Les 1001 Perversions De Nathalie (20) - La Chienne

Nathalie n'en peut plus… Ses nouvelles fonctions l'accaparent à un tel point que depuis près d'une semaine elle se trouve privée de sexe.
Elle est en manque de Juan l'enculant dans son bureau après avoir juté dans la bouche de Bianca. C'est devenu un rite presque quotidien. Parfois, il la fesse violemment avant de la sodomiser, ce qui la fait jouir encore plus fort... Mais Juan est en voyage d'affaires.
Elle a des réunions, des clients à voir et ils lui parlent gravement chiffres, contrats, elle leur répond en regardant leurs exposés. Mais en même temps elle se voit écartelée, béante, se tordant en gémissant sous leurs coups de queue.
Ils ont en face d’eux, non une femme calme, compétente, mais une obsédée qui est  trempée.
Lorsqu'ils sont partis, culotte baissés sous la jupe, Nathalie frotte son bouton, elle se fait jouir sur sa chaise. Elle met à peine une minute, tellement elle est excitée.
Et l’après-midi, en ville, elle s'enferme dans les toilettes d’un café, les fesses sur le rebord du lave-mains, l’ourlet de sa jupe relevé et coincé dans sa ceinture. Elle s'enfonce deux doigts dans la chatte, ils n’ont pas de mal à entrer.
***
Finalement, ce soir, dans cette banlieue où elle a trouvé le courage de s'aventurer, son excitation est parvenue à son paroxysme. Elle n’a qu’un désir : être pénétrée par des grosses bites. Elle imagine des queues, des barres de chair rigides, brûlantes, envahissant son vagin d’une poussée brutale, pilonnant son cul rageusement. Elle s’imagine geignante, suppliante, sous les coups de reins de mâles en rut.
Dans une petite rue, au passage, une pute lui prend le bras :
- Qu’est-ce que tu fous là, toi ? Va offrir ta moule ailleurs, sinon tu vas voir ta gueule !
Elle bute presque contre un groupe d'Arabes. L’un d’eux, très grand, l’entoure d’un bras. Le visage contre sa poitrine, elle sent son odeur.

