Collection Rêve Et Réalité. Que La Chair Est Faible (2/5)
Certaines de mes histoires sont laboutissement dun rêve soit que je men souvienne au matin soit quil me réveille.
Cest ainsi que Joseph curé de campagne vient dans ce village prendre ses fonctions en remplacement de lancien curé Mathieu partant à la retraite dans une abbaye.
Dès sa première messe il remarque les beaux yeux dune jeune fille qui le fait chavirer.
Cette même jeune fille nommée Marie il la retrouve dans le jardin du presbytère à cultiver ses légumes.
Elle lui annonce que comme le faisait sa maman avec lancien curé cest elle qui sera chargée de lentretien du presbytère et de sa cuisine principalement composée de soupe de légumes.
En plus de cet entretien, dès le premier soir entendant la porte donnant sur le jardin souvrir, il voit Marie entrer dans sa chambre ôter son peignoir et se présenter dans sa magnifique nudité.
Depuis quil est petit, il dort nu et la coquine se glissant sous son drap vient directement lui sucer la queue qui bande fièrement.
Ses vux de chasteté sont vite balayés par lexpérience que semble montrer la jolie blonde.
Elle le suce en le masturbant et ses quinze centimètres deviennent tendus comme jamais.
La nature est ainsi faite que le processus que la petite déclenche en lui est irréversible et quil se sent obligé de la satisfaire pour lui éviter une frustration qui pourrait la marquer à vie.
Juda lui a bien dit de sintégrer dans ce village et quand son sexe entre dans celui de la jeune femme, quelle plus belle intégration pourrait-il avoir.
Il a du mal à la pénétrer mais après un cri de Marie il est en elle.
Ce premier coït se fera sans plaisir pour elle et sans grand plaisir pour lui car il éjacule trop vite surpris que cette jeune femme soit venue se faire sauter.
- Excuse-moi.
- Non, sétait bon quand même, tu verras au fil des jours tu arriveras à me satisfaire comme Mathieu le faisait avec maman.
- Que me dis-tu, ta maman couchait avec le vieux curé ?
- Vieux quand tu las vu partir, mais maman ma dit quà cinquante ans quand ils mont conçu il bandait autant que toi ce soir.
- Es-tu en train de me dire que tu es la fille du père Mathieu et que ta mère ta mis au monde alors quelle avait dépassé la quarantaine ?
- Oui et aussi mes quatre frères mes aînés qui ont quitté la maison il y a longtemps.
Quand mon père est arrivé, cest à elle qua été confiée sa cuisine et son ménage et comme moi en plus afin de gagner sa vie elle était linfirmière du pays.
- Mais les gens savaient que vous étiez les s de votre curé ?
- Non, maman allait dans presque toutes les maisons pour piquer les fesses des gens.
À chaque naissance, il se disait que maman était une salope qui baisait avec des hommes sans jamais se faire prendre.
Elle était fidèle à son curé comme je vais lêtre avec toi.
- Cest incroyable, mais après ce qui vient de se passer je suis dans lobligation de te croire.
Mais ta maman et toi que faite vous de nos vux de chasteté.
- Tu les trahirais si tu baisais les femmes mariées de ce village cocufiant les hommes qui aiment aller au bistrot et qui rentrent chez eux bourrés.
Insidieusement la petite joue avec ma verge qui rapidement reprend du volume.
Il me faut résister cest au moment où je me glisse entre ses cuisses que je vois pourquoi jai eu du mal à rentrer.
- Mais tu étais vierge.
- Normal je mappelle Marie.
Maman mavait préparé à ta venue car elle savait que ton prédécesseur voulait partir finir sa vie dans une abbaye.
Je tattendais avec anxiété car javais peur que tu ne fusses gros et laid.
Dimanche à la messe quand je tai vu et que tu mas donné la communion, jai ressenti les premiers émois de ma vie de femme.
- Tu sais que ce que nous faisons est mal.
- Qui a-t-il de mal à ce que je te rejoigne la nuit et que nos corps vibrent à lunisson comme ceux de maman et de mon papa.
Dieu nous a donné des chattes et des verges cest pour sen servir.
Regarde, je réussis à te faire rebander.
Ma chatte me fait mal après mon dépucelage, je veux te faire plaisir.
Je vais recommencer à te sucer et avaler ton sperme.
- Comment sais-tu tout ça ?
- Maman ma expliqué que lorsquelle avait ses règles cest dans sa bouche quelle récupérerait sa divine semence.
Il en sera de même pour toi.
- Mais dis-moi, sils ont eu cinq s, sa semence il devait lui en déposer beaucoup dans son vagin.
- Cest sur comme toi tu las fait tout à lheure, dans neuf mois je nous donnerais notre première .
Jen veux autant et même plus que maman.
- Et que faite vous de notre morale ?
