation et il se retira prestement en comprimant sa pine. Françoise prit cette attitude comme un hommage car elle induisait qu'il voulait garder sa raideur pour la pénétrer.
- Viens, on va aller dans la maison, on sera plus tranquilles, lui dit-elle.
- Il y a des capotes dans la salle de bain, lui lança Muriel entre deux succions de la bite de Kevin.
Pendant qu'ils se dirigeaient main dans la main vers le bâtiment, Gérard regardait, à demi immergé dans la rivière, la croupe voluptueuse de sa femme qui ondulait légèrement comme un prélude à son agitation copulatoire. Il se promettait d'aller les regarder baiser. Mais pour l'heure, son attention de voyeur se concentrait sur les autres couples. Muriel suçait Kevin sur l'herbe. Les pieds nus de Corinne encadraient les fesses de Christophe qui la besognait sur le rocher plat à grands coups de reins. Dans l'eau, Audrey encerclait de ses bras et de ses mains le grisonnant Philippe qui la bécotait tout en tenant fermement sur ses appuis. Seule Marjorie était délaissée et faisait la planche, ses seins affleurant l'eau, apparemment indifférente à l'orgie aquatique.
En fait, elle bouillait intérieurement. Elle encaissait mal l'attitude d'Audrey qui lui avait piqué Philippe, dont le charme argenté lui plaisait beaucoup. Le fait que sa mère soit partie copuler avec le plus beau mec du jour (même s'il ne l'attirait pas particulièrement) était une insulte à sa propre séduction de quadragénaire. Et le comble, c'était qu'elle était la seule avec son père à compter les points. Les cris de plaisir de Corinne sur son rocher plat lui mettaient le feu et quand Muriel s'empala sur Kevin en faisant danser sa croupe et ses seins, elle craqua.
**********
Sortant de l'eau sans même se sécher, Marjorie prit la direction de la maison afin de récupérer ses vêtements, se rhabiller et s'enfuir avec sa voiture. Tant pis pour Audrey, elle se débrouillerait avec son baiseur. Ou avec ses parents. Elle décida de prendre une douche et gagna la salle de bains. Elle s'attarda longuement sous le jet, comme pour faire baisser la tension qui s'était emparée d'elle. Lorsqu'elle en sortit, il s'était déroulé une bon quart d'heure. C'est en passant devant le salon, où elle comptait se rhabiller, qu'elle découvrit, sur le canapé, sa mère en train de chevaucher Karim. Elle lui mettait ses gros seins dans la figure et il s'en repaissait pendant qu'elle se vissait sur sa queue comme pour la faire pénétrer dans ses profondeurs intimes. Il lui pétrissait les fesses pour accen sa pénétration et de temps à autre, elle se relevait légèrement pour s'abaisser brutalement, poussant alors un petit cri de jouissance. De profil, Marjorie eut la brève vision d'une queue volumineuse que l'intimité de sa mère semblait accepter sans difficulté. Karim se tourna vers la voyeuse et sa mine interdite alerta Françoise qui découvrit sa fille, nue, ses vêtements sous le bras. Le coït s'interrompit :
- Qu'est-ce que tu fais ? Tu t'en vas ? interrogea Françoise.
- Oui, je me barre, ras le bol de tout ça.
- Mais non, reste, ne fais pas l'idiote.
Françoise s'était relevée et Marjorie découvrit alors l'érection fabuleuse de Karim. C'était incontestablement la plus belle bite qu'elle eût jamais vue. Longue, épaisse, parfaitement décalottée avec un gland proéminent, une vraie bite de bande dessinée érotique. Marjorie comprit instantanément le plaisir que prenait sa mère. Ses sensations devaient être inouïes. Pas sot, Karim perçut le trouble de la belle brune au pubis abondamment fourni et au fessier large mais musclé.
- Ne pars pas, je vais m'occuper aussi de toi, hein Françoise ?
Celle-ci marqua un léger temps d'arrêt. Mais voulait aussi à tout prix que Marjorie se libère de ses blocages.
