La Vie Dissolue D'Une Bigote 3 :Geneviève Découvre La Sodomie

Ma copine est devenue officiellement ma fiancée. Cette annonce a provoqué la panique dans les yeux de Geneviève lorsque nous lui avons dit. Elle voyait le lien entre nous devenir de plus en plus étroit et par conséquent l'e devenir plus réel. Cela signifiait aussi que bientôt elle devrait renoncer aux plaisirs découverts avec moi.
Depuis la « semaine folle » et son orgie de sexe, nous n’avions plus eu une nuit ou une journée entière seuls entre nous. Le décès d’une vieille tante à elle dans la région toulousaine, va déclencher l’occasion de se retrouver seuls.
Les obsèques sont en semaine. Ma fiancée donc, travaille. Mon beau père ne peut ni ne veut s’absenter de sa ferme. Geneviève, au cours du repas devant tout le monde, me demande si je veux bien l’accompagner :
- « Vous savez, la route est longue et j'ai un peu peur de la ville. Si ça ne vous dérange pas, bien sûr ! » Dit-elle à mon endroit. Ma fiancée, qui n’en loupe pas une, déclare :
« Tu peux bien faire cela pour ma mère, vu ce qu’elle fait pour toi ! » Avec ma belle-mère, nous avons un peu de mal à ne pas éclater de rire face à l’ambiguïté de ses paroles. Elle prend mon attitude pour une hésitation ce qui la fait renchérir - « Ben oui quoi ! Tu peux bien t’occuper d’elle de temps en temps et lui donner un coup de main ! Tu n'es pas le seul à avoir des besoins ! Elle ne te refuse pas grand chose, c'est normal que tu l'aides, comme pour le reste.
Le reste ? » Dis-je après m'être repris. Geneviève, elle, est paniquée.
Ben... Je ne sais pas moi.
Bon alors, ne t'en occupe pas car je ne t'ai pas attendue pour m'occuper de ta mère. N'est ce pas Geneviève ?
O... Oui ! Bien sûr ! » Elle ne sait plus où se mettre, mais se reprend tout de même. - « Ne vous occupez pas de ce que dit ma fille. Je suis très contente que vous soyez là. Grâce à vous je peux réaliser des choses que je ne pourrais faire toute seule ! Je vous en remercie mon futur gendre» elle est machiavélique ! Elle sait bien qu'elle m'excite en disant cela et elle ne doit pas être mieux que moi.


Je suis bien sûr d'accord pour accompagner ma future « belle maman ! »
La situation est ubuesque, je ne sais toujours pas comment nous avons pu tenir le sérieux. Le mari, lui est resté neutre. Il connaît sa fille et ne veux surtout pas la mécontenter ni sa femme non plus, d'autant qu'il va être tranquille avec sa maîtresse pendant l’absence de son épouse.
Bref, la décision est approuvée par tout le monde. Nous les laissons partir et préparons nos bagages. Dans les yeux et l'attitude de Geneviève je peux voir son désir. Pour la faire enrager et bien que j'ai moi aussi envie d'elle je me retiens.
La coquine me provoque lorsque je remonte de ma chambre. Elle m'appelle depuis la sienne pour que je l'aide. En fait elle est restée en culotte, soutien gorge et a revêtu des bas fumés. Elle me demande conseil pour la robe à prendre pour les obsèques. La ficelle est un peu grosse et je fais mine de ne pas comprendre. Quand je l'aide à en passer une, qui en plus la moule bien, je sens la chaleur qui se dégage de son corps.
L'expression « femme en chaleur » lui correspond bien à ce moment là. Elle s'offre, bombe sa poitrine dont les tétons pointent sous le tissu, cambre les reins, mais rien n'y fait, je reste de marbre. Enfin apparemment, car si elle était habituée, ma belle-mère verrait bien que je bande comme un fou et qu'il s'en faudrait de peu pour que je ne la bascule sur le lit conjugal.
Je charge la voiture et nous prenons rapidement la route, pressés de nous retrouver seuls tous les deux. La cérémonie a lieu le lendemain, mais la cousine de Geneviève lui a proposé de venir le jour même, pour se retrouver. Au départ, Geneviève prend le volant de sa voiture. C'est la première fois que j'y monte et je me rend compte qu'elle s'est fait plaisir avec un beau modèle. Je la laisse tranquille et ne fais aucun geste vers elle, bien qu'elle découvre ses cuisses en laissant remonter la jupe plus haut qu'il ne faudrait en dévoilant la lisière de ses bas.
Je sens bien qu'elle voudrait, mais n'ose pas demander. Je ris intérieurement de la voir excitée comme une collégienne.
Nous prenons bientôt l’autoroute. Après quelques kilomètres, elle s'arrête à la première petite aire rencontrée sous prétexte de me laisser conduire. C’est une chose qu'elle n'a jamais autorisée ni à son mari ni à ses s. Elle en profite pour se garer à l'ombre, assez loin des sanitaires. Elle est tendue et rouge de confusion. Je ne dis rien, la laissant mijoter. Elle lâche enfin un grand soupir et en gardant le visage tourné vers l'avant elle murmure :
« J’ai envie…
Envie de quoi ? De faire pipi déjà ? Vous êtes garée trop loin. » Je sais très bien ce qu’elle veut, mais il faut bien la faire « marcher »
Vous le savez très bien espèce de voyou ! … Oui je sais, vous voulez me l’entendre dire ! Vous voulez m’humilier ! Me montrer que je suis devenue une femme indigne, soumise à ses envies, à ses pulsions malsaines !
Alors, belle-maman, que ce soit clair. Je ne cherche pas à t’humilier, ni à te faire dire que tu es une salope ou une pute. Ça je le sais et toi aussi. Je veux simplement que tu te libères, que tu assumes. Quand tu as envie de baiser, tu le dis, comme quand tu as faim. Dis-moi seulement que tu as envie de baiser, que tu mouilles comme une folle depuis le départ et même avant, en pensant à ma queue. Je veux que cela devienne naturel. Tu comprends ?
