Profanation...
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Jétais avec Manu, assis sur un banc de notre quartier attendant quarrive Alexandre qui comme à son habitude était en retard. Pour que notre attente soit moins monotone nous reluquions le cul des mamans qui menaient leur progéniture à lécole. Faisant sur chacun deux des commentaires malveillants. À lexception de quelque uns dont nous imaginions pouvoir draguer leur propriétaire jusquà les mener à lacte sexuelle.
- Mais tu sais cela pourrait ce faire. Lui lançais-je. Il ne sagit pas là dun simple fantasme, mais dune réalité.
- Tu déconnes ! Tu veux me faire marcher là ?
- Pas du tout, au contraire cest tout à fait sérieux ce que je dis. Je pari que dans le nombre de femmes qui sont passées jusquà maintenant devant nous, il y en a au moins une qui simagine partouzer avec nous lors de sa séance de plaisir solitaire.
- Tu plaisantes ?
- Pas du tout mon pote.
Un pote dont nos complicités remontait à lécole primaire. Nous nous étions trouvés plusieurs années de suite dans la même classe. Et même jusquau cours de catéchisme. Il ne se passait pas un jour sans que je le défende dans les cours de récréation, lui, en retour maidait à faire mes devoirs.
Puis Brigitte nous est apparue, (ma maîtresse du moment). Femme mariée, avec deux s. Dailleurs elle les tenait dans chacune de ses mains.
- Elle est canon ta voisine. Je me la ferais bien.
- Elle nest pas pour toi, rêve pas.
- Ni pour toi. Fit-il en riant.
Ce quil ne savait pas cest que javais rendez-vous avec elle, chez elle après le déjeuner. Sur linstant elle mavait littéralement ignoré en passant devant nous. Pas un seul regard pour moi. Puis Alexandre arriva.
- Alors tu las ? Lui fis-je, alors quil prenait place à mes côtés.
- Oui ! Mais ça na pas été facile. Cest quelle
- Ce qui compte cest que tu las.
- On tire au sort ou on fait comme dhabitude. Fit Manu, en sortant une boule de tissu de sa poche.
- Cest celle de ta mère ? Fit Alexandre.
- Non de ma sur.
- Putain je la veux. Répondit-il.
- Prend celle que tu veux, mais donne-moi celle de ta mère. Fis-je.
Cétait devenu pour nous comme un jeu. On prenait un plaisir malsain de séchangé les culottes de nos mères.
- On se casse ! Fit Manu.
- Pourquoi ? Nous sommes bien là. Répondis-je en humant la culotte doù séchappé des exhalaisons assommantes de cochonne négligé.
- Ça ne va pas ! Fit Manu. Pas ici, on pourrait nous voir.
Pour toute réponse, je plaquais lentrejambe à mes narines. Les yeux clos, je donnais un visage au trophée. Celui de la maman dAlexandre. Lobjectif atteint, je couinais de bonheur, pour le plus grand désarroi des deux potes. Qui aurait préféré quon aille faire ça ailleurs, à labri dyeux indiscrets.
Tout cela me donnait une trique denfer. Cest alors que Marie-France venait de sortir de la supérette. Un panier dans une main un sac de pomme de terre dans lautre. Jétais persuadé que cétait une salope aux désirs cachés. Toujours impeccablement permanentée, le visage poudré et les lèvres rouges. Elle paradait souvent dans le quartier. Minaudant au moindre regard. Comme si son simple passage provoquait chez ceux qui la regarder de furieuses érections.
Il navait pourtant rien de bien provoquant dans son altitude. Mais je la sentais ouverte. En quête dune aventure. Mais surtout prête à tout pour lassouvir.
Elle était de taille moyenne, bien en chair avec des formes rebondies. Elle avait posé les deux charges à terre et me fixait comme un chien son maître adoré. Mon regard glissa jusquà ses pieds. Elle portait des chaussures à lanière de cuir. Qui laissait libre ses petons gainés de nylon fumé. Dont les petits orteils aux ongles laqués de rouges. Il men fallut pas moins pour faire grimper ma libido en flèche.
