Suzanne 3
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Suzanne 3
Troisième séance chez Suzanne. Nous voilà au Vendredi soir. Quest ce qui mattend ? Elle ma promis une surprise, la sadique, mais elle ne men a pas dit vraiment davantage. Le seul truc que jai deviné à travers ses messages, cest que je devrai passer chez elle tout le week-end. Et ça, cest nouveau. « Pas besoin de pyjama, il y a ici tout ce quil faut ». La connaissant jimagine le pire.
Bon, il est 18h30. Je me présente, comme convenu. La porte de limmeuble, la sonnerie de lentrée, lescalier, le palier du dernier étage.
Les autres fois il y avait un mot sur le paillasson pour mindiquer ma tenue avant dentrer : « Slip », par exemple. Je commence à avoir lhabitude.
Aujourdhui, rien. Ou plutôt presque rien : une feuille blanche. Aurais je carte blanche ? Ah, je devine
sil ny a rien décrit cest parce que je dois rentrer sans rien sur moi. Tout nu. A poil. Jai compris. Surtout quelle ma dit de venir épilé.
Je mapprête à glisser mes fringues dans le seau prévu à cet effet comme dhabitude. Mon pull, mon jean, mes baskets , jarrive au slip.
Surprise, le seau est presque plein . Un sweat, un jean, des sandales, un string et un soutif. Aïe aïe aïe ! je ne suis pas seul, Il y a une gonzesse !
Jy vais ? Jy vais pas ? Plus le choix. Mes fringues et mes baskets filent dans le seau. Et moi sur le palier, devant la porte encore fermée. En slip.
Cest bizarre, dêtre comme ça. Ça mexcite déjà. Et la porte qui ne souvre pas.
Mon slip rejoint le reste, jattends toujours. Dans le noir, mais avec un détecteur de mouvement. Au moindre geste je suis sous la lampe qui éclaire le palier. Ah ! Voilà quun petit papier apparaît, sous la porte. Je latt pour lire les instructions.
Cest simple. Il y a juste une flèche dessinée. Vers le haut. Je traduis « érection ! »
Exécution, je commence à me branler.
Ah, enfin, la porte sentrouvre. Jy vais
cest le noir total.
La porte se referme derrière moi. Et je sens une présence. Dans mon dos. Je sens un corps. A lévidence, un corps nu. Ou presque nu. Mais ce nest pas la Suzanne. On me ceinture. Pas le temps de dire Ouf. Une main sur ma bouche pour ne pas crier, une sur ma queue pour me branler
Décidément, ce soir cest ma fête, cest du rapide. Et du muet.
Muet ? Pas vraiment, voilà que je lentends, de loin.
- « Vas y Ginette, il est à toi ce soir. Fais lui tout ce que tu veux.
- Tout ?
- Oui, tripote le, le, comme tu aimes. Mais noublie pas, parfois les rôles sinversent. Et il tarrivera dy passer à ton tour.
- Je sais, Suzanne, je sais. Surtout que jaime ça.
- Il est bien épilé, comme prévu ?
- Oh oui, ça ira, dit-elle rn me caressant les couilles.
- La raie du cul aussi ?
- Oui, mais on lui fera une petite finition si vous voulez, ajoute-t-elle en glissant un doigt entre mes fesses, avec gourmandise »
Jai bien entendu, elle se nomme Ginette. Pour sûr ce nest pas un nom de guerre. Elle doit être vieille. Et
expérimentée, cest sûr.
- Pour commencer, essore le bien. A la main, à la bouche, vide le deux fois de suite si tu peux. Pour la suite ce sera meilleur, un vrai barreau.
- Jaime quand vous me donnez des ordres. Sil vous plait, Suzanne, pour bien le commencer, je voudrais quil soit pendu par les poignets au gros crochet en haut pour mieux le tripoter. Je peux ?
- Tu le veux à ta merci, cest ça ?
- Oui, je veux lui faire ce que j ai envie.
- Fais le grimper sur le petit escabeau. Tu lui noues les poignets pour commencer; puis tu les fixes au crochet, à bonne hauteur. Tu connais, tu as déjà été accrochée comme ça la semaine derrière.
- Ouiiiii cest excitant ça me fait mouiller.
- Ne sois pas pressée.
- Ouiiiii
jai envie de lhumilier.
- Bâillonne-le, sinon on ne sentendra pas.
- Dommage, jaimerais bien lentendre gueuler.
- Obéis, ma Ginette, ou sinon je te fouette.
- Voilà cest fait.
- Il bande ?
- Oui. Un vrai cerf.
- Enlève lescabeau, il faut quil soit pendu. Sil gigote un peu trop, tu attaches ses chevilles avec du velcro. Ou du scotch large.
- Du scotch, cest mieux.
Att ses couilles, et serre-les. Presse-les comme des figues mûres.
- Il va aimer, ou non ?
- On va voir. Regarde comme il bande
- Oui, cest super, et il a mal, je le sens.
- Ecrase-les. Fais-lui mal.
Je me demande combien de temps ça va durer. Ce sont de vraies sadiques, on est loin des simples jeux sado-maso de salon promis par la Suzanne.
- Prends le bien, suce !
