Collection Folle Du Cul. Dépression (1/2)
Depuis que jai accepté ce travail de secrétaire, je suis harcelée par mon supérieur hiérarchique.
Tout a commencé par des compliments sur la qualité de mon travail.
Jétais fière de plaire à ce petit homme tout rond, si bien considéré par les personnes au-dessus de lui.
Je suis mariée, depuis cinq ans avec Lionel, nous navons pas encore d.
Jaime mon mari à la folie, je suis fière dêtre lépouse dun homme tellement beau et tellement intelligent.
Cadre supérieur dans un ministère, je pourrais vivre sans travailler mais mon père ma fait comprendre que le travail surtout pour une femme, était primordial.
Il va sans dire, que je me suis donnée vierge à lui dans ma nuit de noces.
Au 21ème siècle, et vu les vies dissolues de la plupart des jeunes filles de notre époque, cela peut paraître étrange.
Eh oui, jai des principes.
Oh ! bien sûr, je fais mon devoir conjugal avec applications.
Jaime les jeux du sexe avec celui qui fait vibrer mon corps.
Certes, loin de la première fois où mon dépucelage a été douloureux, mais très rapidement.
La troisième ou la quatrième quand jai senti que jétais vraiment devenue femme.
Jai trouvé mon travail grâce à ma copine Julie.
Quand je lai annoncé à Lionel, il a semblé contrarié.
Au sein de sa famille aucune des femmes ne travaillent.
Elles sont de bonnes épouses au service du sexe mâle, tout juste bonnes à torcher les s.
Après deux mois et aucun souci dans mon travail, monsieur Roland a commencé à changer.
Au début, cétait de simple compliment sur mes tenues, pourtant en bonne chrétienne, je mhabile certes moderne, mais en somme très classique.
Au fil des semaines, il est devenu plus précis, me demandant même un jour si jaimais faire lamour avec mon mari.
Jaurais dû en parler à Lionel, mais je sentais que si je lui disais, il en profiterait pour me faire démissionner et rentrer dans le droit fil des femmes de sa famille.
Un jour, alors que je me tenais à ses côtés pour lui ouvrir le classeur des signatures, monsieur Roland a laissé traîner sa main négligemment sur la fesse la plus proche de lui.
Je suis devenue entièrement rouge, je suis sortie du bureau précipitamment, mais là encore, je me suis tue.
Les rapports avec mon mari, sont devenus tendus, du moins espacés, cela me travaillait jusquau jour où jai fait une crise de larmes le soir à la maison.
Lionel essayait de me consoler, mais plus il le faisait plus je pleurais.
Il a fini par appeler le docteur Martin qui me soigne depuis des années.
Il a diagnostiqué une dépression demandant un traitement pour ce genre de maladie.
Il marrête pour un mois avec un traitement de cachets contre le stress.
Je les prends régulièrement, mais avec des conséquences secondaires, je reste couchée devenant une sorte de salade verte, plus denvies sexuelles.
Cest là quun coup de grâce mest porté, je découvre ce que toute femme redoute de la part de son époux, il a une maîtresse.
Jignore qui elle est, ce dont je suis sûr cest quelle est blonde.
De nombreuses fois, je trouve des cheveux sur son costume de travail.
Il sabsente de plus en plus, je décide de le reconquérir et de me battre comme toutes les femmes de ma famille.
Docteur, vos médicaments massomment, je veux arrêter mon traitement et redevenir la femme que jétais, je veux retrouver lappétit sexuel avec mon mari.
Impossible dinterrompe votre traitement madame Véronique sans risquer de replonger.
Essayez dêtre plus aguichante pour lui, je prolonge votre arrêt de travail jusquau mois prochain, je vous reverrais à ce moment là.
Jai oublié de lui dire que jétais cocu.
Il est vrai que cest une impression.
Pendant un mois, je porte des tenues plus affriolantes, à part un soir où il me fait lamour sur notre canapé, mais sans grand plaisir de ma part.
Docteur, jai suivi votre conseil, à la maison, je porte des tenues à la limite de la décence.
À part une fois où il a craqué sans pour autant me faire vibrer, je vous conjure de faire quelque chose pour que je retrouve ma vie davant.
De toute façon, cela fait trois jours que jai arrêté de les prendre.
Cest à ce moment que je suis tombée en larmes.
Vous voyez, javais raison, vous êtes loin dêtre guérie, jai peut-être une solution.
Je viens dapprendre quune société pharmaceutique américaine commercialise un nouveau médicament sur le marché.
Je vais vous le prescrire, vous serez lune des premières à être traité en France.