- Tu as raison Alain, après tout. Ce serait génial. Mais tu es sûr que nous nallons pas au devant dennui ?
- Faite moi confiance, je vous jure que cest une putain de jouisseuse. Qui veut vider ses couilles me suive.
Avec les deux compères derrière mes basques, je mavançais jusquà aborder Marie-France, qui prenait le chemin de son hall, chargée comme une bourrique.
- Bonjour madame ! Fis-je en labordant. Vous permettez quavec mes camarades en vous aide ?
- Ce serait avec plaisir.
Je lui pris le panier des mains, alors que Manu soccupait du sac à patate. Je la laissais me précéder dans les escaliers, pour me donner le loisir dadmirer ses jambes, ses fesses rondes moulées dans limperméable quelle portait. Je sentais monter en moi cette chaleur que je connaissais si bien dans ces instants là.
Fou que jétais. Envie que javais. Je ne sais pas à cet instant ce qui ma retenu de glisser une main sous sa jupe et de la faire lentement aller le long de sa jambe gainée de nylon, jusquà atteindre le liseré de la culotte.
- Je peux vous offrir quelque chose à boire. Pour vous remercier de votre gentillesse. Fit-elle, en passant la porte de chez elle.
- Ce serait avec plaisir. Répondis-je.
- Et je vous sers quoi ? Lança-t-elle, une fois arrivée à la cuisine.
Je pris le temps de réflexion avant de lui lancer :
- Mais tout bonnement vous !
- Pardon !
- Vous avez bien entendu ! Vous !
- Vous voulez me faire marcher là.
- Pas le moins du monde Marie-France. Je me disais quune coquine comme vous, qui narrête pas de me regarder. Avait des idées coquines en tête. Je me trompe ?
Elle ne répondit pas.
- Otez-donc votre imperméable et montrez-nous votre moule.
- Tu me dégoûte !
- Ah oui ! Répondis-je en émettant un petit rire moqueur.
- Je ne sais pas où tu vas chercher cela.
- Je le lis dans votre regard. Et cela tombe bien, avec mes copains ici présent nous avons comme une envie de vider nos couilles. Surtout Alexandre. Il se trouve quil est encore puceau
Elle me lança un regard meurtrier.
- Vous
vous ne voulez tout de même pas me
- Vous baisez ? Cest bien les mots que vous cherchiez, nest-ce pas ?
- Jaurais dit pour ma part, violée
lâcha-t-elle, dune voix brisée.
- Deviendrez-vous vulgaire, chère Marie-France ?
Approchant à la toucher, je me penchais sur elle et effleurais distraitement le bout dun sein à travers limper plastique.
- Comme je vous lai dit précédemment cest pour rendre service à Alexandre. Et il ny a pas mieux quune femme comme vous pour résoudre son problème. Vous le connaissez mon copain ?
- Oui, je le connais bien
il habite
- Vous savez quil est amoureux de vous ! La coupais-je. Il narrête pas de me parler de vous. Et Marie-France par ci, et Marie-France par là.
- Comment je pourrais savoir cela ? Répliqua-t-elle.
- Cest pour cela que je vous le dis. Vous ne serez pas contre lui rendre ce petit service ?
- Si cest une blague elle est de mauvais goût. Répondit-elle, à la fois amusé et apeurée.
- Est-ce que nous avons lair de plaisanter ?
Elle sesclaffait, puis elle reculait, comme pour séchapper, avec de grands yeux effrayés. Pourtant je sentais bien quelle aimait le jeu que lon lui imposer. Probable même quelle lavait espérer en nous faisons franchir le pas de la porte de son appartement.
- Alors Alexandre, quattends-tu, ne fais pas attendre madame !
- Mais quest-ce que tu dis là ! Je ne veux pas. Dailleurs je vous demande maintenant de partir, ou je crie ! Me fixant avec ses yeux clairs.
Me regardant sans me regarder. Elle semblait comme plongée dans un monde intérieur.
