Mes Amies Du Lycée, Un Harem Inattendu ! (6) 2/2

Chapitre 6 : Là où tout à commencé (partie 2/2)


Une autre heure passe et contrairement à ce que j’avais annoncé, je ne surveille pas Claudia tant que ça. Du coin de l’œil je remarque parfois le combat acharné entre Farid et Malik pour la séduire et ça m’amuse mais mon attention est tournée vers Lola.

Premièrement parce que je tiens à gagner mon pari. Deuxièmement parce que je ne l’ai jamais vu aussi sexy elle aussi...elle a laissé tomber ses jeans larges et ses bottes pour des bas résilles et une jupe bordeaux qui moule ses hanches. Elle a un cul qui ressort moins que celui de Claudia, mais un bassin plus large avec une taille tout aussi fine, qui me fait fantasmer sur une levrette avec elle.

En haut elle porte un sweat shirt noir large mais transparent. La belle rousse a aussi plusieurs mecs qui la drague mais elle s’amuse à les faire tourner en bourrique. Au final, elle et Claudia ont la même attitude qui fait bander les mecs et les attirent, mais chez Lola on voit bien qu’elle est joueuse, alors que chez Claudia, sa naïveté apparente ne permet pas toujours de savoir si elle fait exprès ou non.

Claudia, de plus en plus alcoolisée pour la première fois se lâche et danse un peu avec les autres filles. Mais elle paraît gênée lorsque plusieurs mecs tentent de danser avec elle.


Vers une heure du matin, Farid propose un jeu grâce à une application. Il s’est passé pas mal de trucs intéressants mais les personnages de cette soirée n’étant pas essentiel au reste de l’histoire, je me contenterais de vous décrire les événements les plus marquants. Outre voir deux filles qui se détestent s’embrasser, et un pote à moi qui s’appelle également Mehdi vomir dans le lavabo suite à un cocktail comptant pas moins de cinq alcool différents, seuls deux trucs m’ont marqué.

Le premier c’est quand Lola a dû enlever son haut. Evidemment je m’attendais à la voir refuser. Qu’elle ne fut pas ma surprise lorsqu’elle a enlevé son sweat-shirt, dévoilant un petit bustier noir qui peinait à cacher sa lourde poitrine.

C’est tout de suite devenu le centre d’attention de tous les gars présents.

Jusqu’à ce qu’on entre dans la partie plus "hot" du jeu, ou l’on a eu les premiers abandons.


— Anissa tu dois lécher le cou de Jérémie, annonce Farid.


Cette dernière s’exécute, en faisant même un petit show, sous nos applaudissements.


— Mehdi, embrasse Marie.


Je le fais évidemment, c’était pas ouf.


— Katia, laisse Bakari te toucher les fesses.


Cette dernière à refuser prétextant devoir rentrer.


— Lola, embrasses pendant dix secondes la personne de ton choix ! Déclare-t-il ensuite.


La rouquine se lève et tourne dans la pièce, mettant des petits feintes aux différents mecs (faisant beaucoup de déçus au passage). Puis elle s’assoit sur le canapé à côté de Claudia et lui pose une main sur la cuisse sans rien dire. La latina se fige surprise puis rougit en bégayant "ah...euh...c’est moi qui ?...".

Lola prend les devant et posant une main derrière sa nuque, se penche en avant et colle ses lèvres contre les siennes. Le baiser est doux mais ça suffit à ce que tout les mecs de la pièce soient en furie, criant et sifflant. Claudia finit par jouer le jeu et se colle un peu à Lola, leurs deux poitrines volumineuses collées l’une à l’autre me font bander illico.

Lola recule finalement, un sourire sur les lèvres et retourne à sa place comme si de rien n’était, laissant une Claudia pantelante, choquée et rouge comme une tomate.

Puis...Farid se retrouve avec le visage barré d’un grand sourire.


— "Claudia, montres ta poitrine à Farid", c’est à dire à moi même.

— Heu...ma...ma poitrine ? Glousse nerveusement Claudia

— Pas devant tout le monde t’inquiètes, viens on va dans ma chambre.

— Hahaha, t’s chacal, venez on change de jeu, lance Malik un peu paniqué.


Je remarque qu’il a attrapé le bras de Claudia comme pour l’empêcher de bouger.
Mauvaise idée, car cette dernière, maintenant pas mal bourrée, s’énerve qu’il la bloque comme ça. Elle devient de plus en plus rouge en entendant plusieurs filles se moquer d’elle.


— Bon tranquille, on oblige personne à rien ici et puis bon c’est sa première soirée c’est une petite joueuse, se moque Farid.

— Non mais c’est bon c’est rien du tout, je vais faire mon gage, lâches moi ! S’exclame-t-elle en dégageant son bras de l’emprise de Malik.


