La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1333)

Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode précédent N°1332) -

Il se mit à effleurer du bout de ses doigts, mes tétons rougis… et quelque peu sensibles suite aux coups de cravache, caressant mes seins de ses belles mains à la chaleur renaissante... laissant l'une d'elle doucement serpenté plus bas sur mon corps et plus bas encore. Jusqu'à revenir la glisser entre mes cuisses. Mon corps s'immobilisa, alors que le Noble ralluma la flamme de mon désir, embrassant à nouveau mes terminaisons nerveuses en un rien de temps. Je pouvais sentir, ô combien il connaissait bien le corps d'une femme, glissant, caressant, frottant, pénétrant de ses doigts ma vulve exactement comme je le désirais. Ma respiration s’accéléra, tandis que mon corps entier frémissait de plaisir. Allait-il cette fois me permettre de jouir ? J'aurais peut-être dû m'y attendre après toute les histoires que j'avais lues de Lui. Car souvent dans ses écrits le ou la soumis(e) n'était autorisé (e) à jouir dans un but de dressage telle une récompense pour la servilité ou l'endurance de supplices raffinés.

Car maintenant qu'il avait bien stimulé ma chatte et que mon bourgeon rose d'amour était bien visible, il le pinça entre les mâchoires d'une pince en métal recouverte de bande en caoutchouc protecteur. Cela ne m'empêcha pas de m'agiter en tirant sur mes entraves, tout en mugissant mon excitation galopante à ce traitement, bougeant mon corps comme un ver de terre que l’on maintient du bout de doigts, tentant de me contenir à ne pas en jouir, en essayant de la faire tomber sauf que la pince restait bien accrochée. Une chaînette étais fixée à celle-ci avec au bout une autre pince, que le Châtelain vint refermer sur ma langue. La longueur de la chaînette m'obligeait à garder la tête levée et la langue tirée sous peine de me r moi-même le clitoris. Ne pas bouger, ne pas bouger malgré la douleur et l’extrême excitation exprimée par un écoulement de ma cyprine sur mes cuisses, voilà quelle était ma seule pensée à ce moment-là : Ne pas bouger.

Sauf que ce n'était là que le début de mon supplice quasi jouissif. Malicieusement, Monsieur le Marquis revint malaxer mes tétons, les triturant, les pinçant entre ses doigts, puis les léchant, les mordant et les aspirant dans sa bouche, en les tétant vigoureusement. Je me cambrais, malgré moi, malgré les pinces en soupirant de bien-être excitant et de douleur. Cherchant à pousser d'avantage mon sein dans sa bouche. Sauf que le Noble se retira, pour venir refermer les mâchoires d'autres pinces sur mes tétons pointant. La morsure de ses nouvelles pinces, me procurèrent des sensations intenses, quoique supportables, du moins à ce moment-là. Quand il eut terminé, il se recula pour contempler le spectacle que j'offrais : Toute nue, écartelée, la langue, les seins et le clitoris reliés par ces chaînettes courant sur mon corps.

- Il manque un petit quelque chose !, perçus-je Ses mots dans ma tête.

Et prennent un foulard noir de soie, il me banda les yeux, ce qui ajouta à la tension déjà enivrante et douloureuse de mon corps. L'absence de vision me fit perdre tous mes repères et je dus me reposer alors intégralement sur d’autres sens tels mon ouïe et le toucher. Mon corps était en état d'alerte maximum et entra dans une relation nouvelle avec l'extérieur. J'ai eu l'impression un instant de ne plus savoir où j'étais. De me perdre. Bref je me suis mise à paniquer, me débattant en cherchant à retrouver ma liberté... C'est là, que je sentis soudain la main apaisante et douce du Châtelain se poser sur ma poitrine, qui se soulevait et descendait sous l'effet de ma respiration anxieuse. Ce simple contact me rassura et me calma.

Monsieur Le Marquis, admirablement surpris de ma docilité et confiance que j'avais envers lui, décida visiblement de m'en récompenser... C'est là que je sentis soudain un savant coup de langue s'insinuer entre les lèvres intimes de ma chatte. Avide de jouissance, j'arquais mon dos, faisant fi de la douleur que m'occasionnaient les pinces, invitant cette langue salvatrice à poursuivre son travail.
De sa langue, puis de ses doigts, Monsieur le Marquis, stimula ma chatte de plus en plus vite et de plus en plus fort ... Jusqu'à ce que tout mon corps se raidisse, m'en faisant hurler de douleur jouissive et de volupté sublime, d’excitation extrême, je grimpais au septième ciel dans la montée du plaisir inouï quand un orgasme violent explosa en moi. Un orgasme atomique, sismique, qui m’irradiait tout mon corps dans l’explosion des spasmes exacerbés d’une incroyable intensité, au paroxysme de ce qu’un orgasme pouvait produire, au summum du plaisir. Les décharges électriques jouissives remontaient mon échine pour s’étendre partout en moi, de ma tête aux pieds. Bref, j’explosais de mille sensations orgasmiques d’une jouissance encore jamais atteint… Il me laissa le temps de souffler et de redescendre, si je puis dire, de ce sommet orgasmique où il m'avait envoyé... Et un instant plus tard, Je me remis à geindre de douleur, en sursautant dans mes liens quand il retira les pinces mordant mon clitoris et ma langue mais laissant celles à mes tétons. Ma tête roula sur le côté tandis qu'il me caressait exactement comme j'en avais besoin. J'aurais voulu que cette douleur disparaisse et que cette sensation de plaisir ne s'arrête jamais. Je ne pus m'empêcher de pousser de petits grognements et de m'abandonner à la sûreté de ses mains et au plaisir renaissant, qu'elles me procuraient, et qui remontait en flèche. J'ondulais sous les doigts experts de Monsieur le Marquis, mon corps lui communiquant ainsi autant que par mes gémissements, mon désir qu'il me fasse jouir à nouveau...

