La Culotte De Madame - Partie 2
LA CULOTTE DE MADAME- PARTIE 2
Comme il fut mentionné dans la première partie de cette histoire, Moïra était la propriétaire dune chaîne de boutiques de lingerie féminine qui sétendait dans toute lEurope. Elle en avait hérité de sa grand-mère et elle était très riche. La toute première boutique, ouverte par sa grand-mère, était encore là et elle attirait encore des femmes qui, comme Moïra et Reena, étaient des amateurs de lingerie usagée, surtout des culottes.
Moïra visitait la boutique régulièrement et y amenait une de ses amies à chaque occasion. Reena lavait accompagnée plusieurs fois alors Moïra avait décidé damener lamie britannique qui lui avait envoyé le colis (voir partie 1) et qui était venue en France pour visiter sa famille. Pamela, qui avait environ le même âge que Moïra, était également dans le même domaine. Elle était propriétaire de deux boutiques dont une se situait à Londres et était le rendez-vous favori de plusieurs lesbiennes en visite. Pamela était bien sûr également une collectionneuse de culottes. Tout le monde dans ce milieu se connaissait.
Moïra arriva à sa boutique avec Pamela à 10h qui était lheure douverture. Marianne la reçut avec beaucoup de respect et daffection. Marianne était vendeuse dans cette boutique depuis 20 ans. Elle connaissait ses culottes à lendroit et à lenvers (mille excuses !). Moïra et Pamela sinstallèrent dans le bureau rutilant de la propriétaire et qui était en même temps un paradis pour les voyeuses. Il y avait quatre cabines dessayage et il y avait trois caméras cachées dans chacune delle. Bien entendu, la caméra principale, sous le déguisement dune caméra de sécurité, montrait toute la boutique. Moïra pouvait contrôler chaque caméra à partir dun ordinateur sur son bureau. Elle pouvait voir une cabine à la fois ou les quatre en même temps. Elle pouvait faire un zoom ou un grand angle. Pamela était ahurie par la technologie et était très intéressée à adopter ce genre de système dans sa boutique.
La première femme à arriver était certainement une femme daffaire. Un ensemble Chanel de laine très classique, un foulard, des talons hauts et une toute nouvelle coiffure. Marianne la connaissait puisquelles se firent la bise. Même à 60 ans, Marianne avait lesbienne écrit dans le front. Elle déshabillait les femmes des yeux aussitôt quelles entraient. Quelques minutes plus tard, une autre femme mûre fit son entrée. Marianne la connaissait aussi. La nouvelle était très différente de la première, tout aussi belle mais dun autre style. Elle était le type mère au foyer avec des jeans de couturier, un chemisier bleu pâle, des bottes western basses, et des cheveux noirs courts. Elle salua Marianne de la tête. On pouvait sentir la compétition entre les deux femmes même si la femme au foyer avait 20 ans de moins.
Butch, murmura Pamela à loreille de Moïra. La patronne pinça la tétine de son amie et les deux femmes sembrassèrent. Moïra pouvait sentir des gouttelettes venant de la chatte de Pamela sur sa cuisse. Elles étaient déjà très excitées. Comme sur un échiquier, lentrée de la seconde femme avait tout changé. Marianne nétait plus dans le coup et retraita malgré elle derrière la caisse enregistreuse. Elle perdait la joute contre une plus jeune. Cétait maintenant entre Chanel et Maman. Chanel était dans la section des strings et Maman faisait semblant de regarder des soutiens-gorges.
Est-ce que ça vous ennuie si je regarde aussi ? Je pense quil y a assez de culottes ici pour nous deux », dit Maman souriante.
Il y a assez de strings ici pour toutes les filles en première année à luniversité , dit Chanel, dévoilant son métier.
Jaurais bien aimé avoir une prof aussi belle que vous quand jétais à luniversité, dit Maman avec un certain culot.
Merci, dit simplement Chanel qui nétait pas tout à fait prête à sengager.
