Sparte 4
Après ma bonne aventure en Crête j'avais hâte de retourner chez moi. N'étant pas spécialement pressé je décidais de voyager sur un navire de commerce qui avait plusieurs destinations plutôt que de rentrer de suite à Sparte en m'en louant un. Les hommes de ce navire étaient de fiers gaillards, porté sur l'humour et la boisson, bref une compagnie comme je les adore. Bien que je n'y sois pas obligé j'avais pris l'habitude de les aider, en transportant cordes ou remplaçant la où je le pouvais. Je n''étais pas un marin mais ils apprécièrent ma bonne volonté.
Notre première destination fut une île dont le nom avait été perdue, si elle en avait jamais eu un. Mais dans toute la mer verte nous lappelions la colère d'Hadès. Dans les derniers temps de la fédération de Mycène et où la crête était maîtresse des flots le dieu souterrain avait lutté contre les rejetons des profondeurs. Il avait demandé de l'aide aux dieux mais ceux ci se désintéressèrent de son malheur et continuèrent à accaparer la plupart des honneurs, les hommes aussi n'entendant pas les demandes du dieu du monde des morts.
Alors dans sa fureur, lui qui n'avait rien souhaité d'autres que la paix sur son domaine et le respect, loin des prétentions de ses frères, montra sa toute puissance. Il fit exploser cette île et recouvra le ciel de cendres, investissant le domaine de Zeus. Il déchaîna sa fureur qui ébranla les mers et les côtes furent détruites et le domaine de Poséidon dévasté. Les morts furent sans nombres et les guerriers qui trépassèrent allèrent rejoindre ses armées pour repousser les monstres des abysses. Depuis, terrifié à l'idée de perdre à nouveau tant de fidèles, de temples et de pouvoir les dieux viennent en aide à Hadès dès qu'il le demande et son royaume est le plus riche de tous.
Nous nous y arrêtâmes pour récupérer une prêtresse de Mycène itinérante. Elle avait été initié à de nouveaux secrets et.....quoi ? Pour Mycène ? Comment pouvait elle être de Mycène si Mycène n'existait plus ? Eh bien c'est simple, la cité de Mycène est la seule survivante de la fédération, à ne pas avoir plongée dans l'âge sombre ni subit d'invasions.
Donc cette prêtresse avait pris place à bord de notre navire. Elle était encore vêtue à l'ancienne mode, des bijoux de cuivre représentant des taureaux et des châles vert et gris. Elle avait de long cheveux châtains bouclés et de grands yeux du même vert que l'eau sur laquelle nous naviguions. Elle portait aussi des bijoux météoriques noirs dont j'ignorais les significations. Elle aussi fut une passagère agréable, préparant le repas pour les marins quand nous accostions sur les plages pour dormir apportant de l'eaux pendant les efforts, et sa beauté fort attrayante avait de quoi revivifier les hommes.
Un soir alors que nous étions sur une plage elle est resté à bord du navire. Je décidais de la rejoindre, j'avais en effet remarqué qu'elle regardait souvent mon corps parfait marqué par les combats. Je me tint d'abord à coté d'elle, désireux de lui montrer mon attention sans être trop brusque...pour le moment.
-Belle soirée roi de Sparte. Le vieil Océnaos vous accorde un bon voyage.
-J'aurais cru qu'il l'accordait à vous prêtresse. N'est il pas de votre panthéon ?
-Anciens dieux, ceux de maintenant, ceux des autres. Cela n'a guère d'importance en vérité. Comment va la harpiste ?
-Elle va bien. Je suppose que vous ne connaissez pas son nom ?
-Personne ne le connait beau roi. Pas même Hermès le parleur.
-Et vous ?
-Hihihi, mon nom vous intéresse jeune roi ?
-Ce n'est pas que le nom qui m'intéresse en vérité.
-Je vois cela....j'espère qu'elle n'a pas exagérer vos talents.