C’est difficile, ce que vous me demandez vous savez ! Je sais bien que je suis en train de devenir ce que vous voulez que je sois, mais laissez moi un peu de temps. C’est tout nouveau pour moi !
Je suis d’accord. Pour moi aussi c’est nouveau de baiser ma belle-mère. Je sens chez toi des dispositions et je veux, qu’avant la fin de notre relation, tu sois totalement libérée. Allez !
Monstre que vous êtes ! Salaud ! C’est cela que vous voulez entendre ? Puisque vous y tenez, oui ! J’ai envie de baiser ! Oui, j'ai envie de vous sucer ! Oui, je n’en peux plus d’attendre ! Venez ! Prenez-moi ! Je suis trempée ! Faites-moi encore jouir mon chéri !»

Je lui fais déplacer malgré tout la voiture dans un coin encore plus retiré et discret de cette aire d’autoroute.
Je descends de la voiture, et entraîne Geneviève à l’avant. Accroupi devant elle, je retire sa culotte déjà bien humide, puis la basculant de dos sur le capot de la voiture, je baisse pantalon et slip et lui relève les jambes. Geneviève glisse sur ma bite pour s’emmancher toute seule. Son vagin est trempé et brûlant. En quelques secondes elle se pâme une première fois, heureusement sans crier. Je la retourne sur l’aile et la reprend par derrière tournée face au parking d’où quelqu’un peut arriver à tout moment. Elle ne tarde pas à remonter dans la gamme et je jouis avec elle. Après cet intermède, ma foi, fort agréable, nous reprenons la route tranquillement, la seule différence, est que je n’ai pas rendu sa culotte à ma future belle-mère.
A notre arrivée, Madeleine, est très heureuse de revoir sa cousine Geneviève. Elle est un peu plus âgée que ma belle-mère. Après les présentations – la cousine me trouve « très bien » - l’émotion des retrouvailles et l’imparable visite à la défunte dans sa chambre, nous nous retrouvons autour d’un thé et des petits gâteaux. Geneviève semble très heureuse de retrouver sa cousine et elles se remémorent leur jeunesse, s’excusant auprès de moi de parler de ces choses là.
Madeleine nous amène ensuite à nos chambres. Bonne surprise ! Elle nous installe dans le gîte qui est en fait un petit cottage à quelques mètres de sa maison, isolé au milieu des arbres avec deux chambres et une salle d’eau. Pour les repas, même si le gîte est équipé d'une cuisine, nous les prendrons chez elle.
Durant notre séjour, nous occuperons les deux chambres alternativement afin de ne pas créer de soupçons. J’ai pensé tout de même que, vu nos têtes fatiguées le matin et les draps largement arrosés par Geneviève, que Madeleine s’est peut-être posé quelques questions après notre départ.
La cousine n’a pas cru un seul instant que je sois le futur gendre de Geneviève. Elle a tout de suite pensé que j’étais son amant – ce qui n’était pas faux – ce n’est que plus tard qu’elle découvrira la vérité.
Elle nous révélera alors nous avoir vus dès le premier soir en train de « forniquer » comme elle a dit, mais chez ces gens-là…. On ne cause pas ! Elle était de plus au courant des infidélités du mari de sa cousine et trouvait presque « normal » que la « pauvre » Geneviève se vengeât avec un homme plus jeune.
Bref, c’est dans cet endroit bucolique que ma belle-mère m’a offert son dernier pucelage.
Le premier soir déjà, nous avons fait l’amour de façon intense. Après le dîner chez la cousine, que nous avions quittée assez rapidement, Geneviève prétextant la fatigue du voyage et l’émotion du décès de sa tante, nous nous sommes enfermés dans notre nid d’amour.
Deux minutes après nous étions nus, Geneviève à genoux devant moi – une position qu’elle aime bien désormais - me suce la queue. Elle est devenue rapidement une experte et elle adore la pratique, particulièrement la position à genoux qui accentue sa soumission à son “maître”. Je la couche ensuite par terre pour à mon tour lécher sa chatte épilée de frais, avant de nous retrouver en soixante-neuf sur le tapis. Là, face à la cheminée, éteinte en cet été caniculaire, je la prends en levrette, prenant toujours un plaisir dans cette position où ma belle-mère jouit fort et où je peux contempler son gros cul. Elle avait revêtu pour l’occasion des bas noirs autofixants du plus bel effet et destinés bien sûr, à m’exciter un peu plus. Nous avons continué dans la première chambre puis la deuxième, avant une courte nuit de sommeil.
Geneviève était insatiable, comme libérée par le fait que nous ne soyons pas dans sa maison. Elle voulait profiter au maximum de ce moment de liberté et me relançait chaque fois alors que je la croyais fatiguée. Sa position préférée était à genoux, le buste posé sur le lit elle pouvait supporter plusieurs assauts. En levrette je pouvais également la chevaucher longtemps sans fatiguer.
Ma belle-mère avait gardé ses bas noirs et ses escarpins. Je relevais son buste de temps en temps pour le plaisir de malaxer ses gros seins et triturer ses longs tétons bien durs. Geneviève se pâmait en étouffant ses cris dans le coussin.
Plaquée sur le tapis, je prenais ses bras et je les tenais en arrière par les poignets. Elle s’abandonnait. Entre deux orgasmes je la fessais, rougissant son gros postérieur et elle m’encourageait
- « Oui ! C’est Ça ! Punissez-moi ! Je suis indigne ! Je mérite ma correction ! Je suis une catin ! Je suis devenue une salope comme vous dites ! Venez ! Prenez-moi encore ! Je veux sentir votre queue en moi ! »
Elle a demandé grâce alors que les premières lueurs de l’aube commençaient à éclairer la chambre.