Elle se lève et suit Farid qui jubile. Le jeu continue mais je me lève en apercevant deux garçons se glisser à la suite de Claudia et Farid, sans doute pour essayer d’espionner le gage. Je les suis et les trouve en train d’essayer de regarder par le trou de la serrure de la chambre à Farid.


— Les gars barrez vous de là, grondé-je en m’approchant.

— Oh de toute façon on voit rien, m’expliquent-ils, déçus, en s’éloignant.


Je m’apprête à faire de même mais en me retournant je fais face à Lola qui me fait un clin d’oeil en s’approchant de la porte. Evidemment, dès qu’elle a l’occasion de jouer les voyeuses, elle ne se gêne pas. Pour le coup on ne peut rien faire à part coller nos oreilles à la porte. Au début on entend pas grand chose puis…


— Putain ils sont gros !

— C’est bon t’as vu. On retourne dans le salon ?

— Non, je veux les voir sans le soutif moi !


Je m’attend à entendre Claudia protester mais c’est Farid qui prend la parole au bout de quelques instants.


— Wooow punaise…c’est des vrais ?

— Oui c’est des vrais idiot, ça se voit non ?

— Y’a qu’un moyen de le vérifier...

— Hé pas touche ! C’est pas le gage…

— Allez juste un peu, tu peux pas m’allumer comme ça et me laisser sur le carreau. On se chauffe depuis le début de la soirée en plus.


Encore quelques secondes de silence. En parlant de poitrine généreuse, j’ai Lola à quelques centimètres de moi, toujours avec son bustier et je ne sais pas ce qui m’excite le plus entre son décolleté affriolant et la scène qu’on entend.



— Huumm...doucement...ah...c’est bon maintenant, allez viens !

— Mais t’as les tétons qui pointent ma belle…

— Le gage est finit, les autres nous attendent.


On s’éloigne de la porte et on revient rapidement dans le salon, suivis quelques secondes plus tôt par les deux autres. A leur retour, Claudia, les joues rouges, fonce se rassoir à côté de Malik qui la regarde froidement. Ce n’est que maintenant que je remarque la veine qui palpite sur sa tempe. Il s’énerve réellement en voyant Farid me mimer le geste de quelqu’un malaxant des seins, avec un grand sourire victorieux.


— Bon moi j’y vais ! Déclare Malik en se levant.

— Hein ? Mais attend t’as dis que tu me raccompagnais, s’exclame Claudia en le suivant.

— Bah prends ta veste on y va.


Les deux commencent à se préparer à partir et Claudia vient me faire la bise. Je remarque qu’elle titube un peu, elle est bien bourrée. Farid a un peu la haine de la voir partir mais il n’y peut rien. Après qu’ils aient refermés la porte d’entrée, Lola, qui a renfiler son sweat-shirt vient me trouver.


— T’es pas sensé surveiller ta pote là ? Elle a l’air bien torchée, t’es sur que c’est une bonne idée de les laisser partir ? Me demande-t-elle.

— Malik est pas un mauvais gars, ça ira je pense, répond-je, bien qu’hésitant.

— Allez ! En plus je commence à fatiguer.

— Déjà ? T’es une fragile Lo.

— Je fatigue des mecs qui matent mes meules. En plus même toi tu t’y met.

— Hein ? Mais non je…

— C’est bon c’est bon je te charie allez viens.


Un peu honteux (décidément, je ne sais pas mater discrètement !), je me dirige vers la porte en saluant Farid, qui, déjà déçu du départ de Claudia, se met à bouder en comprenant que son autre cible se fait également la malle. On sort et en descendant l’escalier, on entend Claudia et Farid, qui, sortis une minute plus tôt, sont au rez de chaussée du bâtiment.
On descend silencieusement l’escalier pour écouter.


— Mais Malik pourquoi t’es...hic !...énervé comme ça, se plaint Claudia.

— Parce que t’s, je t’ai pas ramené pour ça ! Rétorque-t-il sèchement.

— C’est bon c’était juste un jeu, je suis désolé je crois que j’ai trop bu...j’aime paaas quand t’es fâché ! Steuplaît boudes plus !

— Ok, ok, mais arrête de me faire ta petite tête mignonne là.


On passe l’angle du dernier escalier et on les aperçoit en contrebas dans le hall, Claudia est adossé à un mur et Malik lui fait face les bras croisés.


— Et en plus pourquoi ça t’énerve ? T’es jaloux hihi ? Glousse-t-elle d’une voix pâteuse.

— Bah c’est sur que je t’ai pas invité ici pour jouer aux cartes, tu devais t’en douter non ?


