La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1336)

soumise Calypso au Château - (suite de l'épisode N°1331)-

Je peux dire, sans détour, que c’est le plus beau jour de ma vie… Il est très difficile pour moi de suivre le Maitre dans les couloirs de ce majestueux Château sans lever la tête pour observer. Après une assez longue marche dans les luxueux couloirs, le Maitre arrive devant une double-porte qu’il ouvre et je le suis à l’intérieur de la pièce à laquelle il entre. Il m’arrête au milieu de la pièce en osant lever un peu la tête, je vois sur le côté gauche, deux fauteuils avec une table basse. J’ai à peine le temps de tourner ma tête sur la droite pour apercevoir un très grand lit, qu’il me dit que nous sommes dans la chambre du Maitre. J’entends la porte se refermer et les pas du Noble se diriger vers moi, je rabaisse alors ma tête et recommence à regarder le sol à la magnifique moquette épaisse. Je sens le Châtelain tourner autour de moi, avant d’entendre Sa voix :

- Viens par-là, Ma belle chienne, j’ai une surprise pour toi, regarde aux pieds de mon lit, du côté droit

Je m’avance un peu pour avoir une vision du pied du lit et j’y vois un grand panier pour chien et sur le côté externe du panier et cousu mon nom de chienne salope soumise « CHIENNE CALYPSO ». Un peu plus en hauteur, se trouve un anneau pour y accrocher ma laisse. C’est juste magnifique, le Maitre a réalisé l’un de mes plus gros fantasme, j’aurai jamais cru qu’il s’en souviendrait. Ayant très bonne mémoire je me souviens exactement quand je lui ai raconté ce fantasme, c’était dans les débuts de notre relation virtuelle, il y’a longtemps, j’avais reçu une Règle de vie à exécuter très proche de ce fantasme. Je devais dormir avec mon collier autour du cou et attacher ma laisse aux pieds de mon lit. Quand j’ai fait part au Maitre de la proximité avec mon fantasme, il a exigé que je lui raconte, et après l’avoir fait, il m’avait promis de le réaliser un jour…

Et me voici aujourd’hui à Ses pieds en réel, et à avoir la chance de dormir dans un panier pour chien aux pieds du Maitre, tout en ayant mon collier attaché à ma laisse à un anneau mural.

Je ne sais pas ce qui me prend, mais instinctivement et mue par l’émotion, je me redresse et me jette dans les bras du Maitre, et commence à pleurer de joie, avant de me jeter à Ses pieds pour les embrasser et le remercier d’une gratitude sans borne. Ca a toujours été l’un de mes fantasmes des plus profonds que j’espérai le plus vivre et voilà qu’il se réalise. Je ne sais combien de fois j’ai remercié le Maitre, mais je pourrais continuer encore des heures à lui embrasser les pieds et à lui dire mille fois merci. Je pense à cette nuit que je vais passer dans ce panier, mon panier, avec ma laisse attachée à mon collier et à l’anneau scellé au mur. Alors mon excitation augmente encore plus, si c’est possible, je ne me savais même pas capable d’être autant excitée, mon sexe et de plus en plus trempé, mes cuisses aussi…

Après un moment à prendre plaisir à embrasser les pieds du Maitre, il m’ordonne d’arrêter net avec un laconique ‘’Suffit ! ». Puis Monsieur le Marquis claque des doigts pour me signifier de me mettre à genoux devant Lui. Il commence à me caresser la tête, avant de descendre vers mon visage, caressant ma joue délicatement. Je ferme les yeux et savoure ce moment. Petit à petit, doucement, délicatement la main du Maitre descend vers mon cou, vers mes seins qui par Son toucher baladeur commence à faire pointer mes tétons de salope. Le Châtelain les tripote, les malaxe abondamment, étire les pointes, les pince, faisant rouler mes tétons entre Ses doigts et recommence se traitement. Je commence à gémir de plaisir comme une chienne en chaleurs et je souhaite plus. Mais le Maître prend son temps, tout doucement Sa divine main continue à descendre, vers mon ventre qu’il caresse avec douceur. Ensuite, ce sont mes cuisses que le Noble caresse à l’extérieur de celles-ci puis avec assurance Sa main va à l’intérieur pour enfin finir par arriver délicatement à mon sexe déjà fort émoustillé. Au début, Monsieur le Marquis l’effleure seulement, pour ensuite s’éloigner sur mon pubis et revenir avant de commencer à me branler cette fois.

