Collection Rêve Et Réalité. Que La Chair Est Faible (3/5)
Où ce rêve que jai fait concernant ce jeune prêtre tous juste sortie du séminaire ayant peur de sa première messe va-t-il lemmener.
Outre que père Mathieu son prédécesseur qui a eu cinq s avec sa gouvernante laissant croire à tout leur village quelle était une salope se faisant baiser par tout et par tous.
Il se retrouve dans la même situation avec leur dernier .
Marie jeune blonde aux yeux bleue de vingt ans lui fait prendre le même chemin.
Il aurait bien aimé que ce soit pour ses propres beaux yeux quelle se donne à lui mais à ce quelle lui dit, cest sa maman qui la préparé à prendre sa relève dès que le nouveau curé aurait emménagé.
Le nouveau curé, cest moi, père Joseph qui reçoit cette magnifique beauté que je dépucelle sans le savoir dès le premier soir où elle se glisse dans mon lit.
Bon, je dois dire que mon charme naturel me permet de faire chavirer son cur et depuis quelques jours je sens que lamour a éclos entre nous.
Ce matin jai une rombière du village, vraie langue de vipère, qui me rapporte que Marie se ferait baiser par Georges la brute du village.
Je lécoute mais jarrive devant lautel à se dévoiler elle-même sur ses turpitudes.
- Parlez sans crainte ma fille ici seul le seigneur sur sa croix qui vous entend, je suis tenu par le secret de la confession.
- Comment vous dire mon père, les femmes cest tromper son mari ?
- Pourquoi cette question, dite men plus, vous mintriguez, pourquoi les femmes ?
- Depuis que je suis petite, les femmes m'ont toujours attirée.
Jai vite compris que si je laissais parler mes envies dans ce village où tous se connaissent, on maurait brûlé en place publique.
Jai donc accepté dépouser Jean le droguiste ayant dix ans de plus que moi.
Nous avons eu deux s, qui sont mariés contre lavis de leur père.
Ça la tué.
- Le mariage de ses s a tué votre mari, ma fille ?
- Oui, Arsène est marié avec Sylvain et Adeline notre fille avec Lucie.
- Vous avez transmis vos gènes à vos s et votre mari est mort de chagrin.
- Cest un peu ça.
- Il y a autre chose que vous avez à confesser ?
- Oui, Agnès.
- Dimanche à la messe, jai rencontré une Agnès, lancienne institutrice.
Cest elle ?
- Oui.
- Et alors ?
Je suis suspendu à ces lèvres que japerçois derrière la grille du confessionnal nous séparant lun de lautre.
- Je lui suçais la minette.
Jai failli parler de ses élèves de plus de 18 ans quelle dépucelait au dire de Louis mon de choeur.
- Vous vous gouiniez, vous vous suciez la chatte.
Excusez ma fille de ces mots un peu cru.
- Jignore si ce que nous faisions cétait le mot que vous avez dit.
Ici, surtout les filles on va jusquau certificat détudes et dès quon est en âge on nous marie.
Jai suivi ce chemin avec Joseph jusquau jour où Agnès m'a convoqué à cause dAdeline qui aurait frappé celle qui est devenue sa femme, Lucie.
Agnès voulait seulement minformer que ma fille avait été violente sans savoir vraiment le motif de cette dispute.
- Et cest là !
- Indirectement, elle ma invité le samedi à venir prendre des petits fours.
Cest vrai mon père, je fais le péché de gourmandise et elle a compris mon point faible.
- Et cest là !
- Oui.
Dit dune voix timide.
Je la sens au bord des larmes.
- Je vais vous aider ma fille, vous vous êtes embrassées !
- Oui.
- Caressé !
- Plus, mon père.
- Dites-moi que vous vous êtes mis nues et que vous vous êtes !
- Oui, je lai léché et elle ma léché.
Jai envie déclater de rire, derrière sa grille cette femme de plus de 60 ans se trouve prise en faute comme une jeune pucelle.
