Amour En Musique 17
Darling du groupe disco/funk Delegation
Pendant ce temps-là, nos ébats se poursuivaient avec encore plus dardeur.
Laura me chevauchait depuis un petit moment.
Elle sétait mise dans cette position pour quelle puisse faire frotter ses seins contre moi. Contre ma peau. Contre mon sexe, en particulier. À quatre pattes, à califourchon, son corps ondulait et ça avait été une magnifique vision. Elle avait frotté ses seins contre ma peau et contre mon sexe. Javais aimé. Javais a-do-ré. Laura, elle aussi. Ça lui avait fait un je-ne-sais-quoi de continuer à me masturber à laide de sa poitrine généreuse.
Elle avait le sentiment de vivre un rêve, Laura. Sauf que ce nétait ni un rêve ni un fantasme, désormais. Nous étions vraiment ensemble, rien que nous deux à présent, et nous faisions lamour.
Cétait bien réel, mais en un sens, Laura avait, au plus profond delle, encore un petit peu de mal à y croire. Néanmoins, cétait bel et bien en train de se passer entre nous . Et, à présent que nous étions intimes, corps et âme et sexe et que jétais à elle, Laura comptait bien continuer den profiter.
Pamela du groupe Toto...
Nous nous étions rencontrés là-bas, au café des Amours mortes, en plein centre-ville de Montpellier.
Nous avions commencé à nous parler.
Elle mavait fait une «invitation» : elle mavait proposé de laccompagner alors quelle allait revoir sa meilleure amie Sarah.
Elle mavait entraîné avec elle.
Quand on avait été dans sa voiture et quon roulait en direction de chez son amie, elle sétait rendue compte quelle me plaisait
et quelle mexcitait, Laura. Et ce quelle avait vu
lui avait plu
et lavait excitée, elle aussi. Elle avait envie de moi, et elle comptait bien en profiter. Elle sétait alors mise à me masturber et à me sucer, dans sa voiture.
Elle mavait donné du plaisir. Mais, elle ne mavait pas amené à la jouissance.
Que lon sappartienne, corps et âme et sexe.
Nous étions arrivés dans la maison de ses fameux amis, et jy avais découvert la magnifique mise en scène, le très joli décor quelle avait mis en place pour que je me sente encore plus à laise avec elle. Pour que je me dévoile davantage à elle, pour que je lui dévoile ces fameux désirs que je refoulais. Pour que je moffre à elle totalement, corps et âme et sexe. Pour que lon fasse enfin lamour, depuis le temps quelle y pensait et quelle en avait envie.
Je métais rendu compte que la maison était vide et que Romain et Sarah nétaient pas là. Cétait là que Laura mavait avoué que je lui plaisais et quelle avait envie de moi. Jétais tombé dans son piège damour et de sexe.
Ainsi est né un jeu entre nous
Ainsi sest tissé un jeu entre nous
Ainsi sest noué un jeu entre nous
Un jeu à base damour et de sensualité, de romantisme et dérotisme, de pudeur et daudace
Pour que je me laisse aller et que je nécoute plus que mon désir, elle mavait demandé de ne penser quà elle. Puis, elle mavait bandé les yeux.
Alors, je lai laissée faire et jai lâché du lest. Jai laissé Laura, la jolie jeune femme aux longs cheveux roux, prendre le contrôle des opérations.
Au fur et à mesure que la soirée a avancé, Laura métait de plus en plus intime. Elle sest déshabillée, et elle ma montré ses beaux gros seins pour la toute première fois.
Laura ma mis à genoux. Elle est irrésistible, il faut dire.
Elle ma présenté sa magnifique poitrine plantureuse. Elle ma demandé, les yeux dans les yeux, de la lui masser. Avec de lhuile de massage. De lylang-ylang.
Laura mavait parlé dune chaleur qui était née sous sa petite culotte rose en dentelle. Laura mavait parlé de son excitation et de sa lubrification. Laura mavait prévenu que je me rendrais compte de son excitation lorsque je verrais sa poitrine
et alors je comprendrais
Elle avait dirigé mes mains vers son corps. Sur son corps
Elle avait désiré, plus que tout, que je me laisse aller à la découvrir. Elle my avait encouragé.
Javais commencé à la caresser plus intimement. Je métais mis à découvrir son sexe, sur le bout des doigts, et ce, au sens propre du terme. Avec le bout de mes doigts.
Je sentais quelle mouillait. Je sentais sa cyprine toute chaude sur mes doigts. Mais
cette cyprine
ce liquide damour tout doux, tout chaud
javais envie de découvrir le goût et lodeur du minou de Laura. Avec mon nez
Avec ma langue
Avec mes lèvres
Alors, je me suis abaissé. Je me suis mis à genoux, à ses pieds. Et, après avoir embrassé, léché, honoré tout son corps avec ma bouche
je me suis mis à lui faire un cunnilingus.
