Toujours Le Corbeau...
- Alain jai un appel de lextérieur pour toi, tu le prends ?
- Je le prends.
- Bonjour ! Fit une voix féminine. Que je ne reconnu pas étant de mon cercle proche.
- Bonjour ! À qui ai-je affaire ?
- Au corbeau.
- Pardon !
- Vous avez bien entendu, au corbeau !
- Et que me vaut votre coup de fil ?
- Faire plus ample connaissance avec vous.
- On pourrait pour cela se rencontrer ?
- Il nen est pas question.
- Alors pourquoi mappelez-vous ?
- Je vous lai dit, pour faire connaissance avec vous, Alain.
- Que voulez-vous savoir ?
- Déjà dans un premier temps que vous me remercier.
- Vous remerciez ! Fis-je en ricanant. Et je peux savoir
Pourquoi ?
- Davoir pris la peine de vous mettre au courant des méfaits de votre Dame. Avec preuve à lappuie.
- Vous parlez dun renseignement. Enfin, si cela peux vous faire plaisir alors pourquoi pas. Donc Madame, je vous en remercie. Cela vous va ?
- Ne soyez pas aussi déplaisant, Alain. Je suis là pour vous aider.
- Aider ! Vous appelez ça maider, de me démontrer me ma femme me fait cocu !
- Bien sûr ! Et vous men avez porté la preuve.
- Ah oui !
- Oui Alain, en nintervenant pas. En prenant même plaisir à jouer le voyeur.
Là elle marqua un point.
- Vous ne croyez pas que vous avez pris un risque là ?
- Pas du tout. Je savais très bien que vous nen feriez rien.
- Pourquoi autant de dassurance ?
- Vous êtes un homme à femmes. Et que votre épouse vous trompe vous en avez tristement rien à faire. Elle est la mère de vos s point à la ligne. Nai-je pas raison ?
- Je reconnais que vous êtes perspicace.
- Merci. Cela vous direz de travailler pour moi ?
- Travailler pour vous ! Mais enfin je nai pas besoin de boulot, jen possède déjà un.
- Je parlais en plus du votre.
- Et cela consiste à faire quoi ?
- A donner à certaine personne le bonheur de réaliser leur fantasme.
- Je ne vous suis pas très bien là.
- Avez-vous un fantasme Alain ?
- Oui
comme toute personne correctement composé.
- Vous lavez réalisé ?
- Non
hormis pendant mes séances solitaires.
- Et si je vous dis que votre fantasme jai les moyens de le réaliser. Vous en dite quoi, là ?
- Que le mien va être impossible à le réaliser.
- Rien nest impossible.
- Peut-être mais pas le mien
- Si vous travaillez pour moi, je me promets de tout faire pour laccomplir.
- Cest-ce que vous avez dit à ma femme ?
- Non pas à elle. À Madame Durand !
- Donc sest Madame Durand lorganisatrice de la petite sauterie
- Si on veut. Votre femme ayant besoin de partenaire pour assouvir sa
enfin
pardon. Elle sest donc confiée à Christiane (Madame Durand), qui elle lui a proposé une partie fine, avec le jeunot à la bite de cheval.
- Donc si jai bien compris en vous contacte quand on a besoin dune relation que je dirai un peu spéciale et avec votre baguette magique pour lexécuter. Vous êtes une fée.
- Si on peut dire. Jai commencé cette alchimie il y a quelque mois de ça. Une amie est venue me voir pour savoir comment se venger de son mari qui la tromper. Il se trouvait comme un fait exprès que javais une connaissance masculine, déçu par les capacités sexuelles de son épouse. Et qui cherchait auprès de moi, comme une consolation. Bien sûr il était loin dêtre mon genre de type. Alors jai organisé une rencontre avec les deux personnes. Et ça a fait bingo ! Pas mécontente de moi, je me suis dis pourquoi ne pas profiter de la détresse sexuelle de certaine personne pour ouvrir comme une espèce dagence de rencontre locale. Jai fait alors jouer mes connaissances. De personne dans le besoin. Et ça a fait boule ne neige. De bouche à oreille il sest trouvé quen peu de temps jai eu un panel de mortel intéressé par mon concept.
