L'Étiquette

Quelques semaines après ma semaine à Troyes, je faisais du shopping un mardi après-midi. L’hiver venait de démarrer et les éclairages de Noel s’affichaient partout dans la ville, donnant cet aspect festif et joyeux au centre-ville que j’affectionnais particulièrement. Je m’arrêtais dans ma boutique de lingerie préféré pour essayer quelques ensembles très fifty, que je recherchais pour les fêtes de Noel. Je savais que Richard raffolait des looks rétro, ou mes formes plantureuses étaient largement mis en avant par des jupes moulantes et des dessous très chics. J’aimais satisfaire à ses fantasmes, et suivant ses instructions, je gardais sur moi mon nouvel ensemble sur lequel les étiquettes étaient encore accrochées, tel une kleptomane coupable, qui allait se faire punir par son mari furieux. J’arrêtais mon choix sur un modèle Simone Perle mis en lumière par son liseré doré, un mélange de dentelle d’inspiration Haute Couture et des bandes élastiques fantaisies. Composé d’une culotte tout en dentelle, de coupe taille très haute, il apportait un effet rétro des plus tendance avec devant, un doublé de tulle, et une bande élastique texturée très confortable marquant ma taille pour affiner ma silhouette tout en mettant en valeur mes hanches. Le soutien-gorge push-up en triangle soulignait mon décolleté et mettait en avant mes atouts plantureux. Je sortais de la cabine d’essayage, et me dirigeais vers la caisse, ou Arlette, habituée à nos caprices d’adultes, souriait complaisante devant les boites vides…
- Quel excellent choix Patricia, vous portez cela à merveille, je crois que votre mari va être une fois de plus très contrarié
Je souriais tout en rougissant à la suite de l’allusion, n’étant pas seule dans la boutique, je ne souhaitais pas démarrer ce genre de confidence… J’entendis une voix derrière familière qui m’interpella…
- Patricia !!! C’est toi…
- Simon ? Mais que fais-tu ici ?
- Ohhhh quelle superbe surprise… Je suis arrivé dans la région, il a quelques semaines ou je remplace un ami fleuriste souffrant, pendant sa convalescence …
- Quel plaisir de te voir ici, bon, on n’a pas le même temps que dans les Seychelles.

Tu passes des croisières aux fleurs.
- Tu sais mes domaines d’expertises sont variés, Stewart, masseur, fleuriste… Je sais et peux tout faire…
J’avais rencontré Simon et son ami Dieudonné, lors d’une croisière dans les Seychelles, ou j’avais pu expérimenter leur goût et fantasmes très créatifs et ouverts. Simon avait 50 ans et m’avait utilisé pour faire son coming out avec Dieudonné avec lequel il vivait depuis. Ils m’avaient ensuite utilisé tous les deux, pendant plusieurs jours, profitant de l’absence de mon mari qui plongeait plusieurs fois par jour. J’avais été leur objet, leur jouet. Une éponge à leur débauche ou tous leurs plus profonds fantasmes avaient été mis à exécution. Je pouvais percevoir à la façon dont il me regardait qu’il n’avait rien oublié… Il m’invita à l’attendre dans une brasserie en face de la boutique de lingerie pendant qu’il terminait de décharger sa camionnette avec de riches ornements floraux pour décorer la boutique de lingerie à l’occasion du marché de Noel. Je réglais mes achats, mais sentais le regard de Simon sous moi. Il faut dire que mon ensemble Burberry me rendait particulièrement attirante. Avec un pantalon drapé ample, taille haute confectionné en laine couleur taupe et une ceinture à la taille et fermeture boutonnée qui mettait mes grosses fesses en valeur, une chemise à col lavallière en soie tissée en Italie, avec le même motif Vintage et des poignets évasés, faisant ressortir mon opulente poitrine, j’étais terriblement désirable et d’un chic absolu. Je portais pour finir un trench-coat déstructuré en gabardine de coton et cuir d'agneau bicolore souple que je gardais ouvert pour dévoiler la doublure à motif Vintage.