Quest-ce que vous pensez de celles-ci ?, demanda Maman qui nétait pas prête à jeter la serviette (ou la culotte !!).
Jaime la forme. Je pense quelles vont soutenir ce que je ne peux quimaginer, répondit Chanel qui montrait de lintérêt pour la première fois.
Si vous aimez sentir la laine chaude sur votre peau, je prendrais celles-là si jétais vous, dit Maman ramassant une paire de culottes microscopiques qui ne ferait que sengouffrer dans toutes les fentes.
Essayons-les, continua Maman qui avait pris les devants et savait que la danse de séduction était terminée.
Marianne ouvrit la porte de la première cabine dessayage et regarda la caméra, haussant les sourcils. Pamela quitta rapidement les genoux de Moïra et roula une chaise à côté de celle de son amie. Les lesbiennes ne voulaient pas rater cette baise qui sannonçait sulfureuse.
Chanel et Maman entrèrent ensemble dans la cabine.
Dabord les souliers se retrouvèrent dans un coin, ensuite les chemisiers furent enlevés, puis les jupes et les jeans. Les deux femmes se faisaient face dans leur string. Maman enleva le sien la première et le roula dans une boule. Chanel fit la même chose. Chaque femme pressa doucement sa culotte sous le nez de lautre. Elles aspiraient comme chez le médecin et sentaient les odeurs de culottes bien utilisées. Les ventres se touchèrent et les nichons aussi. Maman regarda le tapis du plancher. Ça ferait laffaire. Elle avait été sur ce tapis auparavant et Chanel aussi. Chacune avait baisé et sétait fait baiser dans une cabine dessayage de cette boutique. Les deux femmes se retrouvèrent sur le tapis, Maman étant sur le dessus. Maman mit sa culotte en boule dans la bouche de Chanel , puis elle ouvrit la bouche pour recevoir loffrande de Chanel. Ensuite les femmes prirent leur position, se préparant à la baise. Elles étaient en position missionnaire, les deux toisons, lune noire lautre blonde, commencèrent immédiatement à se frotter lune contre lautre. Maman pressa ses hanches entre les cuisses ouvertes de Chanel. Chanel croisa ses jambes autour de la taille de Maman. Ces femmes savaient comment se baiser entre femmes. Chacune mâchait les culottes de lautre, se tâtait les tétons et se frottait le nez ensemble. La salive coulait de leur bouche. Celle de Maman coulait sur le visage et le cou de Chanel; celle de Chanel roulant sur son cou et se retrouvait sur le tapis. Elles avaient trouvé la position idéale pour un frottage de clitos. Ça ne leur prit que quelques minutes dun frottage constant et précis pour que les deux femmes aient un gros orgasme. Même Marianne les entendit crier. Les culottes tombèrent de leur bouche. Elles sembrassèrent pour la première fois. La cabine dessayage sentait la chatte mouillée. Les femmes conservèrent la culotte de lautre comme souvenir.
Moïra et Pamela sétaient mutuellement masturbées avec ardeur en regardant la baise entre les deux belles lesbiennes. Elles navaient besoin que de se mettre en 69 pour quelques minutes et de se sucer le clito pour quelles explosent comme deux grenades. Elles échangèrent leurs culottes trempées de cyprine.
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Une fois par mois, Marianne organisait ce qui ressemblait à une dégustation de vin. Elle ninvitait que des femmes triées sur le volet et, bien sûr, Moïra était habituellement présente. Vous avez probablement deviné quil sagissait dun buffet-culottes-usagées suivi dune vente. Habituellement lorsquune cliente achetait une culotte à la boutique, elle devait y laisser son ancienne culotte. La boutique faisait de cette façon de largent des deux côtés, avec les culottes neuves et en revendant les culottes usagées. En fait, Moïra avait bon coeur et largent que la boutique faisait avec les culottes usagées était toujours remis aux uvres de charité pour les femmes victimes de violence, les sans-abris ou les femmes âgées. Les clientes étaient au courant de cette pratique et payaient le prix fort avec joie.