- Et bien ! Vous men boucher un coin.
- Vous navez pas idée du nombre de bourgeoises qui aiment savilir.
- Et tout ça est gratis ?
- Et puis quoi encore. Il faut prendre largent où il se trouve ! Vous nêtes pas de mon avis.
- Certainement ! Je peux savoir lindemnité pour un tel service ?
- Non petit curieux. Cela reste secret. Et cela dépend aussi de la prestation demandé.
- Madame Durand, par exemple a payé quoi pour avoir
- Rien
me coupa-t-elle. Seul le fait de mavoir servit sur un plateau dargent votre femme.
- Elle est au courant de votre manigance, ma femme ?
- Non ! Jai la chance quelle aime la baise. Je mexcuse mais elle fait ça par pur plaisir. Un besoin chez elle de se faire
- Baiser ! La coupais-je, à mon tour. Cest ma femme qui a demandé pour faire ça avec le vieux ?
- Encore non, cest Raymond (le vieux), qui la choisi.
- Comment ça ! Il a choisi ?
- Nous avons un album.
- Je vois. Et pourquoi mapprendre tout cela ?
- Parce que comme je vous lai déjà dit, je vous veux dans mon équipe.
- Et pourquoi moi ? Vous ne savez peut-être pas mais je nai pas une queue de cheval, loin sen faut même
- Je men fou de votre queue. Seul votre physique mintéresse.
- Et si ! Je dis bien si jacceptais votre concept je gagne quoi moi dans cet affaire ?
- Cela dépend du service donné ?
- Plus cest immoral plus ça rapporte, je me trompe ?
- Vous pigez vite.
- Je vous rencontre quand pour en parler ?
- Jamais ! Par pure sécurité. Je dois rester incognito.
- Alors nous ne risquons pas de nous retrouver dans le même lit.
- Cnest pas dans le programme
- Jaimerai bien moi.
- Ce que vous aimez, moi je men fou. Alors revenant à nos moutons si vous le voulez bien. Vous êtes intéressé ?
- Il faut voir.
- Jai dans mon tuyau, un couple à la recherche de sensation forte. Leur couple bat de laile et ils ont besoin dun coup de fouet. Il se trouve quils ont le même fantasme. Faire cela avec un autre couple. Donc jai pensé à vous.
- À ce que je sache je suis seul dans cette affaire ?
- Oui peut-être, mais vous avez aussi une femme gourmande, côté sexe
- Et comment
enfin
comment voulez-vous que jentraîne ma femme dans cette aventure.
- Je pense quavec 2000Fr, vous trouverez la solution
- Ça aide, oui !
- Nest-ce pas ! Cest oui ou cest non ? Jai besoin dune réponse au plus vite pour avertir le couple.
- Comment sen organise ?
- Cest tout simple en va en discuter, si tu le veux bien
cela dennui quand ce tutoie ?
En cette nuit dété, je me suis arrangé de me retrouver en tête à tête avec ma femme. Au court du dîner après avoir bien bu, je lui proposais de ce dénudé. Elle ne se fit pas prier pour sexécuter. Ce fut nu, que nous terminions le dîner. Discutant cul. Et cela sans ce toucher. Soudain, la lumière de la terrasse de nos voisins salluma.
- Tu veux quon rentre ? Me fit ma femme.
- Pourquoi ? On nest pas bien ici ?
De chez nos voisins parvenait une conversation étouffée puis, après quelques minutes de silence, de légers gémissements.
- Tu as entendu, toi aussi ? Lança Cathy.
- Écoute !
Plus de doute sur la nature des bruits que nous entendions. Je me levais de ma place.
- Où tu vas ? Me murmura ma femme.
- Voir le film.
Un espace providentiel moffrit une vue sur la terrasse où ils se trouvaient le couple. Elle, allongeait sur le dos sur un bain de soleil, lui, de côté, les mains posées sur la généreuse poitrine, lui caressant les seins. Comme moi, ma femme observait la scène avec attention.
- Cest mieux quun film porno, tu ne crois pas ? Lui fis-je.
- Si tu le dis
me répondit-elle.
- Cela ne te plaît pas ?