Au fur et à mesure que la soirée avançait, nous étions de plus en plus intimes : corps et âme
et sexe, elle et moi.
Je me laissais aller, au goût, au rythme et au son du plaisir de Laura. Elle mavait fait comprendre quil ny avait pas la moindre raison que je refoule plus longtemps mes désirs et que cétait donc naturel den avoir et de penser au sexe. Que cétait naturel de vouloir donner vie à des fantasmes, et donc à des désirs. À partir de ce moment-là, un verrou avait sauté, et ça, je ne le dois quà Laura. La belle femme rousse aux formes pulpeuses avait été, après tout, la seule et unique, la toute première, à me tenir ce discours. La toute première, à jamais, à être curieuse jusquà en ouvrir ma boîte de Pandore. Elle en pinçait pour moi. Je lui plaisais.
Ça navait été que pur délice dhonorer la vulve de Laura. De mes doigts
De mes lèvres
De ma langue
Ça navait été que pur délice dêtre à ses pieds et de lui exprimer mon désir naissant. De moccuper delle. De lui donner autant de plaisir que possible.
Laura est belle.
Laura est magnifique.
Laura est sexy.
Plus tard dans la soirée, alors que la nuit avançait, Laura mavait demandé de me mettre à nu, à mon tour. Il faut dire quelle ne portait plus que son tanga bleu poudre
et quà force dêtre excitée, de me désirer et de mouiller, la dentelle avait fini par être détrempée par son liquide damour. Moi, javais beau être torse nu, je portais toujours mon pantalon. Laura mavait alors ordonné de le retirer et de me mettre, moi aussi, en sous-vêtement. Et, au cours dun jeu à priori simple, anodin
puéril sur les bords, où nous faisions semblant de nous faire la moue, javais voulu provoquer Laura, ne fusse quun tout petit peu. Pour une raison que jignorais encore à ce moment-là, ce nétait pas un jeu pour Laura. Rappelons-nous quelle a des désirs et des fantasmes, Laura. Bien sûr que son désir premier, à elle, cétait que lon fasse lamour. Que JE lui fasse lamour. Que jhonore son corps, tout entier. Que je lui procure le plus de plaisir possible. Que je parvienne à la faire jouir. Et, au final, que je me laisse aller et que je jouisse. Pour elle. Et quand javais fait semblant de refuser denlever mon pantalon, elle avait craqué et elle avait fini par fondre en larmes. Cest alors quelle a fait tomber la masque, larmure et quelle ma avoué quelle était amoureuse de moi. Ça mavait pris aux tripes. Laura mavait mis, à mon tour, à nu.
Et pourtant
Ça en avait pas mal coûté à Laura que de mavouer son amour. Elle non plus, elle ne sy attendait pas. Pour elle, même si elle se doutait que soit je navais pas beaucoup dexpérience en termes de sensualité et de sexe, soit que jétais carrément puceau et quelle ferait tout son possible pour minitier alors à cette belle chose quest le sexe. Elle navait pas prévu que notre rencontre prenne cette tournure. Jamais, au grand jamais, elle navait prévu de mavouer le faible et lamour quelle ressentait pour moi. Il navait suffi que dun jeu puéril de ma part pour que les évènements se précipitent.
Laura, la jolie jeune femme rousse aux beaux seins lourds, mavait mis le coeur, lâme et le sexe à nu. Elle sétait mise à nu ? Je voulais me mettre à nu, à mon tour. Javais alors retiré mon pantalon et javais fait en sorte quelle entende le bouton que lon retire, la fermeture éclair que lon abaisse. Cétait ma manière à moi de dire à ma partenaire que jétais consentant, que jétais corps et âme et sexe avec elle. À elle.
On sétait embrassé.
On sétait séduit.
On sétait peloté.
On sétait caressé.
On se faisait confiance, petit à petit.
Javais voulu moccuper de son abricot tout chaud, très appétissant. Tour humide, salé. Javais voulu y puiser un peu, beaucoup de sa cyprine. Rien quà lil nu, le sexe de la jolie Laura donnait envie. Vraiment. Elle avait en partie épilé son sexe, et elle navait gardé quun adorable «ticket de métro » fait de doux poils roux. Laura sétait délectée de mes caresses manuelles et buccales que javais portées sur sa vulve. Elle en avait tiré beaucoup de plaisir.
On sétait embrassé.
On sétait séduit.
On sétait peloté.
On sétait caressé.
Je lavais léchée. Doigtée. Avec désir. Avec tendresse. Avec envie. Avec passion. Avec amour.
Et elle
Elle voulait continuer de me rendre au centuple tout ce plaisir que je lui donnais.
Ça luit tenait particulièrement à cur, à Laura.
Ça avait énormément dimportance à ses yeux.
Cétait pour ça
quelle avait eu de me caresser
avec ses seins.