-Oh en vérité elle n'exagère rien, surtout pas ses cris...
La prêtresse se retourna vers moi avec un grand sourire. Je pouvais sentir malgré le vent marin le fort désir qui émanait d'elle. Je sus que j'avais gagné ce que je voulais et je me mit à sourire en retour, certain de ne plus avoir à attendre très longtemps pour gouter à la chaleur de sa peau et à l'étreinte de ses cuisses.
-Et les vôtres ? Les a t elle minimisé ? Avant que je puisse répondre elle se mit à genoux et m'ôta mon pagne d'un geste brusque. Nous pouvions être découvert à tout instant par l'un des membres d'équipage qui dirigeait le navire depuis l'arrière.
Avant même que ma verge ne soit dure comme une lance elle l'enfourna en bouche, jouant avec une habileté consommée. C'était un délice que de sentir mon membre durcir, prendre du volume dans cette chaleur et cette caresse. Sous le murmure de la brise nocturne la jeune femme put apprécier ma virilité comme son amie avant elle.
Ses mains ne restaient pas inactives, loin s'en faut. Alors que sa langue tournoyait autour de mon gland elle me malaxait les bourses, poussant des soupirs appréciateurs devant leurs poids et me masturbait en m'enserrant la hampe à la perfection. Aucune partie de mon membre n'avait le temps de se sentir délaissés, elle m'encerclait comme un véritable anneau, dosant la pression à merveille.
Le plaisir grandissait mais je ne voulais pas jouir sans avoir joué mon rôle de spartiate. C'est aussi cela la magie du plaisir charnel, une certaine réputation qu'il faut honorer pour satisfaire les fantasmes. Je saisis la tête de la prêtresse de mes deux et la calais contre la rambarde du navire. Sachant ce qui l'attendait elle se prépara à recevoir toute ma verge chaude et dure du mieux qu'elle pouvait et mit ses mains contre mes hanches comme pour espérer lutter contre mes assauts.
Le risque de la découverte ne nous permis pas de nous éterniser mais ce fut une bonne jouissance. J'enfonçais ma queue au fond de sa gorge, nos regards rivés l'un vers l'autre. Elle tentait de lutter contre ma force mais c'était inutile, et que c'était bon. De sentir cette débauche d'énergie futile pour tenter de prendre le contrôle de mon plaisir.
Elle cessa de lutter pour astiquer ma verge et me malaxer les boules à pleines mains quand elle sentit mon orgasme arriver avec la dureté qui augmentait soudainement.
Quand je me retirai, le sexe certe moins droit mais toujours aussi charnue je pris le temps d'admirer sa tenue odieusement sensuelle. J'aurais bien été capable de la prendre sur place et et de jouir par toute ses pores durant toute la nuit mais nous n'avions plus le temps. Elle passa sa langue sur les traces de ma semence et me souhaita une bonne nuit, non sans produire un grand bruit quand elle avala mon plaisir.
Le jour suivant j'aidais les marins aux voiles, apportant les cordages ou briquant le pont du navire pour le garder en bel état. Ces rudes hommes m'invitèrent à leur repas et me demandèrent de conter mes exploits. Heureusement la prêtresse vint à mon secours et de tant à autre glissait des double que je n'étais pas le seul à comprendre. Finit sa tenue officielle. Elle ne portait qu'un mince vêtement pour cacher son intimité et un gilet très seyant laissait ses bras et son ventre nu. L'assemblée aurait bien voulu profiter de cette belle mais ils surent tous apprécier la vision charmante qui leur était offerte en toute galanterie, malgré les bosses qui déformaient leurs pagnes.
Cette nuit la nous fûmes aussi sur les flots et jeus l'occasion de profiter d'une nuit de plaisir avec la mycénienne. Je la pris tout d'abord de face, dans un coin étroit entre deux caisses. Cette exiguité dirigeait notre fougue et nous ne fumes pas long à jouir, elle se cognant les bras contre les caisses et moi en lui inondant sa grotte.
