Souvenirs De Nos Débuts

Mon mari Eric et moi sommes ensemble depuis 6 ans maintenant.

Le 1er été que nous avons passé ensemble, il m’a retrouvé à Toulon où j’étais déjà depuis 3 semaines.
Le jour de nos retrouvailles j’avais mis un bustier moulant et une mini-jupe. Dès qu il m’a serré dans ses bras j’ai senti qu il avait autant envie que moi. Sa queue était déjà toute gonflée et très dure. Nous nous sommes longuement embrassé puis on a pris la voiture.
A la sortie de la ville j’ai trouvé une aire d’autoroute calme. Je me suis garée ç l’écart sous un arbre. Au moment où Éric défait sa ceinture de sécurité je pose ma main sur sa queue et lui souffle à l’oreille que je ne peux pas attendre d’être au lit.
Je fais le tour de la voiture pendant qu il sort sa queue de son short. Je m’assois sur lui, relève ma mini-jupe, baisse mon bustier pour lui donner mes seins à manger. Ils sont bien dorés par le soleil et mes mamelons très durs d’envie. Un soupir rauque s’échappe de ma gorge. Je mouille abondamment sur sa queue que je sens poindre d’envie contre ma chatte béante. Il me prend le bassin et appuie pour s’enfoncer en moi. Il m’emplis entièrement, je m’arque boute de plaisir, gonflant ma poitrine.
Il me dit « et si on nous voit ? »
« Je m’en fous, baises moi fort ! »
Il m’empoigne les fesses pour imprimer le mouvement qui l’amènera à l’orgasme.
« humm ma salope tu m’avais manqué »
« toi aussi je pensais à ta queue tous les soirs, ne me laisse plus jamais 3 semaines sans baise comme ça ! »
« promis ma pute, oh je vais jouir c’est trop bon »
Je commence à hurler mon plaisir quand il caresse mon clito au moment ou il explose en moi et m’inonde de son sperme.
Je retombe sur lui essoufflée « ça fait du bien, j’ai encore envie de toi mais on a de la route »
« tu ne perds rien pour attendre ma petite chérie gourmande »

Nous reprenons la route puis arrivons à grasse en fin de journée.

Avant de retrouver sa famille chez qui nous logeons avant de prendre le bateau pour la corse nous nous arrêtons sur la plage pour piquer une tête. Quand je l’enlace dans l’eau je sens à nouveau son sexe dressé. Il écarte mon bas de maillot pour rentrer en moi, je fais de mon mieux pour ne pas gémir et nous faire repérer. C’est assez excitant !
« tu aimes ca te faire troncher au milieu de gens ? »
« ouiii j’ai envie de crier comme tu me baises bien, tu me remplis comme jamais, j ai l’impression que ca t’excite beaucoup aussi »
« c’est toi et ton plaisir qui m’excitent, ton corps doré, tes seins lourds et gonflés que j ai envie de prendre en bouche, tes fesses fermes que j ai envie de claquer, tes cheveux que j ai envie de tirer en arrière »
En me disant cela il accélère le rythme, je sens qu il va jouir encore en moi
Il me plaque contre lui pour jouir tout au fond de moi ;
« ah ma pute tu vas m’achever »
« j espère que tu n’es pas au bout de ce que tu peux faire, je n ai pas pu m’exprimer je compte bien me rattr ce soir, je veux que tu me prennes le cul »
« rassures toi après le diner je te ferai subir les derniers outrages, je vais te faire crier grace »
Nous retournons sécher sur nos serviettes, certaines personnes ne sont pas dupes de ce que nous venons de faire, je vois certains shorts gonflés à coté de moi.
« ma chérie je vous que tu fais des ravages, mais pour aujourd’hui je te garde entièrement à moi »
Je fais ainsi la connaissance de son oncle et sa tante. Nous dinons et passons une soirée très agréable. Puis nous prétextons une journée de voyage éreintante pour nous éclipser. (ce qui n’est pas totalement faux)
Dans notre chambre je ne m’embarrasse pas d’un pyjama à la sortie de la douche. Je retrouve éric allongé le sexe dressé.
« ainsi vous voulez me faire subir les derniers outrages ? »
« et toi ma pute tu veux que je te prenne le cul ? » il me prend par la taille, embrasse mon ventre, j’écarte les jambes pour qu il puisse, de ses mains, me caresser mes trous, me prendre de ses doigts.
Immédiatement je commence à jouir, j ondule de mon bassin sous cette possession, mes tétons pointent et il les gobe pour les sucer
« prends moi, je veux te sentir en moi vite ! »
« pas tout de suite ma pute, patience »
Je grogne de frustration
Il me force à m’allonger sur le dos et goute toutes les parties de mon corps chaud
« j’adore ton gout de monoï »
Il a toujours plusieurs doigts en moi à la fois dans ma chatte et mon cul qu il prépare pour plus tard j espère.
Je transpire de plaisir, ma main att sa queue pour la garder dure et la faire grandir encore. Il commence à gémir également.
« tu va t empaler toute seule comme une grande sur mon dard, montres moi comme tu as envie »
Il s’allonge alors sur le dos, sa queue fièrement dressée, large, décalottée
Je me penche au-dessus pour la lécher brièvement
« tu es vraiment une divine salope ! »
Je remonte lentement vers lui, me met à califourchon m empale 1 fois dans ma chatte puis en remontant le dirige vers mon cul. Je me laisse retomber cm par cm, son sexe m’ouvrant, m’écartelant.
Il tend les bras pour malaxer mes seins et faire monter mon plaisir
« c’est bon, tellement bon ! »
Le plaisir me fait onduler le bassin, je passe ma langue sur mes lèvres en gourmande. Je la sens palpiter en moi.
Mais Eric ne peut pas jouir comme ca, il me bascule pour se retrouver, toujours en moi mais au-dessus de moi, en dominant. Il me prend les cheveux en queue de cheval et les tire en arrière, il me veut en pouliche qu il domine. Il me claque le cul. Il accélère ses coups de butoir, je le sens en moi toujours plus profondément.
J’enfouis la tête dans le lit pour hurler, ce qui l’encourage à continuer
« encore, encore ! »
« t’inquietes pas ma belle on a 3 semaines ensemble »
Encore qq coups et il ressort pour jouir au creux de mes reins dans un rale sourd.
« la prochaine fois je veux jouir sur tes seins »
« tout ce que tu voudras ! c’était tellement bon !»
« oui on sent que tu aimes etre ma chose, une chose experte. J ai plein d’envie que je veux assouvir »

C es vacances s’annoncent sous le plus hospice !