Plus elle men dira et plus je pourrais protéger mes amours avec Marie et plus lévêque Juda sera content de moi.
- Elle ma fait connaître mon petit bouton qui était caché et dont jignorais lexistence.
- Jai tout compris ma fille, vous mavez posé une question oui la fornication est un péché mais que je vais pouvoir vous absoudre.
Je pense que cest terminé.
- Non, je la vois cette après-midi.
- Daccord je ferme les yeux, vous êtes veuve, elle est femme seule à ce que je sache.
Assumez vos amours et votre homosexualité comme le font votre fille et votre fils.
Là joutrepasse mais je veux éviter que chaque semaine elle vienne se confesser quelle se gouine avec la copine.
Je veux aussi sortir mon village car je le considère déjà comme mon village de son temps médiéval même si dans la vieille ville il y a une tour du XIe siècle.
- Ma fille, je vous absous de vos péchés.
Avez-vous un chapelet ?
- Oui mon père, celui de ma communion.
- Pour votre péché de gourmandise, un chapelet par jour.
Pour celui de fornication, si vous vous assumez vous direz un Pater et deux Avé.
- Pour colporter des ragots car pour Marie je suis sûr que ce sont des ragots, jai de multiples sources me prouvant que cette jeune fille mérite dêtre la rosière à lune des prochaines fêtes des moissons.
Dix chapelets supplémentaires.
- Dix plus un, mon père je vais y passer ma journée.
- Non, vos journées car cest moi qui vous dirais darrêter si vous suivez les conseils de celui qui est ici pour le salut de votre âme !
- Merci mon père.
Je suis sûr quau fond delle quand derrière mon rideau je la vois sagenouiller et dire sa pénitence rapide à faire elle me maudit.
Je la vois remontée lallée centrale, je suis content de moi, je pense que celle-là je lai calmé.
Le lundi je profite dune de mes ouailles qui va vendre ses légumes au marché de la ville.
Je dors tout le long du chemin, la petite Marie à qui jai caché les ragots ma épuisé.
Cest delle que je viens mentretenir avec Juda mon évêque.
Il me reçoit bien à lheure.
- Mon fils je reçois que vous rêvez quune petite Marie venant vous voir tous les soirs dans votre lit.
Vous savez père Joseph, nous avons tous notre petite Marie qui vient vous voir chaque nuit.
Ça sappelle lenvie, cest Satan qui nous tente espérant nous faire craquer dans notre célibat.
Marie ma poursuivi pendant des années, vous verrez quavec lâge elle sestompera.
Lisez régulièrement votre bréviaire, cest la seule pénitence que je vous impose.
Il me met la main sur ma tête avant de me faire baiser son anneau.
- Allez en paix mon fils.
Je suis bien avancé, je récupère mon paysan nous prenons lapéro au café du marché.
- Ça va mon père, vous avez vu votre évêque.
- Oui, jai la réponse.
Joublie de lui dire « démerde-toi ».
Le soir Marie est là.
Comme chaque fois elle me fait une très bonne fellation.
Je la prends en levrette lui mettant un max de sperme dans son vagin.
Il est vingt-trois heures quand elle me quitte mes couilles bien vides.
Je prends mon bréviaire.
Une demi-page et je dors.
Comme conseiller, jai lu le livre de ma foi.
Dans la semaine, je mets en place avec lautorisation de la mairie une section « marche » malgré la fatigue de mes nuits de débauche avec ma petite maîtresse.
Le temps passe, Agathe brille par son absence sauf à la messe.
À si, Agnès sassoit à ses côtés, sans plus bien sûr.
Je vois quelle a son chapelet en main et que les ragots ont cessé.
Ça fait quelques semaines que je vis maritalement avec ma gouvernante comme le père Mathieu le faisait avec la mère de ses s.
Une interrogation se fait jour.
Marie devait simplement me sucer quand elle avait ses règles.
- Marie, dit moi, as-tu bien tes règles ?
- Non, mais pas dinquiétude je gère, demain je vais en ville passer une échographie
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