Marianne utilisait quelques tables quelle recouvrait denviron 50 paires de culottes ou de strings mais sans inclure les culottes de collection, ce que les Anglaises appellent knickers ». Elles étaient réservées pour des encans (on verra plus tard). Quand les portes ouvraient, une douzaine de femmes excitées se ruaient dans la boutique. Deux cabines dessayage étaient utilisées pour sentir et acheter. Les deux autres cabines ?
.eh bien ça dépendait du niveau dexcitation des clientes . Chaque culotte ou string avait un numéro et il y avait des listes de prix sur les murs. Les femmes navaient pas le droit de les essayer, seulement de les sentir. Le but nétait pas de couvrir les femmes mais de les exciter. La plupart des femmes qui assistaient à cet évènement ne portaient pas de culotte sous leur jupe ou robe (peu portait le jeans).
Oh Denise, je pense que celle-ci est pour toi, dit Rachel qui venait de humer un string jaune.
Mmmm, jhésite. Laisse-moi te sentir dabord et je te dirai, répondit Denise, qui se mit à genoux devant Rachel qui avait relevé sa jupe et rendait disponible sa chatte à sentir.
Non, je pense que cest plutôt pour toi, dit Denise avec un sourire, le nez toujours dans le buisson poilu de Rachel.
Rachel remis les culottes à Marianne qui les mis dans un sac après avoir reçu le paiement. Pour la remercier, Rachel embrassa son amie et lui mit la main aux fesses.
Si ces dames veulent se faire des câlins, vous pouvez utiliser une des deux cabines vides, dit Marianne.
Nous devons te trouver quelque chose dabord, Denise, insista Rachel.
Les deux lesbiennes devaient à loccasion jouer du coude pour atteindre ce qui les intéressait. Marianne surveillait et sarrangeait pour que le tout se déroule dans une bonne ambiance. Rachel et Denise étaient de jeunes secrétaires qui travaillaient pour le même bureau davocats. Elles étaient des clientes assidues à ces évènements.
Finalement, Denise se décida pour une culotte épaisse et assez ancienne et qui devait avoir une longue histoire à en juger par son prix.
Rachel était envieuse et Denise promit de la partager. Elles étaient prêtes à rejoindre la cabine dessayage no.3 qui était vide sauf pour un autre couple. Les deux secrétaires nhésitèrent pas à se mettre la main sous la jupe et commencèrent à se caresser sérieusement près de lautre couple qui était déjà sur le tapis, dans un 69 très serré.
Certaines personnes très connues se rendaient souvent à ces évènements : des chanteuses, des vedettes du sport, des journalistes de la télé. Toutes ces femmes étaient déjà sorties du placard et nétaient pas du tout timides dêtre vues dans cet environnement de lesbiennes. Comme cétait en partie un évènement de charité, certaines célébrités se faisaient payer pour des faveurs puis donnaient largent à Marianne pour les bonnes uvres.
Cette journée-là, on pouvait rencontrer Annie Céleste, une étoile dorigine haïtienne de léquipe de basket féminin. Elle avait attiré plusieurs clientes qui faisaient la queue et avaient payé 50 euros pour acheter un string signé par lathlète qui lavait porté durant un match. Une femme suivit Annie aux WC et la paya pour quelle pisse sur une culotte quelle avait apportée de chez elle pour loccasion. Annie, une grande et belle femme noire, était aussi disponible pour des baisers, des attouchements et du suçage de nichons. À un certain moment, elle avait une femme devant et une derrière qui suçaient allègrement à ce quelles voyaient. Dans quelques mois, Annie et une journaliste de la télé étaient cédulées pour une séance de sexe dans une cabine dessayage. Après la séance, les deux femmes avaient accepté de frotter leur moule avec les culottes quavaient apporter les admiratrices. Tout cela pour les bonnes uvres.