Ce ne fut cependant que la première jouissance de la nuit puisque avant même qu'elle ne se rende compte que j'étais toujours dur comme un taureau crétois je la pris à genoux, plaquée contre moi. Je profitais à loisir de sa poitrine et de son petit fessier qui rebondissaient contre mes hanches.
Désireux de m'offrir un beau final je me relevais, la prêtresse toujours empalé à mon vit et je me fit un devoir de la soulever et de l'abaisser tout en lui donnant de vigoureux coups de bassins. Je la besognais ainsi de longues minutes quand j'eus la surprise de sentir sa gaine se contracter, signe d'un orgasme. Cela me donna littéralement les sandales d'Hermès et je la fit pivoter sur mon mat dressé pour qu'elle me fasse face. Elle était anéantit de plaisir et je la rejoignis quelques minutes plus tard. Je me déversais en elle sans pouvoir un cri. La sensation de ma semence expulsée était incomparable.
Quand je la déposais par terre elle prit le temps de me faire frisonner en me nettoyant habilement la verge puis nous nous séparâmes pour dormir, non sans que je dévore ses seins.
Le lendemain les regards des marins suffirent à me faire comprendre que nos ébats n'avaient pas du tout été discret. Les sourires en coin flatteur et les tapes viriles étaient appréciables, à que de bons moments. La femme aurait pu être gênée mais elle s'était faite aussi à la promiscuité du bateau et laissait de temps à autres des mains s'attarder sur corps. La journée passant je me dis que tout de même, ces hommes étaient bien maltraité. Ils entendaient tout de nos ébats mais n'avaient pas le loisir de profiter du spectacle.
Le navire était divisé en deux cales, une pour l'équipage et une pour les marchandises. La prêtresse dormait dans cette dernière (ou je la rejoignais) et pour ma part je dormais sur le pont (être un spartiate exige l'attitude qui va avec). Quand je lui proposais de continuer nos accouplements en plein milieu de la cale de l'équipage elle s'illumina. Nous étions tout deux beaux et le sexe est sans doute le plus beau des spectacles, cela serait un cadeau pour l'équipage, ah si j'avais deviné.
Cette nuit la le bateau avait pu jeter l'ancre contre des récifs. Nous approchions des mers grecques. L'équipage ne dormait pas bien sur, tendant l'oreille en prévision de nos cris. Mais je crois qu'ils furent surpris de nous voir entrer nus dans leur domaine. La dizaine de hamacs nous entourait comme dans un théatre.
Pour réveiller mes ardeurs la prêtresse se colla à moi, ses fesses fermes contre ma verge, et entreprit une danse érotique qu'aucun instrument n'avait besoin d'accompagner. Je participais aussi en lui caressant les flancs, la poitrine ou sa grotte d'ou perlait quelques gouttes. L'équipage se tenait coi, jouant le jeu en faisant semblant de dormir, mais que c'était plaisant de sentir ces regards. Elle s'écarta de moi pour laisser visible ma verge bien dressée, puissante et audacieuse. Sous l'afflux du plaisir je ne pouvais m'empêcher de la contracter de temps à autre, provoquant un mouvement àfaire fondre n'importe qu'elle femme.
N'en pouvant plus devant ma virilité la mycénienne se mit à genoux devant moi et entreprit une fellation experte. Elle ne m'emboucha pas mais promena ses lèvres et sa langue partout sur mon mat. Ses mains étant trop occupé à lui donner du plaisir elle parcourut mes bourses fermes , les léchants et les embrassant sous tout les angles. Devant cette vision, voyant cette queue qui s'attirait tant de volupté les marins ne purent plus cacher leur émoi. Dans la pénombre éclairé par les rayons lunaire nous pouvions deviner des membres virils se dresser, et vraiment tout marin est digne de se dire égal d'un spartiate la dessus.
