Summer Of Love 2
Quand elle dort, que Bérénice est belle. Une belle endormie. Irrésistible. Ses cheveux longs sont lâchés, comme elle en a, en général, lhabitude. La nuit, elle ne dort pas avec ses lunettes. Quand elle membrasse, ses beaux yeux couleur chocolat sont fermés, ou mi-clos. Et quand elle les ouvre de nouveau, ils sont pétillants. De jolis yeux dune femme amoureuse. Heureuse. Je veille à ce quelle le soit. Dans nimporte quelle circonstance. Et quand elle ouvre ses magnifiques prunelles, au petit matin, je me dis que je suis lhomme le plus chanceux de la Terre. Le plus verni. Un homme béni des dieux, mais aussi un homme à la mer
parce que je ne peux pas résister à Bérénice. Et elle le sait, cette petite coquine, elle le sait ! Non seulement elle me plaît, de jour comme de nuit, mais elle me donne carrément envie, dès notre premier regard de la journée, alors que le jour ne sest pas encore levé, et que nos rideaux sont encore fermés. Bérénice, ELLE, et ELLE SEULE, fait que le jour se lève encore. Jaime Bérénice...
Le tout premier baiser de la journée, cest sacré. Il a quelque chose, un je-ne-sais-quoi. Ses yeux souvrent lentement et se dilatent, pétillent du fait que je suis lobjet de son premier regard. Que Bérénice est belle. Craquante. Irrésistible. Et quand elle sourit
Rhoo ! Ses lèvres sont roses. Pleines. Que cest un délice dy poser les miennes. Rhoo ! Bien quelle nait pas encore mis son fameux baume à la vanille (elle ne le fait quau moment de se faire belle, après avoir pris sa petite douche et sêtre habillée, maquillée), ses putains de lèvres sont délicieuses. Sans aucun doute, je suis lhomme le plus chanceux de la Terre. Bérénice se fait belle pour moi. Dès le premier petit baiser de la journée, je sais déjà que la journée commence bien, et ça me fait comprendre que le jour se lève encore. Quen est-il de Bérénice, par contre
?
Avant que lon se couche et lon sendorme, et ce, même si elle semblait se faire du mouron pour je-ne-sais-quoi, elle sétait dévêtue et avait affirmé quelle avait lintention de dormir nue cette nuit, tout contre moi.
Bérénice me donne envie de lembrasser. Rhoo ! Encore et encore et encore. Elle a dormi, nue, cette nuit, et jimagine que là où son corps sest étendu et sest reposé, ce nest plus que chaleur. Chaleur et
moiteur. Quand elle a décrété vouloir dormir dans le plus simple appareil, en tenue dEve, je savais quil nétait pas question de la défier ou de la contredire. Je savais que Bérénice nen faisait quà sa tête
et ça me plaisait. Bien sûr que ses soucis de la journée étaient bien présents, dans un coin de sa tête
Mais, en nen faisant quà sa tête (justement!), elle navait pas attendu que je lui donne une réponse, que ni une ni deux, elle sétait déshabillée : elle avait ôté sa nuisette, ainsi que sa petite culotte. Nue, entière : elle nen était que belle. Et
elle mexcitait. Oh oui
! Et ma première pensée du matin, au moment où elle ouvrit ses ravissantes prunelles couleur chocolat, cétait dembrasser ses putains de lèvres. Même si elles navaient pas ce goût vanillé qua Bérénice dans la journée, ce nétait pas grave. Je ne pouvais pas résister à Bérénice, je ne voulais pas lui résister. Plus jamais. Ni une, ni deux, je rapprochais mon visage du sien, et lui donnais un baiser. Mes lèvres moulées au siennes. Un petit «smack». Le tout premier baiser de la journée. Nous, nus, tous les deux. Au lit. Un premier
riche en promesses, quelles quelles soient.
Elle est nue, entière, et elle mappelle. Son corps mappelle, de par sa chaleur. Elle sait que je la regarde. Elle sait que je ne peux pas détacher mes yeux delle. Ce nest juste
pas possible. Elle a ouvert ses beaux yeux chocolat. Même à peine ouverts parce quelle émergeait tout juste de son sommeil, Bérénice me faisait craquer, de bon matin. Je ne sais pas si où sont passés tes soucis dhier. Je ne sais même pas sils se sont évaporés, quelque part, mais toujours est-il que ma «petite» étudiante sérieuse sétait vêtue de son sourire dun jour optimal, et dans lintimité de notre chambre. Cétaient de tout petits yeux, de petits yeux du matin, mais des yeux brillants, pétillants. Des yeux amoureux. Les yeux dune femme amoureuse. Je lai regardée, profondément, intensément, et jai porté ma bouche à la sienne. Javais envie de lembrasser, je nai pu ni men empêcher
ni résister. Comment est-il possible de résister à Bérénice, ne serait-ce que de lenvisager ? IMPOSSIBLE ! Tout comme il mest impossible de résister à lidée de passer ma main sur son corps dénudé, sensuel, magnifique. Un appel aux plaisirs sensuels et charnels
Et ça lui plaît, à cette petite coquine, daprès ce que jentends. Elle émet des petits bruits de plaisir. Et moi
cest un appel à te découvrir, comme si cétait la première fois...
Bérénice sait que jaime laisser ma main me balader sur son corps soyeux. Parmi les soins quelle se prodigue quand elle se «dorlote», dans la salle de bains, Bérénice aime tout particulièrement enduire sa peau dun lait spécifique. Un lait à la vanille, il me semble. Je limagine, dans la salle de bains
Face au miroir
Ses mains qui se baladent partout sur son corps. Ses mains, telle une plume, la caressent. Un contact doux. Parfois des petits cercles pour masser
titiller
Je ne suis pas dans la salle de bains dans ces moments-là, mais jaimerais y être. Je respecte lintimité de ma «pupuce», mais, et même si sa nudité me plaît beaucoup, jaimerais la voir
nue, entière, alors quelle prend soin delle, avec sensualité.
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