Ça C'Est Passé Simplement 17
Dans la cuisine avec Anaïs
On était au milieu de la nuit et je somnolais tranquillement, quand une mais se posa contre moi, ce qui me réveilla et une bouche murmura à mon oreille : « Jai soif,
je vois que tes réveillé,
viens,
suis moi doucement,
on va boire à la cuisine,
»
Nous arrivâmes dans la cuisine et je navais pas eu loccasion de regarder de plus prés et avec attention cette nana. Je pouvais le faire tout à loisir et je pouvais constater quelle était drôlement bien foutue, elle le vit, mais prenant une bouteille deau elle en versa deux verres en disant : « Nous sommes venus pour ça, nest ce pas ? »
Après avoir bu, en faisant un tour complet sur elle-même « Ça te plait »
Moi : « Oui tu es vraiment une très jolie femme » cétait de plus une véritable blonde à la toison bien taillée en triangle et cela me changeait de la brune Evelyne.
et se rapprochant de moi elle murmura : « Ta nana, elle est bien foutue et a ce quil faut où il faut , toujours daccord avec cette analyse »
Moi : « Plus que jamais, jai été trahi, il faudra que je me méfie, mais désolé pour nana, jaurai du dire jeune femme »
Anaïs : « Nana, cest mignon, je ne me voyais pas comme ça, mais merci pour le compliment, mais peut mieux faire,
» et pendant quelle faisait trois pas et un nouveau tour, je me souvins de ce quelle avait fait et dit à son voisin et décidais dêtre plus « explicite » et je lui dis : « Effectivement tes une belle nana, avec des nénés bien ronds et bien remplis, qui devraient satisfaire les mains dun honnête homme, tas un joli cul très tentant. Quant à ta chatte, jai pu humer ta toison et jaime ton odeur de femelle chaude, jai mal vu ton minou, il est gouteux, mais je pourrais en dire plus si tu as la gentillesse de me loffrir »
Anaïs : « Je savais,
continues comme ça,
tu me fais mouiller,
mais je suppose que tu nes pas venu simplement pour un verre deau,
jespère tinspirer dautres ides,
embrasses moi,
pour commencer,
»
Ce que je fis avec empressement, elle avait les lèvres douces et la langue curieuse et fouineuse, ce qui était fort agréable, pendant ce temps sa main était descendu entre nous pour prendre, mon outil en main, le parcourant du bout des doigts puis carrément à pleine main, ce qui eut un effet certain sur mon anatomie et me caressant toujours, elle me dit : « Jaime sentir ton épée avant de la mettre dans mon fourreau,
dans ma main ou dans ma bouche,
jaime sentir vibrer ta queue se gonfler de désir,
ça mexcite,
ça me fait mouiller,
je pense que tu nes pas comme ces bonshommes qui te prennent, crack, crack, je baise, jai eu du plaisir et qui foutent le camp sans se préoccuper de leur partenaire,
prends moi,
mais donnes moi du plaisir,
fais moi jouir,
»
Moi : « Je suis peut-être comme ces bonshommes.
Anaïs : « Vendredi après-midi, tu es venu au bureau et vous avez
batifolé avec Evelyne »
Moi : « Que dis-tu ? »
Anaïs : « Je vous ai entendu, elle a aimé ce que tu lui as fait, tu lui as donné du plaisir, je pense donc que tu peux men donner,
»
Je trouvais cette garce de plus en plus tentante, elle était disponible et en demande de plaisir, je décidais de passer à laction, dautant que « popol » commençait à séveiller, ce don elle pouvait sapercevoir. Je lattirais de nouveau vers moi, elle revint se caller contre moi, les lèvres légèrement entrouvertes. De nouveau nous embrassâmes, un baiser chaud et légèrement humide. Celui-ci terminée, elle était contre moi et doucement, comme une confidence, elle me dit : « Prends moi,
baises moi,
je veux un homme,
fais moi jouir avec ta queue,
et je serais à toi,
quand tu veux,
comme tu veux,
» Elle sétait adossée à la table de la cuisine, je lui dis : « Tournes toi,
prends appui sur la table,
»
Elle : « Non,
Je veux te voir,
» et elle sassit sur la table, le compas de ses jambes bien ouvert : « Prends moi comme ça,
» et glissant ses mains de chaque coté de son minou, elle louvrit : « Regarde, je louvre pour toi,
» Je plongeais entre ses cuisses pour la gouter de nouveau mais à ma façon. Ma langue parcourant cette jolie fente odorante et après quelques passages, je la pénétrais avec la langue, ce qui sembla la satisfaire, puis je pénétrais sa grotte damour dun doigt, puis de deux et commençait une série de va et vient qui entrainèrent une nette accélération de respiration. Décidé à connaître ses limites, pendant que je continuais à moccuper de sa chatte avec ma langue, mon majeur essayait la souplesse de son petit trou qui réagit agréablement, cela pourrait devenir un objectif à moyen terme, mais Anaïs réagit : « Pas maintenant,
je ne suis pas préparée,
je ne suis pas prête,
» Je décidais de ne pas insister, cela pourrait être imaginé plus tard.