Mais il fallait passer à la suite de la représentation. La jeune femme grimpa d'elle même sur moi, s'empalant avec une lenteur délibérée autant pour montrer mon vit s'enfoncer en elle que pour s'imprégner lentement de ce plaisir qui la comblait. Je lui fis l'amour lentement, exposant mes muscles saillants. Nous poussions des légers soupirs, libérés par l'inutilité de la discrétion désormais. Mais cela ne me suffisait pas aussi je marchais pour la plaquer contre une poutre verticale. Une fois bien qu'elle fut bien calée je me déchaînais, enchaînant les coups de reins avec la régularité du ressac. Elle mit ses mains en hauteur pour s'accrocher, libérant les derniers recoins cachés de ses mamelons. Je m'empressais de les prendre en bouche, Ils étaient dur, gonflés. C'était une poitrine faite pour combler les hommes, un monument à la volupté.
La sueur commençait à nous recouvrir, nous faisant luire. Poséidon s'était comme rendu sur ce navire pour coucher avec l'une de ses nombreuses amantes. Et le trident revenait sans cesse, rostre de chair à la tête gonflée de sang et de plaisir. Je sentis mon échine trembler, se contracter alors que j'approchais de la jouissance. La prêtresse était abandonnée dans les affres des plaisirs charnels, son regard à demi clot, sa langue qui passait sur ses lèvres. Avec ses jambes elle me força à aller plus vite et plus profond.
Liés ainsi nous nous sommes mutuellement aidé pour gravir les marches vers le paroxysme. Nos corps ruisselant étaient en feu, nos cris bestial emplissaient la cale. Nos bassins se cognaient encore encore et encore. Ma verge était dure à m'en faire mal, prête à expulser ma semence comme rarement. Et son antre, oh son antre ! Une fournaise, serré mais tellement glissant. Ses parois internes tremblaient aux frottements de mon vit. Je donnai une ultime rafale de coups de reins et nous avons explosé. L'orgasme pur. Un grand silence d'ou ne jaillissait que nos cris étouffé. Nos corps tétanisés, incapable du moindre mouvement. Pas une seule pensée. Juste la sensation sublime. Et le retour.
Ma verge libérait des torrents de semences, j'inondais la prêtresse comme aucun homme ne l'avait fait avant moi. Ce flot ne semblait pas se tarir et quand il le fut ma verge bondissait et se contractait encore pour prolonger l'orgasme. C'en était trop pour la caverne de la mycénienne. Son vagin se contractait de manière erratique, prolongeant nos orgasmes mutuels. Une partie de mon sperme s'écoula au sol quand je me retirai d'elle.
Nous nous sommes ensuite assis sur les marches, cuisses écartées pour notre public. Les marins riaient, nous congratulaient. Leurs verges dressées à la main ils ne se faisaient pas encore jouir. Le prêtresse leur demanda de se mener à la jouissance, à son tour d'avoir un spectacle. Mais je ne l'entendais pas de cette oreille.
Pendant que nous discutions tous,mon membre viril se remettait petit à petit. Je prit la main de la jeune femme et celle ci s'appliqua à m'astiquer vigoureusement la lance. Elle voulut faire quelque chose mais je l'en empêchait. J'avais mon idée. J'invitais les marins à se mettre autour de nous. Oui pour exactement ce que vous pensez, mais pas de suite.
Je mis la prêtresse dos à moi, en face des marches. Japprochais ma queue ô combien sensible. D'abord je glissais sur son dos, laissant un peu de semence, puis la naissance de ses reins et enfin son petit cul ferme. Elle se crispa mais némit pas une protestation quand lentement je la sodomisai. Quel délice. Je posais mes mains sur ses hanches, regardais chacun des marins et j'entamai le grand mouvement de bassin qui régissait tout.