Au matin Madeleine nous sert un petit déjeuner copieux que nous dévorons sous son œil attendri. Dans la matinée, c’est la réception des invités avec visite à la défunte durant laquelle nous partons découvrir le village avec Geneviève. Repas léger et nous nous habillons pour la cérémonie.
Après les obsèques qui se sont tenues sous un soleil de plomb et la « collation » traditionnelle, nous revenons chez Madeleine prendre une douche – commune bien sûr – qui pouvait donc durer puisque officiellement c’était l’un après l’autre. Alors que je caresse les fesses et le petit trou de Geneviève, celle-ci me déclare tout de go :
« Ce soir mon chéri, vous aurez mon cul !
Co… Comment ?
Vous avez bien entendu. Je sais que vous en rêvez, vous me l’avez plusieurs fois demandé. Je ne peux plus vous refuser ce plaisir, mais promettez-moi de ne pas me faire mal !
Je te le promets belle-maman de t’enculer avec tendresse. C’est un super cadeau que tu me fais là ! »
Je ne vous dis pas l’état d’excitation dans lequel j’étais durant le repas et la soirée qui a suivi. Le prétexte de la fatigue du voyage ne tenait plus. Je soupçonne Geneviève d’avoir traîné volontairement. Pas par crainte de soupçons de sa cousine, mais pour me faire enrager. Pour une fois qu’elle menait le bal ! Elle se « vengeait », d’autant qu’elle ne manquait pas de me lancer des regards coquins dès que c’était possible.
J’étais donc chauffé à blanc, par sa promesse, par ses œillades, surtout que je n’avais pas bu d’alcool « il est bien sérieux ce jeune homme » a même déclaré la cousine en souriant. Nous n’avions pas noté ce soir là son ton ironique.
Il est près de minuit lorsque nous rejoignons le cottage.
« Tu vas voir salope ce que c’est que de me provoquer comme ça.
Au secours ! dit-elle en riant, Cet homme veut me violer !
Je ne vais pas te violer belle-maman, je vais t’enculer !
Oh ! Voyons ! On ne parle pas comme cela à sa belle-mère !
A sa belle-mère non, mais à une salope comme toi oui !
Vous êtes un goujat monsieur ! – Geneviève avait décidé de jouer à la femme outragée victime d’un sadique. Peut-être pour s’absoudre elle-même de la « faute » qu’elle allait commettre.
Tu m’as promis ton cul salope ! Je vais te péter le fion ! Mais avant, tu vas pisser ton jus comme une pute que tu es !
Oh oui, monsieur ! Prenez-moi ! Je suis une salope ! Je suis votre pute ! Mais ne me faites pas de mal !
Je vais même te faire du bien belle-maman et quand je t’aurais éclaté le cul, tu en redemanderas ! Allez ! A poil vieille pute ! »
Nous étions effectivement restés habillés durant notre jeu, contrairement à notre habitude. Deux minutes plus tard, nous sommes nus et Geneviève à genoux me gratifie d’une fellation gourmande. Elle est devenue une experte et je suis rapidement tendu comme un arc.
Je lui demande de se mettre en position de levrette et att, sur le comptoir de la cuisine une bouteille d’huile d’olive. Faute de gel cela fera bien l’affaire.
Comme promis je commence à la baiser de façon « normale » Son vagin est déjà bien humide et à son habitude dans cette position, Geneviève « chante » vite et lubrifie abondamment en jouissant plusieurs fois. La laissant dans son état de béatitude, je me retire et plonge mon visage entre ses fesses somptueuses. Geneviève est surprise et veut tout d’abord m’empêcher de lécher cette partie « honteuse » de son anatomie. Je tiens bon, en bloquant ses hanches entre mes mains et ma langue s’occupe de l’œillet y trouvant les senteurs de son cul particulièrement affolantes. Je sais que la coquine a pris bien soin de sa toilette en fin d’après midi. Ayant décidé de m’offrir son dernier pucelage, elle s’y est préparée.
Ses muscles peu à peu se décontractent, je continue par plaisir à lui enfoncer la langue. Ses soupirs de bien être me confortent dans mon « travail » Geneviève s’abandonne. Elle est aussi réceptive dans son cul que dans sa chatte ou sur ses tétons. J’arrive maintenant à entrer la moitié de la langue, regrettant de ne pouvoir aller plus loin dans sa cavité inviolée. J’aimerais vraiment lécher au plus profond de son cul. J’adore cette sensation.
Il est temps malgré tout de passer à la phase suivante. Je récupère la bouteille d’huile et en verse un peu sur le trou. Geneviève sursaute car le liquide est froid, mais se laisse faire. Je rentre lentement un doigt. Au moment de franchir le muscle, elle se contracte, alors je masse doucement autour, reviens à la charge plusieurs fois, jusqu'à que le passage s’ouvre. Je rajoute de l’huile et fais tourner l’index, pour assouplir le trou, Geneviève commence à gémir sans se plaindre. Ses sphincters se relâchent doucement. Elle n'a plus peur. Nouvel ajout d’huile et c’est maintenant un deuxième doigt qui tente l’aventure. Finalement c’est plus facile que je ne croyais. Ma belle-mère est totalement relâchée et confiante. Elle est d’autant plus relâchée que parallèlement à son cul, je branle son clito, pour la maintenir dans un état proche du plaisir.
Mes deux doigts coulissent maintenant sans problème. Je les tourne en crochet, élargissant encore le muscle anal. Le troisième doigt suit et bientôt je ne rencontre plus de résistance. Il est enfin temps de prendre le dernier pucelage de ma belle-mère. Afin qu’elle en soit totalement consciente, je lui annonce :
« Maintenant belle-maman, je vais t’enculer ! Tu vas sentir ma bite te pénétrer le fion ! Tu ne seras plus vierge non plus de ce côté-là ! C’est bien Ça que tu veux ?