- D'accord, occupe-toi d'elle, je vais revenir à la rivière, amusez-vous bien.
Abandonner ses ébats avec Karim lui coûtait mais c'était le prix à payer pour en finir avec cette relation tendue avec sa fille.
Marjorie, après avoir posé ses vêtements, se laissa guider vers l'étage. Karim bandait comme un âne. Au passage dans le couloir, une porte grande ouverte donnait sur un lit sur lequel un couple s'agitait. Marjorie reconnut la nuque argentée de Philippe et les deux pieds nus qui encadraient ses fesses devaient, selon toute probabilité, être ceux d'Audrey. "Un vas-y, continue", sonore, ne laissa pas de doute : c'était bien son amie qui baisait. Karim la tira par la main :
- Viens par là, on va faire pareil.
Et le couple gagna la chambre voisine, à savoir celle du couple Muriel-Kevin, absent pour le moment.
*********
Revenons un peu en arrière. Gérard, le mari de Françoise, était resté batifoler dans l'eau pour observer les événements, non sans délectation. Le spectacle des deux belles matures blondes en train de copuler passionnément avec leur conjoint, légitime ou non, le ravissait. Il avait vu son épouse s'éloigner avec Karim avec une intention ne laissant aucune place au doute : ils partaient baiser. Mais avant d'aller les observer en bon candauliste, son attention se focalisait sur le couple formé par Corinne et Christophe. Accroupie sur le rocher, empalée sur le dard de son mari, positionnée face à la rivière, elle tournicotait des hanches en se léchant les lèvres, laissant échapper parfois une onomatopée de plaisir. Tout en faisant aller et venir sa croupe devant les yeux de Christophe, elle interpella Gérard :
- Dis donc, ça te plait, hein, de nous regarder faire l'amour.
- Vous êtes magnifiques.
- Tu te branles dans l'eau ?
- Affirmatif.
- Tu veux voir mon cul ?
- Avec plaisir.
Et Corinne changea de position mais toujours sur ses pieds et Gérard se régala à regarder les 8888 du beau fessier de la blonde, jusqu'au moment où Christophe, au bout du rouleau, éjacula en grognant. Gérard se détourna alors, laissant le couple à ses mamours, pour observer Muriel et Kevin. Elle se trouvait dans la position de la louve romaine, ses seins lourds pendant et se balançant entre ses bras, tandis que lui la besognait en levrette, accroupi et jambes fléchies, dans une position acrobatique. Gérard ne tarda pas à comprendre qu'il la sodomisait. Muriel acceptait sans rechigner une intromission anale repoussée par beaucoup de femmes. Sa manière d'aller chercher la bite à grands coups de cul en faisait foi. Puis Kevin se retira, la queue ramollie. Il avait éjaculé dans le rectum de la plantureuse blonde, qui se retourna et l'embrassa sur les lèvres. Il décida de sortir de l'eau, le temps de s'apercevoir que le troisième couple formé par Philippe et Audrey s'était éclipsé pendant qu'il matait les ébats se déroulant sur les deux berges. Il était temps maintenant de voir où en était son épouse.
******
Marjorie découvrit la chambre de Muriel qui était tout un programme. Elle était entourée de miroirs avec un lit XXL en son milieu.
Au même moment, Gérard entrait dans la maison et s'étonnait de ne voir personne au rez de chaussée. Après s'être rhabillé, il se rendit à la cuisine pour vider une bouteille de jus de fruit entamée pendant le barbecue. Puis son attention fut alertée par des bruits à l'étage qu'il identifia immédiatement comme ceux de l'amour. Il monta sans hâte les escaliers et se présenta discrètement devant la chambre ouverte d'où provenaient les bruits. Il rencontra le regard d'Audrey, prise en levrette par Philippe, qui besognait dur. La tenniswoman laissa échapper un de ces piaillements qu'il avait entendus du rez de chaussée puis lui tira la langue, ce que Gérard prit comme une invitation à aller voir ailleurs. Justement, où étaient les autres ? Au fond du couloir se présentait une chambre à la porte fermée. Il y colla son oreille et comprit qu'il y avait du monde à l'intérieur. Il ouvrit discrètement la porte et son regard embrassa un vaste lit où Marjorie chevauchait Karim. Il eut un mouvement de recul. Autant il aimait voir sa femme baiser avec un autre, autant l'accouplement de sa fille le gênait. Il préféra se retirer discrètement.