Sauf qu'avant le plaisir, il me fallut endurer, une fois de plus, les heurts de la languette de cuir de la cravache qui vint s’abattre sur mes lèvres intime cette fois. Le premier coup fut terrible, avec la sensibilité exacerbée de mon clitoris... Chaque tape, douce ou forte soit-elle, qui percutait sur mon sexe me faisait mal, assurément... mais paradoxalement c'était aussi merveilleusement bon et surtout visible car ma mouille s’écoulait, ma chatte en feu était trempée, j’ondulais le bassin telle une chienne en chaleurs qui avait besoin d’être pénétrée, baisée.
Loin de me calmer ou d'éteindre mon désir, cela ne fit donc qu’accroître le brasier ardent qui dévorais délicieusement mes entrailles. Le Maître m’avait laissé ensuite le temps de souffler quelque peu, avant la charge finale. Me faisant prodigieusement jouir une deuxième fois toujours avec une intensité extrême, mais cette fois juste en me pénétrant, (enfin !) d’une saillie vaginale puissante, profonde et virile. Enfonçant son épais sexe majestueux entre mes lèvres gonflées et gorgées de désir et rougies de ma chatte dilatée par ce besoin de copulation. Je ne s'aurais décrire plus exactement ce que j'ai éprouvé... Ayant vécus de nouveau un véritable paradis de plaisirs... Le Noble me baisant sans fin, pendant un temps interminable... Et je jouissais, j’explosais mes orgasmes encore et encore, à n’en plus finir, quasi sans interruption, je hurlais de plaisirs sous ses coups de reins si puissants et réguliers qu’on aurait dit des va-et-vient d’une précision d’un métronome… Jusqu'à ce que j'implorais grâce au bout d’une heure environ ...

- Je... vous en supplie... finissez... aahh.... ai-je fini pas murmurer, à bout de souffle et de plaisirs rassasiés.

C'est alors qu'il s'empara de la chaînette reliant les pinces toujours fixées à mes tétons et la tira d'un coup, arrachant en même temps ces deux pinces, me faisant hurler de toute la force de mes poumons, tandis que mon corps se cambra au maximum de ses possibilités dans ses contraintes, du fait du énième orgasme divin qui explosa à nouveau en moi avec une violence inouïe de plaisirs démultipliés. Toutes mes terminaisons nerveuses palpitant d'une jouissance torride. Mes cuisses étaient agitées de tremblements et mon cœur battait sauvagement dans ma poitrine, dans ma tête et dans mon clitoris. Quand mon bassin retomba sur le lit, je demeurais inerte, les yeux clos sous mon bandeau, silencieuse, seuls mes tremblements encore visibles et le soulèvement rapide de ma poitrine sous l'effet de ma respiration haletante, témoignaient que je ne m’étais pas évanouie d’un orgasme si dévastateur.
Je me sentais si fatiguée... vidée … épuisée... après tous ses orgasmes quasi irrationnels, incroyables, hors normes que je sombrais déjà à moitié dans un sommeil qu’incitait mon corps éreinté. C'était étrange de me sentir si apathique et si comblée en même temps. J'aurais pu passer le reste de la journée et de la nuit entravée, toute nue dans ce lit, cela ne m'aurait pas gênée plus que ça, tant je me sentais bien, comblée et heureuse. Si bien que je ne pus m'empêcher de pousser un gémissement de désapprobation quand Monsieur le Marquis me libéra les jambes. Ouvrant et retirant de même les mousquetons retenant mes poignets au cadre du lit, m'aidant à me relever, malgré mon désir de rester allongée et de me laisser emporter dans les bras de Morphée.

Au lieu de cela, je suis restée encore toute tremblante et en sueur dans les bras du Maître, me sentent étrangement bien, quoique fatiguée, mais également triste d’un sommeil venant et me privant de sa douce présence quand il me blottit dans ses bras contre son torse. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. Je me mis soudainement à pleurer sans savoir pourquoi. Me pressant plus encore dans les bras de Monsieur le Marquis, bercée et rassurée par les battements de son cœur, à peine perceptible... ou étais-ce le miens ? … Je sombrais alors dans un profond sommeil …

(A suivre)

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