Oui mon chéri ! – ma belle-mère m’appelle son chéri ! – Je vous donne ma dernière virginité ! Vous l’avez bien mérité. Vous qui m’apportez le bonheur d’être une vrai femme, je vous la dois, je vous la donne, prenez-moi ! Mon cul est à vous et le restera pour toujours ! N’attendez-plus !
Eh bien voilà Geneviève, dis-je en posant mon gland sur sa rosette. Tu vas être à moi définitivement ! Je rajoute une dernière rasade d’huile, me badigeonne la queue et force le passage, inviolé. Je glisse lentement dans le cul de ma belle-mère. La sensation est géniale. Mon gland franchit la barrière. – Tu sens ma bite qui rentre dans ton cul ?
Ouii ! Ça fait drôle ! Mais continuez ! Allez à fond ! Vous me faites faire des saletés ! J’ai honte de me donner ainsi à vous ! Ne me faites pas mal ! Je vous donne mon cul ! Je vous donne mon dernier pucelage !
Puisque tu le veux ! – D’une seule poussée je m’enfonce totalement au fond de ses entrailles. Lorsque mon bassin bute contre ses fesses je lui déclare – Ça y est belle-maman ! Te voilà enculée jusqu’à la garde ! Tu es définitivement une salope ! Maintenant je vais te défoncer le cul, te sodomiser, te péter la rondelle, tu m’appartiens, tu es ma pute ! » – J’entame alors un va et vient dans son boyau. La sensation est énorme, pour moi comme pour elle. – Branle-toi pendant que je t’encule, je veux t’entendre gueuler, salope ! »
Je la sens bientôt complètement relâchée, je peux même sortir entièrement et contempler son gros cul et son trou qui reste ouvert. Je ne résiste pas au plaisir d'y fourrer encore ma langue avant d’y replanter ma queue.
Geneviève brame, secoue la tête dans tous les sens. J’agrippe ses seins et tord les tétons, son corps se couvre de sueur et prend une couleur cuivre et enfin elle s’effondre sous un ultime orgasme démentiel. Sur son cul toujours relevé, j’accélère et j’éclate enfin au fond de son rectum. J’ai la sensation, qu’elle me confirmera ensuite, qu’elle a ressenti mon éjaculation dans ses tissus rendus sensibles.
Après quelques minutes de récupération, alors que je suis allongé à côté d’elle et que je caresse son corps brûlant, je constate que Geneviève sanglote. Tout doucement, je tente de tourner son visage vers moi, mais elle résiste, afin de le garder caché dans ses bras.
« Tu as mal ? - Même si d’ordinaire je la joue « macho » je n’aime pas voir une femme pleurer et puis, elle vient de me faire un inestimable cadeau que celui de sa dernière virginité
N… Non.
C’est la perte de ton pucelage qui te fait pleurer ?
Oui… Enfin… Non, ce n’est pas ça.
Explique-moi tout de même, dis-je tout en parvenant à la retourner. Tu regrettes ? Tu as honte ? Je l'embrasse tendrement, sur les lèvres, sur le nez, sur les yeux et je la dorlote dans mes bras.
Ce n’est pas ça ! Non, Bizarrement je n’ai pas honte. Je viens de découvrir un nouveau plaisir grâce à vous. Je me rends compte que là aussi j’ai perdu beaucoup de temps, mais vous avez été si doux avec moi, que je n’ai pas eu mal et j’ai … joui comme vous dites. J'ai joui différemment mais très, très fort. Je sais aussi que maintenant que j’ai découvert cela, je recommencerai. Je ne pourrai plus m'en passer. Mais cela ne durera pas, puisqu'il faudra bien nous séparer !
On a le temps d'y penser. Si je te trouve un homme qui sache te donner du plaisir par là, j'en serai très heureux. Tu veux recommencer maintenant que tu es bien ouverte ?
Oui ! Si vous le voulez bien.
Comme c'est gentiment demandé ! Je veux bien, mais je viens de donner beaucoup, il faut que tu me « regonfle » Et là, elle plonge sur ma queue et l’avale sans réfléchir. Elle lèche, suce puis relève la tête
Elle sent mon… cul
Ça t’écœure ?
Non, au contraire j’adore ! Je trouve ça si pervers ! Et puis, vous y avez bien mis votre langue ! C’était si bon !
Tu es une adorable salope !
Vous savez ? C’est la première fois que je comprends que quand vous dites « salope », cela peut être aussi affectueux.
Tu es sur la bonne voie ma salope. Regarde comment tu as réussi ton travail.
Oh oui ! J’adore être une salope avec vous ! Une salope pour vous ! Malheureusement, je sais que cela ne durera pas et c'est ça qui me rend triste.
Allons, belle-maman, ne pleure pas ! On trouvera bien une solution ! Tourne-toi sur le côté, ce sera moins fatigant. Donne-moi encore ton beau cul avant qu’il ne se referme
J’ai l’impression qu’il est grand ouvert et ne va jamais se refermer.
Ne t’inquiète pas, les muscles là-dedans sont très forts. Allez viens »
Docilement, elle prend position, je place bien ses fesses, les écarte sans trop de difficultés et j'investis à nouveau son fondement. Je l'encule sur un rythme doux. Je ne vais d’ailleurs pas jouir, mais longtemps, je vais la sodomiser, tout en caressant ses seins, son ventre et son clito. Elle jouit encore en comprimant ma bite dans ses fesses. Elle coule aussi abondamment et alors que je la branle encore, elle gicle en criant. Geneviève s'endort aussitôt comme une dans mes bras, alors que peu à peu ma queue ressort de son anus. On s’est endormis ainsi, emboîtés. Enfermés comme dans notre bulle.
