La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1332)
Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode précédent N°1324) -
Une soumise en bonne santé est plus à même de servir et satisfaire les besoins et exigences du Maître.... Le repas fut frugal, suffisamment toutefois pour faire taire, et satisfaire, pour plusieurs heures à venir mon ventre et me permettre de me concentrer pleinement au spectre de Monsieur le Marquis. J'aurais aimé, je pense, être prise en photo ou avoir les talents d'une dessinatrice pour croquer les scènes érotiques éblouissantes, que j'ai vécu depuis ce jour-là avec Celui venu doutre-tombe, Le Maître. Car même si je les garde précieusement dans mon esprit, les détails de ceux-ci malheureusement, s'estompent doucement au fil du temps... . Déjà, je ne serais narrer de nouveau pleinement ma nudité frémissante, autant habillée que dévoiler par la lumière et la pénombre, avec pour seul merveilleux bijou à mon cou, ce collier sublime de soumise, où y était accroché, telle comme pour un animal, cette laisse, tenue que je fus ainsi et plus d'une fois depuis, librement et docilement mené par majestueux fantôme de Monsieur Le Marquis d'Evans, dans les couloirs de son Illustre et si ancienne Demeure.
- Maître, où nemmenez-vous ?
C'était étrange pour moi de m'entendre l'appeler Maître à haute voix. Ca me donnait des frissons. Et ce n'était pas parce que j'étais nue et que j'avais un peu froid. Il ne me répondit pas, se contentant de tirer un petit coup sec sur ma laisse en avant, me signifiant ainsi de peut-être me taire, sinon d'assurément continuer à le suivre docilement. Nous somme remontés à l'étage, nous dirigeant vers la chambre que je considérais comme mienne, depuis mon arrivée dans cet imposant Château. Pour y avoir passé plusieurs nuits, telle une princesse dans ce lit à baldaquin ancien en bois abondamment sculpté de mille moulures finement travaillées... C'est alors que le souvenir de mes pas hésitants à demi hébétés par l'alcool, embarquée ici, par toi Sandra et Jack mest étrangement revenu en tête.
En arrière-plan de mes pensées, je me rendis compte soudain que Monsieur le Marquis nemmenait nullement dans ma chambre, tournant dans un couloir que je ne connaissais pas encore, jusque devant une porte, qu'y s'ouvrit toute seul devant nous, juste par la volonté du Noble. Je fus surprise en le suivant à l'intérieur, non pas d'y découvrir une nouvelle chambre, me doutant bien que dans ce vaste Château, il devait en avoir une multitude d'autres, mais d'en découvrir une à l'aménagement si spartiate. Elle n'avait rien à voir avec celle que j'occupais, séculaire du 18ème siècle. Ici pas de meubles anciens, à part une grande armoire garde-robe dans le fond de la pièce et une sorte de pouf banc rectangulaire noir en cuir, qui se trouvait devant un grand lit, assez large nullement à baldaquin celui-ci. Ce qui m'interpella à propos de ce lit, c'est qu'il nétait pas équipé de cousin, ni de couvertures, juste un matelas drapé d'une housse noir. De plus, il était orné de manière visible de part et d'autre des côtés, y compris à l'arrière du lit, de solides anneaux en métal épais. Toutes les cellules de mon corps se mirent à tressaillir dappréhension, mais Sa voix dans ma tête me murmura qu'il n'y avait rien à craindre. Cette voix était, bien entendu, celle du spectre de Monsieur le Marquis.
- Agenouille-toi, offre-moi ta soumission et ton obéissance et je te comblerais d'intenses plaisirs !
Ainsi, malgré mon appréhension, mais désirant plus que tout à me soumettre à chacun de Ses ordres, je fléchis les jambes et m'agenouillais aussitôt devant lui.
Jouait-Il avec mes nerfs, mettait-Il à l'épreuve ma détermination et mon désir d'être Sa soumise, qu'Il m'infligeait cela sans m'attacher ? Je le supposais, vue comme il métait des plus difficiles façons de me retenir, de ne pas porter mes mains en guise de protection et de réconfort à mes seins, me forçant à les garder croisées dans mon dos. Tandis que tremblante, je me disciplinais à demeurer docilement à genoux, désirant aller jusqu'au bout de ce traitement... Monsieur Le marquis s'interrompit au bout de 10, 15 coups, en me souriant. Étrangement, même si après cela, mes seins étaient rougis et quelque peu douloureux, je me sentais réjouie moi aussi d'avoir su endurer cela sans protestation physique excessive, telle une parfaite soumise. L'instant d'après, Le Noble me fit m'allonger dans le lit, sur le dos. Je frissonnais en sentent la froideur et douceur du drap sous moi, me sentent un peu nerveuse.
Je le regardais en silence, faire le tour du lit, affichant sur Son visage, un sourire radieux. J'hésitais pourtant quelques secondes lorsqu'il me saisit mon poignet gauche. Face à ma réaction, il se pencha et pressa ses lèvres froides dans le creux de ma main. Mon bras se détendit, le laissant procéder de même que pour mon poignet droit, alors que ma respiration s'accéléra. Une fois que mes deux bras furent attachés et écartés à 90 degrés perpendiculaires au reste de mon corps, il se déplaça à l'arrière du lit et ajouta à ma tension en entravant également mes chevilles avec l'autre jeu de bracelets, les reliant également écartées de part et d'autre aux anneaux du lit. Ce n'était pas la première fois que je me retrouvais attachée, pourtant même si j'avais une confiance assurée envers Monsieur le Marquis, à chaque fois, je ne pouvais m'empêcher d'éprouver une certaine appréhension... Il vint ensuite près de moi, sessayant sur le bord du lit, qui étrangement ne frémit pas et dont le matelas ne saffaissa même pas un peu de son poids. Il me regarda, non pas comme un prédateur fou prêt à se jeter sur sa proie sans défense, mais bel et bien comme un homme aimant, Dominant certes, mais avec ce regard, oserais-je dire, d' pétillant d'envie et d'émerveillement pour le jouet que mon corps représentais pour Lui, excité à l'idée des heures de Domination/soumission que nous allions pouvoir avoir ensemble. Bref, il me contemplait, il scrutait et savourait mon corps avec sublimation comme un passionné de peinture admirerait très longuement une toile de maître dans un musée
Il se mit à effleurer du bout de ses doigts, mes tétons rougis
(A suivre
)
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