Claudia écarquille les yeux, l’air réellement surprise.Le camerounais se penche en avant et l’embrasse avant qu’elle ne puisse répondre. D’abord hésitante, Claudia semble vouloir le repousser, mais lorsqu’il lui att les poignets pour les coller au mur derrière elle, elle commence à lui rendre son baiser avec ardeur. Malik glisse une main dans la nuque de Claudia, et de son autre main il se met à lui frotter l’entrejambe, lui arrachant un gémissement. Malik s’écarte un peu de la jeune fille pour peloter son sein droit à travers son chemisier.


— Alors mademoiselle, la soirée se passe comme vous voulez ? Demande-t-il en glissant la main dans son pantalon en cuir.

— Hhuumm...oui c’est...hum...super, rétorque-t-elle un peu essoufflée.

— C’est ma petite fouille corporelle qui vous met dans cet état ? Sourit-il en bougeant sa main de manière éloquente dans la culotte à Claudia.

— Aaahh...oui monsieur l’agent…Gémit-elle en rentrant dans son jeu.


Malik la retourne et la plaque contre le mur, son bassin plaqué contre son cul bombé, sa deuxième main s’engouffrant aussi dans son pantalon en cuir mais entre ses fesses cette fois.


— Pas de substance illicite sur vous ?

— Non mon...AANNH !... Non monsieur…, sursaute Claudia, les jambes tremblantes alors qu’il lui a visiblement glissé un doigt entre les fesses.


Claudia respire de plus en plus fort et Malik la retourne à nouveau vers lui.


— Bon, et bien vous m’avez l’air pas mal alcoolisée, je vais vous demander de souffler dans cet éthylotest.


Lola et moi échangeons un regard un peu choqué au moment où Malik, sans avertissement, baisse son pantalon et sort un pénis de belle taille.


— Bon allez, montres moi ce que tu sais faire, ordonne-t-il à la latina, qui est pantelante.

— Hein ?

— Allez tu sais très bien, tu suces super bien askip.

— Mais qui t’as dis ça ?? Et en plus...ici ? T’es fou !

— Personne passera à cette heure ci, et me fait pas croire que ça t’excite pas...j’ai les doigts fripés tellement tu mouilles.


Claudia regarde un peu autour d’elle, les yeux plissés, puis accepte de se mettre à genoux. Je regarde, stupéfait, le crush de mon meilleur ami, avec sa face d’ange, son chemisier blanc immaculé et sa petite croix de Jésus dorée au cou, saisir une grosse bite noire et se mettre à la branler.

Ses mouvements sont maladroits mais je ne saurais dire si c’est parce qu’elle est bourrée ou si c’est un manque d’expérience.


— Allez, mets la dans ta bouche, exige Malik au bout d’un moment, en faisant rebondir sa queue sur le front de Claudia.

— Attend j’ai pas trop l’habit...oohhmmnn gloo gllooo

— Ouais et et moi j’ai trop la bite...dure !


Malik rit tout seul de son jeu de mot pendant que Claudia bouge maladroitement la tête d’avant en arrière, faisant glisser son gros gland entre ses lèvres charnues.


— Ça t’excites ma belle ?

— Uuaahh ggloo ooaahh huumoouiii...slurpp

— Lèches la bien.


Claudia recrache son chibre pour le couvrir de petits coups de langues tout en essayant de s’attacher les cheveux.


— Arrêtes de faire la timide ! Baves bien partout, intime Malik en formant une queue de cheval dans sa main avec la chevelure de la latina.

— Comme ça ? Demande-t-elle avant d’étaler une bonne quantité de salive sur toute la longueur de sa queue.

— Voilà bébé, maintenant pompes.

— Me donne pas d’ordres, lance Claudia d’une petite voix, l’air plus excitée qu’en colère.


Elle recommence à le sucer. Malik pose ses mains sur la tête de la jeune fille pour lui donner le rythme et a l’air de kiffer. Il lui donne des petits conseils qui révèlent toutefois qu’elle est débutante.


— Attention à tes dents là...branles moi au même temps !

— Ghrrmm gglloorp…


Claudia le branle maladroitement à une main, l’autre main accroché à son tee-shirt pour garder l’équilibre.


— Je le savais que t’étais une coquine, toujours à tous nous chauffer au lycée là...même les profs veulent te baiser haha. T’as sucé combien de mecs de la classe ?

— Pphhuuaawww ! Fait-elle en recrachant sa bite dégoulinante de salive. " Aucun je suis pas une pute !" s’énerve-t-elle

— Donc y’a que moi ? Allez c’est pas une honte, tu peux m’avouer que t’as au moins pompé Farid dans sa chambre tout à l’heure ? Lui dit-il en tentant de remettre son pénis dans sa bouche.


