Collection Folle Du Cul. Commerciale (1/1)
- Bonsoir, vous habitez chez vos parents ?
- Ça fait 10 ans que lon ne me lavait faite celle-là, jeune homme.
Mais ça me plait, les classiques de drague, ça peut marcher.
- Il y a lautre aussi, vous moulinez chez vos harengs ?
- Bien jeune homme, celle-là avant ma naissance on me la faisait.
Ai-je une tête à aimer les harengs ?
Mais dites-moi, vous aussi vous mouliner ?
- Non, je travaille dans linformatique et jai dépanné un client qui avait un gros virus dans son ordinateur.
Je vous offre un autre verre ?
- Cest mieux que de me demander où jhabite.
Oui, mais un seul, après si nous allions dans ma chambre.
- Êtes-vous une pute ?
Jéclate de rire.
- Comme vous y allez jeune homme, je suis commerciale dans la lingerie féminine.
Tu sais les petites culottes que vous aimez tant nous enlever.
Un seul problème avec moi, je les vends mais je men passe surtout quand je chasse.
- Je vois quon en est déjà au tutoiement, Julien pour te servir.
- Julie pour te sauter, tu me plais et toi, je te plais ?
- Il y a pire, mieux jai vu pire, surtout dans les débuts lorsque jétais puceau.
Jétais boutonneux et jétais timide.
Sans compter mes pectoraux qui étaient proches dune paire de crêpes et mon poids, 92 kilos quand jai pris conscience que ça faisait de moi un frustré et un éjaculateur précoce.
- Je vois sous ta chemise que je vais avoir plaisir à tarracher bouton par bouton que tu tes bien arrangé.
- Oui, salle de muscu chaque fois que je le peux.
Jogging le plus long possible dès que je le peux.
Régime, pardon, changement de mes habitudes alimentaires.
Mac Do tous les soirs cest fini et tu vois dans les bars où je sais trouver chaussure à mon pied, je bois du Perrier avec citron, quand ils en ont.
- Comment me trouves-tu Julien, quel âge me donnes-tu ?
- Tu es bandante, tu dois approcher la trentaine sans la dépasser.
- Merci, jen ai 33 bientôt 34.
- Toi aussi tu fais du sport ?
- Oui, en chambre, ma méthode sexe, sexe et encore sexe.
- Es-tu célibataire ?
- Plutôt deux fois quune, les hommes je les prends pour un soir et dans la nuit je les vire de mon pieu, ça sera le cas avec toi.
- Tu nous prends pour des Kleenex, mais dis-moi, pendant les vacances, ou quand tu as tes règles tu dois arrêter tes baisses intenses.
- Pour les vacances, jen prends peu, je travaille à mon compte.
Jai donc un patron qui est peu enclin à men donner et pour mon bisness, je couvre la France, lItalie et aussi la Suisse.
Pour mes règles sétait le cas il y a huit jours, jadore boire le sperme et je trouve toujours une bite à sucer.
Certaines fois, certains aiment me baiser quand je saigne, je suis partante même si au matin, jai taché ses draps.
Comme ce soir, si tu es partant et au premier abord tu le sembles, ces jours-là je drague des types logeant dans mon hôtel et ce sont les leurs que les femmes de ménage trouvent tâchés au matin.
- Tu es bien organisée, es-tu une folle du cul ?
Tu vas avec des femmes quand ça se présente ?
- Jadore, des couples aussi, souvent les maris aiment regarder leur femme se faire baiser par une autre femme.
Viens chez moi, jen envie de te pomper.
Il me suit vers mon hôtel.
Quand je le peux le dimanche quand je réserve mes hôtels pour la semaine 2 de mon travail, je privilégie les hôtels avec bar de nuit à celui d'aujourdhui où je dois sortir mais très près de mon baisodrome.
Baisodrome où jaime finir ma nuit seule après mêtre fait baiser de façon intensive.
Cest le cas ce soir de lhôtel.
Par chance le bar où je viens de draguer Julien est à deux pâtées de maisons.
- Ça doit être gênant de rentrer chaque fois dans un hôtel différent avec un mec.
Jai une nouvelle fois l'envie déclater de rire, mais cette question me ramène quelques années en arrière.
Lors de mes premiers émois.
Je suis née dans une famille rigoriste à la limite de la bondieuserie.
Papa haut fonctionnaire à Paris et maman femme au foyer.
Dans leur milieu, une femme qui travaille est une femme de mauvaise vie.
Jignore sil baisait !
De ma jeunesse jusquà mes douze ans jamais le moindre bruit venant de leur chambre très près de la mienne nest arrivé à mes oreilles.
Il faut dire que lorsquil marrivait de la croiser sortant de la salle de bain pour rejoindre mon géniteur, la couche de crème contre les rides quelle me présentait aurait fait débander bon nombre de mes amants.
À 12 ans, ils mont conduit en Suisse comme maman lavait fait avant que papa lépouse, mariage arrangé entre leurs parents.
Dès que jai eu conscience de la vie et de mon sexe, je me suis jurée que cette façon de vivre serait bien différente.
Je voulais être libre et à ce que jai déjà écrit, je prouve que je le suis.
Jai vécu en Suisse jusquà mon bac.