La dureté du sol et la fraîcheur de la nuit nous réveillent. Bien sûr, nous ne sommes plus emboîtés, mais je serre toujours Geneviève dans mes bras, elle se retourne, le visage ravagé, mais souriante, elle se penche sur moi pour m’embrasser tendrement. Ce baiser dure longtemps comme si elle voulait ne jamais qu’il se termine. Il nous faut tout de même aller occuper les deux lits. Geneviève ne voudra pas que l’on se quitte et même à moitié endormie elle me suivra, au milieu de notre courte nuit, dans la seconde chambre.
Le soleil est déjà haut lorsque nous émergeons, enfin disons que je suis réveillé par quelqu’un qui frappe à la porte. Je me lève, enfile au passage un shorty et ouvre la porte sur la cousine venue aux nouvelles. Je lui chuchote que ma belle-mère doit encore dormir, car je n’ai pas encore entendu de bruit. Elle me dit de la laisser dormir. Elle voulait aller au marché avec elle, mais nous attendra pour le déjeuner vers midi.
J’ai du mal à réveiller Geneviève La douche « écossaise » va finir de le faire. Avant de s’habiller je lui demande de me montrer son cul pour voir s’il a souffert. Sans aucune pudeur, comme si c'était naturel, ma belle-mère se met à genoux et m'expose son cul. Son œillet brun est un peu rosi et j’en profite pour le lécher, ce qui la faire rire et me demander si je veux encore la prendre par là. Il n’est plus temps de batifoler. Je lui conseille un bon maquillage, qui n’effacera pas toutes les traces de sa « nuit de noce » comme elle dira plus tard en riant, mais cela sauvera les apparences.
Alors que nous prenons le petit déjeuner en sa compagnie, la cousine Amélie nous propose de rester un peu plus que prévu, sous le prétexte que les deux cousines ne se voient pas souvent. Elle est très heureuse de faire un peu plus connaissance avec le futur gendre qui est charmant et attentionné, bla bla bla… ce qui nous a fait sourire ! Bref, vivant seule le reste de l’année, elle est enchantée de se trouver de la compagnie. Je dois dire que cela ne me dérange pas et fais signe discrètement à Geneviève que j’aime ça.
Ma belle-mère fait bien sûr semblant de refuser tout d’abord par politesse, avant de se « laisser convaincre » pressée par sa cousine et par la perspective de moments d’intimité supplémentaires avec moi.
La cousine téléphone elle-même à mon beau-père pour lui dire qu’elle « garde » sa femme un jour ou deux de plus. Que cela ne la dérange pas au contraire et elle recommence son bla bla bla…. La décision est prise, nous restons, en tâchant de ne pas montrer trop d’enthousiasme malgré tout.
Sans que nous y portions attention sur le moment, Madeleine n’avait parlé que de Geneviève. Elle était toujours persuadé que je n’étais « que l’amant » de sa cousine et avait volontairement caché ma présence au mari.
L’après midi, nous décidons d’aller visiter Toulouse. La cousine ne vient pas avec nous car elle doit régler quelques problèmes après les obsèques.
Dans la ville rose je guide Geneviève qui n’y est jamais venue. Visite obligatoire de la place du capitole. Il y a, comme d’habitude, beaucoup de monde qui se promène et photographie. Pour ne pas être séparés, je prends la main de ma belle-mère. Elle a tout d’abord un geste de recul et retire sa main. C’est la première fois que nous avons un geste comme cela en public et la surprise l’a faite réagir brutalement.
« Pas ici, voyons ! Il y a du monde !
Justement ! Ici, au milieu de la foule, dans une grande ville où personne ne nous connaît, cela passe inaperçu. D’ailleurs, si tu n’avais pas réagi ainsi, personne n’aurait rien remarqué. »
Elle se reprend malgré tout et lorsque je ratt sa main, elle ne la retire plus. Nous déambulons un moment autour des marchands et des touristes. Arrivés devant la grande façade de la mairie, je l’arrête, me mets face à elle et je l’embrasse sur la bouche. J’ai prévenu son refus et la tiens bien. Elle réussi à reculer son visage pour dire « Vous êtes fou ! » je la fait taire « Ici personne ne nous connaît » Je reprends le baiser. Elle se laisse aller et nous échangeons un baiser d’amoureux longuement. Enlacés tendrement, je jette un œil autour de nous et je vois un couple qui sourit en nous voyant. Un jeune homme embrassant une femme mûre, ce n’est pas banal, mais ils ne sont pas choqués. Il est vrai qu’ils ne connaissent pas nos liens véritables.
Lorsque nous nous séparons, Geneviève a les yeux qui brillent.
« Vous êtes vraiment fou !
Tu n’as pas aimé ?
Ce n’est pas ça ! Je n’avais jamais embrassé quelqu’un comme cela en public, même pas mon mari ! C’est … fou !
Je suis sûr que tu mouilles, ma salope !
V… Vous êtes un voyou ! » Je ris de cet aveu et je reprends ses lèvres. Quand enfin on se détache je déclare en me tournant vers la façade du Capitole :
« Tu vois, on s’est embrassés devant monsieur le maire. C’est un peu comme pour un mariage !
Vous êtes fou ! Je….