Claudia fait exprès de tourner la tête, l’air vexée.


— Ok, ok désolé ma belle c’est juste que tu m’excites trop j’ai du mal à retenir mes mots.

— Hum...mouais ok, mais j’ai sucé que toi dans la classe et à cette soirée ! Et là c’est seulement parce que...parce que…

— Parce que t’étais trop excitée ?

— Ouais...hhmff, ggllooo…

— Qu’est ce qui t’excite ? Le fait que tout le monde ce soir voulait te soulever ?


Claudia ne répond pas mais sa main qui s’accrochait à son tee-shirt jusqu’alors, descend dans son pantalon en cuir et elle se met à se toucher en le suçant.


— Ah c’est donc ça...c’est tous nos regards sur ton corps de bonasse qui te fait mouiller ? Tu kiffes qu’on te désire hein ? Bah saches le bien Claudia, y’a pas un mec dans cette soirée qui n’avait envie de toi. Même les mecs en couple te veulent.

— Mmnngg, mmhhffg phhwaa...

— Si tu savais ce que j’aimerai faire à ton gros cul là, ma belle cochonne…j’ai envie de le prendre pendant des heures...Lui dit-il avec un sourire plein de vices.

— Hhmmnnff mmhhff…AAHH...aahh...glogloglo​, produit Claudia, le chibre enfoncé à moitié dans sa bouche.


Claudia, toujours accroupie, s’est instinctivement cambrée en l’entendant parler de ses fesses et Malik, de sa position au dessus à une vue de rêve sur la petite portugaise, à genoux, ses fesses parfaites ressortant alors qu’elle lui tète le gland. Il se met à lui tirer les cheveux et à onduler légèrement du bassin, jouant avec la tête de Claudia. C’est un choc pour moi de voir ça, la meilleure amie d’Arthur, en train de se doigter dans le hall d’un bâtiment de ma cité alors qu’elle se fait presque baiser la bouche.


— T’aimes ça quand je t’utilises comme ça ? T’as vraiment une bouche à pipe...t’es née pour sucer.

— HHUUMMM...GGLOOGGLLUURPP…


Claudia est toute rouge maintenant et se doigte férocement, les insultes de Malik ayant à la fois l’air de l’exciter et de la blesser. Ce dernier sort son téléphone à une main et semble envoyer un sms à quelqu’un.


— Hhmmnn...hé tu prends pas de photos hein !

— Non t’inquiètes je répond juste à ma daronne mais regardes moi dans les yeux quand tu me sers de vide-couilles !


Claudia essaye de lever les yeux mais trop mal à l’aise, les baisse à nouveau. C’est vrai que depuis le début de la fellation elle ne l’a presque jamais regardé.


— Bon ça suffit comme ça, déclare Malik en se retirant de la bouche à Claudia.

— Phhwwuuaaa ! Ah...ah...mais t’as pas jouis non ? Demande Claudia en reprenant ses esprits, la main toujours dans la culotte mais immobile.

— Oui mais là il faut que tu prennes du plaisir aussi. On va continuer ça en bas.

— En bas ? On va pas aller dans la cave !

— Si mais t’inquiètes j’ai un coin sympa avec des potes on a installé un canapé et des matelas !


Claudia se relève en se rhabillant un peu.


— Je sais pas si c’est une bonne idée...je devrais rentrer là…

— Allez ma belle, faut finir ce qu’on a commencé. Et tu m’as pas vidé encore ! Dit-il en continuant à se branler doucement devant elle.


La situation commence à tourner un peu au vinaigre, je décide donc d’intervenir.


— Ça suffit gros, Claudia tu veux qu’on te raccompagne ? annoncé-je en descendant l’escalier.


Claudia devient toute rouge et tente d’essuyer toute la salive qui a couler sur son chemisier tout en fermant les boutons de son pantalon.


— Putain ! Tu veux quoi Mehdi ? S’exclame Malik en se jetant au sol pour remonter son jean.

— Ah salut vous deux, vous êtes encore là ? Demande Lola à son tour de descendant l’escalier. "viens Claudia on te raccompagne."

— Elle est très bien là où elle est est, je l’ai à rien, pas vrai Claudia ?


Claudia, l’air complètement saoule maintenant et toujours très gênée, ne sait pas quoi répondre.


— Je...euh...non tu m’as pas mais...je veux rentrer maintenant…Marmonne-t-elle.

— Bon on va la faire plus simple, si tu veux pas voir ta bite tourner au lycée, tu la laisses tranquille et tu oublies cette histoire, explique Lola.

— Pardon ?


