Le Fantasme De Ma Salope De Belle-Mère. (Suite 3)
Sophie ne pensait pas avoir besoin de fantasmes pour faire lamour avec ses partenaires. Elle était très belle, bien faites et très aguichante avec ses vêtements toujours choisis avec goût. Mais elle avait ses secrets aussi, javais appris dans une petite discussion érotique que nous avions pris lhabitude davoir, quelle aimerait essayer la double pénétration. Rien que dy penser, elle ne me fit pas changer davis à son sujet. Cétait bien une salope. Je vous avoue que jaimerais faire partie des deux chanceux qui prendraient possession de son corps. Elle mavait fait découvrir la fellation et la sodomie maintenant une partie à trois, cétait inespéré pour moi et mes vingt-deux ans.
Aujourdhui, cétait le grand jour, Sophie y pensait depuis des semaines, elle voulait que tout soit parfait. Elle avait demandé à Guillaume un de ses partenaire préféré, de passer directement chez elle à la sortie de son travail. Moi, étant en vacances, je devais venir, plus tôt afin que lon puisse ensemble, finir la mise au point du scénario. Javais donc tout mon temps car Lili, mon épouse, travaillait jusquà 17 heures et néanmoins ce nétait pas pour cela que je venais, jaimais surtout les parties de sexe avec « ma salope de belle-mère » par-dessus tout. Sophie me faisait tourner la tête, elle aussi aimait nos échanges, malgré lénorme différence dâge de plus de 20 ans.
Quand je poussai la porte de son appartement, elle maccueillit en membrassant goulument, nos langues se léchaient mutuellement, mon amour pour elle devenait une obsession, joubliais même que jétais marié depuis peu avec sa fille. Elle me rendait complètement fou. Elle avait deux culottes à la main et nen avait pas sur elle, je men suis rendu compte immédiatement car son teeshirt arrivait à son nombril. Elle avait pris son temps pour sépiler, laissant uniquement un petit triangle de poils pubiens. Elle me dit alors :
Laquelle je mets, la rouge ou la noire ?
Je la prends dans mes bras la serrant contre moi et je lui réponds à loreille :
Nen met pas, nous serons quitte de te lenlever.
Elle balança ses deux strings et me disant :
¬Tu as raison mon « Petit lapin ».
Toujours dans sa petite tenue très excitante, elle allait à droite et à gauche, ça me faisait de leffet dans le pantalon. Elle alla à la cuisine, sortit une tasse et me servit un café en attendant, elle était retournée à la salle de bain se préparer. Elle avait choisi une toute petite robe légère ravissante très courte que Guillaume lui avait offerte pour son 43 e anniversaire. Lorsquelle sétait présentée à moi, jétais, une nouvelle fois tombé en admiration, javais devant moi une reine, une déesse de lamour. Elle était tout simplement sublime et en pensant quelle navait rien dessous, cétait encore plus électrisant. Javais des difficultés à cacher mon excitation, mon pantalon était prêt à craquer tellement jétais à létroit.
Sophie me sentit mal à laise, elle vint vers moi me déposa un petit baiser sur les lèvres comme jaimais tant et me dit :
Ne reste pas ainsi, mets-toi à laise « mon petit lapin », je vois que tu bandes déjà.
Tu as raison Sophie, jai envie de te baiser Sophie.
Moi aussi « mon petit lapin »
Sophie nattendit pas longtemps, elle me demanda de me lever, elle déboucla ma ceinture, enleva mon bouton et descendit doucement la fermeture éclair. Aussitôt, ma bite séjecta et se mit à lhorizontale.
Ça promet ! Elle est si raide que jen ai moi aussi envie tout de suite.
Elle me refit massoir sur le fauteuil et en se positionnant à califourchon vint sempaler sur ce pieu qui lui pénétrait dans les entrailles. Elle montait et descendait à un rythme lent qui faisait de moi son esclave, jétais prisonnier de ses cuisses qui se crispaient au fur et à mesure de ses mouvements. Lorsquelle entendit mes râles, elle se releva et membrassa. Nous navions pas encore joui car nous voulions que ce moment dattente soit mémorable. Je lui caressais sa poitrine délicatement, en lui massant les seins sans les triturer, le bout de mes doigts passaient sur ses auréoles brunes en contournant les tétons qui se redressaient lentement, Sophie fermait les yeux, elle adorait ce massage.
Il faut que lon te prépare mon cur.
Oui « mon lapin » défonce-moi par-là, ta queue est plus grosse que celle de Guillaume, il aura tout le loisir de me prendre par-là plus tard.
Je pris un peu de vaseline sur mon index et le passais en lenfonçant légèrement sur sa petite rondelle qui se dilatait au fur et à mesure de ma caresse rectale, puis jenfonçai deux doigts en écartant le passage.
Elle était prête, elle se tourna et vint sassoir le dos tourné à moi et pris mon engin dans la main afin de le diriger vers le sens interdit. Elle descendait doucement son cul sur ma queue durcit. Mon large gland en premier, puis la hampe, elle remua ses fesses, ses va et vient saccéléraient, elle voulait se faire défoncer lanus tout de suite :
Allez mon lapin vient, enfonce-toi bien en profondeur lâche tout ce que tu as. Je jouis déjà mon petit chéri adoré. Ha...Oui... !
Une grande giclée de cyprine sortit de son vagin, elle criait encore lorsquelle sentit mon sperme coulé dans son rectum. Oui...Cest bon...