Il lui palpe les seins en riant. Elle se cambre, tremblante de désir, la chatte déjà inondée. Elle se fait l'effet d'une chienne prête pour la saillie, entraînant derrière elle une cohorte de mâles en rut...
Elle entre derrière eux dans un bar.
La petite salle, bruyante, est presque uniquement occupée par des Noirs et des Maghrébins. Elle voit les regards peser sur elle. La salle est enfumée. Odeurs d'alcool et de parfums capiteux. Elle s’installe sur un haut tabouret. Un homme vient aussitôt embrasser sa nuque, lui chuintant à l’oreille des mots obscènes.
La patronne fait glisser devant elle un verre d’alcool. À la première gorgée, elle s'étrangle. Elle décroise les jambes, pose les pieds sur la barre de métal, au pied du comptoir. L'homme glisse la main le long de sa cuisse, jusqu’à la lisière des bas. Elle écarte les genoux, le pouce dur touche son aine.
Un autre vient s’installer à côté de Nathalie, entoure d’une main son genou. Un doigt la pénètre, ressort d’elle, se promène devant son visage, touche d’abord ses narines, puis ses lèvres. Elle le lèche, sent sur sa langue la saveur salée de son con.
Une main se glisse sous ses fesses. Elle se soulève un peu, se rassied sur la paume ouverte. Un doigt se mouille à sa vulve, puis revient à l’arrière fouiller son anus qui se contracte. Il se plante en elle profondément. Elle commence à transpirer.
Un autre doigt se met à parcourir sa fente, de haut en bas. Les deux Arabes échangent des réflexions qui les font parfois s’esclaffer.
Nathalie termine son verre et dans une sorte de brouillard, le tend à la patronne qui ne bouge pas, refusant de comprendre l’invite. Les deux hommes s’acharnent sur les orifices de son corps et elle serre les cuisses pour essayer d’échapper à l’urgence du plaisir.
Mais l’un d’eux saisit son clitoris entre deux doigts et le presse rythmiquement sans trop appuyer tandis que l’autre tourne au fond de son cul. Elle a un orgasme fulgurant, se plie en avant en exhalant un gémissement, la tête touchant le comptoir.
Elle ferme les yeux…
La voix sèche de la patronne :
- Va faire tes petites saloperies ailleurs. Je veux pas de ça chez moi. Et n’oublie pas de payer ta consommation...
Elle se retrouve dehors, les deux Arabes la soutiennent par les bras, l’entraînent vers un parking souterrain. Elle avance, à demi-portée par eux. Ils ne sont plus deux, mais trois.
Une bouche vorace s’empare de la sienne pendant que la main d’un homme
la cloue contre la paroi froide. La langue chaude lui remplit la bouche. Un autre homme lui soulève la cuisse en la tenant pour rendre sa chatte plus accessible. Le bas-ventre de l'homme est dur contre elle, brutal. Il cogne sa queue raide contre le pubis de Nathalie.
Une voix rauque chuinte tout contre elle :
- Cochonne...
Et tout de suite après, des doigts impatients ouvrent les lèvres de son con pour préparer le passage de la queue, épaisse et dure comme du bois. Tout de suite, il l’inonde, gémissant de dépit comme un adolescent. Il se retire presque aussitôt, et elle sent le sperme couler sur ses cuisses.
Elle va s’effondrer, n’étant plus soutenue par lui, mais un autre la saisit à la taille, murmurant des mots incompréhensibles. Celui-là aussi l’embrasse sur la bouche, prenant son temps. Nathalie s’entend geindre :
- Baise-moi... Baise-moi...
L'Arabe écarte son visage du sien, l’interroge du regard. Il comprend ce qu’elle veut. Il sort sa queue et l’enfonce en elle. Il semble très jeune, 17 ou 18 ans. Dès qu’il l’a mise, elle se mord les lèvres, tendant le ventre en avant. Lui est arqué en arrière pour mieux la baiser.
Les deux autres se tiennent à côté, la touchant, appliquant contre sa peau leurs glands humides, lui triturant les mamelons.
Le garçon se retient, suspend parfois son mouvement, lui murmure des mots pressants au visage. Elle comprend tout à coup qu’il attend qu’elle jouisse. Elle crie presque d’un ton aigu :
- Baise-moi, baise-moi fort !
Secouant la tête, elle le prend aux hanches et le force à continuer.
Il accélère le mouvement de son bassin, décharge en elle en gémissant sourdement, puis se retire.
Des mains s’emparent d’elle, la mettent à quatre pattes. Derrière elle, une queue fouille entre ses fesses, le gland glisse jusqu’à sa vulve. Une main appuie sur sa taille, la forçant à cambrer les reins.
Celui qui l’a baisée le premier se met à genoux devant elle. Il la prend par la nuque et lui applique sa grosse verge humide contre le visage. Les couilles s’écrasent contre son menton et le gland sur son front. Elle sent l’odeur forte du pubis. L’autre, derrière, fourrage dans sa chatte à grands coups de reins, clapotant dans le foutre que les deux premiers ont lâché en elle.
Elle dilate les narines pour s’imprégner de l’odeur violente. Il frotte tout son paquet contre son visage, roulant la hampe de chaque côté de son nez, sur ses joues, cherchant du bout du gland à pénétrer ses narines.
Il trouve l’ouverture de sa bouche, qu’il desserre en y enfonçant les doigts. Alors il y engouffre toute sa pine, aplatissant sa langue, butant au fond de sa gorge, une main sur sa nuque pour l’empêcher de reculer à chaque coup qu’il donne. L’homme, derrière elle, ahane, les doigts enfoncés dans ses hanches.
Elle a mal aux genoux.
Tout à coup, il y a le vrombissement d’un moteur, une lueur apparaît, les phares d’une voiture qui entre dans le parking et freine brusquement devant eux, les éblouissant.
Elle les sent gicler en elle en même temps. Elle s’étrangle sous la giclée de foutre chaud qui lui remplit la bouche, le laisse s’écouler aux commissures de ses lèvres.
Presque aussitôt, elle est seule. Les deux Arabes ont déguerpis après s’être vidés en elle. Elle reste à quatre pattes, la joue contre le sol de ciment, les fesses relevées et nues. Une portière claque, puis une autre. Deux voix d’homme :
- Regarde comme elle est habillée. C’est une pute.
L’un d’eux s’agenouille près d’elle, lui soulève le visage. Tout de suite, elle sent des mains fouiller entre ses fesses, un doigt chercher l’entrée de son anus.
Elle se débat faiblement, pour la forme...
- Ne bouge pas… Laisse-toi faire. Tu viens de te faire mettre par trois types… Un ou deux de plus, qu’est-ce que ça peut faire ? Bouge pas, on n’en a pas pour longtemps...
Il lui maintient les fesses écartées avec les deux pouces et entre d’un seul coup dans son cul, distendant le sphincter. Puis il se penche en avant, la saisit à la taille, l’entoure de ses bras et l’encule sans ménagement, la faisant gémir, puis crier et jouir encore.
Elle entend la voix inquiète d’un autre homme :
- Dépêche-toi, quelqu’un peut arriver...
À chaque fois, il sort presque entièrement d’elle, ne laissant que le gland engagé dans son anus, lui arrachant des plaintes lorsqu’il revient :
- Encore… Reviens… Fort...
Soudain, il grogne :
- Je lâche tout... je lui lâche tout dans le cul.
Elle sent la verge se gonfler, durcir au passage du sperme dans la hampe, puis ça jaillit dans ses entrailles, brûlant ses muqueuses irritées. L’homme murmure à chaque décharge :
- Salope… Salope, je t’en ai mis plein le cul !
Il se lève brusquement, sort d’elle sans douceur, dit à son acolyte :
- Dépêche-toi… Baise-là !
- Non. Viens, allons-nous-en...
- Qu’est-ce qu’il y a ? Tu as peur ? Sois pas con. Profites-en aussi. Elle est d’accord !
L'homme sort sa queue et se masturbe devant elle qui ouvre la bouche, tire la langue. Il éjacule tout de suite, lui aspergeant le visage.
L’autre est déjà remonté dans la voiture. Les portières claquent. Ils démarrent. Quand elle ouvre les yeux, elle ne voit que le halo de lumière, loin devant elle, et les lueurs rouges des feux arrière.
Elle se redresse, s’appuie d’une main contre le mur pour remettre une de ses chaussures qu’elle a perdue. L’obscurité est retombée. Pour la première fois, elle a conscience de l’odeur d’humidité du parking… Elle a soudain peur. N’importe qui peut surgir de l’ombre, bondir sur elle, la blesser.
Elle remonte la pente, longeant le mur. À un tournant, elle voit apparaître la clarté de la rue. Elle soupire, soulagée. Elle a cru ne jamais revoir la lumière.

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