Ma Première Expérience Avec Ma Belle-Mère.

À cette époque, j’avais à peine vingt ans, je sortais avec Lili, une jeune-fille tout à fait charmante, belle à croquer, très pudique, dont je suis très vite tombé amoureux. Avant elle, j’avais déjà vécu quelques aventures, mais les parties de sexe avec mes partenaires, étaient basées beaucoup sur les préliminaires avec beaucoup de baisers et d’attouchements en discothèque, puis le moment de la pénétration ne venait que bien plus tard dans la voiture et ne durait jamais bien longtemps. Ne portant jamais de préservatifs, j’explosais sur le ventre des jeunes filles sans leur demander, si cela leur avait fait du bien. Jamais je me suis intéressé à leur ressentis, je ne m’inquiétais pas de leur désir, de leur jouissance, je ne pensais qu’à mon plaisir. C’était la raison pour laquelle, ces filles ne restaient pas bien longtemps avec moi, je l’ai compris plus tard.
Avec Lili, il avait fallu que j’attende trois semaines avant de pouvoir enfin, avoir un premier rapport sexuel. Nos longues soirées à flirter m’excitait au plus haut point et j’attendais d’être dans mon lit pour me masturber, ayant mon pénis encore dur comme du bois en pensant à elle. Lili aimait flirter se faire caresser les seins mais jamais je ne pouvais aller très loin, mes doigts ne pouvaient pénétrer son intimité, à chaque fois, elle me retirait gentiment la main. Puis lorsqu’elle sentait que j’avais le feu en moi et qu’à l’intérieur de mon caleçon, mon sexe ne pouvait pas plus, se tendre, elle se couchait à plat dos écartant ses cuisses et m’acceptait en elle, je la pénétrais doucement, avec beaucoup de précautions, les rapports étaient douloureux pour elle. Je ne connaissait à l’époque que la position du missionnaire
Après six mois de liaison amoureuse avec Lili, celle-ci m’avait présenté à sa mère. Sophie était une femme très élégante, très bien physiquement, la quarantaine. Elle était divorcée depuis cinq ans et ne s’était jamais remise en couple. Sa fille Lili, m’invitait souvent à la maison, ce qui nous permettait de ne plus faire l’amour dans la voiture.

Nous utilisions le divan en cuir lorsque la maman montait se coucher mais les rapports que nous avions restaient identiques. N’ayant aucune expérience, je continuais à la prendre toujours de la même façon, simplement et délicatement. Après un an, je venais régulièrement chez elle, Sophie était toujours au petit soin pour moi, Lili n’étant pas très affectueuse, j’avais avec sa mère un peu plus d’attention. Elle me demandait ce que je voulais manger ou boire, elle me conseillait sur mes tenues, s’intéressait à mon travail, elle me parlait beaucoup pendant que Lili était à la salle de bain ou au téléphone avec ses copines.
Lorsque nous avions décidé de nous marier, j’ai tenu à faire les choses dans les règles de l’art, je n’étais pas bien fortuné mais j’avais invité Lili et sa mère au restaurant. N’en connaissant pas un particulièrement, j’ai laissé le choix à ma fiancée, elle choisit celui où elle allait régulièrement avec ses collègues de travail. Le repas n’était cher mais le chef faisait bien la cuisine.

