La Vie Dissolue D'Une Bigote 2 Ma Belle-Mère Se Donne À Moi
Le lendemain soir, alors que je nai pas vu Geneviève de la journée, ma copine annonce alors que nous sommes à table, quelle part en stage trois jours la semaine suivante. Elle partira le lundi soir avec ses collègues, directement depuis son travail, pour ne rentrer que le vendredi, le jeudi soir étant prévu une soirée pour fêter la fin du stage. Geneviève me regarde, lil brillant, pensant comme moi que nous serons seuls, pendant quatre nuits, tous les deux. « La salope » me dis-je.
Lundi midi. Geneviève est nerveuse à table. Sa fille pense que cest parce quelle part et la rassure. Pour ma part, je me doute que cest autre chose qui la tracasse, en effet, cela fait bientôt quatre jours que rien ne sest passé entre-nous car les autres s sont venus passer le week-end. Je suis bien monté boire la nuit, en prenant soin toutefois de passer un caleçon, vu la présence des autres. Bien men a pris dailleurs, car je suis tombé sur ma belle-sur, qui na pas manqué de me provoquer en se collant à moi.
« Elle baise bien ma sur ? Je vous ai entendus tout à lheure !
Oui, pas mal.
Mieux que moi ?
Je ne sais pas, je ne me rappelle plus.
Salaud !
Je tai déjà dis que nous, cest du passé. Maintenant, je suis avec elle, point.
Je ne te crois pas ! Tu es un « pineur » et ça métonnerais que tu nailles pas voir ailleurs. Avec moi tu ne te gênais pas.
Toi non plus je te rappelle. Allez, au lit, on va réveiller tout le monde. »
Elle en convient et retourne dans sa chambre. Au moment de sortir, elle se retourne, soulève le large tee shirt qui lui sert de pyjama, pour me montrer son bas ventre et ses seins, me fait un clin dil en disant « Tu vois ce que tu rates ? ». Sacré famille tout de même, pensais-je.
Le nuit suivante, quasi même scénario, mais avec la mère cette fois. Au moment où je redescends, je la découvre devant la porte de sa chambre. Elle ouvre son peignoir sous lequel elle est nue et me lance un baiser du bout des lèvres en souriant et referme la porte.
- « Je vous avais entendu le premier soir, mais au moment de sortir, la porte de ma fille sest ouverte. Elle na pas vu la mienne entrebâillée. Jai eu juste le temps de la fermer discrètement. Je vous ai écoutés parler. Au début, jétais choquée en découvrant que vous aviez aussi couché avec elle. Jétais en colère, car elle navait pas quinze ans à lépoque.
- A peine treize, la première fois quelle ma sucé. Je te rappelle quelle était précoce et je nétais ni le premier, ni le seul à la sauter et même à plusieurs en même temps !
- Oooh !
. Mais tu as raison, cest dailleurs en partie pour cela que jai rompu.
Je me suis reprise en vous entendant la repousser. Jai vu aussi quand elle vous a montré son corps. Cest pour cela que le lendemain, jai fais pareil.
- Et si javais répondu à ses avances ?
- Je ne sais pas ce que jaurais fait. Sûrement, je serais venue vous arrêter.
- Au risque de faire scandale ? Ce nest pas dans les habitudes familiales de mettre les choses au grand jour. Les fiançailles auraient été cassées !
- Oui, cest vrai ! Jy ai pensé !
- Finalement, je suis sûr que tu aurais laissé faire. Tu aurais sermonné ta fille par la suite, puis moi, sachant bien au final que tu ne pourrais rien, dautant plus, quavec le scandale, jaurais dû quitter la maison et tu aurais perdu ton amant ! Je suis sûr que tu y as pensé !
- Vous êtes immonde !
- Arrête ! Tu étais même prête à fermer les yeux, pourvu que je reste. Donc tu es aussi perverse que moi, parce que maintenant tu aimes le sexe. Dis-moi le contraire ?
- Ce... ce nest pas... ce nest pas vrai
Oui
bon... javoue ! Mon dieu ! Je me fais honte de penser comme cela !
Pense-donc ! Tu te rends compte que tu deviens une salope qui fait passer ses envies avant ta morale ! Ta fille aînée est cocue avant de se marier, en plus, par sa propre mère. Son fiancé baise à la fois, sa sur et sa mère ! Sa mère qui est au courant de la liaison avec sa seconde, se tait pour garder son propre amant ! Tu es bien une salope belle-maman ! Alors assume ! Dis-le-moi !
Je suis une salope !.
Je suis obsédée par le sexe !...
Jaime le cul !...
Jaime me faire baiser par mon gendre !... »
Geneviève répète chaque phrase après moi. Elle est à la limite des pleurs. Cela mexcite tellement que je dois ouvrir mon pantalon, lui présenter ma bite et elle, tombant à genoux me suce goulûment, aussi excitée que moi, elle avale ma semence pour la première fois, sans sourciller.
Revenons à table donc, ce lundi-là, la famille est au complet. Les parents, les deux filles et les deux garçons. Tous, à part Geneviève et moi, partent après le repas. De ce fait la table est un peu petite pour recevoir tout le monde. Fait du hasard ou préméditation de Geneviève ? Je me trouve serré en bout de table, entre ma belle-mère et ma belle-sur. Sous la table les jambes se touchent, Geneviève est troublée. Ma belle-sur au contraire, appuie sa cuisse contre la mienne.
A la fin du repas, tout le monde sen va. Cest alors que mon beau-père me demande de laider à rapatrier une machine à sa ferme, ce qui prendra laprès-midi et me rappelle que nous avons aussi une réunion ensemble à vingt heures le soir même.
Je vois le visage de Geneviève se décomposer. Elle avait pensé que nous nous retrouverions vite seuls après le repas. Au moment de quitter la pièce à mon tour, jai volontairement traîné pour être le dernier, je lui glisse « Puisquon ne va pas se voir seuls avant ce soir, attend-moi dans ta chambre je viens après la réunion »
Il est plus de vingt trois heures lorsque je rentre enfin. Je me déshabille dans ma chambre et enfile un peignoir avant de monter, pour me permettre éventuellement de le revêtir en cas darrivée dune quelconque personne. Je suis malgré tout tranquille car ce n'est pas mon beau-père qui va débarquer.
