Collection Histoire Courte. Le Flic (1/1)
- Inspecteur Colombin, bonjour madame.
Vous avez appelé pour un cambriolage.
- Oui, cest mon mari qui a cru bon de signaler ce quil prend pour un cambriolage.
Excusez ma tenue, je viens de me lever et je sortais de mon bain quand vous avez sonné.
- Aucun problème votre peignoir vous va à ravir.
- Merci du compliment.
Très appétissante la bourgeoise.
De 38 à 40 ans.
Environ lâge de ma femme quand elle sest tirée car je passais trop de nuits dehors à cause de mon travail surtout les planques durant des heures.
Elle a croisé son vêtement sur sa poitrine, mais je vois clairement quelle a des nibars fort intéressants.
Dommage que son mari soit si haut placé et important, je les aurais bien caressés.
- Pour le cambriolage, il se trompe.
- Non, sils sont entrés par la fenêtre comme il la dit au téléphone, mais sans rien emporter.
Regardez, Picasso et autres Chagall, Miro, sont tous là.
Si nous allons dans ma chambre, mon coffret à bijoux est toujours là et intact.
Cest la première chose que jai contrôlé quand nous sommes rentrés du restaurant.
Jai un camée étant dans ma famille depuis des générations, cest loin dêtre une pièce de valeur mais cest surtout sentimental.
Mon aïeul ayant perdu la tête à la révolution le portait avant quelle monte à léchafaud.
Regardez, là dans le couloir cest son portrait on le voit sur sa poitrine.
Mais dites-moi inspecteur, mon mari a appelé il y a deux jours et vous venez quaujourdhui ?
- Les jeunes flics, quand votre mari a appelé, cétait un nouveau qui a répondu.
Jétais en vacances, je suis rentré ce matin.
Jai regardé les PV édité pendant mon absence.
Quand jai vu le nom de votre mari, le PV placer dans le cassier des affaires à classer, jai su quil avait fait un imper et me voilà.
Votre mari est une personne quil faut traiter autrement que la façon dont ce jeune blanc bec a fait alors me voilà.
- Merci pour lui, mais ce jeune flic sans le savoir avait vu juste vous pouvez remettre ce PV, là où il était.
- Ça cest vous qui le dite, le flic cest moi.
Sans vouloir vous manquer de respect, puisque je suis là, pouvez-vous me conduire là où le ou les cambrioleurs sont entrés.
- Sans soucis, jallais vous le proposer, cest la fenêtre du salon.
Nous franchissons les quelques mètres du couloir vers la salle à manger où elle ma montré les tableaux de valeur et me guide vers le salon.
Pièce borgne, seule une fenêtre me permet de voir la lumière du jour.
- Permettez que jouvre la fenêtre, je veux voir par où il est arrivé.
- Nous attendions votre visite avant de faire venir les vitriers pour changer le carreau cassé pour quil puisse ouvrir.
Marc a mis un carton pour briser le froid, il a fait une erreur ?
- Non, il a bien fait par ce froid vous auriez gelé sur place sans cette protection.
Jai failli ajouter avec le peu que vous avez sur le dos.
En passant près delle pour entrer dans la salle à manger, je lai frôlé, mon regard est tombé sur ses seins, elle avait seulement son peignoir en soie lui arrivant à mi-cuisse.
Autant Véronique mon ex en avait des petits autant cette femme du monde en a qui doivent bien remplir la main.
Javais épousé une salope sétant tiré avec un Arabe quelle avait rencontré à son club de gym, alors que lorsque jétais jeune je regardais Paris Hollywood piquer à un copain qui lui-même lavait piqué à son père.
À lintérieur, je me pignolais sur les photos des plus gros seins.
En ce temps-là comme on dit, sous les partis floutées jignorais que les femmes cachaient leurs chattes ce que jai découvert plus tard.
Surtout quand jai vu ma sur uriner dans la forêt.
Nous faisions une balade, elle a eu envie de pisser.
Je faisais le guet car elle avait peur dêtre surprise par un passant.
Jai entendu du bruit comme un sifflement.
Une fraction de seconde jai tourné ma tête.
Laure était accroupie sa culotte sur ses pieds et cétait le bruit de lurine forçant ses grandes lèvres qui émettaient ce petit sifflement.
Cest ce jour que le floutage a disparu de mon cerveau.
Nous avions un sexe nous permettant duriner, elles avaient des chattes leur permettant den faire de même.
Je devais avoir 14 ans.
Cest plus tard avec Colette que jai su que ces sexes faisaient double emploi.
Fonction urinée et fonction baise pour mon plus grand plaisir.
Après Laure qui ma défloré, il y a eu Violette sa mère, eh oui, je fais partie de ces hommes qui ont eu le plaisir de baiser la fille puis la mère.
Qui était la plus salope ou la plus pute.
Chacune sa spécialité, la fille la levrette avec des sodomies, la mère les fellations.
Paris Hollywood, je le planquais sous mon matelas jusquau jour où ma mère a fait le ménage de printemps retournant mon matelas sur la face été.
Ça a été la mort du journal et une engueulade car jétais un pervers.
Ma mère était très vieille France.
Jouvre la fenêtre.