- Je nai pas dit ça
- Je suis certain que tu mouilles.
Je posais ma main sur son intimité et la fouillais. Sa fente était trempée.
- Cochonne ! Lui murmurais-je.
Pendant ce temps la voisine sagenouilla devant le beau sexe de son mari, quelle enfourna. Alors que je caressais les fesses de ma femme. Appuyant mon index sur sa rondelle. Elle se cambra, minvitant à continuer de lui caresser lillet. Entre temps il y eu du changement côté terrasse. Le couple sétaient placé tête-bêche. Les bruits de succion nous parvenaient distinctement. Et, il fallait bien lavouer, fit quaccroitre notre excitation. Comme laurait fait un bon film de cul.
Pendant de longue minutes, avec Cathy, nous nous caressions mutuellement, tout en contemplant nos voisins se faire du bien. Jusquà ce que la femme se place à quatre pattes devant la queue de son mari. Il la pénétra dune poussée énergique. Elle ne put contenir un petit cri. Ce fut linstant que choisis ma femme pour se laisser tomber à mes pieds. Je sentis son souffle court sur ma verge tendue avant que ses lèvres se refermèrent sur moi. Elle fit allé et venir sa bouche le long de mon sexe. Je ne fis rien pour mes gémissements. Jen rajoutais même. Comme le corbeau me lavait dit au téléphone. Les voisins comme prévu portèrent leurs regards de notre côté.
Cétait lheure de vérité. Là où tout allait de décider ou pas.
- Le spectacle est à votre goût. Fit la voix de lhomme.
- Oui pas mal. Répondis-je.
- Mais quest-ce que tu fais ? Fit ma femme plus bas, en recrachant ma verge humectée de salive.
- Venez donc nous rejoindre, voulez-vous ? Fit de nouveau la voix de lhomme qui se nommer Olivier.
- Ce serait avec plaisir. Lançais-je.
- Mais ça ne va pas ! Répliqua ma femme. Nous ne sommes pas en tenu.
- Parce que ils lont eux la tenu ? Aller vient.
- Non ! Je ny vais pas.
- Arrête de faire limbécile, veux-tu ! Ils tont vue.
Je la pris par la main et lentrainais jusquau jardin des voisins qui nétaient pas les voisins, mais un couple en mal de sensation forte.
- Bonsoir. Olivier et Noémie.
- Enchantés. Alain et Cathy.
Un court instant, un silence presque gêné sinstalla, personne se semblant comment poursuivre la conversation.
- Vous êtes
ravissants, lança Oliver.
- Merci. Vous êtes de votre côté pas mal ! Répondis-je.
Tout en parlant, nous avions totalement oublié que nous étions nus. Il nous invita à déguster une coupe de champagne. Pour ce faire il prit place à côté de ma femme. Au bout de la deuxième bouteille nous nous sommes tous dégelé. Au point de poser sans préambule sa main sur la cuisse de ma femme, sans quelle ne fasse quoi que ce soit pour lôter. La partie était lancée.
Je regardais les doigts courir sur sa peau. Remontant lentement vers la fourche poilue. Tout en me regardant, elle ouvrit le compas de ses cuisses. Autorisant à la main fouineuse, laccès à sa fente. Ceux qui lui provoquèrent de légers soupirs. Noémie se leva, et alla sagenouiller face à ma femme. Sa fente à seulement, quelques centimètres des lèvres de ma Cathy.
Elle me fixa, un regard interrogatif, comme si elle attendait de ma part un signe pour lancer son envol. Un signal que je lui donnais en hochant la tête. Alors doucement, elle approcha ses lèvres doù sen sortit une langue dardée qui se posa sur le sexe. Noémie ne mit pas longtemps à laisser échapper un gémissement. Contente delle, ma femme croisa mon regard. Un sourire éclairant son visage. Me lançant un clin dil coquin.
Je nétais pas mécontent de moi. Je lui répondis à mon tour avec un sourire, mapprochant au plus près de laction. Linstant suivant, je la regardais explorer lintimité de Noémie dans les moindres recoins. Allant même jusquà déposer de légers bisous sur son illet. Olivier, comme moi, regardions les deux femmes, puis il ma murmuré :
- Tout cela cest bien goupiller, tu ne crois pas ?