Je m’installais dans le bar, qui n’était à cette heure fréquentait que par des habitués plutôt fortement alcoolisés et quelques SDF . J’avais enlevé mon manteau révélant mes charmes plantureux de bourgeoises mature, qui ne laissait pas sans effet la clientèle. J’étais plutôt mal à l’aise et attendais Simon impatiente pour quitter cet endroit avec escorte. Je pouvais voir Simon s’activer dans la boutique en face du bar et discuter avec Arlette qui semblait particulièrement bavarde avec mon ami… J’espérais juste qu’elle ne racontait pas nos fantasmes afin d’éviter de réveiller quelques pulsions animales chez mon ami… Il me rejoignit enfin, commandant au passage une bouteille de vin blanc…
- Simon, il est un peu tôt pour du Gewurtz…
- C’est pour fêter nos retrouvailles, je savais que tu habitais ici, mais n’ayant pas tes coordonnées, je ne savais pas comment te faire la surprise. Comme quoi le hasard fait bien les choses…
- Ça me fait super plaisir de te voir …. Tu n’as pas changé…
- Toi non plus, tu es toujours… Comment dire … Époustouflante, me semble tout à fait adapté
- Ohhh Simon, tu es tellement mignon, mais je ne suis pas dupe, c’est au moins le bénéfice d’avoir 53 ans. En fait, je sais bien que je pris des kilos… Regarde-moi…
- Cela te rend encore plus désirable… Pulpeuse à souhait… Regarde l’atmosphère du Bar, je pense que 100 % de la clientèle est d’accord avec moi, tu veux que je fasse un sondage…
- Tu es toujours aussi coquin, mon vieil ami… Mais parle moi de toi… Toujours dans ta relation passionnelle avec Dieudonné…
- Humm, disons, qu’il ne supporte pas trop le climat de ta région, donc depuis que nous sommes ici notre relation s'est tendu, j’ai peur qu’il reparte…
- Nonnn, mais il faut que tu lui fasses découvrir la région, il y a des endroits supers, qui vont lui faire oublier le climat…. Tellement de choses à faire…
- Ouiii t’as raison, je pense qu’il serait ravi de te revoir d’ailleurs…
- Ohhh, mais moi aussi…
- Pourquoi tu ne passes pas nous voir à la boutique demain, tu verras la serre est incroyable et tu pourras trouver tes décorations de Noel…
- Avec plaisir…
Notre après-midi continua, au rythme de la bouteille de Gewurtz, échangeant sur nos souvenirs. Simon toujours aussi tactile avait posé sa main sur mon avant-bras comme pour manifester une pression tendre mais pleine d’érotisme. Au bout d’une heure, alors que je lui parlais, d’art, de mode, et d’autres sujets, il me ramenait systématiquement sur nos aventures ou des allusions perverses et érotiques. Je me sentais partir et totalement désinhiber, ne me rendant pas compte que j’étais la seule à boire, et que le Gewurtz commençait à faire son effet. Une fois la bouteille terminée, il paya…
- Viens-je te raccompagne chez toi, je ne peux te laisser conduire chère amie…
Sans discuter, nous quittions la brasserie, pour s’installer dans l’estafette. J’apercevais Arlette dans sa boutique me faisant des grands gestes d’encouragement avec son pouce en l’air et ses clins d’œil suspicieux …. Simon prit le volant et quitta le centre-ville. Sous l’effet de l’alcool, je ne prêtais pas attention à la route, ne me rendant pas compte qu’il ne m’avait même pas demandé mon adresse. Assoupie, je me laissais bercer par la voiture et la voix de Simon qui me parlait de son couple, et comment il comptait sur moi pour l’aider à empêcher son amant de repartir… Je ne me rendais pas compte que la voiture s’était arrêté avant de ressentir la pression d’une main entre mes jambes s’activant à me caresser le sexe… Alors que je somnolais, sur le siège passager, Simon m'entraîna vers lui afin de me poser le visage sur ses cuisses. Saoule, je me laissais faire, remontant mes jambes sur le fauteuil et couchée en chien de fusil, afin de cuver mon vin blanc, qui m'avait complètement anéantie. Dans un demi sommeil, je sentais toutefois la main de Simon sur mes cheveux me caressant tendrement. Sa main me parcourrait les épaules, et s'immisça sous mon manteau au contact de mon chemisier. J’ouvrais les yeux légèrement pour me retrouvais dans le parking d’un immeuble ou Simon avait garé son véhicule et découvrir son sexe dressé devant mon visage endormi...
Tout en me caressant, il avait dégrafé son pantalon profitant de mon sommeil, en sortant son sexe dressé fièrement devant moi… Il poussa doucement mon visage vers son sexe qu'il rapprochait lentement, en me tenant par les cheveux. Me pensant endormie, il m'entrouvrit la bouche avec sa main, pour laisser le passage à son sexe. Je faisais semblant de somnoler, mais réceptive à ses caresses ma bouche s’ouvrit pour laisser s’empaler sa bite entre mes lèvres. La surprise de ce viol buccal finit de me réveiller entièrement, avec son membre qui avait mes lèvres et qui coulissait entres elles alors que ses mains, me tenaient par les cheveux, me serrant comme on att la crinière d’une jument, m'obligeant à le sucer…. N'étant pas en état et ne voulant pas lutter contre lui, je continuais à faire semblant de dormir le laissant jouer avec moi, entre mes lèvres, ressentant son gros sexe gluant prêt à exploser... Sa main me pelotait mes gros seins au travers de mon chemisier, me faisant gémir malgré ma bouche bâillonnée par son sexe.... Il s'aperçut enfin que j'étais réveillée...