Elle sort alors son téléphone et nous montre l’écran, affichant une photo de Malik, pantalon et caleçon sur les chevilles et bite à la main. Claudia n’apparaît pas sur l’image. Malik furieux, fait un pas en avant vers Lola mais je m’interpose. Il hésite quelques secondes puis se mure dans le silence. On sort de l’immeuble en emmenant Claudia avec nous.

Au bout d’une dizaine de mètres, on se détend tous et Lola passe un bras de la latina, qui ne marche plus du tout droit, par dessus ses épaules pour l’aider. On croise alors un groupe de trois mecs, joggings et capuches relevés, qui passent à quelques mètres de nous en nous fixant. Un instant après, ils entrent dans l’immeuble où nous nous trouvions vingts secondes plus tôt.

Claudia n’a pas l’air de les remarquer, bourrée comme elle est, mais Lola et moi échangeons un regard éloquent, Malik n’était sans doute pas en train d’envoyer des sms à sa mère, mais plutôt d’appeler ses potes pour prendre sa conquête du soir en gangbang. On accélère un peu le pas et je reste un peu en arrière pour les laisser entre filles.


— Alors comme ça derrière tes airs de sainte-ni-touche, t’es une coquine en fait ? Entend-je Lola se marrer.

— Non pas du tout !...hic...je suis juste bourrée...et de toute façon je fais ce que je veux ! Réponds Claudia en se dégageant de l’aide de Lola.

— Je suis pas en train de juger gogole ! Je suis juste curieuse parce que ce que j’ai vu a clairement inondé ma culotte !


Claudia et moi on s’arrête net, et la latina regarde Lola avec de grands yeux avant de me regarder moi, l’air choquée. Je me contente de hausser les épaules, depuis le temps j’ai l’habitude des bizarreries de Lola. Cette dernière commence à glousser devant l’air estomaqué de Claudia et on finit par rire tout les trois. L’ambiance est redevenue légère et la méfiance de Claudia à l’égard de la rousse a disparue.


— Bon alors c’était quoi ? Tu fais ça souvent ou c’était une entrée dans la crise d’ado ? Un scénario du style "jeune bourgeoise innocente cède aux charmes de la cité" ?

— Quoi ?! Non...hic...je fais pas ça souvent c’est juste que...j’étais trop excitée, murmure Claudia en rougissant.


Elle jette un œil par dessus son épaule pour voir si j’écoute et je fais mine de regarder mon téléphone.


— Qu’est ce qui t’as excité ? Le fait qu’ils soient tous en chien sur toi comme a dit Malik ?

— Heu...je sais pas...peut être un peu…répond Claudia honteusement.

— Et dès que tu tombes sur un homme qui sait comment te soumettre tu cèdes ?

— Je...comment tu ?...Ouais...c’est exactement ça, admet Claudia, impressionnée. Puis elle se met le visage dans les mains. "Grrr, je sais pas ce qui m’arrive ces temps ci ! J’arrête pas de penser à...des trucs, tout le temps."

— T’inquiètes je connais, (puis en se penchant à l’oreille de Claudia elle murmure) Moi chaque fois que je rencontre un gars...ou une fille d’ailleurs (Lola a un petit sourire carnassier), je m’imagine comment ça serait avec…je sais pas si on est nymphomane mais on kiffe le sexe et on a le droit !


Claudia secoue la tête, pas convaincue. Mais je remarque qu’elle a rougit en comprenant la l’allusion de Lola.


— Oui mais ça va faire deux mois que j’...si j’avais était moins bourrée...ou davantage peut être, je serai sans doute descendu avec lui dans la cave. J’était pas comme ça avant et c’est ça qui me fait flipper.

— Tu sais que d’autres allaient venir ? On les a croisé tout à l’heure mais tu les a pas vu…

— Si je les ai vu et j’ai compris que Malik était un connard. Mais une partie de moi ne peut pas s’empêcher de se demander comment ça aurait été si ça s’était passé...Rrooo, putain. J’ai...hic...l’impression d’avoir une double personnalité parfois. Et elle ressort dès que je suis avec un mec direct et sûr de lui….ceux qui arrivent à...voir qui je suis réellement. A sentir que je suis pas si sage que j’aimerai le faire croire. Mais je peux pas vivre comme ça et me faire plaisir sans penser aux conséquences et...sans vouloir t’offenser hein je critique pas…

— Non non t’inquiètes j’avais compris, continues., la coupe Lola.

— Ouais c’est juste que voilà je peux pas assumer ça. Ma famille me ait s’ils découvraient...et j’ai peur de dér en me lâchant une fois de trop...et puis c’est pas qui je suis tout simplement. Ou peut être que c’est...qui je deviens ? Comment tu fais toi pour...résister ?

— Oh moi c’est plus simple, déjà j’ai pas ton côté soumise et ensuite j’ai des partenaires réguliers.