********
Marjorie ne s'était aperçue de rien. Avant que son père n'arrive, elle avait longuement sucé Karim, avait extrait un préservatif d'une boite qui trônait sur la table de nuit puis coiffé le dard qui pointait comme un gros cierge vers le plafond. Elle procéda à l'opération avec délicatesse puis, sans transition, se positionna au-dessus du pieu de chair avant de se laisser tomber lentement. Elle s'exclama :
- Oh là là ! Oh là là ! Que c'est gros ! Que c'est bon !
Totalement empalée, elle se mit à louvoyer, jetant de temps à autre un regard sur le côté, vers le miroir qui lui renvoyait son image de femme en train de jouir, son visage concentré sur son plaisir, son fessier en mouvement. Elle avait englouti la matraque de Karim sans la moindre difficulté, la faisant même aller dans des zones très sensibles. Karim se régalait du spectacle de cette belle brune en train de savourer son pénis. Puis il la prit en levrette et ils se dévisagèrent dans le miroir de face. C'était la première fois qu'elle se regardait vraiment baiser et elle trouva cet artifice particulièrement excitant. Elle comprenait pourquoi Muriel avait conçu cette chambre pour la fête des corps. Lorsque Karim la bascula pour la prendre entre ses cuisses musclées, elle se se saisit les chevilles, s'ouvrit en grand et s'exclama entre deux halètements :
- Ah je baise, je baise...
C'est alors que surgit dans la pièce un homme nu grisonnant qui s'exclama :
- Mais qu'est-ce que c'est que ce bordel ! C'est dégueulasse ce que vous êtes en train de faire ! Tirez-vous, foutez le camp !
Philippe était dans une telle colère que les protagonistes ne protestèrent même pas. Karim débanda, Marjorie se précipita vers ses vêtements et après un rhabillage express, gagna le rez-de- chaussée où Gérard et Françoise était en train, rhabillés, de siroter un jus d'orange. Muriel était invisible, peut-être toujours occupée avec Kevin, alors qu'elle aurait pu défendre ses invités. Laissant tomber Audrey, Marjorie gagna sa voiture en compagnie de Karim qui avait jugé lui aussi plus prudent de battre en retraite. Et c'est ainsi que se termina, pour tous les quatre, cette pendaison de crémaillère qui avait débouché sur le coup de colère inattendu et incompréhensible du frère de la maîtresse des lieux.
******
Par la suite, divers événement survinrent. D'abord, Marjorie entama une liaison avec Karim malgré une différence d'âge de 15 années qu'ils dépassaient facilement au plumard où tous deux se révélaient experts et s'apportaient mutuellement de puissantes satisfactions sexuelles. Muriel se confondit en excuses auprès de Françoise, expliquant que son frère avait "pété les plombs", sans doute par jalousie car c'était Marjorie qui était sa cible véritable. Quant aux relations entre la mère et la fille, elles se normalisèrent jusqu'à un certain point : plus question pour Françoise de toucher à Karim. Néanmoins, un jour qu'il était rentré plus tôt que prévu, Gérard entendit du bruit dans la chambre d'amis. Il y découvrit Françoise et Karim en plein 69, elle dessus en train de se gaver de la bite somptueuse du jeune homme, lequel avait le nez enfoui entre les grosses cuisses de sa quasi belle-mère. Discrètement, il assista à la suite de leurs ébats où il fut démontré que Karim ne se lassait pas de deux bons gros roberts et d'un cul bien ouvert...
(fin)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!