Quand j’embrasserai ta fille le jour du vrai mariage, tu y repenseras ! » Je ris en voyant sa stupéfaction puis son embarras. Je reprends sa main avant de reprendre notre balade. Peu à peu, Geneviève se laisse aller. Elle n’a plus peur ni honte de s’afficher main dans la main ou quand je lui prends la taille pour échanger un baiser sur les lèvres. Elle est heureuse de se promener avec « son homme ». Nous flânons ainsi autour de la place et entrons parfois dans un magasin. J’ai un moment l’impression que ma compagne est fière de s’afficher avec un homme plus jeune qu’elle. Elle est flattée de montrer qu’elle peut plaire. J’accentue parfois mes gestes de tendresse ou mes regards et je peux voir le plaisir dans ses yeux. Je lui glisse aussi à l’oreille « Tu mouilles salope ! »
Dans une petite rue, j’aperçois l’enseigne d’un sex-shop. Négligemment je m’en approche mais au moment d’entrer Geneviève refuse, horrifiée. Un peu plus loin, une devanture attire mon attention. Dans la vitrine, avec les robes et autres habits, un coin est réservé à la lingerie. Je pousse ma belle-mère à l’intérieur, lui suggérant que l’on peut regarder pour le plaisir. La boutique propose toutes sortes de vêtements pour tout âge, aussi, Geneviève peut y trouver quelque chose qui l’intéresse. La laissant dans les rayons, je trouve celui qui m’intéresse. Une collection de dessous, plus ou moins sages. Parmi eux, des soutiens-gorge et des corsets. Ma belle-mère qui a terminé son tour du magasin m’y rejoint. Quand elle découvre le rayon, elle rougit, se doutant bien que je mijote quelque chose.
Je lui propose deux modèles de soutien gorge. Sa taille (100 D) n’étant pas exposée, j’appelle la vendeuse. Geneviève rougit et ne sait plus où se mettre.
« Je dois en avoir à la réserve. Vous désirez quel modèle ? Je lui en désigne deux. Lorsque la vendeuse s’éloigne l’air amusé qu’un jeune homme commande une dame manifestement plus âgée que lui. Dès qu’elle a le dos tournée Geneviève se récrie.
Mais voyons ! Je ne peux essayer cela ! Que va-t-elle penser de moi ?
Que tu te payes un gigolo ! Mais bien sûr que tu vas essayer et on va voir ce que cela donne.
Je ne veux pas !
Tu n’as pas encore compris que c’est moi qui décide ? Tu sais très bien que tu finiras par le faire, alors ne fais pas ta mijaurée. Je sais déjà que tu dois être excitée et c’est de Ça que tu as peur ! C'est vrai que tu ne vas pas mouiller ta culotte puisque tu n'en a pas mis.»
Geneviève baisse la tête, conscience d’avoir été découverte. La vendeuse revient alors et lui indique la cabine d’essayage. Pendant qu’elle s’y dirige, je demande à la dame si elle n’a pas des modèles plus « sexy »
« Vous pensez que madame voudra ?
Elle fait tout ce que je lui demande, mais elle est un peu timide malgré son âge ! Vous n’auriez pas de corset ou de guêpière ? »
La femme me regarde moitié surprise, moitié amusée et sort d’un tiroir quelques modèles assez coquins. Une guêpière retient mon attention. Rouge, bordée de dentelle noire elle est du plus bel effet
« Malheureusement, je ne l’ai qu’avec des bonnets C dans cette taille.
Je crois que cela devrait aller. Cela va faire ressortir sa poitrine. La dentelle va juste cacher ses tétons qu’elle a très longs. Mais attendez un peu, on va d’abord voir les soutiens-gorges. »
La vendeuse se range de mon côté. Amusée de voir un jeune homme diriger une dame d’âge mûr.
Nous allons à la cabine. Geneviève a revêtu le premier dessous, qui la met déjà bien en valeur.
« Ne pensez-vous pas dis-je en m’adressant à la vendeuse que cette poitrine mériterait d’être un peu plus serrée et remontée ?
Tout à fait ! Je vais chercher le même avec des bonnets C.
Vous êtes fou ! Je ne pourrais jamais le mettre ! pleurniche Geneviève.
Tu vas voir, tes seins vont nous péter à la figure. Tu vas faire bander un eunuque ! ».
La vendeuse revient et tend le nouveau modèle. Sans tenir compte du recul de ma belle-mère je dégrafe celui qu’elle porte, libérant ses deux globes. Elle ne peut les cacher à la femme qui les dévore des yeux.
« Vous avez une poitrine superbe madame ! Et pourtant j’en ai vu quelques unes ! Quand à vous tétons mmmmhh !
M… Merci. Bafouille Geneviève. » Aidée de la vendeuse, elle enfile le soutien gorge et ajuste les seins dans les bonnets. L’effet est saisissant ! Le sillon entre les deux mamelles est creusé, les deux seins remontent débordant quasiment de leur corbeille.
« Vous êtes magnifique ! continue la femme
C’est peut être un peu trop ? bredouille Geneviève.
Pas du tout dis-je, au contraire, tes seins sont encore plus mis en valeur !
Vous n’êtes pas trop serré. Ajoute la femme en réglant les bretelles. Monsieur a raison.
Vous… Vous croyez ?
C’est sûr ! Dites-moi, Madame, dis-je à la vendeuse en clignant de l’œil, j’ai vu un modèle de guêpière dans votre rayon, vous ne pensez pas qu’il serait bien sur madame ?
Il est superbe, Il n’est disponible qu’en 100 C. Cela devrait sûrement lui convenir. Vous voulez essayer ?
Bien sûr ! »
Geneviève expose à nouveau ses globes, dont les tétons arrogants pointent fortement. La vendeuse passe derrière elle pour agrafer l’ensemble, puis passe ses bras sous ceux de Geneviève pour bien placer la poitrine. Elle se colle peut-être un peu trop dans son dos et laisse ses mains plus longtemps qu’il n’en faudrait. Proche des deux femmes je sens ma belle-mère troublée et je suppose que la salope doit mouiller. En tout cas Ça se « sent ».
Geneviève est superbe dans cette tenue. Bien sûr, le bas, couvert par la jupe n’est pas très sexy, mais on a un bel aperçu de ce que cela donnera.