- A la perfection.
- Cela te dérange si je te suce ?
- Pas le moins du monde
fais donc
- Merci. Lança-t-il en sagenouillant face à moi. La tête entre mes cuisses. Je sentais son souffle sur mon sexe bandé. Tournant les yeux, je remarquais le regard de ma femme. Alors quil mavalait, elle me lança un nouveau clin dil.
Je baissais mon regard pour apercevoir mon membre aller et venir dans la bouche gourmande dOlivier. Je devais reconnaître quil était très doué. Sa langue virevoltait autour de ma hampe. Ses mains, loin de rester inactives, me flattèrent les bourses. Shasardant même parfois plus bas, me procurant des sensations agréables.
Qui aurait cru, à peine une heure plus tôt, que nous serions, ma femme et moi, en train de se donner du plaisir ce couple.
- Tu aimes ? Me fit Olivier
- Hum
tu suces divinement bien
- Tu mes suces ? Fit-il.
Jallais mallonger sur le bain de soleil. Il me chevaucha, approchant son sexe de mes lèvres. Sans réfléchir, javalais lentement son gland. Je le fis aller et venir en moi comme jaurais aimé quand me le fasse. Cajolant ses couilles, me concentrant à lui procurer que du bien. Jentendais venant du côté des femmes ma femme jouir. Je sentais quOlivier était à en faire de même. Son sperme épais arrosa mon palais. Je ne cessais ma fellation que lorsque je sentis plus de jus sortir de son méat.
- Je pense que nous avons besoin de remontant ! Fit Olivier. Chérie veux-tu amener une bouteille, sil te plaît ?
- Cathy tu me prête ton mari ?
- Bien sûr !
- Merci ! Répondit-elle en maintenant ma verge à la verticale. La présentant à lentrée de son sexe. Elle descendait lentement. Jusquà ce que nos poils pubiens se mélange. Puis elle commença alors à monter et descendre sur moi. Senfonçant ma verge chaque fois jusquà la garde en poussant de légers gémissements. Sous le regard envieux de nos époux respectif.
Puis Cathy se lança, se plaçant à quatre pattes. Tendant son popotin à Olivier. Dans une invite muette. Noémie sactivait toujours sur moi. Ses gémissements samplifiaient au fil des minutes. Je sentais ses muscles intimes se contracter sur ma verge et sa liqueur venant chauffer mes couilles.
Je délaissais un peu ma partenaire pour mintéresser à ma femme. Jadmirais la verge allait et venir profondément dans le vagin de ma femme. Noémie sécrasa sur mon torse, et vint me mordre lépaule. Olivier commençait à aller et venir en elle plus franchement, senfonçant à fond entre ses fesses et, après quelques temps, lui arrachant des soupirs daise. Il men fallait pas plus pour parvenir à lorgasme. Dans un râle, je me fichais au fond de Noémie et me déversais en elle. Mon éjaculation provoqua le plaisir de ma femme qui crie à son tour et jouit bruyamment avant de saffaler, presque inerte, faisant sortir le sexe de son amant de son derrière.
Nous avions repris nos esprits devant une coupe de champagne. Très vite après Olivier succomba au verre de trop. Et alla sallonger sur un bain de soleil. Comme les femmes avaient quant à elles encore soif, je me proposais daller chercher une bouteille dans mon frigo.
À mon retour je trouvais les femmes à plat dos, côte à côte et leurs deux têtes rapprochées, les jambes écartées, chacune la main entre les cuisses de lautre.
Elles se caressaient vaguement, presque avec maladresse. Ma femme y mettait peut-être un peu plus dardeur. Aucunes des deux femmes ne mavaient entendu arrivée. Cétait comme un ballet léger, un frémissement de phalanges, un tourbillon serré, précis. Noémie réagit la première. Son pubis se soulevait dune façon saccadé. Esquissant les mouvements dun coït. Ma femme avait franchi la barrière. Celle de donner du plaisir à une autre femme. Cela gommait toute équivoque.