En haut, jentre dans la chambre de Geneviève me rendant compte que cest la première fois que jen franchi le seuil. La lampe de chevet éclaire doucement la pièce. Sur le lit, ma belle-mère mattend, étendue sur le côté, la tête posée sur un bras, une jambe repliée.
« Tu es superbe, lui dis-je
Merci ! Mais jattends depuis longtemps.
Je vais te raconter, mais avant, jai très envie de toi. »
Jouvre mon peignoir, lui présentant une belle érection. Je mapproche et connaissant maintenant son goût pour la fellation, lui présente mon membre à sucer, ce dont elle sacquitte avec empressement. D'une main, je branle son gros clitoris et j'introduis deux doigts dans sa chatte déjà dégoulinante. Geneviève est vraiment en manque car elle est particulièrement vorace. Je suis obligé de larrêter. Je la retourne et face à ce cul somptueux mis en valeur par la lingerie coquine, je la baise pour la première fois dans son lit conjugal. La vision de ma belle-mère à genoux, revêtue de dessous sexy faisant ressortir son gros cul blanc face à moi est particulièrement bandante. Jempoigne ses hanches la traitant de salope, de pute, de garage à bite ! Lui disant que son cul est un appel au viol. Que je vais lempaler jusquà la gorge
Je ne sais si la situation lexcite comme à moi, mais elle se lâche complètement, elle transpire, crie, vocifère, sagite et
inonde le lit. Je ne tarde pas à la rejoindre, titillant au passage son illet brun dun doigt, sans quelle rechigne, mais dans létat où elle est, elle ne se rend compte de rien.
Nous nous écroulons sur le lit, restant enlacés après ce moment intense. Son maquillage est un peu malmené et des cernes ont creusé le dessous de ses yeux. Nous sombrons dans un sommeil réparateur. Lorsque je me réveille, Geneviève est toujours endormie dans mes bras et ronfle doucement. Petit à petit, par de brefs mouvements, je la réveille.
Elle me sourit et, membrasse à pleine bouche. Elle semble heureuse.
« Merci ! Vous mavez tuée ! Que cest bon de faire lamour avec vous ! Vous avez aimé ma tenue à ce que je vois petit vicieux !
Je crois que tu as beaucoup aimé te faire baiser dans le lit conjugal ma salope de belle-mère.
Oh oui ! Je ne pensais pas vous
exciter autant
à mon âge !
Je tai déjà dis que tu es bandante à poil, alors avec tes trucs de pute, je vais te violer chaque fois que tu les mets. Tu sais ce quil te reste à faire quand tu veux te faire baiser.
Cest vrai que vous ny êtes pas habitué avec les femmes de votre âge. Pourtant, je croyais que ma fille en mettait. Elle ma demandé un jour de laider parce que vous lui aviez demandé.
Elle na pas aimé et a arrêté très vite. Cest trop compliqué pour elle. Si elle savait !
En plus, je lui avais acheté un ensemble noir. Cest très
érotique !
Tu nen as pas toi en noir ?
Malheureusement non ! Mais je vous promets den acheter
puisque Ça vous plait !
On pourrait même les choisir ensemble un de ces jours !
Vous ny pensais pas voyons ! Que dirait la vendeuse en nous voyant ?
Que la vieille veut exciter son gigolo, quil la baise pour son argent et quà son âge, elle a intérêt à assurer pour le garder.
Cest ce que vous pensez ?
Dabord, je ne te baise pas pour ton argent, mais parce que tu mexcites, que tu es bandante et que tu es la mère de ma future femme. Mais, je tavertis belle-maman, quand tu mettras un truc comme ça, prépare-toi à ce que je te saute dessus !
Jespère bien ! Mon dieu ! Je deviens complètement obsédée par le sexe ! Quest-ce qui marrive ? Vous mavez ensorcelée ! Je ne me reconnais plus !
Apparemment ça te plaît de te conduire comme une salope !
Oh oui ! Vous mavez domptée ! Je suis à vous et je me damne pour vous ! Mais peu importe lavenir, je suis heureuse. Faites de moi ce que vous voulez ! Il sera bien temps, plus tard de le regretter, Je nai plus beaucoup de temps pour en profiter !
Rassure-toi belle-maman. Maintenant que tu as découvert le plaisir, à quatre vingt ans tu en voudras encore !
Mais voudrais-vous encore de moi ? je suis déjà vieille, alors ! Mais,
Tout de même, nous ne pouvons pas
continuer, vous allez devenir mon gendre !
Nous verrons bien Geneviève. Je tappelle ainsi parce que tu nes pas encore officiellement ma belle-mère.
Cest déjà assez un problème comme cela. Je ne sais pas comment nous allons nous en sortir. En attendant, pour changer de sujet, vous mavez dit tout à lheure, que vous me raconteriez pourquoi vous avez tardé.
Tout à lheure ? Dis-je pour la taquiner.
Oui, avant
Avant quoi ?
Monstre que vous êtes, vous voulez me lentendre dire ?
En bien oui, dis-le-moi.
Avant que
nous
fassions lamour
Que nous baisions belle-maman ! Que nous baisions ! Moi je ne t'aime pas, je ne te fais pas l'amour, je te baise !
Avant que nous
baisions
oui !
Bravo pour ce bel effort ! Ce que je vais te dire, va sûrement te plaire. Allez, viens te mettre contre moi, tu sentiras ma queue entre tes fesses et jaurais tes seins et ton clito à portée de main. » On se couche sur le côté. Elle devant moi, qui me love contre son corps mature. « En fait, si jai traîné, cest à cause de ton mari.
Cest lui qui vous a retenu, ou bien une femme ?
Eh bien
, un peu des deux. Tu es jalouse ?
Vous savez bien que oui, même si
je nai pas le droit ! Vous êtes jeune et les occasions ne doivent pas manquer. Si jen crois ce que dit ma seconde fille, vous nen loupez pas beaucoup ! Et moi qui vais donner ma fille à un homme qui la trompe et la trompera !