« Vous avez des bas pour aller avec ? Interroge la vendeuse.
Non, vous avez quelques modèles je suppose ? »
Elle nous présente sa collection et je choisis des bas noirs à couture. Geneviève, confuse, doit enlever sa jupe et dévoiler son pubis glabre et surtout l’absence de culotte. Elle enfile délicatement les bas montrant son habitude.
- « Tu es magnifique belle-maman ! » la vendeuse est estomaquée de m'entendre et Geneviève rouge comme une pivoine, ne sais plus où se mettre. Je viens de dévoiler à une étrangère notre lien de parenté ! « Nous prenons la guêpière et le soutien gorge. Pas de culotte, comme vous pouvez le voir madame n’en porte jamais !»
Geneviève retire ses dessous trop voyants sous sa tenue, se retrouvant complètement nue devant nos yeux. La vendeuse la félicite encore « Monsieur votre… gendre a beaucoup de chance ! » Celle-là n’est pas insensible au charme féminin. La vendeuse, avec un sourire gourmand, nous offre les bas.
En quittant le magasin, je prends ma belle-mère par la taille et l’embrasse sur les lèvres. Je vois la vendeuse qui nous observe derrière la vitrine, troublée par notre couple atypique.
De retour chez la cousine, nous avons du mal à attendre de nous retrouver dans notre nid d’amour. Elle veut qu’on lui raconte notre promenade, elle a besoin de parler. Nous essayons de ne pas montrer notre envie de la quitter, mais les regards de ma belle-mère ne trompent pas.
Après un moment qui nous paraît interminable, nous arrivons à prendre congé. Pour essayer de « prouver » à notre hôtesse que je ne suis pas si pressé, j’annonce que je vais fumer une cigarette tranquillement avant de rejoindre le gîte. La cousine en profite pour me questionner un peu.

- « Vous vous entendez bien avec Geneviève ! C'est rare de nos jours !
C'est vrai. Mais je trouve qu'elle est un peu « coincée » ! Sûrement son éducation catholique. Néanmoins, je ne sais pas si c'est le fait d'être avec vous ou d'être loin de chez elle, mais elle est plus relâchée ici.
Vous avez raison ! Je crois que votre compagnie lui fait du bien ! Je vous félicite jeune homme! »
Ce jour-là, je ne perçois pas non plus dans son ton joyeux, l'ironie qu'elle y ajoute. Ce n'est que plus tard que je comprendrai. Je termine ma cigarette malgré tout assez vite. Je prends congé de la cousine et d’un pas volontairement ralenti je rejoins le cottage, sous l’œil amusé de Madeleine.
Une fois enfermés dans notre logement, les choses changent. Geneviève m’attendait impatiemment. Nous nous enlaçons pour un baiser brûlant. Sans nous séparer nous nous déshabillons mutuellement. Ma belle-mère est en transe. Son corps chaud se plaque au mien. Je résiste à l’envie de la prendre tout de suite en lui disant qu’il faut essayer sa nouvelle tenue.
Je l’aide à mettre sa guêpière, qui comprime bien ses seins. Muni de ciseaux, je découds la dentelle qui orne les bonnets, faisant paraître les tétons qui pointent. L’effet est fabuleux ! Geneviève enfile les bas et les agrafe aux jarretelles. Je la place alors devant la glace où elle se découvre.
Choquée tout d’abord; sous mes compliments, elle prend des poses et s’admire sous tous les angles. Elle est bandante ma belle-mère ! Je tombe à genoux et plaque ma bouche sur sa chatte qui coule déjà. Je lui procure un premier orgasme, avalant son suc onctueux.
Me relevant, je la fais appuyer contre le miroir, penchée en avant et l’embroche sans tarder. J’oblige Geneviève à garder les yeux ouverts pour regarder le spectacle de notre couple en plein coït. Sa tenue obscène, les seins à moitié sortis des bonnets, les bas noirs tendus sont un appel au viol. Je la bourre sans ménagement, la traitant de salope de vieille pute, d’obsédée du sexe et autres mots orduriers. Sa chatte coule sans discontinuer au rythme de ses plaisirs. Enfin, à bout de souffle, je me vide dans son vagin dans une dernière pénétration profonde. Ce faisant, je roule ses tétons entre mes doigts, lui apportant une ultime jouissance.
Je la retourne pour la prendre entre mes bras et partager un baiser où nos langues s’affrontent. Peu à peu le calme revient et ce sont des petits baisers que nous picorons tout en caressant le corps de l’autre.
« Mon chéri ! Vous m’avez tuée !
Il faut dire que dans cette tenue, tu es un « pousse-au-viol » belle maman ! Si les gens te voyaient comme Ça, ils changeraient d’avis sur toi.
Vous savez bien que c’est impossible. Il n’y a que vous pour cela.
Il faudra bien que tu te trouves un homme pour me remplacer un de ces jours. Tu sais bien que nous ne pourrons continuer.
C’est vrai. Mais vous m’avez marquée à jamais. Jamais je n’oublierai ces moments. Vous êtes un sorcier. Vous savez toujours m’emmener où vous voulez pour me faire découvrir de nouveaux plaisirs.
Tu es gentille finalement. Allez ! Viens sur le lit, j’ai encore envie de te baiser et de t’enculer dans cette tenue.
Oh oui ! prenez-moi par le cul ! Je suis votre chienne ! Venez mon amour ! »
Oh là ! Me dis-je. Elle va loin ! Pour moi ce n’est pas de l’amour. Je la baise, j’adore Ça, mais je ne l’aime pas. Il faudra que je lui précise à nouveau les limites de notre relation. A ma remarque, plus tard, elle en conviendra.
