Un Bel Été 9

Un bel été 9

Ce samedi là, David était bénévole dans l'organisation de la fête de son village.
Le vendredi soir, il était venu me chercher à la sortie de mon petit boulot d'été. Juste quelques petits câlins et nous voilà partis aider à la mise en place des différents stands.
Une nuit d'amour très savoureuse quand même mais un réveil très matinal qui n'avait pas empêché David de m'honorer de toute sa virilité, de se soulager du trop plein d'amour qu'il gardait pour moi.
Les bénévoles étant une denrée qui se raréfie, mon aide a été la bienvenue et mon parrainage par David n'a gêné personne.
Chacun à son poste, occupé à gérer ce qu'il avait à faire, agrémenté d'une météo favorable, la fête et l'ambiance ont pris une bonne tournure.
Le midi, un sandwich et une boisson nous ont été offerts. Profitant de mon remplacement pendant 30 minutes, j'ai rejoint David occupé à d'autres fonctions.

" David, veux tu manger un autre sandwich ?
" Oui, je veux bien. Merci Laurent.

Je suis allé en acheter un que j'ai aussitôt apporté à David.
" Attends, Laurent, je vais t'en donner la moitié. Je veux que tu manges, toi aussi.

Un bénévole, plus âgé que David, a vu notre partage et a semblé intrigué par cette amitié entre nous. J'ai vu et ressenti toutes les questions qu'il pouvait avoir en tête à ce moment là.
Devant la carrure et le tempérament, l'air ours de David, il n'a pas osé l'aborder de front. Dès son approche dans ma direction, j'ai su qu'il y aurait une question.

" T'es copain avec lui, je ne t'avais encore jamais vu ?

David s'est rapproché, comme un mâle dominant qui tient à garder ce qu'il a de plus précieux. L'autre bénévole, sentant la remise en place arriver, n'a pas attendu ma réponse et a proposé de nous offrir à boire, pour éviter de se faire recadrer pour sa curiosité qui allait sûrement augmenter, au fil des questions.



" Il y a un problème, Laurent ?
" Non, tout va bien, David.

J'ai senti tout l'amour et la protection qu'il pouvait avoir pour moi. La tendresse, toute la fougue et l'ardeur de son corps sur moi la nuit n'étaient pas artificiels, sa jouissance en moi et l'attention à mon plaisir et à mes éjaculations non plus.
Quelques temps plus tard, au moment de son remplacement, il m'a apporté une part de dessert et une autre boisson, tout ravi de me faire plaisir.

" Moi aussi, je suis capable de t'offrir à boire….

On a souri tous les deux, complices. Le mec est arrivé avec ses boissons, comme promis. Il a été chaleureusement accueilli, comme David sait le faire mais n'a pas posé de question.
L'après midi s'est déroulé dans une grande et bonne ambiance. Ce n'est qu'en début de soirée que j'ai retrouvé mon David bien en forme. Je ne dirais pas ivre, pas du tout, mais un peu chaud. A chaque regard sur moi, j'ai senti ses yeux briller, brûler d'envie et de désir.
Le bénévole qui avait essayé de m'aborder, sûrement un mec bi, n'a plus eu aucun doute lorsque David a passé devant lui sa main sur mes épaules, ne laissant aucun doute sur le genre d'affection qu'il pouvait m'apporter. Il n'a cependant pas osé nous approcher.

C'est bien fatigués que nous avons fini ce samedi, après avoir rangé le plus important et surtout après un repas festif plus que détendu. Bastien, l'agriculteur, lui aussi de la fête, nous a ramené à bon port et a continué sa route.

Embrumé et chaud, David s'allonge sur le ventre, s'étend en croix sur le lit:

" Mon chéri, baises moi, bourre moi le cul.

Je reste stupéfait de l'entendre. Mon beau macho, mon magnifique David qui s'offre à moi, chaud, le cul à l'air, qui attend de se faire enculer.

" Vas y Laurent, prends moi le cul, j'ai envie que tu me baises.

Moi aussi, je suis chaud. Cette journée festive, plus le si peu d'alcool que j'ai bu, m'ont chauffé la tête et le corps.
Enthousiaste, je m'allonge sur mon splendide étalon et lèche sa nuque puissante puis entreprends de le masser, de pétrir ce corps que j'adore tant.

" Hummm, c'est bon mon cœur, j'aime bien tes mains sur moi.

Je bande un max. Son dos magnifiquement tatoué, ses fesses d'un galbe parfait, ses cuisses musclées et bronzées….Humm, une merveille de la nature.
Ma langue râpe son dos puissant et je ne m'inquiète pas du goût salé de sa sueur de la journée. Lorsque j'entreprend de saliver sa rosette, de lui bouffer le cul, le contact est si bon qu'il tend sa croupe pour mieux profiter…. le feu est en lui.
" Hummm, t'es trop doué, continue…
Je saisis un petit pot de gel posé à côté qu'il utilise pour moi et commence à lui graisser le petit trou avec mon doigt. David n'est pas habitué à ce genre d'intrusion et manque de souplesse.
" Oh, putain, t'as trop envie de me baiser, mon salaud
" Je t'ai fait mal ?
" Non, vas y, mon cœur, prépare moi le cul.
" Détends toi, mon chéri, laisses toi aller. Tu sais bien que je t'aime.

Qu'es ce qui me prends? Je lui dit "mon chéri" et que je l'aime. C'est comme si les rôles s'inversaient et me libéraient de tout. Subitement, là, j'ai envie de le niquer, de le féconder.
Mes deux doigts finissent par rentrer et la rondelle de mon "chéri" commence à s'assouplir. Il me veut, je le sens, je le sais.

" Baises moi, vas y, nique moi, Laurent.