Cest de famille ! Non, je rigole ! Tu es gentille, finalement, sous tes dehors de femme du monde, rigide, mais qui nest plus frigide maintenant ! C'est un peu de ta faute si je trompe ta fille ! Tu m'as provoqué salope ! Je ne l'avais jamais trompée avant.
Voilà, je texplique mon retard.
La réunion se terminait et il ne restait que moi, ton mari et madame G
sa maîtresse.
Oh ! Voyons !
Ne fais pas l'étonnée ! Tu sais très bien quil a une, et même plusieurs maîtresses depuis le temps. Et celle-là, ne me dis pas que tu nes pas au courant ?
O
Oui, mais lentendre dire comme ça cest différent que dy penser.
Cest sûr ! Bref, la salope tu aimes que je la traite de salope ?
Oui, mais vous me le dites à moi aussi, alors
C'est une salope pour toi ! Moi franchement je ne la trouve pas bien. C'est vrai que je ne l'ai pas vue à poil comme toi. Peut-être qu'à poil elle est canon ? Comme toi !
Arrêtez voyons !
Tu vois, cest pour que tu timprègnes de cette situation et de celle que tu es et que tu vas devenir de plus en plus maintenant que tu aimes le sexe ! Donc, dans ton monde tu es une salope. Comme elle fait comme toi, elle est aussi une salope !
La salope donc, sest arrangée pour rester un peu après le départ des autres, je la vois tourner, attendant que je parte. C'est alors que jai lidée de leur pourrir la soirée. Tu connais ton mari, cest facile de le faire parler. J'engage la conversation et bien sûr, il continue. Dans son coin, je vois lautre, la salope donc, simpatienter. J'adore que tu t'énerves quand je parle d'elle ! Je suis sûr que tu aimes que je la traite comme ça.
Je marrange pour quil lui tourne plus ou moins le dos et l'oublie. Le temps passe. Il y a presque une demi heure que nous discutons. Elle ne peut rester plus longtemps, car la suite quelle espérait, lamènerait trop tard et elle aurait du mal à expliquer cela à son propre mari cocu de retour chez elle, même si celui-ci ne doit pas se faire trop d'illusions.
Elle sest finalement approchée pour nous dire au revoir. Ton mari se rendant compte un peu tard de la gaffe, a eu lair désolé dautant quelle lui a décoché un regard de colère !
Bien fait pour elle ! Salope ! » Je rigole de sa remarque !
« Je te rappelle belle-maman, que tu es nue dans ton lit dans les bras de ton amant. Donc tu es mal placée pour donner des leçons.
Cest vrai, mais cest mon mari tout de même, je ne suis pas habituée !
Pense que maintenant cest toi qui le trompes ! Toi aussi tu es une salope ! Mais si ça te fais plaisir de parler comme cela, ne te gêne pas pour moi. J'adore quand tu deviens vulgaire Madame de Brassac !
Bon, j'ai retenu encore un peu ton cocu, le temps quelle parte. Quand nous sommes sortis de la salle de réunion, jai vu la femme séloigner en voiture, prenant la direction de chez elle et non celle de la ferme de ton mari. Elle avait tout de même attendu encore un moment sur le parking,
Voilà comment de cocue que tu devais être ce soir, cest toi qui le fait cocu et en plus dans son propre lit !
Ce nest plus son lit depuis longtemps !
Cest vrai ! Disons, le lit conjugal, mais bon
Jai limpression que mon histoire tas plu !»
Pendant notre discussion en effet, Geneviève a pris ma queue négligemment et la caresse, ce qui ne manque pas de produire leffet escompté.
« Jai encore envie ! glisse-t-elle
Salope ! Ne te gêne pas ! Tu es gentille finalement sous tes dehors antipathiques.
Je
ne sais pas pourquoi, mais depuis
jy pense tout le temps
Depuis quand ?
Vous savez bien. Depuis, que
Nous baisons ensemble ?
O
Oui cest Ça !
Nhésite pas ! Dis-le ! Parle avec des mots crus, cest plus excitant, surtout quand cest toi qui les dis
Pourquoi moi ?
Parce tu es la femme « bien comme il faut », noble et qui va à la messe tous les dimanches et que personne ne soupçonnerait dêtre une sacré salope.
Cest comme cela que vous me voyez ?
Tu sais que pour moi, cest un compliment de te traiter de salope. Et encore, je pense que tu as encore des choses à découvrir pour le devenir complètement.
Une salope, cest une femme qui assume, qui donne et se donne du plaisir. Dis-moi, tu te branles ?
N
Non, jamais voyons !
Tu y viendras ! Tu te fais enculer ?
Vous ny pensez pas ? Cest sale ! Cest interdit ! Ça fait mal !
Tu y viendras ! Si on tavait dit il y a huit jours que tu baiserais avec ton gendre, que tu le sucerais, tu laurais cru ?
Cest vrai, vous me faites faire des horreurs !
Ce ne sont pas des horreurs, cest du sexe et tu aimes ça !
Oui , cest vrai, mais
!
Tu sais que ton gros cul et tes gros seins mont toujours fait fantasmer ? Mais je te voyais comme linaccessible mère de ma copine, cul serré et grenouille de bénitier. Comme les autres je ne soupçonnais pas ta vraie nature de salope. En plus je ne connaissais pas encore tes tétons. Ils sont vraiment énormes et attirent les mains et la bouche ! En plus ils sont hyper sensibles. Je métonne que ton mari ne sen soit pas occupé.
Il ny a jamais pensé. Mais
Vous
Vous
pensiez à moi ?
Je bandais pour toi parfois, oui !
Je
Moi aussi
Je pensais
à vous !
Cest pas vrai ! Et depuis quand ?
Pardonnez-moi, mais depuis que
je vous voyais la nuit
à la cuisine
Parce que ce nétait pas la première fois lautre nuit ?
Mon dieu, non ! Je vous observe depuis plus d'un mois, cachée dans le couloir. La première fois, cétait par hasard. Vous êtes arrivé alors que jallais moi-même à la cuisine. Jai eu juste le temps de me cacher, je ne sais pas pourquoi jai fais cela. Alors, quand je vous ai vu tout nu. Ça ma fait des choses.
Tu mouillais ? Ça picotais dans ta chatte ?
O
Oui ! Cétait la première fois depuis
longtemps.