Moïra et Pamela arrivèrent 15 minutes avant la fermeture. Moïra savait que Marianne avait lhabitude de choisir une cliente qui lexcitait particulièrement. Dans ce cas, Moïra pouvait la remplacer à la caisse.
Même à 60 ans, la lesbienne en voulait et souvent. Marianne était une des seules femmes ce jour-là qui portait une paire de culottes et cétait le type ancien de culotte blanche.
Elle avait repéré une femme de son âge qui ne semblait pas indifférente aux signaux évidents de Marianne. Elle avait lair timide mais était restée autour des tables longtemps après avoir fait son achat, jetant un coup dil à Marianne de temps en temps. Elles étaient faites lune pour lautre. La femme se prénommait Brigitte.
Finalement Moïra sétait installée derrière la caisse, et Marianne se dirigea vers Brigitte. La femme avait des cheveux gris frisés, un joli visage mais aussi une bonne paire de nichons et des fesses qui frissonnaient lorsquelle marchait, ce qui rendait Marianne complètement folle.
Bonjour ma jolie, dit Marianne, lui donnant un baiser sur la bouche.
Bonjour ma chérie, répondit-elle, tirant la langue vers Marianne pour quelle la suce.
Jen porte, dit Marianne lorsque les deux femmes senlacèrent.
Moi non, chuchota Brigitte
Je te donne les miennes en échange dune baise, proposa brutalement Marianne
Daccord
allons au no.4, dit Brigitte, prenant Marianne par la main
Moïra et Pamela observaient la scène et aurait bien aimé être dans le bureau pour voir la baise sur leur écran.
La cabine dessayage no.4 était à moitié pleine. Marianne mit les mains sous sa jupe et retira sa culotte. Brigitte les prit avec les deux mains et les écrasa contre son visage et son nez. Pendant ce temps-là, Marianne sétait déshabillée. Brigitte fit de même. Marianne avait reconnu en Brigitte le type de lesbienne soumise qui lattirait. Les deux lesbiennes avaient fait ça plusieurs centaines de fois. Elles se placèrent en position pour que Marianne monte Brigitte en position missionnaire. La butch glissa ses mains sous son amoureuse pour se saisir de ses fesses et mettre ses doigts dans sa raie. La rencontre des appâts des deux femmes savéra parfaite : lèvres sur lèvres, pissette sur pissette, clito sur clito. Elles se frottèrent lune sur lautre pendant ce qui semblait une éternité mais ce ne fut que pendant 10 minutes puis elles crièrent leur orgasme à un petit groupe de femmes qui les avaient entourées. Elles étaient couvertes de sueurs, leur corps reluisant aussi de la cyprine quelles avaient giclée partout, même sur les spectatrices. Comme Marianne se roula pour être côte à côte avec Brigitte, quelques femmes saisirent loccasion pour frotter une culotte sur la moule des deux femmes. Marianne et Lillian les laissaient faire. Les toilettes étaient remplies de femmes demandant à dautres femmes de pisser sur leur culotte quelles trainaient avec elle.
Les invitées commençaient à quitter, la plupart apportant leur précieux achat dans un sac. Une femme voulait la culotte de Pamela mais elle nen portait pas. La femme ne la croyait pas, alors Pamela releva sa jupe et lui montra sa motte poilue. Les tables étaient vides puisque Moïra avait déjà ramassé les culottes qui restaient pour prévenir les vols. Pamela invita la femme à un bouche-à-sexe avec elle. Son invitation fut acceptée avec empressement et Moïra assista à un 69 endiablé entre son amies britannique et une femme qui aurait pu être sa mère.
Moïra sassura que tout le monde avait quitté les lieux et permit à Pamela et à sa nouvelle amie de se sucer jusquà lorgasme. Marianne, Brigitte, Moïra, Pamela et son amoureuse se dirigèrent vers une cabine dessayage vide pour continuer leurs ébats avec ou sans culotte.
FIN (pour le moment)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!