Ses doigts viennent masturber mon clitoris dressé. Le Châtelain le branle en alternance, doucement, puis avec frénésie. Et il me faut toute ma concentration pour ne pas jouir. Ses doigts vont ensuite caresser mes lèvres intimes et s’insinuer dans mon vagin déjà fort trempé. Alors ces mêmes doigts récoltent ma mouille et le Maître me les présente devant ma bouche. Pas besoin d’exiger, je sais que je dois lécher ma mouille, comme une chienne de rue. Je donne alors des coups de langue sur la main du Noble léchant avec avidité et gourmandise, avant qu’il m’enfonce Ses doigts dans ma bouche, alors j’essaie de m’appliquer du mieux que je peux, comme si c’était la Verge du Maitre dans ma bouche. Avec sa deuxième main, il recommence son travail sur ma poitrine, empoignant fortement un sein, puis l’autre, cette main descend ensuite sur mon corps jusqu’à finir dans mon sexe pour un intense fouillage en règle. J’ai de plus en plus de mal à me retenir de jouir, même si je sais que je n’ai pas le droit sans l’autorisation du Maitre.

Je lève la tête et ose regarder le Maitre avec un regard suppliant, dans l’espoir de Lui faire comprendre que mon orgasme approche et que j’ai du mal à le retenir. Mais l’autorisation de jouir ne vient pas et l’attente est de plus en plus difficile. Et malheureusement, je finis par jouir quasi malgré moi, étant trop excitée. Je sais que c’est un orgasme non autorisé, mais tellement libérateur. J’ai libéré tout mon excitation que je ressens si intensément depuis ce matin de me savoir entre les mains du Maitre. J’ai beaucoup de mal à me remettre de cet orgasme, donc il me faut un peu de temps pour reprendre mon souffle. Quand enfin j’y arrive, je réalise ma terrible faute, je comprends avoir joui sans en avoir eu l’autorisation. Et j’aperçois alors Son regard réprobateur, un regard qui me fusille, un regard fixe, froid, glacial même et mélangé à une profonde déception... Je mets alors au plus vite mes mains devant moi, pour demande au Maitre l’autorisation de parler, et au plus vite aussi espérant Son pardon, je présente ma repentance, mes excuses sincères pour cette faute inadmissible et indigne à ma condition de soumise et à l’honneur d’avoir été acceptée à Ses pieds. Je ne bouge plus et attends, jusqu’à entendre enfin, après un long silence qui me parut une éternité, la voix du ferme du Maitre :

- Non la chienne mal éduquée, tu n’es pas autorisée à parler pour le moment, garde le silence, tu seras bien sûr punie pour cet orgasme non autorisé, car je suis seul à décider de tes plaisirs. Tu comprendras très vite de par cette future et sévère sanction que je ne peux accepter une récidive car il sera inacceptable que cela se reproduise un jour… En attendant met-toi en levrette, dos à moi, salope… J’ai décidé de prendre possession de ta chatte de salope de chienne. Tu as interdiction de gémir, je ne veux pas t’entendre, mais surtout interdiction de jouir de nouveau sinon je considère qu’il y aura récidive et tu seras exclue pour de bon de Mon Cheptel car j’ai une sainte horreur d’être désobéi. Exécution la chienne.

Monsieur le Marquis n’a pas besoin d’être ferme sur le ton, pour me faire comprendre Sa déception. Ses mots dits avec un calme implacable suffisent. J’obéis rapidement, ne voulant pas encore plus faire tomber le courroux du Maitre sur ma petite personne. J’attends ce moment depuis tellement de temps de me faire prendre par le Maître. Je sens la présence du Maitre derrière moi, et ses doigts commencent à me caresser mes lèvres intimes et mon clitoris. Et quand le Noble décide que je suis assez mouillée, je sens Sa verge s’approcher puis me pénétrer et commencer à bouger en moi. Excitée, je ressens un très agréable plaisir d’être baisée et il m’est très difficile de retenir mes gémissements, mais j’ai déjà déçu le Maitre une fois, je ne peux pas me permettre de le refaire au risque de l’exclusion pure et simple pour récidive. Alors, j’essaye de me concentrer le plus possible, malgré la difficulté, j’y arrive même sous Ses coups de reins puissants, profonds et cadencés. Quand un long moment après, je finis par sentir le Maitre qui se retire pour éjaculer sur mes fesses et mon dos alors que je l’entends émettre des râles de plaisirs durant Sa jouissance...

- Bien, petite salope, tu vois que tu es capable d’obéir, maintenant passons à ta punition …

(A suivre …)