Summer Of Love 3
Dès le réveil, ma «pupuce» mouille pour moi. Délicieusement. La cyprine intime de Bérénice est chaude
agréable.. salée. Délicieuse. Jaime la sentir sur mes doigts. Sur le bout de mes doigts. Et jaime plus particulièrement le sentir sur ma langue. Lavoir en bouche. Oh oui
! Je passe le bout de mes doigts, tout doucement, sur lintimité de ma chérie, et, pendant le même temps, je lembrasse. Je lui donne un petit baiser, un petit baiser comme elle les aime. Il faut dire que Bérénice est une petite gourmande
Elle aime les petits baisers et les caresses légères. Tout en douceur. Tout en tendresse. Tout en sensualité. Et
pendant que mes doigts flânent tout doucement, lentement sur la vulve de Bérénice, il me semble entendre Bérénice respirer mais plus fort. Je la regarde, et je constate quelle est détendue. Elle se laisse faire. Elle ME laisse faire. Jaime laisser glisser mes doigts sur son intimité mouillée. Jaimerais
les introduire en elle
Oh
! Jen ai envie...
-«Introduis-les en moi
Sil te plaît.»
Bérénice est donc bel et bien éveillée, et dune voix proche de la supplique, et ce, même si elle a encore du mal à émerger de son sommeil. Néanmoins, elle a une idée de mes intentions alors que ma main passe furtivement mais délicatement sur son sexe et leffleure. Ses lèvres se sont ouvertes et je lai entendu me demander
me supplier de repasser ma main sur son minou et de glisser mes doigts en elle. Elle est déjà si mouillée. Mes doigts nauraient pas vraiment de difficultés à la pénétrer, mais
Mais, jai envie de savourer les premières douceurs de ce réveil. Je veux accorder toute mon attention à Bérénice. Je veux éveiller son corps, TOUT son corps. Elle, toute entière. Mon seul et unique amour est tout contre moi. Nous sommes allongés, collés-serrés et
nous sommes bien. Il ny a pas que son sexe qui soit chaud. Son corps, tout entier, lest aussi. Ma main taquine son abricot et joue avec, comme si elle raffolait de la cyprine chaude et salée que secrète mon «étudiante sérieuse préférée», comme si elle jouissait dêtre en contact avec elle.
Jai posé une main sur la joue rose pâle de Bérénice, et je ne cesse dembrasser ma belle parce que je laime
Je laime, et je la désire. Je suis fou delle. Mon désir delle est insatiable. Lautre main ? Elle continue de caresser Bérénice. Avec douceur. Avec fougue. Avec
envie et gourmandise. Je place un doigt à lentrée à lentrée de son vagin, et je regarde Bérénice, intensément...
Bérénice aime ce genre de réveil. Elle aime que je moccupe delle. Ma main caresse doucement son fourreau damour, mouillé. Ce sont des petits cercles. Je sais que Bérénice raffole de cette caresse. Quant à moi, je mefforce de faire ce quelle veut pour lexciter. Et pour quelle mouille plus, encore plus. Bérénice aime les baisers alors que nous nen sommes encore quaux premières douceurs du matin. Bérénice aime les caresses alors quelle vient à peine douvrir ses prunelles chocolat. Bérénice aime ces petites attentions que je lui porte. Je me fais doux. Je titille lentrée de son vagin. Je titille aussi son clitoris. Jéveille son désir. Jéveille son envie. Je le fais de telle sorte quelle me supplie, à un moment ou à un autre, de lui donner encore plus de plaisir. Elle sait que jaime sentir sa mouille sur le bout de mes doigts, et que jen raffole. Sa cyprine est ma saveur préférée. Elle me permet de faire en sorte que mes caresses soient agréables, et de la préparer à des caresses plus osées. Jaime et jai envie de lui donner du plaisir, encore plus de plaisir, toujours plus de plaisir. Jaime lidée de la faire jouir, dès les premières douceurs du matin.
Nous sommes collés lun à lautre. Les minutes défilent, et nous en avons conscience. Pourtant
ça na pas la moindre importance parce que nous voulons jouir au maximum de ces moments privilégiés, en toute intimité, dans notre nid damour.
Bérénice, telle une jeune chatte, se blottit contre moi et presse son corps désormais chaud contre le mien. On dirait quelle veut tirer au maximum partie et plaisir de létroitesse de notre étreinte. Ma main est restée entre ses jambes, et je continue de la caresser...intimement.
Ma «pupuce» a resserré légèrement ses cuisses, et celles-ci encerclent et pressent ma main de telle sorte que celle-ci soit, plus que jamais, en contact direct, avec sa porte du plaisir mouillée...trempée
salée. Le bout de mes doigts passe doucement, très doucement, délicatement, sur ses nymphes intimes, et les titille. Je les imagine
rouges, gonflées, excitées.
Il me tarde de les écarter
pour pouvoir avoir accès à
Hmmm...
Bérénice halète. Sa respiration est différente, à présent. Elle semble retenir son souffle. Cest comme si elle appréhendait ce qui va se passer entre nous, ce que je vais lui faire. Moi, je pense quelle en a une idée, cette petite coquine
!