Sur le lit, nous reprenons notre séance qui dure une grande partie de la nuit. Il est vrai que c’est notre dernière dans ce nid douillet. Le réveil est difficile. Pourtant une dernière fois avant de partir, Geneviève veut encore faire l’amour une dernière fois dans notre “nid d’amour”. Elle n’a pas quitté sa tenue, ses seins sont bien relevés et sa taille affinée. Elle est bandante malgré les cernes sous ses yeux. Pelotonnée contre moi, Geneviève se laisse aller à son émotion.
“Je sais que vous ne m’aimez pas et que vous ne voulez pas m’aimer, mais moi je vous aime mon chérie. Si vous le voulez, je serai un putain ! Votre putain ! Je suis à vous ! Jean, voulez-vous être mon mari ?
Oui Geneviève, je veux être ton mari et toi Geneviève, veux-tu être ma femme ?
Oh oui !Je veux être votre femme !
Je nous déclare mari et femme ! Maintenant passons l’anneau !
Comment cela ?
Ton anneau, c’est ton sexe, et mon doigt, c’est mon sexe ! Alors, je passe mon doigt dans ton anneau !
Oh oui ! Prenez-moi ! Engrossez-moi ! Faites-moi un !
Tu es folle !
Oui ! Je suis folle de vous !
Tu veux un qui sera le frère de mes s et aussi ton petit fils !
Oh oui !Je veux être grosse de vous !
Tu vois d’ici le scandale ?
Je me fiche du scandale ! Je suis heureuse !Je serai heureuse de vous donner un ! L’ de l’amour !”
Geneviève pleure dans mes bras, alors que tendrement, je lui fais l’amour.C’est la première fois que je ressens véritablement lui faire l’amour,alors que jusque là je la baisais.
Elle est excitée et ne tarde pas à jouir alors que je vide en elle. Nous restons un long moment ainsi, soudés l’un à l’autre par nos sexes. Il est trop tard pour reprendre une douche qui serait suspecte et Geneviève veut garder sur sa peau,l’odeur de nos corps.
Après le repas, nous quittons la cousine, ravie de notre visite (et nous donc !). Elle félicite encore ma belle-mère pour le « gentil gendre bien élevé et charmant » et nous reprenons la route du retour.
Geneviève est mélancolique. Le retour prochain à la vie « normale » lui pèse. Elle me demande de m’arrêter sur une aire d’autoroute, un peu à l’écart. Elle soulève sa robe et je découvre que d’elle-même elle n’a pas mis de culotte. Elle me demande de la baiser. Nous nous dirigeons derrière les arbres et là, contre un arbre, je la prends alors qu’elle s’appuie des deux mains au tronc. Alors que je me vide une nouvelle fois au fond de sa matrice, j’aperçois un homme qui nous mate à quelques mètres. Il a sorti sa queue et se branle sans complexe. Je lui fais signe d’approcher discrètement, lui fais signe d’enfiler un préservatif et lui cède ma place derrière ma belle-mère. Je me place alors face à elle et lui présente mon sexe à nettoyer. Surprise de sentir un sexe la pourfendre, elle veut se retirer mais je la maintiens. Son regard implorant n’y fait rien, aussi se laisse-t-elle baiser par un inconnu et avale ma tige pleine de sa mouille et de mon sperme.
L’homme conclut rapidement et, son acte accompli retire sa capote, se rajuste et s’en va. Geneviève ne saura jamais qui l’a possédée, en revanche, je rigole, car l’homme ne s’est pas aperçu que sa partenaire, mouillant beaucoup à son habitude, lui a laissé une trace humide et visqueuse bien large sur le devant de son pantalon, il avait juste sorti son sexe et aura du mal à expliquer ce problème si son épouse lui demande d’où cela provient.
« Vous m’avez donnée à un homme !
N’es-tu pas ma pute belle-maman ? J’ai l’impression que cela ne t’as pas déplut, je me trompe ?
N… Non, mais tout de même, un inconnu
Il s’est protégé.
O… Oui, mais peu importe. Il m’a …
Baisée ?
Oui, je sais, vous voulez que je le dise. Oui, il m’a… baisée sans ma permission.
Et alors, il avait la mienne ! Je t’ai dis que tu étais ma pute, donc je te donne à qui je veux sans avoir à te demander ton avis. Ensuite, il se branlait en nous regardant, enfin, il avait une queue certes courte mais bien large et tu en as bien profité je crois.
Tout de même, me montrer ainsi.
C’est bien toi qui as voulu baiser dans la nature, il faut t’attendre à ce genre de chose, surtout dans ce genre d’endroit. Ça te fera un souvenir.
J’ai peur de ce que vous allez me faire faire.
Rien qui ne t’apportera du plaisir. Dis-moi, est-ce que tu as aimé être un objet sexuel.
Oui... ! C’est vrai ! Mais…
Bien, alors je peux te dire que son pantalon s’en souviendra, avec ce que tu lui as mis comme jus ! Dis-je en rigolant. »
Nous reprenons la route après avoir bu un café dans la cafétéria. Je ne dirai rien à Geneviève, mais lorsque l’homme nous découvre en sortant des toilettes, ayant manifestement tenté de nettoyer son pantalon, il est ahuri et sans un mot, il s’échappe vers son camion. C’était donc un routier, sans doute habitué aux rencontres sur les aires de repos. Il se souviendra de celle-ci et pensera à mieux baisser son pantalon la prochaine fois.
Le reste du chemin se fait avec une Geneviève jambes écartées, se caressant la chatte et se délectant du mélange de nos jus en léchant ses doigts. A quelques kilomètres de la maison, elle me demande d’arrêter. Elle m’embrasse alors passionnément et longtemps. Elle a du mal à se séparer de mon étreinte. Enfin, me fixant de façon intense, elle me dit les yeux brillants : « merci mon chéri ! Cette nuit, j’espère que vous monterez… ».
***

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