Ça C'Est Passé Simplement 16
Samedi 29 Mars 1986 le soir
La venue de Anaïs
Je restais chez Evelyne la journée pour finir mon rapport, à penser à la prochaine soirée, et surtout chercher un emplacement discret avec vue imprenable sur le spectacle qui devrait être excitant, jusquà ce que je me souvienne que dans la chambre dEvelyne javais vu un petit fenestron donnant sur la chambre voisine et javais posé la question de savoir à quoi cela servait. La réponse était simple, quand elle avait eu sa fille elle avait fait ouvrir ce fenestron de façon à pouvoir entendre et surveiller sa petite fille sans être obligée dentre dans la chambre. Javais trouvé lemplacement idéal, mais il fallait traverser la salle de séjour discrètement.
Avant 18,30 h je quittais lappartement pour me rendre dans un bistrot voisin, qui malheureusement navait pas de vue sur lentrée de limmeuble dEvelyne. Après des calculs aussi idiots quinutiles jestimais pouvoir arriver discrètement vers 20,00 h, les espérant en action. Cest ce que je fis. Jentrais sans bruit chez Evelyne. En traversant la salle de séjour, faiblement éclairée par la lumière urbaine, japerçus une jupe, deux corsages, un soutien gorge et une petite culotte en dentelle, le tout jeté sur un fauteuil. Les soupirs et grognements de plaisir me permirent datteindre mon poste dobservations sans être entendu de ces dames. Arrivé à mon poste dobservation et ainsi planqué dans la chambre de sa fille javais une vue imprenable sur la chambre dEvelyne.
Evelyne était couchée, les seins à lair, la jupe remontée jusquà la ceinture et surtout la tête de la jolie blonde uvrant entre ses cuisses largement ouvertes, quant à Anaïs, je pouvais admirer son entière nudité. Larrière était très agréable à observer et elle avait un cul inspirant. Evelyne : « Continues,
tes doigts,
ouiiiiii,
cest bon,
continues,
le vais jouir,
Ouiiii,
OOOOHHH, cest bon,
à moi,
» et prenant la tête dAnaïs elle attira celle-ci sur elle, et sensuivit une long baiser et elle lui dit à moi.
Evelyne : « Je vais te prendre,
tu en as envie,
tes trempée,
dis moi que tu veux,
» Sans attendre la réponse elle pénétra Anaïs et commença une série de va et vient, la main gauche dAnaïs descendit vers son entrejambe et se posa sur la main dEvelyne pour en suivre ou en accompagner les mouvements, alors que lautre main pétrissait avec ardeur ses seins, le tout accompagné de soupirs de plaisir et de satisfaction. Certainement bien excitée et bien chaude, rapidement Anaïs se cambra violemment en poussant un râle de satisfaction et en bloquant la main dEvelyne entre ses cuisses fermées. Puis elle se détendit et prenant la main dEvelyne, elle la porta à sa bouche pour sucer les doigts qui lavaient pénétrés, enfin elle se pencha et embrassa Evelyne.
Evelyne lui dit : « Va dont voir ou est Jean »
Anaïs : » Cest vrai, je lavais oublié celui-là » et elle se leva. Je profitais de ces quelques secondes pour me rendre dans la salle de séjour, jétais un peu gêné dêtre pris à jouer les voyeurs
Evelyne : « Jean est là ?»
Anaïs : « Oui il est là,
»
Evelyne: « Dis lui de venir, enfin venez tous les deux »
Evelyne « Ca fait longtemps que tu es là,
je suppose que tu tes rincé lil,
alors, viens avec nous,
quon profite de toi ... »
Je dois dire que je ne savais pas très bien ce que je devais faire, quand Evelyne insista en disant :
« Chez lui cest une habitude, il est toujours habillé quand je suis nue,
déshabilles toi. Anaïs peut taider,
il doit être timide,
»
Sans laide de personne, il ne me fallu peu de temps pour me trouver dans le plus simple appareil, quand Evelyne dit : « Anaïs, tu pourrais lembrasser pour lui montrer quil est le bienvenue.
Il y eut un petit moment de flottement où Anaïs, regardait Evelyne puis moi, puis Evelyne, puis semblant se décider, avec dans lil, il mapparu, un certain défi, elle mit ses bras autour de mon cou en me tendant ses lèvres charnues et bien ourlées pour enfin se coller contre moi. Ses lèvres souvrirent légèrement pour laisser passer une langue curieuse et qui rapidement vint caresser ma langue. Son baiser me parut légèrement agressif, mais ses hanches, contre moi étaient suggestives et commencèrent à entrainer certains réflexes sur mon anatomie. Puis me regardant droit dans les yeux, elle laissa descendre le long de mon corps, pour arriver au niveau de « popol » qui avait repris vie et se dresser fièrement. Sans hésiter elle me prit en bouche et commença à me pomper doucement, sa langue parcourant lentement le gland. Cétait efficace, mais cétait fait avec douceur et subtilité, et faisait son effet. Cest Evelyne qui réagit : « Arrêtes, tu vas luser,
laisses en un peu pour les autres
» Anaïs se redressa et se collant de nouveau contre moi, me gratifia dun léger baiser sur les lèvres, et elle me poussa vers le lit où, visiblement, Evelyne mattendait.
Evelyne mattira à elle et me fait basculer sur le lit. Et sans autre préambule, elle sintéressa à ma bite qui se dressait et après quelques coups de langue me prit en bouche, comme elle dit : « Juste pour te gouter,
et voir si tu es praticable,
» et sans autre préambule elle menjamba et sempala sur mon sexe avec un soupir de satisfaction. Pendant quelle commençait ses montées/descentes, elle dit à Anaïs : « Pendant que je moccupe de lui,
enjambes le, il va te lécher le minou,
il est doué,
tu vas aimé,
» et sans hésiter Anaïs vint poser son minou sur ma bouche. Pendant que jen baisais une, je léchais lautre, qui accrochée au montant du lit promenait sa chatte sur ma bouche et me saoulait de son odeur de femelle chaude.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!