Je l'ai prise ainsi des dizaines de minutes, mon précédent orgasme ayant été si intense que mon endurance s'en trouvait décuplée. La jeune femme poussait un flot continu de gémissements en s'appuyant tant bien que mal contre les marches. Pas un seul moment ma verge ne quitta son petit délice. Souvent je ressortais ma verge à la limite, ne laissant que le gland pour mieux replonger ensuite. J'étais en sueur comme sur un champ de bataille mais pas un seul moment je ne faiblis. Ni au premier orgasme ma compagne de jeu ni aux autres qui suivirent. Son fessier avait beau se resserrer et me faire crier je tins bon assez longtemps pour écrire une nouvelle chanson à ma gloire.
Ma verge ne tenait que par ma volonté de fer. Quitter son cul faillit me faire jouir, cette caresse sur mon gland...Ohhh. Je la retournais, elle était belle. Nue, couverte de sueur. Elle rayonnait de plaisir et de sensualité. Ma semence jaillit comme une source, arrosant sa poitrine, maculant son cou, trempant son ventre et ses épaules. Elle m'adressa un sourire d'une telle béatitude. Je grimpais les marches pour profiter de la brise marine.
Derrière moi les marins, nus, sexe en main se mirent presque contre elle. Son sourire devint encore plus étincelant, ses yeux devinrent des soleils. Les cris des marins jaillirent de la cale comme le plus beau des cris qu'un homme pouvait pousser au fur et à mesure qu'ils se vidèrent sur la prêtresse qui, bras écartées, acceptait avec joie leur cadeau.
La journée suivante fut occupé à rejoindre une île ou nous pourrions nous reposer et inspecter le bateau. Nous les grecs échouons nos vaisseaux la nuit et après plusieurs jours en pleine mer nous pouvions enfin nous sentir chez nous. J'étais désormais l'un des leurs. Je les avais traités comme des égaux, comme des hommes forts et viril et je m'en voyais récompensé. La prêtresse dormit toute la journée dans un hamac, toujours couverte du nectars des hommes. Après cette nuit de folie et de débauche elle était épuisée.
L'île était fort accueillante. Une large rivière qui remontait jusqu'à une grande colline, du gibier bienvenue pour nous remettre daplomb. J'étais partis chasser un dernier gibier quand une de mes sandales se rompit. Je n'avais jamais pris à la légère les signes du destin aussi fus je troublé. Je pensais un moment que la guerre couvait à Sparte en mon absence. Si j'avais su les épreuves qui m'attendaient.
A mon retour j'entendis d'abord un écho lointain puis des cris. Non plutôt des gémissements. En retournant au camp j'eus une vision qui chassa les ombres de mon cur. La prêtresse nue s'était jetée à la petite rivière et avait invité les marins. Ceux ci s'étaient débarrassés de leurs vêtements et l'avaient rejointe. Que de joie et de rires ! Les uns après les autres, chacun pu contenter sa soif et celle de la mycénienne jusqu'à plus soif. Toute la nuit nous l'avons honoré de nos jouissances et de notre fluide viril. La nourriture et la bière étaient à foison, à peine l'un de nous avait il jouit qu'il mangeait pour reprendre des forces. Dans cet écrin magnifique la dureté de nos verges ne cessait jamais bien longtemps. Chacun put profiter plusieurs fois à loisir de sa bouche, de son fourreau ou de ses fesses. Sa poitrine nous donnait autant de plaisir que ses autres attraits et ne cessait de recevoir sa récompense. Elle était véritablement une prêtresse des temps anciens, dans le temple le plus simple, avec les adorateurs les plus simples, avec les plus belles offrandes.
Au petit jour cette mémorable fête s'est terminée sur une ultime jouissance collective qui nous acheva. Puis nous avons dormis pour reprendre notre route à midi, voguant vers Mycène où ensuite je rejoindrais Sparte. Inutile de dire que la prêtresse me prodigua une ultime fellation d'au revoir
Et à Sparte.
-Reviens donc mon bon roi. Ce qui est à toi, me reviens de droit.
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