Et après ?
Les nuits suivantes, je guettais le bruit et quand vous montiez, je me cachais pour regarder.
Eh bien dis-donc ! Tu es une drôle de coquine !
Cest votre faute aussi ! Pourquoi vous vous promenez tout nu ?
Jaime ça. Tu aurais pu peut-être rester dans ta chambre au lieu de venir me mater, non ?
Cest que
c'était plus fort que moi. Jétais obsédée, je ne pouvais men empêcher. Dès que je vous entendais montrer, je me préparais pour vous regarder. Pour regarder votre
Mon sexe ?
Oui ! Votre sexe !
Tu peux dire ma bite, ma queue.
Oh non !
Oh si, allez, répète après moi ! ma bite
Votre
Bite oh !
Ma queue
Votre
Queue ! Oh
Oui, pardon ! Il fallait que je la voie
Il ny a pas de quoi ! Alors, quand tu es entrée, tu aurais pu mengueuler, me dire de me rhabiller, au lieu de cela tu mas saisi la bite.
Je
Je métais approchée un peu plus que d'habitude, parce que je voyais mal et que vous étiez de dos. Une fois là, jai eu peur et jai cru un moment me faire surprendre, aussi, en voulant reprendre lavantage, jai allumé pour vous prendre en faute. Après, je ne sais pas ce qui ma pris, vous avez caché ce que je voulais voir de près. Jai eu un mauvais réflexe.
Pas si mauvais que ça. Cest comme cela que jai vu pour la première fois en entier tes grosses mamelles et tes tétons. Franchement, ta main sur moi et cette vision, alors que jétais plutôt penaud, et même paniqué, a fait que jai osé ouvrir ton peignoir. Cest tant mieux, nest-ce pas ?
Oui, mais tout de même, ce nest pas bien ce que nous faisons.
Ce nest pas bien, mais cest bon. Tu sais, notre histoire ne peut pas durer, enfin, je crois. Si nous continuons, tôt ou tard on nous découvrira. Au-delà du scandale, qui resterait sûrement dans la famille, cela nous obligera à ne plus nous voir. Sachant que je ne taime pas, mais que jaime te baiser pour tout ce que tu es. Il ne peut donc y avoir un avenir entre nous. Pour linstant, profitons du moment et pour la suite, si tu le veux, je taiderai à te trouver un mec.
Vous ny pensez pas ? Je ne pourrai jamais prendre un amant !
Parce que maintenant tu n'as pas un amant ? Un mec qui te baise n'est pas un amant ? Oui, c'est vrai, ton amant est un peu spécial, il a quinze ans de moins que toi...
Quatorze !
Oui le même écart qu'avec ta fille
Oh !
Alors, maintenant que tu as découvert le plaisir après quarante ans, tu crois pouvoir ten passer ?
Mon dieu
non, mais
tout de même !
Ne tinquiète pas de cela. On y réfléchira. Pour linstant, je vais arranger ton soutien gorge.»
Armé de ciseaux, je découpe le haut de ses bonnets malgré ses protestations, pour laisser apparaître les tétons et le haut des aréoles. Larmoire de la chambre comporte deux grands miroirs, lesquels nous renvoient notre image. Je le fais remarquer à Geneviève, lobligeant à se regarder. Elle se trouve laide dans cette tenue sexy. Elle ne voit que ses défauts. Avec le temps pourtant, elle shabia et par la suite, aimera se voir dans la glace y trouvant une excitation supplémentaire. Le spectacle de son adultère lexcitera. Elle va même régler les miroirs pour quils renvoient bien limage de nos deux corps en action !
« Oh mes seins ! Cest indécent !
Jaime que tu sois indécente ! Cest dommage de cacher de si beaux tétons
Je ne pourrais jamais sortir comme Ça ! Regardez, ils pointent fort ! Ça se verrait sous mes habits
Ce serait drôle ! Mais regarde. Tes seins sont bien relevés et avec tes tétons dardés, tu es une pousse-au-viol ! Maintenant, viens sur moi. Cest toi qui va me baiser ! »
Je la guide pour menjamber. Pointant ma bite sur sa chatte, je la fais descendre et sempaler. Ainsi, je saisi ses seins, et fais rouler ses tétons dressés entre mes doigts en accompagnant Geneviève dans sa chevauchée. Voilà encore une nouvelle position quelle découvre. Ses seins ballottent. Mes mains vont maintenant sous ses fesses laidant à se soulever. La femelle se déchaîne et, comme lorsquelle est en levrette, elle crie, et jouit fort.
Plusieurs fois je larrête pour quelle se regarde et nous regarde dans la glace. Le spectacle est superbe ! Cette femelle aux formes voluptueuses, mises en valeur par ses dessous sexy et surtout ses seins arrogants aux grosses tétines soutenus par les demi-bonnets ! Jaimerais la prendre en photo et ne me lasse pas de la voir ainsi.
Geneviève est échevelée. Le chignon impeccable quelle arbore en permanence se défait. Cest la première fois que je vois ma belle-mère ainsi. Je retire les dernières épingles de sa chevelure pour libérer totalement ses longs cheveux. Cela change complètement son visage qui est ainsi beaucoup moins sévère, et plus agréable elle en devient presque belle. Cela la rajeunie. A partir de ce jour, je lui demande de ne pas attacher ses cheveux lorsque nous sommes seuls et que le temps qui nous est accordé le permet.
Dans cette position, à genoux sur moi, Geneviève marrose abondamment de sa cyprine. Plusieurs fois son jus intime se répand sur mon ventre et ma poitrine. Cela ne me dérange pas, mais va rendre Geneviève confuse lorsquelle constatera que les draps sont aussi trempés. Elle pense avoir fait pipi. Il faut que je la rassure. Je recueille sur mes doigts son jus et lui fait goûter. Elle constate, non sans un certain recul au départ, que ce nest pas de l'urine. De plus, je lui déclare être très heureux de la faire jouir autant et que son jus est une délicieuse liqueur.
Je vois aussi ses fesses dans le miroir. Geneviève a honte de son gros cul. Encadré par le porte-jarretelles je lui montre quil peut être aussi un puissant aphrodisiaque. Jajoute que lorsque je la prends en levrette, le terme là-aussi la choque, et que je vois face à moi son « gros cul » tout blanc, Ça me fait bander plus fort.