Ses cuisses enserrent doucement ma main. Ma main est encerclée, mais doucement. Bérénice a juste emprisonné ma main, et je me rends compte quelle se frotte tout contre mes doigts. Dans un sens, ce nest plus vraiment moi qui la caresse. Elle se sert de mes doigts pour se donner du plaisir.
Jaime lidée dêtre un peu comme linstrument de son plaisir.
Létroitesse de notre étreinte est juste
exquise, et cest excitant pour moi de sentir la cyprine de Bérénice sur mes doigts. En un sens, ça me touche. Ma «pupuce» mouille pour moi. Ca veut dire quelle est excitée. Quelle a envie de moi. Que je lui donne du plaisir, sans modération.
Ce sont mes petits mouvements circulaires de toute à lheure qui lont excitée, petit à petit. Elle est joliment mouillée, et ça me plaît.
Bérénice mexcite. Jai envie delle.
Ici. Dans ce lit.
Là. Maintenant.
Jinsère tout doucement quelques centimètres de mon doigt en elle.
Bérénice gémit.
Elle membrasse.
Un baiser. Deux baisers. Beaucoup de baisers. Elle recherche mes lèvres, et en raffole. Quant à moi, je ne peux résister à ses lèvres saveur vanille.
Jai envie delle...
Ce que lon vit là, maintenant, dans notre lit, cest encore plus palpable que nous avons vécu quand nous habitions encore à plus de quatre cent kilomètres lun de lautre, et que donc nous vivions notre relation à distance. Le téléphone rose avait été notre meilleur allié, notre meilleur ami.
Je men souviens encore
On se disait tout et rien. On se racontait nos journées respectives. Je lui parlais de mes recherches demploi et que ce nétait pas facile par moments. Je gardais cependant espoir. Ma «pupuce» me donnait la motivation pour, et surtout
surtout, une raison sérieuse supplémentaire de maintenir et daccen mes efforts. Je me souviens que je lui disais que javais beau me battre pour moi, je me battais aussi pour elle.
Et aujourdhui
nous sommes ensemble, dans ce lit, ce premier à lit à nous, et nous en jouissons du mieux que nous pouvons, au maximum. Je veux que Bérénice se sente bien dans notre lit. Quelle y vienne, le soir, apaisée, prête à se détendre en ma compagnie.
Jai allumé une bougie parfumée à la vanille que jai achetée, il y a peu parce que je sais que la vanille est son arôme préféré : elle enduit chaque matin son corps de son lait douche à la vanille. Elle utilise un baume à la vanille pour rendre ses lèvres encore plus délicieuses. Elle le fait parce que depuis quelle ma fait découvrir ses lèvres vanillées, jadore encore plus les embrasser. Elle raffole de la glace à la vanille, et nous avons su en faire bon usage
Une coupe de glace à la vanille pour deux, au restaurant
Un bac de glace à la vanille, à la maison, dans le congélateur.
En pensant à tout ça, je
jeffectue des petits va et vient, sur quelques centimètres de profondeur, à lintérieur de son vagin
Bérénice soupire. Bérénice gémit.
Bérénice
aime...
Je sais ce que Bérénice aime, et je mefforce, dès lors, à la mettre à laise du mieux que je peux. Elle a besoin de tout un contexte avant de se donner totalement, corps et âme, à moi.
Ça commence par des yeux amoureux. Des regards où je lui montre et lui témoigne lamour que jai au plus profond de moi et que je ressens pour elle. Je me mets ainsi, moi aussi, à nu.
Une main posée sur sa joue
Un doigt qui va et qui vient, sur sa joue, qui la caresse
Des tout petits baisers sur toute la surface de son visage
Sur son front
Sur ses tempes
Sur ses paupières
Entre son il et sa bouche
Sur sa joue
Sur sa mâchoire
Sur son menton
Sur
ses lèvres, sur lesquelles je laisse un doigt se promener car il les caresse. A certaines occasions, sa bouche souvre, légèrement, et Bérénice se met à sucer ce doigt, à lengloutir, de la manière quelle aime sucer et engloutir mon
Je me focalise sur toutes les parties susceptibles de la détendre, de la rendre plus légère, et de la préparer
à des contacts plus
osés, plus
sensuels
Ses oreilles
Ses délicieuses oreilles, que je membrasse
que je lèche
que je
mordille, tout doucement. Ça
lui fait de leffet, me semble t-il
Un doigt est en elle, à quelques centimètres de profondeur. Sa porte du plaisir est mouillée, trempée, mais pas encore inondée. Et pourtant
Et pourtant
Jaime déjà ça. Mon doigt va et vient
il va et il vient
Il va et il vient
Je frotte, doucement, la paume de ma main, sur son fourreau damour. Je sais quelle apprécie, en général, les frottements de quelque chose sur son intimité. Les draps, quand elle décrète vouloir sendormir dans le plus simple appareil
De la lingerie, en dentelle, quand elle ressent lenvie et le désir de se faire belle et sexy, pour moi
Leau, quand elle utilise le pommeau de la douche comme instrument de plaisir lorsquelle sadonne au plaisir solitaire
Dans la vie de tous les jours, Bérénice garde des s et poursuit encore ses études, avec pour objectif douvrir, un jour, sa propre librairie. Dans lintimité
elle montre un tout autre visage...
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