- Quattendez-vous pour crier Marie-France. Vous savez aussi bien que moi que si nous venions à partir, vous allez le regretter tout le restant de votre vie. Cest la chance de votre vie de vous offrir une récréation avec trois beaux mecs.
- Tu ne sais pas ce que tu dis ! Lâcha-t-elle avant quAlexandre latt par la taille.
Elle poussait des cris de souris, en se débattant. Elle lui allongea une gifle magistrale. Mais il en aurait fallu plus pour que le harcèlement sarrête. Avec Manu nous la coincions dans le couloir. Ce sachant coincée, elle sabandonnait.
- Ne me faite pas de mal. Fit-elle en fermant les yeux.
Toujours avec Manu nous lagrippions par les membres, pour lentraîner jusquà sa chambre où nous lallongeâmes sur le lit.
Javais lu ça dans un bouquin. Comme quoi une majorité de femme aime faire lamour avec leur amant dans le lit conjugal.
Alors quon la maintenait Alexandre en profitait pour lembrasser sur la bouche. Elle avait bien essayé de se dégager. Mais faiblement, tout en lançant des :
- Je ne veux pas
je ne veux pas, enfin pas avec lui
en tout cas.
Sans brutalité, je lui déboutonnais son imper, et je soulevais son pull, découvrant la poitrine haletante. Les yeux des potes étaient à la fête. Marie-France quen à elle, était rouge de honte. Elle se tortillait, essayant de se libérer de notre étreinte. Ses seins gigotaient. Il me paru plus volumineux que je les avais imaginés. Leurs pointes relevées, auréolées dun brun foncé, se terminaient par les mamelons caramel. Alexandre continuait à la harceler.
Amusé nous le laissions faire, nous contentons dimmobilisé la femme. Il lui donnait des bisous mouillés. Elle se défendait de moins en moins. Le désir lavait paralysé. Alors quavec Manu nous encouragions Alexandre dallait plus loin. Lui expliquant quelle était à point, quelle avait envie quil la fasse jouir.
- Cnest pas vrai ! Lâcha-t-elle, sur un ton hésitant.
Si elle aurait voulu tout arrêter, il aurait suffit quelle crie pour quon détale en vitesse. Encourager, Alexandre devenait de plus en plus audacieux. Il touchait un sein dune main timide, en observant la réaction de Marie-France sur le visage. Elle avait fermé les yeux. Imitant parfaitement la statue.
Encouragé par une telle attitude on poussa le pote de lui embrasser le téton. Elle piaillait. Cétait plus un rire quune manifestation de répulsion. Il suçotait les mamelons qui à notre grand étonnement enflaient et durcissaient quand il retira sa bouche. Ses tétines étaient luisantes de salive. Mais aussi dressées. La main dAlexandre se mit à tripoter les tétons bandés, il caressait maladroitement les seins. Agacée ou stimulée elle bougeait les reins, faisant onduler sa croupe ainsi que son bas-ventre. Cela ne méchappait pas.
- Tu vois Alexandre, tu lui fais de leffet à cette salope. Occupe-toi de sa chatte maintenant. Tu vas voir comment elle va décoller la salope !
Il fit disparaître une main fébrile sous la jupe, alors quelle se débattait, accentuant les ondulations de son entrejambe.
- Non, non, pas ça... Je vous en supplie
Alexandre lair béat, se plaisait de fouiller sous le vêtement, alors que Marie-France cessait peu à peu ses contorsions inutiles. Comme si elle acceptait ce qui lui était imposé. La plupart du temps cétait moi quelle regardait. Avec des yeux implorants. Cétait à croire si elle ne préférait pas que ce sois moi qui moccupe delle.
Alexandre prit linitiative de lui retrousser la jupe jusquà la taille. Exhibant un sexe fortement touffu comprimé par le collant. Sen était trop pour Manu qui simpatientait et le fit savoir :
- Le puceau quest-ce que tu attends pour lui débarrasser du collant ?