— Des partenaires…?

— Des plans culs quoi ! Ou des sex-friends. Mais c’est parce que j’aime le célibat, la solution pour toi c’est de te trouver un copain. Un gentil amoureux, qui saura assouvir tes pulsions. Tu vas pas me faire croire qu’avec un physique et une personnalité comme la tienne t’as pas des prétendants ?

— Non...pas...pas vraiment.

— Tout à l’heure t’as dis "depuis deux mois" donc ça a bien commencé avec un mec il y a deux mois non ? C’est comment avec lui ?

— Non lui c’est...euh...c’était juste comme ça et il est plus vieux que nous et puis trop...fourbe pour que je me mette avec.

— Personne d’autre ?

— Si mais...ceux qui me...qui m’"excitent" sexuellement ne me plaisent pas niveau personnalité. Je peux pas tomber amoureuse d’eux. Et ceux dont j’aime bien la personnalité et avec qui je m’entend bien...ne m’excite pas particulièrement...

— Bah t’inquiètes ! Cherches un peu et tu trouveras un intermédiaire qui saura faire chavirer ton cœur ET te déchirer la chatte !


Claudia sursaute en entendant ça et met un petit coup sur l’épaule de Lola. Puis elle titube et je dois faire un bond en avant pour l’attr avant qu’elle ne tombe. Lola se penche vers Claudia qui est dans les vapes.


— Et en attendant de trouver, évites de te retrouver avec la queue d’un camarade de classe dans la bouche ou tu vas vite te retrouver avec une sale réputation...Mais t’inquiètes je te couvre pour le coup.

— Ooookk...hic merci...oh lalala je crois que j’ai trop bu en fait....je vais me faire si je rentre comme ça.

— On va allez dormir chez moi c’est à côté, déclare Lola.


***

Dix minutes plus tard, dont cinq passées à aider une Claudia saoule à retrouver le code de son téléphone pour prévenir ses parents qu’elle dormait chez une amie, on arrive devant chez Lola. Elle habite dans un petit appart, au rez de chaussée d’un immeuble en bordure de la cité. Alors qu’elle bataille avec la clé pour ouvrir, je sens Claudia contre moi, être prise de spasmes, pas le temps de reculer et ce qui devait arriver arriva.

Elle se met à gerber sur mes chaussures et mon jean. Je recule en pestant pendant que Lola l’aide à pénétrer dans l’appart et fonce vers les toilettes. Heureusement qu’on est dans une cour et pas un couloir d’immeuble…


— Désolé Mehdi ! Laisses tes vêtements salis ici et va nous préparer de quoi dormir.

— Ouais ouais…


Je me met en caleçon et en tee-shirt et je vais dans le salon, Lola vit seule dans un petit appart avec cuisine, salle de bain et un grand salon qui sert aussi de chambre à coucher. Je tire un matelas de sous le lit deux places et installe draps, couvertures et oreillers. Une fois que c’est fait je m’allonge tranquillement dans le lit. Lola m’amène Claudia après l’avoir aider à se nettoyer et se changer puis elle repart se préparer elle même.

La latina hésite un peu en me voyant puis s’assoit sur le matelas. Elle est vachement sexy pour une fille qui a vomit il y a dix minutes et qui porte un grand tee-shirt LoL.

Claudia pose les coudes sur le lit pour me parler, elle n’a pas l’air d’être vraiment redescendue.


— Désolé pour tout à l’heure…

— C’est pas grave c’est pas la première fois...mais je t’avais bien dit que t’avais trop bu !

— Leçon retenue ! Répond-t-elle avec un petit salut militaire.

— Tant mieux.

— Et...euh...Lola sait ce qu’il s’est passé dans le hall...et t’étais avec elle…

— Euh oui ?

— T’as vu…? Demande-t-elle avec un regard perçant.

— Oh non t’inquiètes j’ai quasiment rien vu je suis arrivé à la fin et…(Je m’arrête en la voyant hausser un sourcil suspicieux.) "Bon ok j’ai peut être un peu vu la scène".


Je m’attend à ce qu’elle rougisse mais non elle se met à rire comme un troll et me demande "et ça t’as excité comme elle ?". Puis elle se rend compte qu’elle a pensé à haute voix et perd son sourire. Mais elle semble quand même attendre une réponse. J’hésite avant de répondre et je le vois à nouveau, là maintenant, son côté différent, celui dont elle parlait à Lola. Elle me scanne de ses yeux bleus, sa poitrine (sans doute nue sous le tee-shirt) compressée entre ses coudes.


— Bah ça serait te mentir que te dire que non…

— Hum...je vois...et...Lola a dit qu’elle avait des partenaires réguliers pour...enfin tu vois quoi. T’en fais partie j’imagine ?

