Collection Rêve Et Réalité. Que La Chair Est Faible (4/5)
Où ce rêve que jai fait concernant ce jeune prêtre Joseph tous juste sortie du séminaire ayant peur de sa première messe va-t-il lemmener.
Pour linstant cest déchographie quil est question.
Marie sa maîtresse a des retards de règle.
- Marie, je serais de tout cur avec toi, comment vas-tu à la ville ?
- Un taxi ambulance vient me chercher à 9 heures.
- Bien on se voit après quand tu seras rentrée.
- Même si je suis enceinte, fais-moi lamour.
Comment refuser cette demande à celle qui vous regarde avec ses grands yeux bleus ?
Surtout quune nouvelle fois elle me lèche les couilles me faisant bander comme Arthur le taureau de Georges et de Louis.
La différence cest que mon de chur est absent et que c'est moi qui fais entrer ma verge dans ce vagin si accueillant.
- Attention au bébé !
Je rigole, à trois mois cest un peu plus quun de tes petits poids que je tai cuisiné hier.
Boure moi, jadore.
Elle me bloque avec ses jambes.
La petite prend de lassurance en levrette et aussi en venant sempaler sur mon cierge parfaitement tendu.
Cest même elle qui en redemande.
Sans être devenues une chienne lubrique plus nous pratiquons les jeux du sexe plus elle en veut.
Sa grossesse si grossesse il y a, elle le saura demain, nous le saurons demain.
Dans la nuit alors quelle vient de me quitter mayant épuisé, je devrais lire mon bréviaire mais le cur me manque.
Je pense et cest dun coup quune idée me vient.
Tenue de joggeur avec mon sac à dos où je place ce qui me sera nécessaire dans la matinée et après avoir ouvert léglise plus tôt que dhabitude, je mélance.
Depuis que je cours ou que je marche, les chemins me sont familiers et jai presque une demi-heure à attendre.
Je sors de mon sac une chemise et mon jean môtant tous signes religieux.
Je manque de mendormir, mettant mon plan en lair.
Mon plan a failli foirer car jattendais une ambulance et cest une voiture banalisée qui arrive.
Par chance mon regard se porte sur la portière et je vois en une fraction de seconde le sigle de la société dambulance.
Jétais assis sur un rocher et je saute sur la route.
La voiture fait un écart et continue sa route.
Cest foutu.
Non, ses feux arrière sallument et la voiture recule.
- Joseph que fais-tu là ?
- Je viens avec toi, je veux voir la première échographie de notre bébé si bébé il y a.
- Chéri, merci, tu me prouves ton amour.
- Alors on y va ?
Cest la dame qui conduit le taxi ambulance qui nous interpelle.
Nous montons à larrière, elle redémarre.
- Je vois, à ladresse où je vous conduis, jai compris.
Soit, vous êtes un couple illégitime, soit vous êtes une jeune demoiselle qui a fauté et qui veut cacher son état et celui qui vous a mis dans cet état sans que vos parents le sache.
De mon côté, jaime les amoureux et je serais une tombe.
Marie vient dans mes bras et nos souffles viennent se mélanger.
- Cest beau lamour.
Tout le reste des kilomètres, Blanche la conductrice de lambulance nous raconte sa vie bien fade comparée aux confessions de mes vieilles paroissiennes.
Blanche car sur son tableau de bord une carte didentité est placée dans un porte-carte.
- Je viens vous récupérer dans une heure.
Allez admirer votre bébé.
Je suis contente, Marie, vous avez gerbé avant de démarrer, cest un signe et on a fait le trajet nous arrêtant seulement pour prendre ce beau gosse.
Marie a gerbé, comme le fond souvent les femmes enceintes au début de leur grossesse.
- Il est en pleine forme, regardez, environ trois mois départ de votre aménorrhée.
Voulez-vous savoir le sexe de votre bébé ?
- Marie quen penses-tu ?
- Si toi tu le veux je suis daccord Joseph.
- Incroyable, vous vous appelez Marie et vous Joseph jeune homme.
Je pense que vous savez que vous avez conçu ce bébé en faisant lamour et sans une opération du Saint-Esprit.
À bien calculer, votre va naître très près du jour de Noël voir même ce jour.
Alors ce sexe ?
- Oui.
- Joseph, voulez-vous découvrir le sexe de votre ?