Nous sommes à langle de limmeuble.
Langle a des panneaux saillants permettant à une personne agile de descendre par là.
Quand je regarde de lautre côté les fenêtres donnant sur la façade c'est impossible à un homme ou une femme de monter ou de descendre.
Je fais bouger la fenêtre.
Au sol dans le soleil quelques éclats de verre se voient, bien quils aient ramassé les morceaux.
- Cest moi, javais peur que la bonne ne se coupe, jai mal fait ?
- Non, mais je minterroge, pour sortir, celui qui a cassé la vitre est bien passé par là.
Regardé sans trop vous pencher, on voit une trace de plastic sur le mur.
Il a glissé et faillit finir sur la chaussée.
Belle chute.
Il est sorti mais il a fait une erreur.
La vitre brisée.
Voilà comment il a fait, il a ouvert la fenêtre et il a dû se placer comme sil y entrait en brisant la vitre avec son coude pour se protéger.
Lerreur ce sont ces petites particules de verre, ils y en auraient au bord du mur alors que là ils sont plus loin.
Lhomme était déjà dans les lieux et a fait croire quil sortait.
- Commissaire.
- Inspecteur, seulement inspecteur.
Qui cétait votre amant, votre mari vous a surpris.
Vous mavez dit que vous rentriez du restaurant quand vous avez découvert leffraction et le bris de votre fenêtre du salon.
Vous avez réussi à faire sortir de chez vous votre époux qui vous a invité et pendant ce temps votre amant séchappait.
- Alors, jattends !
Je prends son bras le tenant sans lui faire mal.
- Javoue, javais rencontré un jeune homme fort beau de surcroit.
Pour la première fois, étant en manque, Marc étant parti depuis plus de huit jours, jai eu la faiblesse de lui offrir un dernier verre.
Commissaire.
Inutile de lui dire que je suis inspecteur.
Jai affaire à une salope qui se fait tringler par de jeunes mecs pendant labsence de son mari.
- Commissaire, je me suis laissée caresser dans lascenseur alors que dans ma tête je pensais à ce que jallais pouvoir lui offrir, à part le whisky de Marc où je savais où il le rangeait.
Il a été à la hauteur, nous avons baisé pendant un long moment.
Ces femmes, combien de maîtresses jai eu devenant intarissable quand elles parlent de leurs parties de jambes en lair.
Ma bourge rentre dans ce panel.
- Jai entendu le bruit des clefs dans la serrure alors que Benoît me prenait sur la table de la salle.
Regardez, javais les fesses sur ce coin.
Je lai fait entrer dans le petit placard servant de rangement dans cette salle.
Jai récupéré ma petite culotte que jai mise tout en poussant mes vêtements sous le canapé où il mavait déshabillé.
Le canapé, la table de la salle, javais raison une salope.
- Une question, votre mari vous trouvant en petite tenue après plusieurs jours dabsence, vous a-t-il sauté ?
- Commissaire, voyons mais oui, mon amant venait de décharger et cest dans son sperme quil a mis sa queue sur le même coin de table que lui.
- Je vois, je vais conclure mon enquête par un adultère ayant fait croire à un cambriolage.
- Au commissaire et si lon sarrangeait.
Mon mari est reparti pour une semaine au Canada avec un homme influant Marocain.
Elle se colle à moi, sa main se pose sur ma bite qui réagit.
Je fais glisser son peignoir.
La soie cest facile.
Nul besoin de lui appuyer sur les épaules, elle descend à létage inférieur ouvre ma braguette et sortant ma bite me fait une magnifique fellation.
Je suis à deux doigts de la comparer à Violette, mais le plaisir montant en moi, je lai prix dans mes bras.
Elle sest accrochée à moi comme si elle se noyait me serrant dans le dos par ses jambes musclées.
Cest dans le parc voisin quelle devait se les lever.
Je lai porté jusquà la table, juste à lendroit quelle mavait montré.
Je lai prise la faisant jouir rapidement.
Jai toujours fait jouir mes maîtresses surtout quand je mords ses seins comme des obus que cette femme ma dévoilés.
Cest marrant, cest la première fois que je baise une femme, surtout de la haute, sans savoir son nom.
- Ah, ah, ah.
Cest fait je décharge une de plus à mon tableau de chasse.
- Dis-moi commissaire on vient de baiser, javais envie de gueuler ton nom.
Quelle est ton petit nom.
- Robert.
- Jennifer, moi cest Jennifer.
- Merde lheure, jai un rapport à faire, tu as le numéro de portable de ton mari.
Il est préférable que je lappelle.
Disant cela, je me rajuste, jai baisé cette salope à poils et moi simplement avec ma queue sortie de mon pantalon.
Elle remet son peignoir le laissant ouvert.
Je vais pour ouvrir la porte palière, elle me met la main sur ma main.
- Dit, pour le cambriolage, tu arranges laffaire, surtout avec mon mari.
- Pas sur, il se peut que demain je doive encore faire quelques constatations si tu es libre Jennifer.
- Je serais toujours libre pour toi chaque fois que Marc sera en voyage.
Je te joindrais dès quil aura quitté les lieux.
Je quitte limmeuble, un bistrot a ouvert un bon café sera le bienvenu.
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