- Tu crois que je peux ? Répondit-il.
- Jai mieux ! Lui fis-je. Déchire-lui
- Non !
- Ne Discute pas, fais-le
Et il sexécuta. Ne pouvant résister à la tentation, Manu avec sa main libre soccupait à son tour du sexe de la femme. Il lui montrait sa grande expérience. Lui malaxant le sexe, descendait jusquaux fesses, puis remontait et faisait pénétré son doigt dans les replis de la vulve. La femme se trahissait, en ouvrant la bouche et fermant à nouveaux les yeux. Elle donnait même des coups de reins, discrets mais significatifs. Montrant quelle aimait ce quen lui imposer. Dailleurs la cochonne ne résistait presque plus. Mallumant de ses yeux clairs, qui luisaient de malice.
Alexandre en grand admirateur de nichon, lui palpait toujours la poitrine à deux mains, et parfois les baissait. Manu pencha sa tête à la hauteur du sexe de la femme. Qui vaguement inquiète le regardait coller ses lèvres à sa fente mouillée. Pour stimuler le sexe à sa manière. Il inspectait les orifices trempés, plantait ses doigts dans le vagin. Titilla du pouce le clitoris.
Enfin libre, elle mattrapa par le cou pour me rouler une pelle. Modifiant ainsi la règle du jeu. Passant de soumise à insoumission. Le plaisir avait anéanti ses scrupules. Elle se trémoussait, se régalait, commençait même à gémir. Manu cessa sa caresse buccale.
- Alexandre ça te dirait de goûter sa chatte ?
Malgré un non de principe, Marie-France restait les cuisses écartaient et sexe offert. Elle se réfugiait dans mes bras, membrassait de nouveau avec passion. Jen profitais pour lui caresser ses seins. Alexandre se plaça face au sexe perplexe. Hésitant à mettre sa bouche ou non. Puis il finit par se convaincre à la mettre. Plaquant sa tête contre lentrejambe poilu, dont il renifla lodeur bruyamment. Comme laurait fait un chiot, il se mit à lécher la vulve, timidement dabord puis franchement. Lexplorant de sa langue. Il tentait même de sapprocher de lanus. Essayant de planter sa langue dans le petit trou luisant, en pressant sur le sphincter. Puis progressivement sa langue revint vers son sexe. Écartant les nymphes. Découvrant les chairs molles, lentrée du vagin, et plus haut émergeant de la touffe soyeuse, le capuchon du clitoris.
Il se servait de ses doigts pour ouvrir la fosse. Au bout du capuchon, le bouton rose était dénudé luisant. Alexandre le happait et le suçotait. Haletante la femme ne cachait pas quelle prenait du plaisir. Prenant même linitiative de faire reposer ses mollets sur le dos de son bienfaiteur, lattirant à elle. Elle ouvrait la bouche, langue dehors, comme pour embrasser lair. Elle avait de plus en plus la peine à maîtriser son corps. Agitant les reins, sous le fouillage buccale dAlexandre, qui la mena jusquà lorgasme.
- Arrête, souffla-t-elle, en rentrant le ventre et gonflant la poitrine. Posant ses mains sur son crâne, le griffer même.
Elle jouissait encore et encore. Je la regardais prendre son pied. Puis les convulsions de son orgasme sétaient éteintes.
Jécartais alors Alexandre. Son museau étincelait de mouille. La vulve abandonnée, baillait comme une bouche qui demandait famine. Ce qui donna une idée à Manu. Mais cétait sans compter sur Alexandre qui les yeux de fou continuaient à palper le corps de Marie-France comme un grand malade. Pour avoir enfin la primeur du corps offert, Manu dû lui envoyé une droite. Qui le fit aller sasseoir sur le bout du lit, la main sur la joue, cherchant à comprendre ce qui lui était arrivé, et surtout pourquoi.