- Oui
- Mords lui les couilles, et enlève lui le bâillon un instant, quon lentende gueuler un bon coup.
La vieille y va à pleines dents, je le sens. Elle va me châtrer si ça continue. Je ne gueule pas, ça lexciterait encore plus.
- Suce le, vide le.
- Il jouit
le cochon. Cest un rapide !
- Cest bon, finis le, essore le, navale surtout pas; mets le jus dans un verre.
- Dommage
Mais cest o.k. Dans le verre.
- Ne le lâche pas, empêche le de débander, et tu lui fais une autre pipe sur-le-champ.
- Mais
il couine comme une gonzesse.
- Mets lui un doigt au cul, ou deux. Masse lui sa prostate. Fais le jouir, il le faut.
Comme prévu, cest plus long à venir mais, contre toute attente jenvoie une seconde giclée au fond de sa gorge, bien abondante , quelle recrache dans le verre, et elle me lâche enfin, en position « repos ».
- Laisse le pendu par les mains, mais tu lui glisses un gros bouquin sous les pieds, ou même deux. Pour le reposer un peu ; il servira encore, après quon ait mangé.
- On se fait un petit apéro ? demande Ginette en faisant ce que lui a ordonné la Suzanne.
- Pas tout de suite, chérie. Mets le sperme dans le bac à glaçons, et au congélateur.
Au passage elle ne peut sempêcher de me tripoter la bite ; une vraie salope, vraiment, tu verras quand ce sera ton tour, tu ten souviendras.
- Voici la cire à épiler, et les bandes. Finis-le, il faut que ses couilles soient douces comme des coquilles duf.
- Et la raie ?
- La raie du cul aussi. Je ne veux pas voir la moindre trace de poil.
Elle a pris son temps, et elle ma fignolé avec un rasoir à manche. Attention à ne pas bouger, sinon
émasculation garantie.
- Détache-le à présent. Descends le sur le parquet. Et couche le dans le grand panier, comme un chien, poignets attachés. Tu las tellement sonné quil ne pourra pas bouger.
- O.K.
- Viens vers moi à présent, et allume la lumière, quil nous voie un peu.
Je nen crois pas mes yeux. Une Ginette bien mûre, avec des rides, mais un cul et des nénés magnifiques. Totalement à poil. Enfin, plutôt sans poil. Totalement épilée
je sens quelle va men faire voir celle-là. Et Suzanne, bien mûre elle aussi mais absolument parfaite. En combi-collant, avec
un gode double sans harnais, droit comme un i majuscule, enfilé à fond dans son sexe. Assise dans un fauteuil en rotin style Emmanuelle.
- Viens sur moi Chérie, viens que je te baise.
Lautre ne se le fait pas dire deux fois. La voilà à califourchon sur Suzanne, elle ajuste le bidule, et se laisse tomber jusquà être embrochée. Et voilà que ça sembrasse, que ça remue, que ça gémit
- Oui, oui, jy suis, chérie. Bourre-moi bien, jai tellement envie ! Je sens que je vais partir, je jouis
oh oui, je jouis, tu le sens ?
- Oh oui, mais jen veux davantage. Tourne-toi, cochonne. Donne-moi ton petit cul.
A cheval à nouveau, mais à lenvers. Au fond du trou du cul en deux secondes.
- Tu mas fait mal, cochonne, mais maintenant cest bon dans mon anus. Tu aimes ?
- Oh oui, jaime.
- Oui, jadore, surtout quand cest toi. Fais ta salope, dis moi des cochonneries, arrose moi, envoie la sauce.
Un détail que je navais pas vu jusquà présent. La bite en silicone est munie dune poire caoutchouc. La Suzanne me montre bien loutil, et, dun coup, envoie tout le contenu dans lanus de lautre cochonne. Je saurai plus tard que cétait de leau tiède. Avec du poivre et du gros sel, pour lui chauffer lanus . Hmmmm
Une bonne demi-heure à se gouiner, se fister, et moi
rien. Repos ! Toujours coincé dans le panier à chien. Mais, je le sens, je ne perds rien pour attendre.
- Sors le de là, on va jouer un peu.
- Oh oui, on lui fait quoi ?
- Pour commencer on va lanesthésier. Donne moi léther, à coté de toi. Et le coton.
- Oui
- Et présente moi sa bite, bien molle.
- Ce nest pas facile, il risque de bander.
- Molle, jai dit.
Et voilà quelle menduit déther à haute dose. Cest tout froid, et, cest vrai, anesthésiant.
- Tiens le bien, tu vois ce que jai dans ma main ?
- Oui, un truc pour percer les oreilles des gamines.
- A peu près ça. En fait un peu plus grand.
- On lui perce quoi ? La bite ?
- Plus exactement le sac des couilles, le scrotum comme on dit dans les livres. Tiens le bien, on va lui faire ça à la base. Il va le sentir passer mais cest supportable avec léther. Et sans risque.
La salope, la vicieuse, elle ma pris de court. Pas le temps de dire non ; pas le temps de dire oui. Jai poussé un cri énorme.
- Et voilà, mon mignon, cest fait
On cicatrise 30 minutes et je te passerai un anneau dacier que tu garderas à perpète. Tu es à moi à présent , et
à Ginette.
A suivre
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