Avant qu'il ne change d'avis, qu'il réfléchisse trop, mon gland ouvre son œillet et la moitié de ma bite est en lui.

" AHHH, Putaaaaiiiinnnn…Salaaauuud.
" Détends toi, mon chéri, le plus dur est fait.
" Vas y, mets moi tout. C'est toi que je veux dans mon cul.
Puis, d'un autre coup de reins, je l'encule au maximum de mes possibilités.

" AHHHH, Puttaaaiiinnnn… Tu m'as pété le cul, salaud.
" Depuis le temps que j'avais envie de te baiser.
" Fais toi plaisir, mon cœur, mon cul est pour toi.

" Mon David, mon chéri, je vais pas tenir longtemps, j'ai trop de plaisir.
" Jutes moi dans le cul, donnes moi tout.

Je sens que je vais pas arriver à me contrôler. J'aime trop David. La chaleur de son corps, ma bite dans son cul, c'est trop. Je serre son corps massif dans mes bras et je me mets à lui dézinguer le cul comme une machine à coudre. Lorsqu'il remue son cul pour faciliter notre accouplement….je disjoncte, j'envoie, je décharge, je jouis.

" AAAAAhhhhh, je suis désolé, mon David, j'avais trop de plaisir.
Une de ses mains vient appuyer sur mes fesses pour s'assurer que je lui livre tout.

" C'est trop bon, Laurent. Ta bite est trop bonne.

Je me retire de mon David, trop excité, qui, pour une fois, se branle. Il me laisse approcher et introduit son gland et un peu de son magnifique bambou dans ma bouche, viens jouir, m'offrir tout son sperme. Trois jets crémeux et nacrés se répandent sur ma langue avant que je n'avale le tout.
Il m'attire à lui, me serre, éperdu, les yeux humides, chaud, un peu bourré…

" Je t'aime, Laurent. "

Il ferme les yeux et se laisse porter par mes baisers sur son visage…. Il s'est endormi.


Le lendemain matin, David dort encore. Le café est chaud et le petit déjeuner prêt. Il arrive soudain, embarbouillé, nu, la bite affreusement raide, s'approche de moi, m'attire à lui.

" Viens mon chéri, je ne voudrais pas manquer à mon devoir conjugal.
" David, ton café est prêt.
" J'ai d'autres priorités.

Il att un plaid posé sur le canapé et le pose sur la table, me tourne pour tâter mes fesses.

" Baisses ton froc. Je vais te faire voir qui est le mâle ici.

Sans attendre, il descend mon bermuda. J'ai juste le temps de m'enduire le cul d'un peu de salive pendant qu'il se graisse la bite d'un crachat bien gras. L'enculage est viril, d'une puissance hors de commun tout comme mon cri qui lui fait comprendre que je l'ai bien toute sa longueur ( et il est très bien pourvu mon David ) complètement dans le cul.
Il m'écarte les cuisses pour mieux me fourrer sa longue pine dans les entrailles. L'accouplement est bestial. Il me coulisse son long bambou sans complaisance.

" T'aimes bien ça, ma p'tite salope.
" Ouiiii
" Tu la sens bien dans ton p'tit cul.
" Ouiiii
" Tends bien ton p'tit cul, que j'te fourre.
" Ouiii
" Oh, Putain, le cul. Remue ton p'tit cul, fais moi juter.
" Ouiii
" OUUUIIII, continue, fais plaisir à ton mâle.
" Ouiii
" Putain, t'es une p'tite salope. J'vais péter le cul.
Il me penche sur la table et me dézingue le cul comme une bête….

" Heeeiiiinnnn
" AAAHHHH…..Putaiiiiinnnn…..je jute….huuuuum

Dès qu'il se retire, il me redresse, me retourne face à lui. Tout sourire, il me regarde:

" J't'ai bien baisé. T'as trouvé ça bon, mon chéri.
" Tu es imprévisible, David. C'est toi le meilleur.
" Tu as aimé, tu bougeais bien du cul.
" David, c'était trop bon mais là, tu as une haleine de phoque, tu pues trop de la gueule.

Surpris de tant d'audace envers lui, il m'attire à lui et me roule une pelle baveuse, interminable. Sa langue me laboure le palais. Je sens son sexe durcir entre mes jambes et la pression de ses bras, de ses mains augmenter.
Il me bascule sur la table, me lève les jambes et vient s'emboiter en moi. Ses lèvres, fixées sur les miennes comme une ventouse, m'empêchent de gémir sous ses assauts. Il me coulisse et ne ralenti que lorsque mes mains caressent son visage et s'accrochent à son cou.
Il sent mon sperme répandu entre nous et je voie en lui le bonheur, l'amour qu'il me porte. Sa langue baveuse se retire de ma bouche et ses lèvres me couvent de bisous, de baisers, pendant qu'il jouit en moi une seconde fois, accomplissant son devoir conjugal, comme il dit.

Les relents de la fête d'hier, son haleine pas fraîche, mon David m'aime, et c'est le principal.

" Oh, Putain, j'avais envie, ce matin…..et il disparaît dans la salle de bains.

Lorsqu'il réapparait, souriant, vêtu d'un simple short, rasé de près, respirant la chlorophylle et sentant le propre, son bisou est tendre, taquin.

" Merci Laurent de m'avoir attendu pour prendre le café ensemble. Fait moi un bisou, mon cœur.
….tu voies, je sens bon maintenant.
" David, moi aussi, je t'aime.
" Il y a longtemps que je le sais, mon chéri. Je l'ai vu dans tes yeux dès la première fois.




Caramel
Prenez du plaisir, protégez vous.
Si l'histoire vous a plu, vous pouvez laisser un petit mot ou m'écrire. Merci.



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