Anaïs : « Arrêtes,
prends moi,
baises moi,
je veux quun homme me prenne,
me baise,
je veux ta queue,
» Je ne pouvais me refuser à une telle proposition et me redressant, elle prit mon engin et le dirigea vers son intimité, bien chaude et trempée, dans laquelle je menfonçais dun sérieux coup de rein quelle encaissa par un « OOOOHHH » et je commençais mes va et vient, dès les premiers elle se laissa aller, les mains accrochées au rebord et le dos sur la table. Très rapidement jatteignais une cadence honorable, et Anaïs commença à réagir : « Oui,
continues,
jaime te sentir,
me remplir,
oui,
»
Je prie ses jambes tendues et les posais sur mes épaules puis prenant les chevilles je les écartais au maximum, elle était complètement ouverte : « OOOOhhhh,
oui,
baises moi,
baises moi fort,
éclates moi la chatte,
oh que cest bon une queue,
donnes moi du plaisir,
ne tarrêtes pas,
»
Il était évident que plus ça allait plus elle demandait à être ramonée avec force et énergie et de mon coté, je ne voulais pas la décevoir et il me fallait tenir la distance et la baiser jusquà ce quelle se mette à jouir, car dans mon subconscient, il était clair quavec elle jen étais à mon examen de passage et si je tenais la distance je pourrais lavoir dautres fois et se payer, à mon âge, une nana dau moins dix plus jeune, cela faisait plaisir. Soudain elle se mit à se contracter, bandant ses muscles, ce qui eut pour effet de me faire décharger brutalement et elle : « Ouiiii,
OOOHHH,
OUI,
continues,
je vais jouir,
je JUOIIIIIIS,
ne tarrêtes pas,
OUIIIIIII,
» et elle se calma, se détendit, le souffle encore un peu court, je lui lâchais les jambes quelle laissa pendre au bord de la table. Elle replia ses jambes sur la table et jouant avec les muscles de son ventre et de son sexe, elle fit, ce que je navais jamais vu faire, sortir une partie de mon sperme de son vagin. Enfin me regardant et avec un léger sourire, elle récupéra, avec deux doigts, ce qui sortait de sa chatte et les porta à sa bouche en me disant : « Je nai jamais eu loccasion de connaître ton gout .