Soyez sans crainte, les responsables du médicament lont agréé, ils ont contrôlé son efficacité et par chance ils disent quil présente aucun effet secondaire.
Je prends mon cachet tous les midis au milieu du repas comme prescrit.
Je retrouve du tonus, la seule chose que je craignais cétait le retour au bureau et surtout me retrouver sous la coupe de monsieur Roland.
Je revois mon médecin.
Comment se passe votre traitement, je vois que vous semblez avoir la forme ?
Cest vite dit, certes, jai retrouvé lenvie de manger, de rire et je vais être direct, jai retrouvé lenvie de faire lamour.
Mon mari semble le ressentir, quand il sent que je le caresse dans la nuit, il recommence à me faire jouir, mais jai peur de recommencer à être harcelée par mon supérieur.
Changez de travail.
Je lui explique, il comprend et me prolonge dun nouveau mois, puis dun autre, bien que je me sente légère comme jamais.
Un jour, je décide daller sur les Champs-Élysées.
Je pars à pied, mais au moment du retour, je suis un peu fatiguée.
Je décide de prendre le métro, il y a un café, jentre pour boire un jus de fruits.
Un whisky sil vous plait !
Coca ?
Non, sec.
Le barman me regarde dun drôle dair, une cliente à 15 heures au whisky, ce doit être rare.
Même moi, quand je bois cul sec et que je paye avant de sortir, je me demande quelle mouche ma piqué.
Je descends dans le métro, je comprends que si je suis allée boire ce verre dans ce café, cest la peur du trou noir quest le métro.
Arrivée sur le quai un homme en complet veston attend son attaché caisse en main.
Le métro arrive, à cette heure, il y a peu de monde, je massieds sur un strapontin et je regarde le plan.
Six stations avant darriver dans mon quartier, lhomme prend le strapontin face à moi.
Et là, limpensable se produit, jécarte mes jambes assez pour quil me voie.
Mais pas assez pour que les rares personnes assises puissent profiter de mon entrejambe.
Bien sûr je porte une petite culotte blanche, mais avec la mini que jai mise, il doit tout voir.
Il semble se désintéresser jusquà la station suivante où il se lève et me glisse.
Suis-moi salope.
Où sommes-nous, certainement pas six stations plus loin que celle où je viens de monter ?
Nous retrouvons la lumière, je le suis sans me poser de question.
À la sortie, une Sanisette, il glisse une pièce, comme un zombie, jentre sans minquiéter que lon me voie, il me suit, la porte se referme.
Suce salope.
Non, baisez-moi.
Je soulève ma jupe et me plaque à la paroi métallique, cambrant les reins en écartant mes cuisses.
Il faudrait que jaie le courage de revenir à la raison, mais ce pieu que je vois sortir quand il fait tomber son pantalon, il me le faut.
Il me plaque, se place en moi, je pars immédiatement.
Jatteins un sommet jamais ressenti.
Cest la deuxième verge en moi et quand nous éclatons tous les deux, son sexe me donnant ce que je suis venu chercher, du sexe sauvage, hard sans lendemain.
Quest-ce que monsieur Roland a cassé en moi pour que pour me punir, je me donne comme cela dans les chiottes sur un trottoir de Paris à cet inconnu ?
Jentends la porte souvrir.
Il disparaît, jai juste le temps de sortir sous le regard narquois dune fleuriste sur le trottoir den face qui semble avoir tout vu.
Jai mal remonté ma culotte, mais suffisamment pour reprendre ma route.
Un taxi passe, je lève ma main, il sarrête.
Je lui donne mon adresse, il rechigne, la course est courte.
Quand je massieds, je sens le sperme de mon pourfendeur couler entre mes cuisses.
Non seulement, il va percevoir une course peu rentable, mais en prime il va falloir quil nettoie son siège.
Je sens quen plus du sperme, ma chatte est en feu et surtout ma petite excroissance que je voudrais caresser dans ce taxi, mon excitation imparfaitement assouvie.
Je coule comme jamais.
Je descends, je paye, je monte chez moi, je me déshabille, met tout au linge sale pendant que mon bain coule.
Jentre dans leau chaude pour me laver de ce que je viens de faire.
Pour la première fois, ce sont mes doigts qui tentent de me calmer.
Jy arrive après une demi-heure de caresse et de pénétration de trois de mes doigts.
Jai le temps de réfléchir sur ce qui sest passé, pourquoi ce comportement, mais quel immense plaisir, jai pris, est-ce le goût de linterdit, moi la petite fille sage.
Quand je sors de leau, je suis sûr que cet épisode de ma vie, restera un simple épisode que je vais enfouir au fond de ma mémoire
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