- Ohhhh tu suces toujours aussi bien ma belle… Et sapée comme ça avec ton petit ensemble de bourgeoise Burberry, tu m’excites encore plus… Ohhh regarde comme tu me fais bander avec tes lèvres de mâture… Hummm oui continue pompe moi… C’est Dieudo qui va être content de te revoir…
- Hummmmm, glurrppp, Glourppppp….
- Allons, on ne parle pas la bouche pleine à ton âge, tu devrais le savoir… Mais au fait, ma copine Arlette te soupçonne de lui avoir piqué des sous-vêtements… C’est vrai ça, qu’en plus d’être une nympho chaudasse t’es une klepto… Continue à me sucer, on ira vérifier si c’est vrai dans mon appartement…
Il continua à utiliser ma bouche pendant quelques minutes, tout en fouillant dans les paquets de la boutique, ou il trouva mes dessous du matin… Il renifla ma culotte, tout en m’accusant de vol. J’essayais de lui expliquer, mais il me repoussa vers sa bitte afin de ma bâillonner. Avec son sexe…
- Non mais je n’y crois pas, elle a raison Arlette, tu lui as piqué du matos…
- Mais non, ce n’est qu’un jeu…. Glourpppppppp,
- Tais-toi ma salope et continue à me sucer… Va falloir que tu sois bien docile avec moi et Dieudo si tu ne veux pas que je te dénonce…. Tu ne peux pas rentrer chez toi comme ca beauté, tu vas monter chez moi pour te reposer un instant… Je suis sûr qu’un petit massage te fera le plus grand bien…
- Ohhh Simon, tu profites de mon état, tu devrais avoir honte…
- Tu parles trop ma belle, approche-toi, je connais un bon remède aux abus d’alcool.
Il s’était emparé de mon ancienne lingerie, et m’attacha les mains avec mon soutien-gorge. Une fois mes poignées bien serrées, il me releva, me tirant par les cheveux, et me fourra ma culotte dans la bouche afin de me conserver bâillonnée. Il m'attira vers lui, me tenant par derrière, afin que ses mains puissent jouer de mes grosses mamelles, toujours protégées par mon chemisier Burberry. Il palpait mes seins, tout en e parlant à l'oreille...
- Tu vas être bien sage ma belle, bien docile, aujourd'hui t'es à moi, et demain je te donne en cadeau à Dieudo. Une fois qu'il aura gouté à ton gros cul, il ne voudra plus repartir....
Il sortit de la voiture et m’aida pour faire de même, me tenant par mon manteau « so chic » pour me pousser vers l'ascenseur menant à son appartement. La porte se referma, il appuya sur le bouton du 4 eme étage... A mi parcours, il stoppa l'ascenseur nous immobilisant entre deux étages. Il m'avait plaqué contre la paroi, et écarta mon manteau.... Il ouvrit ma chemise, laissant apparaître mes énormes seins laiteux protégés par mon nouveau soutien gorge avec les étiquettes encore accrochées aux bretelles...
- Alors voilà la grosse voleuse, tu sais que je ne supporte pas les chapardeuses... Je devrais te dénoncer aux flics ma salope....
Ma culotte dans la bouche m'empêchait de répondre, si ce n'est par des gémissements inaudibles. Il se rua sur mes seins qu'il pelota avec gourmandise, les malmenant avec ses mains calleuses et encore pleine de terre.... Il les téta, alors que sa main plongea entre mes cuisses, m'ouvrant le zip de mon pantalon, sans toucher à la ceinture. Sa main était sous ma culotte, et jouait avec ma chatte alors que sa bouche me dévorait mes grosses mamelles... Il joua avec mon corps restreint pendant de longues minutes, me sachant à sa merci entièrement soumise. Ce n'était pas la première qu'il abusait de moi, ayant déjà profité de moi à maintes reprises pendant notre croisière, il savait qu'il pouvait me faire ce qu'il voulait... Il remit en route l'ascenseur. Une fois arrivé à l’étage, il me poussa vers l’intérieur de son appartement, me pressant contre un radiateur dans le couloir et refermant sans attendre la porte derrière lui. J'étais accroupie devant lui, quand il enleva ma culotte de ma bouche pour remettre son sexe en place bien profond dans ma gorge.... Il me redressa les mains attachées à la verticale au dessus de ma tête me tenant par les poignets ferrement, et me viola la bouche se déchainant entre mes lèvres. Il abusa de mes lèvres bourgeoises pendant 10 longues minutes, alternant les mouvements de va-et-vient, ou me forçant à lui sucer le gland, lui léchant le dard contre on mange une glace, ma langue le remontant de bas en haut, ou retournant au fond de ma gorge, ou je pensais qu'il allait finalement vomir son sperme... Sans répit, il me releva, me poussa vers son sofa, en me coucha en levrette sur l'accoudoir laissant mes fesses en l'air. Il m'enleva ma ceinture et baissa mon pantalon à mi cuise laissant ma culotte et son étiquette ouverte à son désir animal. Il me claqua les fesses, une violente fessée comme pour me punir de mon forfait...