- Et Marie-Madeleine, elle avait de la morale.
Tu as fait de moi une femme ce soir et je te serais fidèle.
Elle retourne me pomper avale mon sperme et reprenant son peignoir retourne dans la maison voisine.
Qui a conçu ces maisons avec un passage permettant à ces femmes dêtre la tentation.
Au matin quand je vais ouvrir léglise, je regarde si quelquun me regarde de travers.
- Bonjour curé, vous avez bien dormi.
Vous habitiez en ville avant dêtre nommé ici.
- Oui.
- Ici les voitures, à part quelques jeunes rentrants de la ville en goguette le week-end, aucun bruit de ce genre pour vous réveiller.
Ce matin ça bouge de bonne heure surtout les tracteurs nos paysans vont aux champs.
Voilà, ces genres de discours même avec monsieur le maire ou le boulanger au fil des jours sont tous du même acabit.
Ça fait une semaine que je suis là et toutes les nuits Marie vient me dire son amour.
Jai un peu honte lundi jai pris rendez-vous avec lévêque Juda pour éclaircir ma situation et recueillir son sentiment.
À 11 heures, jai rendez-vous pour une confession de lancienne droguiste, la boutique ayant fermé ses portes cette femme touchant les aides de l'État.
- Mon père pardonnez-moi parce que jai péché.
Cette phrase, jétais persuadé que cétait fini avec la nouvelle liturgie où les personnes se font absoudre leurs péchés seules.
Je passe ses petits travers quand elle se goinfre de petits fours.
Jai vu son cul avant quelle vienne sagenouiller dans le confessionnal.
Il doit y avoir longtemps quune bite nest venue la baiser.
Elle a de la rancur pour les autres femmes du village.
- Monsieur le curé, je dois vous dire ce que lon ma fait comprendre.
Il mest impossible de garder ça pour moi.
- Dite ma fille.
- Marie, la petite Marie qui habite la maison voisine de la vôtre, cest une salope comme sa mère.
Mon sang se glace, avons-nous fait un imper, cette vieille rombière va mannoncer que je me tape la jeune fille.
Elle va me dire que dans le village tous savent que jai enfilé Marie alors quelle était en position de levrette.
Marie adore me sucer la queue mais aime par-dessus tout quand je viens en elle par-derrière.
Elle dit quelle me sent mieux.
Ouf.
- On ma dit quelle était la maîtresse du grand Georges le père de Louis votre de chur.
Attention, je veux vous dire simplement la vérité loin de moi lidée de colporter des ragots.
Mais.
Immanquablement il y a un « mais ».
- Mais on la vu aller chez eux dès que son fils était parti à lécole.
Vous vous rendez compte Louis est encore à lécole ici alors quà son âge il devrait être au collège mais moi ce que jen dis.
Marie a profité de ce que la femme de Georges était hospitalisée pour un calcul rénal.
On lui a posé une sonde JJ.
Inutile de me demander ce que cest JJ sinon je serais médecin.
Je suis à deux doigts de mendormir mais cest de Marie quelle parle et jespère pouvoir la contrer sans me dévoiler.
- On dirait que dans votre voix, il y a de la rancur ma fille, soit envers la petite Marie soit envers son soi-disant amant.
- Son amant jen suis certaine, elle a le feu au cul comme sa putain de mère.
Cinq s sans jamais être vu avec un homme.
Sa mère sétait la pute du village même mon mari le Joseph, il la tringlé, paix à son âme mon père.
- Si je comprends bien ma fille, Marie est une pute, sa mère est une pute.
Vous avez été mariée avec un homme qui vous aurait fait porter des cornes.
Comme vous dites paix à son âme.
Mais dites-moi ma fille.
Jadore parler à ces vieilles rombières et les appeler « ma fille ».
- Dites-moi, vous me parlez des autres, mais vous à part votre boulimie de petits gâteaux, aucun petit coup de canif dans votre contrat avec Joseph.
- Une boulimie, juste de petit plaisir.
De gourmandise ma fille, de gourmandise cest déjà un péché quil vous faut avouer.
Attention ma fille, vous êtes dans un lieu de culte, vous voyez la lumière rouge près du tabernacle.
Il est là qui vous regarde et qui vous écoute.
À votre âge, vous avez des chances de vous retrouver devant son jugement dans peu dannées.
Dites-moi tout surtout si vous avez toujours oublié de le dire au père Mathieu.
- Vous avez raison mon père, jai un gros poids sur ma poitrine.
Ça restera ente nous mon père et jaurais labsolution.
- Vous allez vite en besogne ma fille, dites-moi tout et je verrais si vous méritez labsolution de celui qui nous a montré le chemin.
Je sens que je vais me marrer, à part dès on-dit, rien entre moi et Marie semble filtrer dans le village
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!