Éreintée par leffort, ma belle-mère seffondre sur moi, trempée de sueur et de mouille, Elle membrasse goulûment alors que je caresse son dos et ses fesses.
Il lui faut un long moment pour récupérer. Ensuite, il faut changer les draps complètement trempés et une douche simpose malgré l'heure tardive. Aucun problème maintenant pour la prendre ensemble, au contraire, Geneviève y prend goût.
En la savonnant, je déclare que je vais lui raser la chatte. Comme dhabitude, elle se récrie. Je lui explique que, lorsquelle me suce, elle nest pas gênée par les poils et quelle trouve cela très agréable. Elle en convient. Je lui promets des superbes séances de léchage. Que jai très envie de manger et sucer son clito que je sens bien gros, comme ses tétons. Elle accepte finalement encore réticente, elle a maintenant compris que mes « idées folles » sont sources de jouissance par la suite.
Je lemmène à la cuisine, toujours nue, prenant au passage, ciseaux, rasoir, gel, serviette et crème adoucissante. Je la couche sur la table, un coussin sous la tête un autre sous les reins, les jambes écartées et pendantes au bord. Geneviève est gênée dêtre ainsi exposée, étalée nue sur la table de sa cuisine. Je la rassure du mieux que je peux, mais je la sens fébrile.
« Cest la première fois que quelquun me regarde
là
à part mon gynécologue.
Je te trouve très belle et très bandante. Si je navais pas un travail à faire, je te baiserais tout de suite. Mais dis donc, tu mouilles autant que cela devant ton médecin ? Il doit se régaler !
Oh non ! Je ne suis jamais nue complètement devant lui. Lorsquil mausculte
là. Je garde le haut et puis, il nest pas nu et
tendu comme vous ! Venez ! Prenez-moi ! Jai envie !
Je reconnais bien la salope qui est en toi. Dabord, au travail, il me tarde de goûter à ta belle moule une fois qu'elle sera dégagée de ces poils. »
Avec les ciseaux, je fais tomber rapidement de belles touffes de poils châtains. Quelques poils blancs trahissent lâge de ma belle-mère. Sa quarantaine bien entamée pourtant, fait aussi lattrait que jai pour elle. Geneviève est une belle femme mature, plantureuse sans être grosse. Si elle savait shabiller elle paraîtrait vite dix ans de moins et ferait bander bien des hommes et peut-être le sien. Fort heureusement pour moi, je suis le seul à la voir nue et à me rendre compte du gâchis que représente son état de femme délaissée.
Par pudeur, elle a mis son bras sur ses yeux. Son aisselle est poilue. Je lui demande dailleurs de mettre ses deux bras sur ses yeux. Là aussi je passe les ciseaux. Je lui dis que cette fois-ci je le fais au rasoir, mais qu'il vaudra mieux utiliser une crème dépilatoire pour éviter les désagréments de la repousse de poils durs. Ces séances, nous le recommencerons régulièrement pour notre plus grand plaisir, car bien sûr elles finissent toujours par un léchage et un coït. Ce seront même des séances réciproques car ma belle-mère adorera s'occuper elle aussi de « cette chose qui me rend heureuse » sans oublier mes fesses. C'est d'ailleurs une chose qui me manquera pendant mon mariage car sa fille refusera toujours de s'en occuper. Plus tard, Geneviève optera pour une épilation définitive au laser, mais c'est une autre histoire.
Phase plus délicate maintenant. Jétale le gel sur ce qui reste de sa toison pubienne, sans oublier son entre-fesse. Elle réagit bien un peu, mais nose pas sopposer à mon geste. La lame du rasoir, fait vite disparaître les poils sur son mont de vénus, mis à part un petit « ticket de métro » bien dru au dessus de la fente. Je lui fais bien écarter les jambes pour bien dégager ses aines et, enfin je mattaque aux lèvres de son sexe. Pour la décontracter, je lui fais remarquer quelle mouille bien et que son parfum de femme me remplit le nez de façon agréable. Je dois écarter les lèvres avec les doigts pour ôter les derniers poils. Je les plonge dans un antre humide et chaud. Je fignole mon travail, prenant un malin plaisir à faire durer lopération, ce qui ne semble pas lui déplaire.
Enfin, comble de lindécence, je lui demande de relever ses jambes et de les tenir, afin de raser son anus. Pour la titiller un peu je lui fais remarquer lobscénité de sa position, ce qui lui fait honte mais ne lempêche pas de rester ainsi, le cul en l'air, jambes repliées sur son torse, dévoilant sa partie la plus intime. Je suis sûr que jamais personne ne l'a vue comme cela ! C'est Erotique ! Obscène ! Excitant ! Impudique ! Pornographique! Sa chatte débordant un peu plus de cyprine qui sécoule vers son périnée et son anus, me confirme son aptitude à la soumission.
Là aussi je fignole, la peau est sensible autour de son illet brun. Voir ainsi de près, le trou du cul de sa belle-mère, nest pas une chose banale. Lui intimant de ne pas bouger, je prolonge son supplice. Elle renâcle bien un peu, trouvant que lopération dure un peu trop à son goût. Je lui confirme, tout en lui massant lanus dun doigt, le plaisir que jai à la voir dans cette position et le désir qui est le mien de la sodomiser.
- « Vous n'y pensez pas ?
- Mais bien sûr belle-maman ! Je compte bien t'enculer mais je te rassure, pas aujourd'hui ! Jai promis dabord, de te « bouffer la chatte » une fois tes poils enlevés et je compte bien me régaler avec ton gros bouton et ton jus de femelle! »
Geneviève est docile, sous ses dehors de maîtresse femme du monde. Cest une belle salope qui se cache et, vu lodeur qui se dégage de sa chatte, elle est particulièrement excitée par la soumission imposée. Il ne va pas lui falloir longtemps pour jouir.