- Tiens grosse pute, c'est comme ca que je traite les voleuses, je vais te dérouiller ton gros cul de truie... Prends ça, encore, Hummm t'es toute rouge...
Ses mains s'abattaient sur ma croupe... Ravageant mon postérieure, attachée, je ne pouvais rien faire, qu'attendre en gémissante qu'il me prenne enfin... Je n'eu pas à attendre longtemps, son dard plongea en moi, en ayant juste écarté ma culotte et me défonça comme un déchaîné. Un animal hystérique, qui allait m'utiliser comme il le voulait. Il joua avec mon gros cul pendant de longues minutes, avant de changer de position. Il me plaça en chien de fusil à nouveau et replongea son sexe en moi. Il m'utilisa toute l'après-midi, ruinant mes vêtements et mon nouvel ensemble de lingerie. Je n'étais que son jouet. Il me poussa ensuite par terre, me re ligotant les mains dans le doc, et me prit en « chandelle " Je me maintenais les reins avec les mains alors qu'il s'était placé à cheval entre mes jambes et mon pantalon, et plongea son sexe en moi. Il me prit comme un marteau piqueur, tout en me tenant les fesses, sur lesquelles il appliquait régulièrement une grande claque pour me motiver...
- Allez la jument, bouge moi ton gros cul de bourges en chaleur...
J'étais épuisée, à la limite de l'évanouissement, chaque position me poussait à l'orgasme. J'étais folle sur les coups de son sexe... Il changea à nouveau de position, me re ligotant au passage sur le devant et se plaçant derrière moi, pour me soulever à la seule force de ses bras pendant que je maintenais mes genoux pliés avec mes mains. Un cerf en rut, défonçant sa biche debout et soumise... Son sexe infatigable coulissait en moi, avec mon ensemble Burberry complètement défait ouverte et offerte à son désir... Il me défonça, me soulevant avec ses mains par les fesses pour encore mieux faire coulisser son sexe en moi.... Rien ne l'arrêtait, il se coucha ensuite par terre allongé sur le dos, les jambes écartées. Il me poussa à genoux écarta mon chemisier enserra son pénis entre les lobes de mes gros seins que je tenais fermement en pratiquant des mouvements du haut vers le bas pour coulisser le long de son sexe. Je masturbais son pénis entre mes grosses mamelles. Son sexe en érection était animé d'une puissance sans fin et s'activant sous les mouvements de va-et-vient. J'espérais le faire jouir. Il abusait de moi depuis plus d'une heure, j'étais épuisée, anéantie, et dans un état vestimentaire déplorable. Souillée comme la pire des putes... Je le sentais se cambrer... Il allait enfin jouir...
- Redresse-toi ma pute, je vais te finir en levrette, a 4 pattes comme un animal...
Il me poussa vers le canapé, à nouveau à 4 pattes, il me prit par-derrière, et m'embrocha de son membre toujours aussi dur. Il me défonça littéralement. Les coups de bassin étaient tellement fort que je glissais progressivement du canapé me retrouvant face vers le bas du canapé les coudes au sol avec lui allongé sur mes jambes qui continuait à profiter de mes formes pulpeuses et de mes fesses rouges de ses claques.
- Je vais jouir ma salope, tu vas prendre mon sperme sur ton gros cul, t'entends, et demain on va remettre cela à la boutique avec Dieudo. On va t'en mettre plein ton petit anus de truie, t'as bien compris....
- Hummmm, Ohhhh Simon jouit sur moi maintenant, j'en peux plus, tu me tues.... hahhhhhhhhaaaaa
Il jouit enfin, de grand jet sur ma culotte et sur mon pantalon... J'étais définitivement souillée et salis. Il me laissa reprendre mes esprits, couché par terre fesses en l'air. Revenu prés de moi, il avait dans sa main un marqueur rouge, il se coucha à nouveau sur moi, m'immobilisant et malgré mes protestations il écrivait sur mon cul....
- L'avantage d'avoir un gros cul comme toi, c'est qui a de la place pour écrire... "Je suis une grosse salope"... Ton mari va adorer...
Il m'aida à me réajuster avant de commander un taxi pour rentrer chez moi... Je devais rentrer avant le retour de Richard, pour me laver et me changer...