Elle roula sur le côté. Sa main gauche venant à la rescousse de lautre. Le frôlement continua, puis ses doigts plongèrent, sinstallèrent, bougèrent comme laurait mon pénis à leurs places. Noémie secouait la tête. Elle serrait les jambes pour retenir prisonnière la main qui lui procurer tant de bien. Le plaisir fut au rendez-vous. Noémie se redressa dun bond. Les joues rouges. Les paupières closes. Les dents découvertes. Elle ne cria pas mais retomba doucement en arrière, comme une fleur coupée.
- Viens
me fit ma femme, en découvrant ma présence. Les bras tendus.
Un sourire gourmand étirait ses lèvres. Je bandais dur. Noémie récupérait, le compas de ses jambes à son maximum douverture. Je fixais mon regard sur le haut de ses cuisses.
Une fente ouverte vint se refléter dans mes rétines. De couleur grenat dans le prolongement de sa raie, doù mapparaissait un petit trou crispé. Mais Cathy nen avait pas fini avec elle. Elle laidait à se positionner à quatre pattes. Mexposant ses fesses arrondies. Je ne pus me contenir de les masser. De les claquer avant de les disjoindre.
Pour être au plus près du sexe, je magenouillais. À laide de mes doigts, je louvrais. Dévoilant les nymphes et lentrée du vagin qui bâillait. Exhibant une chair rouge plus vive que les replis. Je trouvais cette bouche poilue terriblement excitante.
Au point de ne pas pouvoir mempêcher dy enfoncer mon pouce. Que je me mis à agiter. La branlant vite et fort. Provoquant un bruit obscène de clapotis. Ses reins firent des mouvements de plus en plus rapides.
Cathy me prit en bouche. Au bout de mon gros doigt, Noémie gémissait, dansait, soufflait. Elle nallait pas tarder à décoller. Comme je létais moi-même. Je me sentais gonflé dans la bouche de ma femme. Noémie extériorisa son orgasme. Comme pour le partager. En poussant des cris. Me entant tout proche de conclure, ma moitié me recracha, et me lança :
- Baise-la, dit-elle. Je veux voir
- Ten est sûr ?
Sans donner une réponse à ma question, elle plaça mon engin tout luisant de la salive devant lantre de plaisir de la femme que jenfilais en levrette. Elle poussa un long gémissement rauque lorsque je menfonçais. Elle venait de jouir une fois encore. Je commençais à ramoner cet attrayant fourreau. Tout proche, Cathy regardait mon membre luisant, entrée et sortir de la gaine. Entrainant à chaque sortir lanneau de peau fine et nacrée. Noémie délirait de plus belle. Au point de ne plus pouvoir me retenir. Je propulsais ma semence dans le con, puis me laissais tomber sur le sol de la terrasse.
- Encore !
encore !
lança Noémie. Loin dêtre rassasier.
Cest alors que ma femme se saisit dun concombre posé sur la corbeille. Et commença par frotter lextrémité sur la chatte béante de Noémie, sans trop lappuyer. La coquine loin dêtre étancher devint comme folle. Réclamant haut et fort à avoir encore des orgasmes. Je vis alors ma femme introduire violemment la moitié du légume dans lentaille de notre partenaire. Qui poussa un cri de surprise, avant de revenir rapidement dans un état de jouissance. Sous lassaut répété. Du jus coulait le long du concombre. Avec un sourire gourmant, lâchant le cucurbitacée. Ma femme me fixa. Comme si elle me défiait du regard. Elle prit place devant notre partenaire de cul. Les deux chattes face lune de lautre. Elle se saisit de lautre extrémité du concombre celle qui était encore apparente. Et se lenfila. Elles ont lentement commencé des mouvements de va-et-vient puis petit à petit, laction sest précipitée et leurs gestes devinrent incontrôlables. Elles poussèrent des cris de plaisir.
Au bout dun certain temps, nen pouvant plus, elles se sont arrêtées pour reprendre leurs souffles. Laissant tomber à terre le pauvre concombre qui à cause de la friction avait perdu sa couleur.
Il était temps pour ma femme et moi de prendre congé. Que fut ma surprise de voir sur la table du déjeuner le lendemain, une salade de concombre à la sauce blanche
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