Après un rinçage de la mousse, je caresse ses grandes lèvres et les écarte, son clitoris, bien gros tel que le préfiguraient ses tétons, est maintenant bien dégagé et apparent. Il se dresse en haut de sa fente comme un petit phallus. Cest une vraie petite bite ! Jétale la crème adoucissante sur toute la surface rasée. Du mont de vénus à l'anus inviolé. J'insiste au passage sur lillet mauve qui me nargue en poussant de doigt, la crème dans l'orifice. La caresse étant agréable pour elle, Geneviève ne proteste pas et se laisse masser le trou du cul.
Enfin, mettant fin à son attente, je lui permets de reprendre une position plus confortable. Ma langue et mes lèvres ont vite fait de prendre possession de sa chatte lisse. Jaspire, je lèche son gros bouton de plaisir. Je plonge trois doigts dans le vagin béant. Geneviève se lâche et coule comme une fontaine. Je me régale de son suc odorant qui me barbouille le visage. Elle se tortille sur la table, agrippe mes cheveux pour tour à tour, repousser ou écraser ma tête sur le centre de son plaisir.
Tout à coup, surprise ! Elle prend son pied en rafale ! Jai face à moi pour la première fois le superbe spectacle dune femme fontaine. Geneviève « éjacule » carrément. Sa mouille gicle haut, fort et abondamment ! Jen avale une bonne partie dans ma bouche, mais le reste sétale sur mon visage, le haut de mon corps ou sur le carrelage. Bien sûr, elle en reçoit sur elle. La quantité est impressionnante !
Voyant tout de même quelle fatigue, je me relève, non sans entendre un léger soupir de regret. La preuve que ma salope de belle-mère aurait bien subit la séance un peu plus longtemps. Je me couche d'abord sur elle et lembrasse sur la bouche pour lui faire partager ses effluves odorants. Collés l'un à l'autre, on s'imprègne de sa mouille. Geneviève a un petit recul quand mes lèvres se posent sur les siennes, mais très vite elle accepte loffrande de ses fluides intimes.
Je me relève, jempoigne ses jambes et debout entre ses cuisses largement écartées, jenfonce ma bite bien raide dans la chatte brûlante de ma belle-mère. Geneviève a fabriqué tellement de cyprine que mon mandrin clapote dans son vagin. Malgré ses quatre accouchements, sa chatte reste étroite et serrée.
Tout en la baisant je masse son gros clito dun doigt. L'excroissance est maintenant bien visible et c'est un régal. Je me demande alors si toutes les femmes qui ont des gros tétons, ont aussi un gros clito. Cela ouvre des perspectives intéressantes pour l'avenir ! J'y ferai désormais attention. Le sien en tout cas est un véritable interrupteur. Il suffit que je le titille deux secondes et Geneviève se tord de plaisir. Sa cyprine coule abondamment, inondant le bas de mon corps et le carrelage de la cuisine. Elle hurle, à tel point que je dois la bâillonner d'une main, pour ne pas quelle alerte les voisins.
Je gicle enfin dans son vagin et continue de la baiser, la faisant redescendre doucement de son nuage. Elle reste étalée, avachie sur la table. Obscène dans sa position bras et jambes écartés. Sa poitrine se soulève à la recherche dair. Son corps laiteux est couvert de transpiration et de sa mouille, mais elle ne songe pas à bouger. Anéantie par le plaisir.
Je la laisse récupérer tout en admirant son corps étalé. Je suis encore surpris de la baiser et de sa participation. Si je racontais que Geneviève de Brassac aime se faire baiser sur la table de sa cuisine de sexposer nue. Pire, épilée ! Je nen reviens toujours pas non plus de baiser celle qui est ma presque belle-mère. Femme si prude mais tellement plus chaude que sa fille !
Enfin, après de longues minutes de récupération, elle ouvre les yeux. Puis se rend compte enfin de sa position obscène.
« Mon dieu ! Cest fou ! Jamais je navais
comme cela !
Joui ?
O
Oui ! Vous êtes un monstre. Quavez-vous fait de moi ? Je ne me reconnais plus !
On ne tavait jamais titillé le clitoris ?
N
Non. Mon mari ne faisait que me prendre
normalement.
Et à part lui ?
Voyons ! Je n'ai connu que lui !
C'est bien dommage ! Tu aurais peut-être trouvé un bon amant qui aurait pensé à ton plaisir autant qu'au sien. Ton mari t'a loupée et il va chercher ailleurs ce qu'il ne soupçonne pas être à ses côtés. Tant pis pour lui, c'est moi qui en profite et franchement, j'adore te baiser, te lécher et te faire jouir !
Ne parlez pas comme ça voyons !
C'est une simple constatation ! S'il avait su te faire jouir, tu serais heureuse et il n'irait pas courir ailleurs ! Tu n'aurais pas attendu la nuit pour voir la bite de ton gendre et tu serais toujours une bonne mère de famille pieuse et irréprochable ! Ce n'est donc pas ta faute si tu le fais cocu et si tu piétines allègrement tes sacrés principes. Moi, je nai fais que te révéler à ta nature profonde de salope, ou si tu préfères, à faire éclater ta capacité à jouir, ce que tu semblais ne pas connaître.
Je ne sais pas si je dois vous remercier, de mavoir fait connaître cela, ou si je dois vous blâmer, car, comment vais-je faire pour men passer maintenant ?
Je crois que tu es au début dune nouvelle vie. Moi jadore te baiser, te lécher et te faire jouir, tu sais, cest très valorisant pour un homme, de voir sa partenaire prendre du plaisir ainsi. Tu es ce que l'on appelle une femme fontaine. Beaucoup d'hommes seraient heureux d'être à ma place pour te voir jouir, preuve de leur dextérité ou de leur connaissance des réactions féminines. Je suis très fier d'avoir réussi cela avec toi.
Allez ! Je vais te montrer maintenant comment ta chatte est belle sans ces poils qui cachaient ton trésor. Viens ! Je laide à se relever, puis lemmène par la main dans le couloir, où un miroir en pied, permet de se voir debout. Elle ne songe même pas à nettoyer la cyprine qui la recouvre et qui commence à sécher sur sa peau.
Je la place devant la glace, moi derrière. Je lui tiens les bras le long du corps, afin quelle ne cache ni sa poitrine, ni son sexe, comme elle avait envie de le faire.
Tout de même ! Je suis vieille et grosse ! Vous aimez mes seins avec ces bouts énormes qui pointent comme cela ?
