Ma Nuit De Noces Avec Ma Belle-Mère. (Suite 2)
Ma première expérience avec Sophie, ma belle-mère mavait marqué à jamais, néanmoins, étant en déplacement toute la semaine, je nai malheureusement jamais eu loccasion de la renouveler, au damne de Sophie qui voulait poursuivre notre relation. Les week-end passés chez ma fiancée lui étaient réservée bien entendu.
Six mois sétaient donc écoulés sans que Sophie nait eu la chance de revivre une relation sexuelle avec moi. Le jour du mariage de sa fille arriva, après les cérémonies administratives et religieuses, nous étions une trentaine de convives au restaurant pour clôturer les festivités. Lili ma femme, passait dune table à lautre et sinstallait régulièrement pour bavarder avec les invités. Sophie se promenait dans la salle me tenant par la main comme son gamin afin de présenter son nouveau gendre à toute sa famille. Au moment du dessert, jeut envie daller aux toilettes, le slow que je venais de réaliser avec ma belle-mère mavait excité au plus haut point, tant par ses attouchements et le contact de son bassin contre mon ventre que par les mots quelle me glissait dans mon oreille, en finissant par dire :
Noublie jamais que je suis ta salope Grégoire.
Jétais dans les urinoirs, javais passé mon sexe dur comme du bois à travers la fermeture éclair et je commençais à me masturber en pensant à tout ce que mavais dit Sophie, cette femme était réellement une belle salope que je ne pourrais pas baiser le soir de mon mariage et jen étais malade. Je coulissais ma main sur ma hampe lorsque la porte souvrit :
Tu ne vas tout de même pas le faire seul Grégoire, laisse taider. Me dit Sophie en me souriant.
Elle sapprocha de moi, après avoir fermé la porte à clé, elle se plaça derrière-moi, passa sa main droite sur ma verge au garde à vous et voulait finir ce que javais commencé. Ma queue se libérait, par de grandes saccades de sperme qui se déversait dans la faïence blanche de lurinoir.
Sophie se lécha les doigts, encore enduit de mon foutre visqueux puis me dit :
Te voilà soulagé pour un moment mon chéri, je vais me doigter en pensant à toi.
Elle senferma dans une cabine et je rejoignis la salle, heureux davoir trouvé la main experte de ma belle-mère pour massouvir. Je ne pensais pas que je devrais la satisfaire avant ma nuit de noces. Je ne la connaissais pas encore assez. Ce que nous avions fait une nouvelle fois dans les toilettes, nétait que les préliminaires. Javais repris des forces en mangeant trois parts de pièce montée, nous étions tous sur la piste de danse et je passais dune cavalière à une autre, toutes les femmes voulaient danser avec le marié, pendant que les hommes prenaient goût à tenir Lili dans leurs bras. Sophie attendit un nouveau slow et revint minviter, elle me tendit la main et je lai suivi sur la piste de danse, la lumière baissait dintensité, la pièce était plongée dans lobscurité, la musique lente et langoureuse résonnait pour au moins neuf minutes. Nous navons pas dansé, Sophie mavait attiré dans la salle servant de vestiaire, elle sagenouilla devant moi et après avoir baissé mon pantalon, sattela à ma faire une des fellations dont elle avait le secret, ma belle-mère mexcitait, je ny pouvais rien. Dès quelle saperçut que ma queue était en totale érection, elle se baissa, posa ses mains à plat sur le sol, remonta jupe dune main puis écarta son string en minvitant de la prendre sur le champ. Nous navions pas beaucoup de temps, il fallait faire vite avant que la lumière se rallume dans la salle. Je me suis donc agenouillé derrière elle, pour la prendre en levrette, à cet instant elle me dit :
Pas par là mon chéri, encule-moi fort.
Tout se mélangea dans ma tête, je navais jamais fait ça auparavant. Mais ses mots me firent gonfler encore un peu plus ma verge au bord de lexplosion. Elle me dirigea de sa main le gland entre sa raie et je my suis enfoui à lintérieur, elle était bouillante et toute trempée, sa mouille dégoulinait jusque sur ses bas :
Oui ! Je vais venir, continue, enfonce-toi plus, viens ! Plus fort.