Moi : « Tu es adorable, jai également rajeuni et surtout jai adoré la garniture du lit. Jespère pourvoir revenir pour satisfaire la jolie « femelle » que je tiens dans mes bras et dont les appâts me donnent des idées »
Evelyne : « Je voudrais,
«
Moi : « Oui,
»
Evelyne : « Je voudrais que tu me prennes,
comme tu veux,
fais moi lamour,
ici même si tu veux,
comme ça,
je nai rien mis exprès
pour que tu vois que je suis à toi,
que jai envie de toi,
tu me rends folle de désir,
»
Moi : « Je ne sais si,
après les excès de cette nuit,
»
Evelyne : « Ce nest pas un concours,
jai envie de toi,
laisses moi faire, (et en riant) la femelle va préparer son mâle,
» et saccroupissant elle défit, ceinture,
et sortit le nécessaire à son plaisir qui, sil ne brillait pas encore, semblait avoir, malgré tout, des velléités à vouloir se redresser. Et cest avec lart dune belle suceuse, qui aime ce sport, qui utilisant le bout de ses doigts, la pointe de sa langue, toute sa langue pour réussir à faire bander la chose pour enfin prendre cette queue en bouche et faire quelle devienne dure et utilisable pour une femme gourmande de sexe et qui veut remplir le vide quelle a entre les cuisses. Effectivement avec art et douceur, je me mis à bander dure et jetant son peignoir au loin, se retournant et sappuyant sur la petite table de lentrée : « Viens,
prends moi,
je tattends,
je te sens en moi,
prends moi par où tu veux,
jen ai tellement envie,
» Refuser aurait été injurieux et idiot quand javais sous les yeux cette belle croupe qui laissait voir une rosette fort sympathique et un minou aux lèvres bien gonflées et ruisselantes de désirs. Le pantalon sur les chevilles ne me permettait pas un déplacement ni rapide, ni élégant, mais ma partenaire ne pouvait me voir. Arrivé auprès de ces belles fesses, ma partenaire semparant de ma queue la guida vers et dans sa chatte que je pénétrais facilement tellement elle était ouverte, accueillante et détrempée. Il fallait que je la satisfasse et que je sois à la hauteur de ses envies et peut-être de ses rêves. La saisissant par les hanches je commençais à la ramoner fort, brutalement même. La réaction ne se fit pas trop attendre : « Oui,
continues,
prends moi fort,
brutalement,
jaime,
dis moi que je suis ta femelle,
OOOHHH,
oui,
continues,
» et je lui claquais la fesse droite, car je savais par expérience, avec elle, que cela la faisait se contracter et cela se répercutait sur les muscles de sa chatte et cétait excitant comme sensation : « Oui,
encore,
, brute,
je suis à toi,
» et je lui claquais lautre fasse : « Ouiiiii,
continues,
je sens que ça vient, OOOHHH,
OUIIIIIIII,
. Je JOUIIIIIIIS,
» et elle fut parcouru par un spasme brutale, mais moi, ayant pratiqué le sexe plusieurs fois, je sentais le plaisir dans les reins, mais, cela ne montait pas
et je bandais toujours autant, je devenais une machine à baiser, ce dont souvent mes partenaires ne se rendaient pas compte, surtout quand elles voulaient de la queue, jen avais une qui ne demandait quà servir. Etant donné quelle avait déjà joui, je me retirais de sa grotte damour et décidais de monter dun cran et de mattaquer à sa rosette, mais en li disant : « Ouvres tes fesses, je vais prendre ton cul
»
Evelyne : « OOOHHH,
oui,
prends moi par là,
encules moi,
jaime que tu me prennes par là,
fais doucement,
OOOHHH,
ouiiii,
maintenant vas-y,
je tattends,
je taurais tout donné,
». Je neu aucun mal à pénétrer et passer lobstacle de sa rosette, quand elle se décontracta et cramponné à ses hanches, la machine à baiser se mit en route avec énergie, dautant pus que sentais le plaisir monter dans mes reins, me gonfler la bite alors quEvelyne semblait apprécier, alors quelle commençait à gémir, je lui dis, prends ta chatte, tu aimes être prise des deux cotés : « Ouiiii,
tu aimes que je me caresse,
pendant que tu me prends comme ça,
ouiiiiii,
bourres moi le cul,
je suis ta femelle,
encules moi fort,
OOOHHH,
»
Mais je nétais plus maître de la situation, car je me vidais dun seul coup dans son cul, alors quEvelyne était en train de jouir : « Je sens que je vais jouir, ne tarrêtes pas,
OUIIIIIIIII,
JE JOUIIIIIS,
». Pour ma part, jétais vidé, alors quEvelyne le souffle court et étant un peu sonnée, se relevait, se retournait et saccrochant à moi : « Tu peux être fier de toi,
tu mas crevé,
maintenant pars vite,
avant que je mécroule,
» et se collant à moi : « Vas-t-en,
avant que je dise des bêtises, .. » Cest ce que je fis, alors quEvelyne rentrait dans la salle de séjour. Il me restait 500 bornes à me taper, étant sur les rotules mais avec un excellent souvenir, pour le travail fait, pour les nuits passées ou plutôt linverse, les nuits passées et le travail fait et peut-être un jour,
de nouveau Lyon.
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