Jadore tu veux dire ! Ils sont magnifiques !
Ils sont trop gros et en plus mes seins tombent ! Je ne suis plus jeune, ils ne tiennent plus
Oui, ils sont gros et très beaux ! Avec ton soutien gorge qui dégage les tétons, tu ferais fureur !
Vous ny pensez pas ! Cest obscène ! Je ne me montrerai jamais ainsi ! Oh non !! dit-elle en voyant que je souris. Vous ne ferez pas cela ? Je refuse !
Tu sais bien, belle-maman, que tu finis toujours par faire ce que je veux, et je tai déjà dis que je ferai de toi une pute. Bien sûr que tu te montreras et tu verras, tu aimeras ça !
Vous êtes un monstre et moi une femme perdue ! Perdue parce que vous mentraînez toujours plus loin dans le vice ! Perdue car vous mavez rendue esclave de mes sens, ce que jai toujours eu en horreur chez les autres femmes ! Et maintenant, vous m'avez rasée le bas ventre, il ny a presque plus rien pour cacher ma fente !
La toison n'est pas faite pour cacher. Maintenant tu es lisse comme une jeune fille, Cest en fait ce que tu es devenue depuis que je te fais découvrir le plaisir. Tu naimes pas ?
Cela fait bizarre, tout de même ! Mais, pourquoi vous en avez laissé un peu... au dessus ?
Parce que je trouve beau ! Ce petit « ticket de métro », comme on dit, au-dessus de ta fente, cest très érotique. Et puis, cette petite touffe va garder un peu de ton odeur. Quand je vais de te bouffer la chatte mon nez en profitera. Je sens que cela va arriver souvent ! Comme toi tu aimes me sucer, on va faire quelques supers soixante neuf !
Soixante neuf ? Que dites-vous là ?
Tu ne connais pas lexpression ? Cela veut dire que je te boufferai la chatte pendant que tu me suceras la bite !
Oh ! Vous allez me à ce régime !
Tu naimerais pas mourir en faisant lamour ?
Tout à lheure, jai cru mourir, sur la table ! Mon dieu ! Je ne vais plus pouvoir manger sans penser à cela !
Quand tu seras en face de moi à table je t'y ferai penser par le regard et par mon pied sur le tien.
Mon dieu ! Comment vais-je faire pour rester sereine ? Vous êtes un monstre et moi une femme perdue !
N'en fais pas trop tout de même ! Moi je trouve que lavantage de ta nouvelle « coiffure », cest que ton gros bouton est bien visible et accessible, tu vas pouvoir te branler sans problème.
Vous ny pensez pas ! Cela ne se fait pas voyons !
Arrête de toujours dire que cela ne se fait pas ! Compte un peu tout ce que tu fais depuis quelques jours et que tu pensais être réservé aux femmes de « mauvaise vie ». Tu te promènes à poil devant ton gendre. Tu le suce, il te suce. Vous baisez. Tu trompes ton mari. Tu es ueuse. Tu vois que tu les accumule. Tu ne peux plus revenir en arrière et tu n'en a pas non plus envie, donc assume belle-maman !
Je... C'est affreux ! Mon dieu ! Que vais-je devenir ? Je suis perdue !
N'exagère pas ! Tu es maintenant une femme épanouie, qui connaît la joie du plaisir féminin. Le reste ce ne sont que des contraintes morales imposées par ta religion dont tu sais ce que j'en pense. Donc, oublie cela et maintenant profite un peu de ta vie !
Vous êtes fou et vous mentraînez dans votre folie ! Vous avez raison ! Peu m'importe maintenant. Je n'ai plus envie de penser comme avant. C'est trop bon ce que vous me faites découvrir. Je ne comprends pas comment jai pu vivre sans ça ! Je ne veux plus revenir en arrière. S'il vous plaît ! Soyez indulgent avec moi. Ne me brusquez pas trop. Je veux bien être votre... élève mais...
Ne pense pas que je vais te ménager. Je t'ai dis que je ferai de toi une pute. Je vais te pousser dans tes retranchements. Tu vas pleurer peut-être, jouir sûrement. Tu me remercieras ensuite, mais si je t'écoute, tu n'avanceras jamais, alors attends toi à baiser un peu partout, dans toutes les positions, avec d'autres hommes ou femmes, peut-être à plusieurs, bref à te comporter comme la dernière des salopes ! Avec les avantages mammaires et autres que tu as, tu seras une belle pute, belle-maman !
Comment pouvez-vous me parler comme ça ? Je suis votre...
Arrête je te dis ! Tu es ma chose maintenant. Je sens que tu as besoin d'être dominée pour connaître tous les plaisirs. Je vais te fesser, t'enculer, te faire couiner. Tu vas pisser ton jus de salope. Avec le gros clito et les gros tétons que tu te trimbales, sans parler de ta fontaine, je vais me régaler à te dresser !
Mon dieu ! Vous me voyez comme ça ? Je suis folle ! Mais... Vous avez raison ! Peu m'importe, je suis à vous ! Je me damne pour vous, à cause de vous, mais c'est si bon !
Bien ! Maintenant, je veux que tu branles ce gros bouton et que tu gicles devant moi.
Mais... Jai toujours eu honte de ce gros bouton qui gonflait. Mes copines au collège se moquaient, comme pour mes tétons !
Quelles sont connes ! Tu avais un truc en plus delles ! Cest de la jalousie ! Ne me dis pas que tu ne tai jamais branlée ?
Mais non voyons ! Cest sale !
Eh bien, à partir de maintenant tu vas te branler et même tu vas le faire devant moi.
Ny pensez même pas !
Toi, ma salope, tu oublies de discuter. Je te rappelle ce que tu viens de dire. Tu es à moi ! De toutes façons, tu le feras et tu verras que plus tu le feras, plus tu aimeras, crois-moi.
Vous êtes un monstre !