Cétait pour ça
quelle mourait denvie et de désir
de me prendre entre ses seins.
Ça n'avait été que pur délice, pur plaisir, de me masturber entre ses seins. De faire l'amour à ses seins. Fermes
Doux
Ronds
Gros
Généreux
Je sentais que mon pénis était bien entre eux deux. Son 90D aux larges aréoles roses enserrait à merveille mon membre. La
Les sensations étaient
Pfiou
! Bonnes
Agréables
Savoureuses
Délicieuses
Ce n'était que pur délice
Ma virilité avait coulissé à merveille dans le clivage de la poitrine magnifique de Laura. Et, en parlant d'elle
Laura, elle aussi, jouissait, au centuple, de ce moment particulier, ce moment particulier où elle me donnait avec ses seins. Elle en avait beaucoup rêvé et fantasmé. Et voilà que nous nous étions rencontrés et que c'était devenu réalité
Elle n'arrêtait jamais de me regarder parce qu'elle n'avait pas envie de perdre une seule miette de ce moment. Moi aussi, je la regardais et je ne la quittais pas des yeux, Laura. Ce n'était pas baiser. C'était plus, bien plus, beaucoup plus. On se regardait. On se parlait, de temps à autre. Mais
en réalité, nos yeux
nos corps parlaient pour nous. On faisait l'amour. On se faisait l'amour. On était bien. On était corps et âme et sexe. L'un à l'autre. L'un pour l'autre.
On s'était rencontré.
On s'était fait la cour.
On s'était séduit.
On s'était embrassé.
On s'était peloté.
On s'était caressé.
On s'était découvert, petit à petit. Au fur et à mesure. Avec amour. Avec patience. Avec envie. Avec désir.
Elle avait tenu à me faire découvrir ce que ça faisait quand une femme à la poitrine généreuse prend l'initiative de donner du plaisir à son partenaire en faisant coulisser tendrement mais frénétiquement sa virilité entre ses seins bénis des dieux, puis, en se plaçant à quatre pattes, comme à califourchon, et elle allait et venait en frottant, en passant et repassant ma baguette magique sexuelle entre ses beaux gros seins. Elle faisait en sorte que mon gland, en particulier, côtoie, s'habitue et s'épanouisse au contact de ses diamants de chair qui pointaient et qui pleuraient de désir. Ma queue allait et venait. Allait et venait. Allait et venait. C'était agréable. Délicieux. Putain de bon
C'était si bon
Laura mettait un point d'honneur à me faire tout ça. Laura avait eu envie de me sucer de nouveau. Pour ça, elle était restée à quatre pattes, comme à califourchon, quasiment dans la même position que quelques instants auparavant, quand elle avait tenu à me reprendre en branlette espagnole. Elle m'avait repris entre ses lèvres
Ses putains de lèvres cerise
Elles coulissaient autour de ma queue. C'était bon
Ses lèvres, elles étaient chaudes
Mouillées
C'était parfait. Elle s'y prenait bien. Oh oui
Sa langue, elle, sa putain de «petite» langue, elle me donnait des petits coups
Sur mon gland
Sur ma couronne
Sa langue me léchait, de haut en bas, de bas en hait, un peu comme quand on lèche une glace. Elle avait fait des bruits de plaisir aussi, et ça m'avait excité. Beaucoup. Néanmoins, je m'étais retenu de jouir, d'éjaculer. Mais, ça avait difficile. Je voulais que l'on aille loin. Beaucoup plus loin, elle et moi
On s'était rencontré.
On s'était embrassé.
On s'était peloté.
On s'était caressé.
On avait usé et abusé des préliminaires, comme bon nous avait semblé
et on avait adoré ça. On y avait pris
bien du plaisir.
Laura avait continué de se mettre à califourchon, au-dessus de moi. Elle avait continué de me chevaucher. Elle avait fait frotter sa belle petite chatte toute appétissante
et toute chaude contre mon sexe. Puis, elle s'était empalée sur mon sexe, et elle avait commencé à mener des petits mouvements de va-et-vient. Je sentais parfaitement son sexe éclos et mouillé qui enserrait le mien. C'était trop bon. C'était parfait.
Pour maintenir son emprise sur moi, elle me chevauchait et elle avait posé ses deux mains sur mon torse.
Moi, je ne la quittais pas des yeux et je voyais bien qu'elle n'était plus que sensations et plaisir. Elle avait les yeux clos et sa bouche était entrouverte. De temps à autre, je l'entendais distinctement émettre un soupir
un gémissement
un halètement
Moi, pour l'aider à maintenir ce rythme, pour continuer d'être corps et âme et sexe à elle, avec elle, je m'étais emparé de ses fesses généreuses et je faisais en sorte que Laura se balance en avant, en arrière, en arrière, en avant, et qu'elle se serve de mon sexe pour se donner du plaisir. J'y tenais. Plus que tout
Kiss on My List de Hall and Oates...
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