— Moi ? Oh non pas du tout on est juste amis, expliqué-je.


Claudia fait un petit "o" avec sa bouche l’air étonnée. Elle me sourit et je sens un frisson courir dans mon dos face à son air mystérieux. Lola entre alors dans la pièce, deux bières (dont une entamée) dans la main et pousse un rot monstrueux.


— Allez au dodo l’alcoolo ! Dit-elle en mettant un petit coup de bouteille sur le crâne à Claudia qui gémit en retournant sur son matelas.


Claudia finit par s’allonger silencieusement alors que Lola me file une bière en me proposant de mater un film. J’accepte et elle s’installe à côté de moi, vêtue d’un short et d’un débardeur noir sous lequel je devine aisément la forme de son imposante poitrine, et la trace de ses tétons. Décidément je suis condamné à être excité toute cette soirée...Au bout d’une vingtaine de minutes, Claudia se met à ronfler doucement. Je me tourne vers Lola et lui dit doucement :


— Bon j’ai un peu entendu votre discussion là...alors comme ça Claudia est une petite nympho qui cache bien son jeu ?

— Ouais mais je te vois venir toi, n’en profites pas.

— Oh c’est mort, mon meilleur pote est amoureux d’elle je te rappelle...putain d’ailleurs quand je vais lui raconter ce qui s’est passé ce soir ça risque de lui faire un choc...

— Mais ça va pas la tête ? Tu peux pas lui dire. T’as entendu ce qu’elle a dit, elle veut pas que ça se sache, elle a peur que ça change ses relations familiales et amicales. S’il l’apprend ça sera plus pareil entre eux. Et puis c’est sa vie privée à elle, c’est à elle de lui en parler ou de garder son intimité pour elle…

— Mouais mais…(Lola me lance un regard noir.) Ok, ok j’ai compris. Je dirai rien…


Je dis ça mais j’hésite encore un peu. C’est mon ami et je devrai lui dire non ? D’un autre côté...c’est vrai que c’est pas mes affaires et ça se fait pas pour Claudia. Je m’agite un peu dans le lit, mal à l’aise.


— En tout cas elle a l’air d’être à ton goût, susurre Lola en se penchant vers moi.

— Non même pas, ment-je.

— Ah oui ? C’est quoi ça alors ?


A la fin de sa phrase, la main de Lola se pose sur mon caleçon, au niveau de mon érection que j’avais oublié. Elle fait "pouet pouet" avec (je vois pas de meilleur moyen de décrire ça) ) ma bite puis recule en se marrant.


— T’es sérieuse là ? Si tu touches t’assumes !

— Oh c’est bon, t’as jamais joué à chat-bite ? Glousse-t-elle.


Je grommelle dans ma barbe en croisant les bras. Elle me regarde en souriant puis att ses seins à travers son débardeur en les remuant, faisant gigoter sous mes yeux ses lourds pare-chocs.


— C’est d’être entouré de deux meufs avec du monde au balcon qui te fait bander comme ça ? M’astique-t-elle.

— Tu t’arrêtes jamais de m’emmerder toi ? Un jour tu vas atteindre mes limites et je…

— Couché Médor ! M’interrompt-elle en tapotant sur la bosse de mon caleçon.


C’en est trop pour moi et je lui saute dessus. S’en suit une bataille de polochon féroce au cours de laquelle je ne me gêne pas pour la peloter "par accident". Lola, bien que forte physiquement, finit par faiblir et je l’immobilise contre le lit, la tenant par les poignets. Elle continue à se marrer.


— Ça t’amuses hein ? Grogné-je, essoufflé.

— Oh oui je me suis bien marrée ce soir !

— C’était une soirée qui valait le coup donc ? Rétorqué-je, une idée germant soudain dans ma tête.

— Bah oui pourq...oh merde j’avais oublié le pari ! S’exclame-t-elle. "Bon ok t’as gagné on va dire haha, tu veux quoi ?"


En d’autres circonstances je lui aurait donné un gage chiant et compliqué juste pour l’embêter mais pour le coup...je suis toujours au dessus d’elle et entre elle et Claudia, cette soirée m’a donné une trique d’enfer.


— Tu...tu vas m’aider avec mon petit problème puisque ça te fait marrer ! Lancé-je un peu hésitant.


Elle hausse les sourcils, une surprise non simulée sur le visage. Puis elle sourit.


— D’accord, pourquoi pas.

— Qu...quoi ? T’as dis oui ?

— Bah oui idiot, allez installes toi.