A genoux salope ! Commence par me sucer ici devant la glace, et regarde-toi faire, comme ça tu verras toi-même la belle salope que tu es devenue. »
Geneviève ne résiste plus. Les yeux brillants, elle sagenouille devant moi et me suce. Je lui tourne la tête pour quelle se voit bien dans la glace. Lorsquelle ferme les yeux, je lui intime de les rouvrir. « Regarde-toi salope ! Regarde comme tu es belle en train de tailler une pipe. Je sais que tu aimes ça, mais en plus, te regarder le faire, ça te rend plus consciente de ce que tu es devenue : une salope ! Une pute !Regarde la belle salope à poil qui suce ton gendre. Regarde le plaisir quelle prend et celui quelle donne. Regarde ses tétons qui pointent fièrement ! Tu es magnifique comme ça ma salope ! Les gens ne savent pas ce quils manquent parce que tu thabilles comme une vieille ! Tu ferais bander un régiment si on te voyait comme ça ! »
Cest finalement ses genoux douloureux qui viendront à bout de sa résistance, après une longue fellation face au miroir.
Je dois dire que par la suite, chaque fois que je passerai devant ce miroir, je penserai aux nombreuses fois où Geneviève me suçait ainsi. Une fois, même, à loccasion dun repas de famille, pour une fête, je me trouverai avec elle devant le miroir, au même moment face à face. Tous les deux, nous nous sommes tournés vers lui et nous y sommes regardés quelques secondes. Nous pensions à la même chose. Elle a rougit avant de repartir vers la table où le reste de la famille discutait sans se douter de rien.
Cette semaine-là, nous avons baisé en permanence. Les seuls moments « tranquilles » étaient pour préparer et prendre les repas. Mon beau-père aussitôt parti, Geneviève se mettait nue sans attendre. Elle a retrouvé de vieilles mules à talon et se pavane avec, ne manquant pas de me provoquer. Ses chaussures accentuent le galbe de ses jambes et de ses cuisses, la cambrure de ses fesses. Elle sait bien en jouer et vient s'exhiber devant moi à la moindre occasion, quémandant une caresse ou une claque sur ses grosses fesses charnues.
En quelques jours, ma belle-mère s'est transformée en véritable goule avide de sexe!
Le jeudi soir était notre dernière nuit à être seuls. Le week-end annonçant le retour de toute la famille, je signale à Geneviève, quelle ne me verrai pas, ce serait trop risqué. Elle en convient et je lui dis alors quelle devra se contenter elle-même. A son regard effaré, je comprends quelle va avoir du mal à sy résoudre, aussi je lui demande de se branler devant moi.
Comme dhabitude, elle refuse tout dabord. Je la fais mettre dans le canapé, face à moi qui minstalle dans un fauteuil et commence à me branler face à elle, qui ne me quitte pas des yeux.
« Tu vois, moi je me branle. Tu trouves ça laid ?
N
Non, mais
Il ny a pas de mais ! Si tu aimes me regarder, moi aussi je vais aimer te regarder. Fais-moi plaisir, pour une fois oublie tes complexes à la con et caresse-toi pour moi, comme je le fais pour toi. Tu verras, la nuit prochaine et la suivante, tu me remercieras quand tu te branleras au fond de ton lit. Surtout quand tu mentendras monter à la cuisine et que tu ne pourras pas venir me retrouver »
Timidement dabord, elle pose sa main sur son ventre. Je la guide, sans la brusquer, jusquà quelle trouve toute seule les gestes du plaisir. Je dois dire que je suis obligé darrêter ma caresse de nombreuses fois pour ne pas jouir trop vite, car voir ma belle-mère nue, étalée dans son salon, en train de se donner du plaisir, de se branler, cest tout de même très excitant.
Comme dhabitude, lorsquelle découvre un nouveau plaisir, Geneviève apprend très vite et très rapidement trouve les bons gestes. Son clitoris, bien sûr, quaprès avoir caressé délicatement, elle triture sans ménagement, le pinçant et le roulant comme je naurais pas osé le faire. Elle senfonce ensuite un, puis deux doigts dans le vagin. Des bruits de clapot se font rapidement entendre et bien sûr ses orgasmes senchaînent, inondant sa main et le canapé de son jus abondant. Elle martyrise aussi ses tétons avec l'autre main, ajoutant encore plus d'intensité à son plaisir.
Pour finir, alors que inerte, elle gît, je me lève, je me branle sans retenue et je gicle mon sperme, sur son corps abandonné après une dernière jouissance. Avec la main, j'étale mon foutre sur le ventre de Geneviève le mélangeant à ses propres sécrétions. L'odeur qui se dégage est forte et aphrodisiaque. De ce jour, ma belle-mère ne manquera pas de se caresser et de se faire jouir presque chaque jour.
Par la suite, je lui offrirai discrètement quelques jouets trouvés dans des sex-shops. Un jour, je me marrerai carrément, quand gênée, elle me demandera de changer les piles du gode vibrant quelle ne parvenait plus à faire fonctionner. Cétait la preuve quelle lutilisait régulièrement. Elle ne pouvait pas bien sûr, le demander à quelquun dautre.
La dernière « grande » découverte de Geneviève sera la sodomie. Comme souvent, elle se montrera réticente, acceptera petit à petit un doigt sur son anus, puis dans le fondement. Chaque fois, grâce à du gel, lopération nétait pas douloureuse. Deux obstacles empêchaient sa réalisation.
Le premier était celui de la propreté. Les rares fois où j'ai sorti un doigt un peu « tâché » et m'être nettoyé rapidement, elle était gênée. Je lui avais montré aussi plusieurs fois mon doigt sortant de son cul, sans trace suspecte.
Le second était dordre moral. Sa religion a toujours condamné la sodomie, javais beau lui expliquer que cétait des raisons purement matérialistes des religieux, afin que au moyen âge où la mortalité infantile était forte, la population croisse. Que cette règle nétait instituée que par léglise catholique, cétait le dernier tabou qui la bloquait. Je lui disais : « Tu es adultère, ueuse, tu ne risques plus rien avec ta religion. En plus jai bien senti que tu aimais mon doigt dans ton cul. Alors, si tu as un cadeau à me faire, cest ta dernière virginité. Celle de ton cul ! Tu verras que ensuite tu aimeras cette pratique, comme celles que je t'ai fais découvrir jusque-là,
Jy suis parvenu, une nuit où nous nétions pas dans sa maison. Un épisode fameux dont le souvenir est toujours vivace.
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