Après de violents coups de reins que je lui prodiguais, je lui envoyai toute la sauce que je pouvais sortir de mes bourses pleines. La masturbation quelle mavait imposée quelques heures plus tôt navaient eut aucun effet sur mes capacités à lui redonner du plaisir. Sophie jouit fortement lorsquelle avait ressenti dans ses entrailles, ce liquide chaud que je lui avais expédié :
Tu es vraiment Génial Grégoire, jespère pouvoir être encore ta salope.
Lorsque nous sommes revenus sur la piste, la lumière revenait et je vis Lili me rechercher des yeux, rassuré de me voir avec sa mère, elle me sourit et vint vers nous en disant :
Il est lheure pour nous de rentrer mon chéri, tu dois assumer ton devoir conjugal. Les invités viendront nous dénicher chez ma mère.
Malgré les efforts consentis de Lili, celle-ci eut des difficultés à me faire remonter mon engin, elle ne faisait pas de fellation, elle naimait pas me disait-elle. Ses doigts autour de ma hampe molle, venaient et allaient de bas en haut pour essayer de me redonner un peu de vigueur. Il avait fallu que je ferme les yeux en pensant à Sophie pour que je retrouve enfin un peu dénergie. Lili persuadée dêtre parvenue à mexciter, sallongea, écarta ses jambes et mattira à elle sans rien dire. Après quelques allers-retours un peu brutaux, elle me criait :
pas si fort, bon dieu, tu me fais mal.
Avec difficulté, je parviens à éjaculer un peu sur ses poils pubiens, Lili sessuya avec les papiers essuie-tout quelle avait préparés, en disant :
Tu nas pas cracher autant que dhabitude.
Je suis crevé ce soir. Lui répondis-je.
Elle me fit la bise, se tourna et sendormit comme une souche.
Une heure plus tard, le bruit nous réveilla, il y avait dans la maison de Sophie une dizaine dinvités qui étaient venus nous surprendre dans notre lit conjugal dun soir. Nous nous sommes levés et avons bu avec eux. Je navais pris que la boisson dans le verre que Sophie me servit, il ny avait pas dalcool, cétait un Perrier mais dans sa main ouverte, je maperçus quelle me donnait une petite pilule bleue.
Il était quatre heures du matin, lorsque les invités étaient tous repartis. Lili était déjà plongée dans ses rêves, Sophie était dans sa chambre et mattendait avec impatience. Je me suis levé pour aller uriner et en revenant, je me suis trompé de chambre volontairement. Je venais de pénétrer dans la chambre de ma belle-mère. Javais une trique qui se voyait à travers du mince tissu de mon slip :
Je vois que tu vas bientôt être prêt mon petit poussin. Viens !
Sophie avait tenu à mécartelé sur le lit, jétais menotté de mes quatre membres, nu comme un vers sur son lit, ma verge à la verticale tel le mat principal dun navire pointant vers le ciel. Pas une seule partie de mon corps navait échappé à ses caresses et à sa langue, elle désirait me faire que du bien cette nuit-là. De ma bouche, à mes pieds en passant par mes tétons, mon nombril, mes aisselles, mes yeux et encore ma bouche, je rugissais de plaisir, ma queue ni était pas passé, ce liquide transparent quelle adorait voir sortir de mon gland, sécoulait doucement sur ma hampe, elle le léchait goulument. Je nen pouvais plus, Sophie sen aperçut et voulait, elle aussi prendre du plaisir, elle sétait positionné un genou de chaque côté de mes cuisses et senfonça lentement sur ma grosse queue qui ne demandait quà être aspirée. Les contractions de son vagin qui enserrait fortement mon pénis et ses montées et descentes de plus en plus rapides firent quelle éjacula son plaisir en minondant le bas ventre, elle navait pas crié de peur de réveiller sa fille mais elle continuait, elle voulait que je jouisse à mon tour. Je crois que je navais jamais été aussi dur, aussi longtemps. Sophie sétait retirée et vint poser sa bouche sur mon gland violacé, après lavoir pris dans sa main, elle reçut en plein visage une série de giclées blanchâtres, elle souriait, heureuse davoir pu partager son lit à ma vraie nuit de noces.
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