- Comment ?
- Prenez ce lecteur, promenez-le sur le ventre de votre femme, je suis sûr que vous allez trouver.
Ma femme si au village on savait !
Elle me donne le lecteur met du gel, je cherche.
- Vous pouvez appuyer, vous verrez mieux.
À voilà bébé.
J'ai vu et vous.
Je tâtonne.
- Ce truc, cest un garçon !
- Ce truc comme vous dites, cest une verge, du moins un bout de verge.
Restez sans bouger, parfait.
Je fais une photo.
Nous retrouvons le taxi.
Je suis fière je vais avoir un mâle comme disent les paysans de chez nous mais avec de lanxiété car il est possible que nous soyons découverts.
Nous rejoignons notre montagne quand Blanche arrête le taxi.
- Je pense que cest là que vous descendez, encore félicitations.
Voilà ma carte, vous minviterez au baptême.
Jembrasse Marie qui continue son chemin emportant ma progéniture.
Je remets ma tenue de joggeur.
À laller ça descendait vers la vallée là sa monte.
Heureusement que jai repris mon entraînement depuis que je suis arrivé dans ces montagnes sinon on maurait retrouvé mort au pied dun arbre.
Jarrive sur la place près du café de Jules.
- Et curé, viens boire un coup, il faut être fou pour courir par ces temps.
Regarde, nous à cette époque, on décroche à 16 heures et nous nous retrouvons chez Jules jusquà 19 heures où nous rentrons à la maison bobonne ayant préparé le fricot.
Je suis plié en deux, quand je me sens apostrophé, je fais celui qui sétire pour éviter de faire voir aux quatre abrutis attablés à lombre à la terrasse du café que jai failli crever dans cette montée.
- Jules un blanc pour le curé, il lui faut du remontant.
- Non, Jules un Perrier.
- Tu rigoles, curé, ici à cette heure cest lapéro.
Dans le Sud, cest le petit jaune et dans notre village cest le blanc des montagnes.
Un verre est posé devant moi quand je fais le cinquième pour jouer au tarot.
Ras les bords, comme le disait Juda je me vois déjà en cure de désintoxe avec cette bande divrognes.
- Où tu es allé courir, curé, je tai vu partir ce matin et revenir maintenant.
Tu as vu la petite pute dans son ambulance, elle est rentrée il y a une heure.
- Non, je suis passé derrière la montagne.
- Tu es allé au lac !
Patron remet nous ça.
- Pas pour moi, un verre me suffit.
- Tu vas me vexer, Joseph, refuser un verre ici cest comme prêter sa femme à un autre, cest mal vu.
- Ici il y en a qui prête leur femme à d'autres.
- Curé, tu te fous de nous, à confesse puisque tu les as repris, les cancans ça doit aller bon train.
- Georges tu sais quun curé ça ferme sa gueule.
Cest comme si tu disais que la petite Marie est aller à la ville passer une visite car elle est enceinte du curé.
Si tu descends en ville, crois-tu que le docteur Garde te dira quils sont venus consulter.
Avec tout le respect que je te dois, curé, c'est une simple supposition.
- Vous dite ça car vous avez vu la Blanche avec son ambulance ramener Marie.
Tu oubli quelle est infirmière et elle a dû aller se rapprovisionner en divers produits pour son travail.
- Georges le bruit court que lorsque ta femme était à lhosto, tu las reçu et que tu las niqué sur la table de ta cuisine dès que ton fils a eu le dos tourné.
- Patron une tournée.
- Et alors vous êtes jaloux et bien oui, Marie cest ma maîtresse chaque fois quon le peut je la baise comme je baisais sa mère.
- Cest toi qui lui as fait ses gosses donc tu baises ta fille.
- Et les gars, vous allez trop loin, Marie est une jeune fille sage, arrêter de rapporter des ragots sur cette jeune fille.
Aller cest m'a tourné.
Jules tu me la marque, je vous laisse, je vais prendre ma douche.
Je les quitte, une fois de plus jétais en terrain glissant, il faut dire que je suis un peu beurré.
- Joseph, jai tout vu de ma chambre, derrière ma fenêtre, je suis accouru quand je tai vu te lever.
Viens, nous allons prendre une douche, je vais te remettre sur pied.
Prendre une cuite le jour où on apprend quon va être papa
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