Une Envie Concrétisée
Couple reconstitué depuis 7ans , ayant une grande différence dâge (15ans), au contact dun ami candauliste, nous avons très souvent évoqué la possibilité pour ma petite femme davoir des relations avec un autre homme, ce qui ne manquait pas de la faire mouiller , lui donnant souvent des jouissances intenses, mais avec toujours une hésitation daller plus loin, de peur sans aucun doute de me perdre.; Javais beau lui assurer que cela non seulement mexciter, mais quen plus nétant pas du tout jaloux, et elle le savait, cela ne risquer pas de poser des problèmes, puisque nous serions consentants tous les deux.
Béa est une très belle femme de 58 ans, jolie poitrine 95b, très jolie silhouette entretenue par le sport ; à force de persuasion sur sa beauté, jai réussi à ce quelle porte des tenues plus sexy et maintenant elle nhésite plus à sortir, en short, jupe courte ou fendue, avec de très jolis sous-vêtements que je lui offre souvent. Les hommes se retournent très souvent sur elle, ce quelle apprécie de plus en plus, jusquà même jouer la provocation en laissant, par inadvertance bien sûr, deviner la naissance de son pubis en écartant plus que nécessaire les jambes. Mais toujours cette réticence à franchir le pas.
Finalement loccasion sest faite lors dun voyage à Vienne ; nous ne parlons pas du tout la langue, seul mon anglais , très scolaire nous servait pour nous faire comprendre, avec cependant une difficulté, traduire les menus et surtout savoir en quoi constituait les mets ; le premier soir, à lhôtel nous avons joué le choix surprise, sans trop de regret, mais le soir suivant, nous étions dans lembarrât ; cest finalement un voisin dune table voisine , voyant notre difficulté qui nous a sauvé : il parlais un français très correct.
Alors que notre repas se terminait, le sien aussi, pour le remercier de sa courtoisie, nous lavons invité au salon. Cétait un bel homme, bien fait de sa personne, très courtois et qui au fur et à mesure de la soirée, assis sur un fauteuil face à nous, semblait très attiré par ma femme ; il faut reconnaitre quil y avait de quoi ; simplement vêtue dun corsage transparent recouvrant un soutien-gorge balconnet et dune jupe portefeuille, très courte quelle devait souvent remettre en place pour que lon ne découvre pas son intimité.
Quand il est revenu, il a tout de suite perçu le changement, pouvant maintenant découvrir le mini slip, apparaissant au milieu de ses cuisses découvertes. Visiblement leffet était visible, tendant son pantalon. Me penchant à son oreille, je lui ai suggéré daller aux toilettes et de retirer son string. Sa respiration sest accélérée puis fixant Karl (je saurai son nom plus tard), elle sest levée, découvrant ainsi la totalité de sa féminité, puis elle sest éclissée ; A son retour, les joues écarlates mais très provocante, elle ma déposé son string sur les genoux, alors quelle sasseyait ; geste que Karl, découvrant ainsi son minou, bien visible, a vite interprété comme une invite à venir sassoir à côté delle. Posant sa main sur sa cuisse découverte, il nous a invité à le suivre dans sa chambre, car difficile, même si nous étions à labri des regards, daller plus loin dans ce salon.
A peine dans lascenseur, il la plaqué contre une paroi ; sa main sest invitée sous sa jupe quil a écartée et ses doigts se sont immédiatement investis dans sa chatte ; de mon côté, je lui ouvrais son cordage, dévoilant ses tétons tendus ; les 15 étages avalés, nous sommes ressortis ainsi dans le couloir, ma miss totalement à la vue dun possible résident de lhôtel ; mais heureusement, le couloir désert nous a permis de rejoindre la chambre, tout en la plotant ; à lentrée, la jupe était dans mes mains, dévoilant sa nudité partielle.
Ce soir, Béa a décidé de franchir le pas, à savoir soffrir, devant moi ; en franchissant cette porte je sais que je vais être cocu, ce que finalement je souhaitais et cela mexcite énormément. Karl lui a compris quil allait pouvoir profiter de la belle et sans hésiter il baisse son pantalon pour faire jaillir un vit déjà bien bandé et il la plaque à genoux devant lui ; si sa queue nest pas très longue (pardon quand même 18 à 20 cm) elle est par contre très épaisse et Béa a du mal à la gober en entier ; lui prenant la tête, il se branle entre ses lèvres, sans tenir compte des efforts de Bea. Elle suffoque, sétouffe, sa salive sécoule autour de ses lèvres, mais elle ne cède pas et lui agrippant les boules, elle sactive encore plus, lui tiraillant son service trois pièces ; le traitement lui fait de leffet et simmobilisant, il lui déverse son jute dans la bouche, sans quelle puisse se reculer ; elle doit avaler, mais elle finit par s étranger et rejette brutalement le vit doù sécoule encore des jets de sperme qui sécrasent sur son visage.
Lhomme est prolifique et cest le visage couvert de sécrétion quelle se relève. Pour moi, jai la queue à la main et je me branle doucement, retenant ma jouissance, malgré mon excitation, avec une seule envie : voir son mandrin lui envahir la chatte.