Jai eu ma première expérience avec Olga une Roumaine placée là par ses parents car très proches du pouvoir.
Cétait une vraie salope, elle me suçait la chatte comme aucune autre bien que jaie eu dautres expériences sexuelles légèrement différentes.
Quand jai été majeur, il y a eu madame et monsieur les directeurs de lécole.
Madame, Gladys très belle femme un peu plus vieille que moi aujourdhui.
- Tu es bien monté Julien, ta maman ta gâté.
- Cest mon père, je lai vu à poil, une vraie bête, maman devait se faire plaisir sur un tel pieu.
Revenons à nos moutons, je suce Julien ça me permet de repenser à mon passé.
Ça fait tellement de bite que je masturbe et que je suce, en attendant quil prenne linitiative, je peux mévader afin de repenser à ce couple qui ma tout appris.
Pour faire simple, Gladys m'a appelé dans son bureau car Lulu, pardon Lucie, la grosse Lucie nous avait surprises à nous caresser, javais trois doigts dans sa chatte pendant quOlga men mettait deux.
Entre parenthèses merci à luniforme avec lequel nous étions habillées.
La jupe surtout la jupe genre kilt écossais avait une fente où nous pouvions facilement passer notre main et atteindre nos vagins.
Nous avions des cours déducation sexuelle et nous connaissions déjà la grotte des femmes et le grand chauve comme disait Pierre Perret.
Après mavoir sermonné, Gladys ma demandé de venir de son côté étant assise à son bureau.
Elle ma demandé de voir mes seins.
Devant elle il y avait mon dossier où je voyais mon âge.
Elle avait contrôlé que jétais bien majeure.
Elle les a caressés sans que lenvie de méchapper me prenne.
Je sentais quavec cette salope, elle avait un regard de salope, jallais pouvoir briser les tabous de ma famille et cest moi qui ai baissé ma culotte afin que sa bouche me suce le bouton.
Jétais venue dans son bureau le jour où mes parents mavaient conduite.
Ce jour-là javais vu le canapé sans savoir à quoi il pouvait servir autrement que pour les siestes.
Sieste oui, mais sieste crapuleuse quand nue toute les deux elle ma entraîné et que je lai sucé autant quelle me suçait.
Tous les jours, elle trouvait le moyen de pouvoir me voir.
Tous les jours elle me faisait découvrir ce quune femme pouvait faire à une autre.
Nous adorions nous caresser de longs moments jusquà nous frotter nos clitoris nous procurant des orgasmes dévastateurs.
Nous étions à quelques jours du bac et Gladys ma fait venir pour réviser une leçon de math que je semblais avoir mal comprise.
Nous étions sur le canapé quand la porte de leur appartement sest ouverte.
Monsieur Pierre son mari est entré.
Pardon, je vous quitte Julien vient de me faire mettre à quatre pattes et est en train de me sucer la chatte par de grands coups de langue allant jusquà mon anus.
Là, impossible de faire deux choses à la fois, je me concentre.
- Oui Julien suce-moi bien comme je viens de te sucer.
Beau gosse, belle bite, sachant bien sen servir calmement, lentement, plus vite, à toute vitesse, calmement, très vite.
Laissant monter mon plaisir jusquà lexplosion finale en parfaite osmose lun avec lautre et lun dans lautre.
Je suis partie si haut que son doigt dans mon cul, cest maintenant que je le sens.
- Veux-tu menculer ?
La sodomie, cest Pierre le directeur qui ma enculé dès nos premiers rapports.
Jai dit que Pierre le mari de Gladys était sorti de leurs appartements.
Quand jai vu sa verge étant nu, jai su que la deuxième étape de mon initiation brisant les tabous familiaux était venue.
Il sest placé derrière moi et ma pris la chatte.
Nous faisions un 69 avec Gladys.
Il la eu facilement, jétais dessus.
À la première poussée mon hymen a cédé, à la deuxième mon anus était pénétré.
Quelle jeune fille peut dire quen deux poussées de la bite de mon dépuceleur elle cest fait tous prendre ?
Pris, que je lui aie tout donné et même bien plus jusquà mon bac que jai eu avec mention très bien.
Au début de mon initiation sexuelle, Gladys me sautait seule mais dès que le couple avait compris quils avaient fait de moi une folle du cul, cest tous les jours que je passais mes nuits dans leur lit.
Entre parenthèses, Pierre faisait partie des hommes que le sang excitait.
Gladys et moi nous nous entraînions et quand lune avait les siennes lautre les avait dans les heures suivantes.
Ces nuits-là, il se vidait les couilles jusquà ce que sa bite soit à la limite de cracher elle aussi.
- Tenculer non, cest loin dêtre mon truc cependant.
Oui, il est toujours tendu et est prêt à me reprendre comme je le désir.
Tient demain ce sera dimanche, non cest déjà dimanche, ça fait trois heures quil me baise me faisant monter aux rideaux.
Je pars lundi jusquà Bordeaux.
- Alors après ce que tu mas dit, je dois partir dommage, javais encore des réserves.
Et si je le gardais pendant les deux soirs, ça méviterait de retourner dans le bar demain soir draguer une autre bite sur pied.
Merde, je membourgeoise, mais bon, Julien vient de me la mettre dans ma bouche.
Quel homme.
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