Manu agrippa la femme par les chevilles et se positionnait entre ses cuisses. Sans fioritures, il sortit sa queue. Et se faisant violence, dun coup de reins, il viola le fourreau anal de la cochonne, qui hurla de stupeur en essayant de se dégager. Il fouillait le rectum à grands coups de reins, alors que Marie-France ruait, se tortillait en griffant le dos de son violeur. À mon grand étonnement, je lentendais dire :
- Laisse mon cul, conard, prends-moi plutôt par devant.
Jétais sidéré dentendre cela de sa bouche. Cétait même elle de sa main droite, qui saisissait la queue pour la diriger dans son vagin. Manu donna de furieux coup de reins, et lembrocha. Elle râlait, suffoquait. La verge de mon ami de toujours provoqua en elle un violent émoi. À en croire que ça faisait longtemps quelle nen a pas vu une.
- Cest bon !
Oui, cest bon !
Manu se mit tranquillement à la ramoner violemment en lui pétrissant les seins. Mais hélas pour elle, sa besogne ne dura pas aussi longtemps quelle lavait espérait. Il déchargeait, en lempoignant les fesses.
- Encore, encore ! Mais encore
Gémissait-elle en agitant le bassin.
Satisfait davoir obtenu ce quil était venu chercher, il se retirait, laissant la femme sur sa faim. Sa déception était de courte durée. Elle se rabattait alors sur moi. Membrassant pour la troisième fois. Elle me caressait le dos avec volupté, menveloppait de ses membres.
Elle serra ma tige dans sa main, la faisait aller et venir. Jimprimais un mouvement de va-et-vient à mon bassin, ma queue coulissait entre ses doigts souples, moites de sueur. Puis elle majusta à lentrée du vagin. Elle mattira à elle. Impatiente dêtre de nouveau remplis. Quand mon gland toucha ses muqueuses, je sentis tout son corps vibrer. Elle écarta largement les cuisses en émettant un râle.
Je mintroduisais jusquaux couilles.
- Putain, depuis le temps que jy pense. À ta queue. Bourre moi la bien, siffla-t-elle, en poussant un sanglot. Tu ne peux pas savoir comment ma chatte avait envie de ta queue. Elle haletait sous mes va-et-vient. Jallais à grands coups de reins. Elle lança ses jambes en lair, en tressaillant. Elle jouissait. Je retirai ma queue brillante de mouille.
- Je suis trop nerveux, je nai pas pu jouir.
- Tu veux lenculer ?
Elle se retrouva le cul en lair sous les yeux ébahis de mes deux compères. Je lui écartais les fesses à deux mains pour lui dégager lanus luisant.
- Putain quel cul elle se paye cette salope ! Quest-ce que tu mexcites !
- Vas-y, encule-moi
Une touffe ornait lanus, qui se déplia delle-même tant elle poussa dans son ventre pour faire béer son trou du cul. Elle était demeurée amorphe depuis quelle avait joui. Le contact tiède et humide de ma queue la fit sursauter. Quand mon gland disparut dans lorifice, elle bredouilla :
- Tu es bien dur.
La gaine de son anus élastique se dilatait au fur et à mesure de la progression de ma queue. En quelques brefs va-et-vient, je la logeais toute entière en elle. Mes couilles se balancèrent entre ses cuisses.
Quand je sortis ma queue, elle émit un soupir de regret. Je la pénétrais de nouveau et elle maccueillit avec un râle étranglé. Je lagrippais aux fesses et lenculais à toute vitesse. Elle rebondissait sur le matelas. Ses seins se balançaient dans les paumes dAlexandre, venu nous rejoindre. Son anus se contractait par spasmes incontrôlés sur ma queue.
Je magitais de plus en plus. Usant de toutes mes forces pour labourer les entrailles. Elle poussait de longues plaintes. Jémis un râle de bonheur en même temps que je me déversais en elle. La gratifiant encore de quelques coups de reins jusquà ce quelle samollisse, et seffondre sur le matelas.
Puis ce fut au tour dAlexandre de la prendre par les deux orifices.
Il mest arrivée à plusieurs occasions de le revoir au court de ma vie, et à chaque fois il me reparle de cet instant.
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