Je la relâche et m’assoit dans le lit, sans réellement y croire, à coup sûr c’est encore une de ses blagues de merde. Lola va se placer entre mes jambes qu’elle écarte avec des petites claques. Je suis prêt à exploser dans mon caleçon, m’imaginant déjà la démonter avant de finir en me branlant entre ses gros seins. C’est lorsqu’elle commence à tirer sur mon caleçon en frottant mon pénis à travers le tissu que je comprend que tout est réel. Elle baisse mon caleçon et pousse un petit sifflement lorsque ma queue surgit comme un lutin de sa boîte.


— Hum...j’ai vu mieux mais t’es pas mal équipé ! Glousse-t-elle en l’attrapant entre deux doigts.

— Je t’emmer...hhuumm...ooouuhhh


Sentir la pression de ses doigts palpant mon chibre ne fait que renforcer ma folle érection et je pousse un soupir d’impatience. Elle finit par me prendre dans sa main et à entamer un long va et vient, d’une douceur insupportable. Mais c’est surtout le fait de voir Lola, une amie de longue date avec ma queue en main qui me rend fou. Ses long cheveux flamboyants me cache ses yeux mais ses lèvres gourmandes dessinent un sourire presque diabolique dans la pénombre.


— Tu veux pas me sucer un peu ? Demandé-je en grognant.

— C’était pas dans l’accord, tu m’as juste demandé de t’aider avec ton "petit" problème...à moi de choisir comment je m’y prend.


Elle continue à me branler en prenant tout son temps, d’un mouvement lancinant qui me rend fou. Je vois à son sourire que ça l’amuse de m’avoir sous sa coupe. Elle s’installe plus confortablement en s’allongeant sur le ventre. De là où je suis, l’écran de la télévision derrière elle éclaire à contre-jour ses fesses généreuses qui dépassent de son petit short de pyjama. Ses longues cuisses d’albâtre (Lola a la peau très claire) contrastent avec le vêtement noir.


— Enlèves au moins ton haut ?

— Ah donc j’avais raison tu matais bien mes meules !

— Quoi ? Non...enfin oui mais c’est pas de ma faute aussi.

— Si tu veux de quoi t’exciter regardes à gauche.


Je baisse les yeux et aperçoit Claudia toujours endormie...son tee-shirt s’est relevé pendant son sommeil, remontant jusqu’à la naissance inférieur de ses seins. J’ai une vision parfaite sur son corps voluptueux, ses hanches larges, sa petite culotte blanche et surtout la moitié basse de ses seins superbes. Encore un ou deux centimètres et j’aurai pu voir ses tétons.

Lola change de position et vient se mettre à côté de moi, elle pose son menton sur mon épaule et continue de me branler en passant une de ses cuisses par dessus une des miennes.


— Ça t’as excité comme un fou de jouer les voyeurs tout à l’heure avoue...mais je suis sûre que t’aurai encore plus aimé qu’elle te pompe la bite dans cette cave…

— Mais qu’est ce que...humm...tu racontes...ohh...gémis-je sous le regard triomphal de Lola.


Je n’en peux plus de ses mouvements lancinants et lance mon bassin en avant par à coups, pour forcer le mouvement. Elle me calme avec un "tut tut tut" mais mon ardeur finit par la convaincre et elle se met à accélérer le mouvement d’un coup produisant un bruyant "fap fap fap". Elle se penche à nouveau vers moi et son souffle chaud contre mon oreille me rend fou.


— T’aurai aimé qu’elle te vide les couilles comme une petite chienne en chaleur pas vrai ? Pouvoir baiser sa petite bouche pulpeuse là...Me chuchote-t-elle.


C’en est trop pour moi et Lola, qui a les seins posés sur mon torse, tire sur son débardeur pour me révéler un décolleté qui rentre bien dans le top dix des visions les plus érotiques que j’ai eu dans ma courte vie. Je suis pris de tremblements et j’explose d’un coup. Lola referme la main autour de mon gland et plusieurs jets de sperme viennent lui fouetter la paume. Je grogne longuement en me sentant partir sous une vague de plaisir. Je suis un peu dans la brume et je sens vaguement Lola m’essuyer avec un mouchoir avant de partir se laver les mains. A son retour elle se couche à mes côtés comme si de rien n’était.


— T’es...ouf...vraiment une...une grosse perverse.

— Merci mon chou, allez bonne nuit !


Elle éteint la lumière et me laisse seul dans le noir, seul avec mes pensées. Qui se tourne rapidement vers la ronfleuse sur le matelas d’à côté.

Cette soirée change tout. Et pourtant je ne peux rien dire à Arthur…

D’un autre côté...maintenant que je la connais mieux...je suis le mieux placé pour aider mon ami à la conquérir.

Oui évidemment que moi aussi j’adorerai la baiser, mais bon…

Les amis avant les filles pas vrai ?

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