Au « Bistrot », nous nous s’installèrent sur une petite table ronde au milieu de la salle, je m’efforçais d’utiliser mon charme pour ne pas décevoir Lili. Sophie comprenait, que j’étais vraiment épris de sa fille et se demandait si Lili avait les mêmes sentiments que moi, elle était distante depuis plusieurs jours et faisait des signes à ses copains et copines me délaissant quelque peu.
Ma fiancée quitta la table un instant pour aller discuter avec quelques amies à une table voisine, Sophie avec un culot monstre en profita pour poser sa main sur ma cuisse, ce n’était pas dans ses habitudes, mais ma belle-mère était très tactile, souvent elle me touchait la main ou lorsqu’elle me faisait la bise me prenait par les hanches m’attirant vers elle, je n’avais jamais remarqué qu’elle l’était autant que ce soir-là. Voyant que tout en me parlant, sa main restait sur le haut de ma cuisse, Je voulais lui enlever délicatement mais Sophie m’impressionnait trop pour que je me permette de la vexer.
Elle me dit alors :
— Je crois que Lili te délaisse trop à mon gout. Tu sais, Grégoire, tu devrais t’imposer plus avec elle.
Ne sachant que répondre, sa main avait glissé un peu plus vers l’intérieur de ma cuisse, je sentais monter en moi en un certain désir, j’ai posé ma main sur la sienne pour lui retirer mais je ne l’ai pas fait. Nos mains étaient restées l’une sur l’autre, elle retira la sienne et me dit :
— Je ne comprends pas ma fille, tu es si beau Grégoire ?
Elle prit ma main et la posa sur sa cuisse remontant ainsi sa petite robe légère. Devant le calme la franchise des propos de Sophie et de son geste sans équivoque, je perdis encore un peu plus de mon assurance mais je restais lucide, Sophie m’avait excité et elle le voyait, elle ne me quittait pas des yeux. Elle écartait les jambes afin que ma main vienne caresser son intimité, elle n’avait pas de petite culotte. Elle me dit en blaguant :
— Si tu veux la fille, il faut prendre la mère.
Puis elle se mit à rire en posant une nouvelle fois sa main bien plus haut directement sur ma verge qui tendait le tissu de mon pantalon. Un couple en face de nous nous regardait en parlant à voix basse, ils ne nous quittaient pas des yeux, elle me dit :
— Tu les a vu, ils matent, ça m’excite encore plus »
C’est vrai que j’avais une envie folle de joindre l’utile à l’agréable en couchant avec Sophie que je trouvais tout à fait à mon gout, c’était une très jolie femme et très aguichante mais cela ne restait qu’un fantasme de jeune. Sophie hasarda sa main encore plus haut, j’écartais les cuisses afin qu’elle puisse accéder là où elle voulait aller. Elle me sourit et dit :
— Quelle chance elle a ma Lili.
Sophie avait très envie de moi, elle passait sa langue sur ses lèvres tout en me fixant droit dans les yeux, cela m’excitait et sans mentir, elle me dit :
— Oui, tu es vraiment un étalon Grégoire.
La conversation s’arrêta net, quand Lili revint à table.
J’avais des difficultés à reprendre le cours d’une conversation normale, Sophie continuait à me fixer de longues secondes en souriant. Après le café, Lili s’absenta de nouveau retournant voir ses amies. Ce fut ce moment que choisit Sophie pour se lever, me tendant la main afin que je la suive aux toilettes. Je n’avais pas décroché un mot, ma timidité sans doute, mais je l’avais suivi la tenant par la main.
Elle ouvrit une cabine et nous nous y sommes installée un peu à l’étroit il faut dire. Sophie savait y faire, ce ne devait pas être la première fois qu’elle se retrouvait dans ce genre d’endroit. Elle s’était assise sur la cuvette, j’étais le dos appuyé à la porte. Elle m’enleva la ceinture et le bouton, elle descendit la fermeture éclair et baissa mon pantalon et mon caleçon à mi-cuisses :
— Qu’il est beau Grégoire. Me dit elle en le mettant directement dans sa bouche.
— Non ! Madame, nous ne devrions pas...
— Tais-toi donc ! Je vois bien que tu as envie de moi, tu bandes comme un cerf mon lapin.
M’avait-elle dit en ressortant mon engin avant de le reprendre en bouche. Elle m’avala jusqu’à la garde, c’était la première fois qu’une fille me faisait une fellation. J’étais dans une excitation totale. Qu’elle pipe ! Après quelques minutes à ce rythme, J’allais exploser dans sa gorge si elle ne se retirait pas, mais ma belle-mère avait beaucoup d’expérience. Elle se releva, se retourna, replia le bas de sa robe sur son dos, penchée sur la cuvette les deux mains plaquées sur le mur du fond me tendant ainsi ses fesses en m’ordonnant :
—Baise-moi Grégoire.
Je ne pouvais pas attendre, je ne voyais plus ma belle-mère mais une femme qui s’offrait à moi et à ma queue devenue rouge sang. Je me suis glissé en elle sans préliminaire, elle était trempée de plaisir, mes va et viens n’étaient pas assez brutaux à son gout :
— Plus fort non de Dieu ! Baise-moi fort !
Je n’avais pu me retenir bien longtemps, après ses cris de jouissance que certains clients avaient dû entendre, je m’étais retiré pour éjaculer sur son postérieur si bien galbé.
Les grands jets de sperme lui recouvraient une grande partie des globes et coulait en se perdant dans la raie qui séparait ses deux belles fesses. Je garde en mémoire ces images au plus profond de mes pensées même encore aujourd’hui après plus de quarante ans. Elle se retourna et me passa la langue sur le gland afin d’absorber le reste de sperme qui coulait encore un peu. Nous nous sommes essuyés et rhabillés, nous étions face à face dans ce minuscule endroit. Elle passa sa langue mouillée sur mes lèvres en me disant :
— Je suis très fière de mon futur gendre, je ferai de toi un homme, un vrai.
Elle me fit une bise avant que l’on sorte puis lorsque nous étions retournés à table, Lili nous attendait, jamais elle ne pouvait imaginer ce que je venais de vivre avec sa mère. J’étais alors impatient de savoir si je pouvais encore ce genre de rapport avec ma belle-mère. N’était-ce pas la seule et la dernière fois ? Recommencerait-elle ?
En montant dans la voiture, j’eut la réponse, Sophie me dit au creux de mon oreille :
—« Je suis une salope Grégoire, ce sera quand tu le voudras. »

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