Ascenceur Sensuel

Nous étions dans l’ascenseur et nous ne parlions pas. Nous étions trois. Puis quand l’homme sortit. Je me tournait vers toi et te disais bonjour. Puis on s’est longuement regardé et tu t’es rapprochée. Alors tu a commencé à m’embrasser dans le cou puis doucement tu es montée. Alors on s’est longuement embrassés puis je t’ai mise les mains aux fesses et je te les ai agrippées. Tu as poussé un petit gémissement et j’ai soulevée ta jupe. Tu avais un collant doux et foncé et je t’ai caressée les jambes en me penchant. Quand je suis arrivé au bas de tes cuisses je t’ai soulevée et plaquée à la parois de l’ascenseur où il y avait un miroir. Je défais la braguette de mon pantalon, je baisse mon caleçon et soulève légèrement ta jupe. Mon pénis est en contact avec tes lèvres déjà humide sous ton collant où tu n’as pas mis de culotte. Mais je vois que nous arrivons déjà à notre étage d’arrivée alors nous nous rhabillons au cas où il y aurais des gens dans les bureaux malgré l’heure car il est midi et demi. Et nous arrivons à notre étage, les portes s’ouvrent, une personne
attendait devant la porte, elle nous laisse sortir puis rentre. Nous faisons le tour de l’étage : personne.
Je te laisse rentrer dans mon bureau et rentre avec toi. Tu marches tout droit et tu t’arrêtes quand tu arrives à la fenêtre et tu regardes dehors avec un air rêveur. Alors je te rejoins,me place derrière toi et passe mes bras autour de toi pose ma tête sur ton épaule. Tu frottes ta tête contre ma tête et je t’embrasse dans le cou et sur la joue. Mes mains se joignent sur ton ventre au niveau de ton nombril. On reste un certains temps comme ça à profiter du moment. Et je défais les boutons de ta chemise un par un en montant et arrivé en haut, ta poitrine généreuse se libère et je joue avec tes tétons et ils durcissent. Puis je laisse glisser une de mes mains jusqu’au haut de ta jupe où elles passent à l’intérieur. Tes lèvres sont chaudes et humides en dessous de ton collant, je suis content que tu n’aies pas mis de culotte.

À trois doigts j’appuie sur ton vagin et imprimes un mouvement soit circulaire soit d’un côté à l’autre soit de haut en bas. Quand je sens le moment venu, j’enlève ma main et rapidement tu te libères, te retournes, te baisse, défais ma braguette et baisse mon caleçon. Mon pénis durcit se libère et tu le prends à une mains et commences à le masturber tandis que ton autre main te sert à te doigter où à te toucher les seins. Au bout d’un moment tu mets ta bouche sur mon gland et tu fais de petits mouvements qui au fur et à mesure s’amplifient jusqu’à atteindre le fond de ta gorge. Entre-temps j’ai basculé ma tête en arrière. Quand tu sens l’éjaculation arriver tu sors mon pénis de ta bouche et tu l’inclines sur ta poitrine, je me déverse sur toi et tu te relève en défaisant les boutons de ma chemise. Je te porte par le bas des cuisses comme dans l’ascenseur jusqu’à mon bureau où je te pose et m’accroupis. Je te soulève la jupe et te baisse ton collant. Et je rapproche ma tête de ton entre-jambe, tu as un frisson, mes lèvres rentrent en contact avec les tiennes et j’exerce une succion et avale une partie de ta mouille. Tout à coup une vague de mouille jaillit et me dégouline sur le menton. Je me relève et t’embrasse goulûment. Tu poses tes mains derrière toi, sur mon bureau et je me penche pour être contre toi et pose mes mains proches des tiennes. Je sens tes seins sur mon torse. Puis, avec une main je baisse mon pénis et le fait frotter à tes lèvres et je te pénètre, tu pousse un petit gémissement. Je me cabre et imprime un mouvement de va-et-vient lent puis rapide puis lent. Et je jouis en toi. Je reste un court moment en toi et nous nous détachons l’un de l’autre. Enfin nous nous rhabillons avant que quelqu’un arrive et tu retournes travailler et moi de même.
Mais pendant toute l’après-midi je ne fais que penser à toi, je me dis qu’il faudra que je te parle. En fin d’après-midi je me décidais donc de guetter ta sortie au café au pied de l’immeuble.
J’ai attendu une demi-heure avant que tu sortes.
Mais quand tu es sortie, tu t’es dirigée vers un homme que je n’avais pas remarqué et qui attendais depuis peu. Il te tendit la main et tu la lui donner avec de la répulsion et de la tristesse dans le regard. Je suis rentré chez moi et ai ruminé du noir pendant tout le week-end.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!