Karl a allongé Bea sur le lit, les cuisses écartelées ; ses doigts jouent avec son clito, le triturant, ce qui déclenche les gémissements de ma belle ; cest ensuite avec deux doigts quil investit la grotte, la fouillant hardiment, puis trois doigts viennent la fister en profondeur, essayant même de mettre quatre de ses doigts, quil pousse en profondeur. Sous les virevoltes de la main qui la fouille, Béa jouit dune mouille abondante qui inonde le lit. Soudain elle lui retire la main et à ma grande surprise elle le réclame « vient me prendre, jai envie de ta queue dans ma chatte, défonce-moi, fait moi jouir devant lui, fait le cocu «.
Il a repris sa superbe, encapuchonnant son membre et se plaçant entre ses jambes et lui posant les pied sur ses épaules, il lembroche, puissamment, dune seule poussée il senfonce ; ses couilles venant battent le bassin offert.
« tu voulais que je fasse lamour avec un autre homme, tu vois cest fait et jespère quil va me reprendre cette nuit ; nous allons rester ici, mais je ne serais quà lui, toi tu ne devras pas intervenir, quoi quil se passe ; jai décidé de lui appartenir totalement, sans restriction et tu sais ce que cela veut dire : ce que je te refuse ; sil le veut il pourra me sodomiser » je pense que la nuit va être longue et je ne me trompais pas.
Un peu étonné par la tournure des événements, tout à son avantage dailleurs, il a alors posé une question à Béa « si je comprends bien, tu veux toffrir à un homme devant lui ; tu as déjà fait cela, avec un ou plusieurs ? » « non cest au départ une envie de lui, que javais du mal à envisager, mais maintenant mon envie est de moffrir sans réserve, maintenant avec toi, mais pourquoi pas plus tard avec dautres hommes ; je sais maintenant que cela me plait , à lui aussi dailleurs , regarde cela le fait bander » ; effet son aveu mexcite beaucoup et sans en réfléchir je lui pose une question « tu aimerais te faire prendre par plusieurs hommes ? » ; sa réponse est franche et elle me laisse pantois « oui jen ai envie, peut-être une seule fois ; tu las souvent souhaité ; jai envie dêtre comme tu le souhaites : une petite salope soffrant pour son plaisir »
Sadressant à Karl qui rebande, excité par ses réponses « tu nas pas un copain à moffrir ? » Il reste sans voix avant de lui répondre « non pas ce soir, mais si ton mari est daccord, ce sera possible demain » ; à nouveau elle me sidère « cest moi qui te le demande, demain viens accompagner, mais maintenant baise moi, fait moi jouir, prend moi devant lui, jai envie dêtre à toi »
Pour la deuxième fois, elle soffre à lui, impudique, écartelant ses cuisses, dévoilant son minou doù sécoule sa cyprine.
Soudain il se retire et la retournant il la place à genoux sur le lit, la tété sur le drap, dévoilant ainsi son sillon et son petit trou ; elle a compris ; alors que le vit se frotte contre lillet offert, elle att ses lobes, les écartant dévoilant son sanctuaire, encore vierge. Le gland se pose sur lanneau encore fermé, puis doucement sintroduit dans le conduit. Soudain un cri : la queue a franchi lanneau serré et sest enfoncée jusquà la garde ; sa respiration traduit sa douleur, puis peu à peu, elle se détend ; Karl, lui, reste immobile au fond du cratère ; reculant son bassin, elle lencourage à la sodomiser « vas-y, tu viens de me faire perdre ce pucelage que je lui ai toujours refusé, fais-moi jouir devant lui pour quil comprenne bien que je tappartiens ce soir »
Et ce fut le cas ; pendant de longues minutes, il lui a défoncé le fondement, lenculant vigoureusement, encouragé par une Béa déchainée. Geignant, criant son plaisir, jouissant intensément, elle soffrait totalement ; soudain jai vu Karl se tendre, manifestement jouissant ; Béa me prouvait son plaisir « putain, cest chaud, il me remplit, je sens ses jets qui envahissent mes entrailles, oh oui encore
» puis plus rien. Alors quil se retirait de son postérieur, la queue encore dégoulinante, je réalisais quil lavait prise sans préservatif et quelle venait dêtre remplie de sperme, pour son plus grand plaisir manifestement.
Le reste de la nuit fut plus calme, lovée entre nous deux, Béa sest vite endormie ; réveillé par un lit mouvant, jai constaté que nos deux coquins avaient remis le couvert, Béa à cheval sur lui, empalé sur son membre bien tendu, position où elle prend beaucoup de plaisir, et ce fut le cas ; assistant à son plaisir, il ne me restait plus quà me branler ; alors quelle venait de jouir, elle ma fixé, puis membrasant alors quelle le chevauchait encore « il vient de me féconder, ma chatte est pleine de sa semence , je suis sa petite femelle, et jespère quil en sera de même ce soir.
A suivre
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