Viens mon lapin adoré, allons à la salle de bain nous préparer,
Guillaume nallait pas tarder. Nous nous sommes lavés mutuellement le sexe et la raie des fesses puis nous nous sommes rhabillés en attendant son copain. Sophie me resservit un café et me fit manger une banane après lavoir épluchée et léchée en mimant une fellation. Nous sommes restés plus dune demi-heure à attendre en discutant de son projet, elle avait hâte. Moi, je sentais quune érection serait encore largement possible car elle était assise à mes côtés et avait posé sa tête sur ma poitrine tout en me caressant et me tirant les poils du torse, pendant que je lui caressais ses cheveux soyeux en signe daffection :
Tu me rends dingue mon petit cur, je vais mourir dans tes bras si cela continue à ce rythme. Mais mourir en te baisant, ce serait une belle mort.
Ne dis pas nimporte quoi, tu me fous les chocottes.
Cétait fait, jétais rentré de plain-pied dans les mensonges en trompant ma femme avec sa mère, mais je ne pouvais pas men passer, jadorais son corps et son sexe et elle le savait. Je navais quune peur, cétait quelle se lasse de moi et quelle rompe notre relation, rien que dy penser, jen aurais pleuré. Sophie comprit que mes pensées nétaient pas gaies, elle se tourna vers moi et me déposa un nouveau petit baiser sur la bouche mais cette fois, elle sortit sa langue et força le passage entre mes lèvres. Notre baiser fut très sensuel, nos mains parcouraient nos corps dans le désordre. Elle était si gentille et si affectueuse cette femme. Très vite, en pensant à son fantasme, lérection commençait à revenir, je navais pas de doute, je serai prêt le moment venu. Elle voulut également voir leffet quelle avait fait sur mon sexe, elle me sourit en disant :
Tes un monstre damour « mon petit lapin » tu es pratiquement remonté entièrement.
Cest grâce à toi « mon cur », tu sais me faire du bien, je vais encore te défoncer le cul, nait aucune crainte.
Je métais installé sur le fauteuil, lorsque la sonnette retentit, Sophie toute joyeuse alla ouvrir à son chéri. La porte nétait pas encore fermée, quelle se plaqua à lui et lembrassa amoureusement, Guillaume avait posé ses mains sur ses hanches mais cela ne la satisfaisait pas entièrement, elle en voulait plus. Elle lui prit les mains et les posa sur ses fesses en se rapprochant encore un peu plus de lui. Elle se collait contre son bas ventre en remuant un son bassin, ce qui excita rapidement Guillaume qui ne mavait pas encore vu. Il lui triturait les deux globes charnus en attirant sa partenaire contre lui pour lui montrer quelle avait su le faire bander. Ils interrompirent leur baiser, elle le prit par la main et lemmena vers moi en me présentant :
Voilà mon gendre « Grégoire ».
Enchanté Monsieur dit-il surpris.
En effet, Guillaume pensait être seul avec Sophie, il pensait que son excitation navait servi à rien et quil ne la baiserait pas tant que jétais avec eux.
Ne tinquiète pas Guillaume, mon gendre veut apprendre et voir comment tu ty prends avec moi. Déshabille-toi et viens me lécher mon chéri. Donne-moi du plaisir avec ta langue rugueuse.
Il sexécuta et en trois temps, trois mouvements, il se retrouva sans pantalon. Pendant que je ne bougeais toujours pas et que jobservais la scène. Ils ne pensaient déjà plus à moi, la tête entre les jambes de Sophie, Guillaume léchait, aspirait, elle montait son bassin afin quil pénètre la langue entre les deux lèvres ouvertes et quil enfile un doigt ou deux, elle narrêtait pas de mouiller. Ce fut à cet instant que je métais levé pour lui caresser la poitrine en ressortant les beaux seins lourds, de son large décolleté. Je pinçais les tétons de plus en plus forts en les tortillant sur eux-mêmes. Elle ne put se retenir, et lâcha une giclée de cyprine sur la bouche de Guillaume qui recula son visage surpris de la puissance de sa jouissance, jamais il ne lavait vu dans cet état. Je métais positionné devant sa bouche, afin quelle me fasse bander un maximum avec une fellation quelle maitrisait parfaitement, elle avait fait le nécessaire, me recevant au plus profond de sa gorge, la bave dégoulinait de sa bouche lorsque je métais retiré, mon pénis navait plus besoin dêtre humidifié.
Je demandai à Sophie de sempaler sur le sexe bien tendu de Guillaume toujours assis sur le canapé. Il la pénétra et la labourait, elle se penchait bien en avant, la tête posée sur le haut du dossier du divan, en mettant ainsi son arrière train bien en évidence, tout en restant planté sur le sexe de Guillaume qui allait et venait. Elle mattendait mais ne savait pas quand ma verge rentrerait en action.
Encule-moi mon petit lapin, nattends plus, défonce-moi. Toi Guillaume continue, ne tarrête pas.
Guillaume ralentit le rythme pour ne pas éjaculer tout de suite. Ce fut cet instant que je choisis pour poser mon gland sur lanus encore fermé, Guillaume nen revenait pas, il ne pouvait pas intervenir, cette situation lexcita encore plus, il râlait son pénis coincé par les contractions du vagin de Sophie qui se sentait prise dans les deux trous. Les va et viens salternaient une fois le sexe de Guillaume, un fois ma longue queue quil ressentait à travers la mince cloison qui séparait le vagin au rectum.
Défoncez-moi mes amours, labourez-moi. Je suis votre salope. Faites-moi jouir, plus fort encore.
Guillaume éjacula en premier en poussant un grand râle, son sperme sécoulait sur ses cuisses. Ce fut à ce moment que Stéphanie hurlait :
Je viens Ouiiiiii... Cest trop bon. Vas-y mon lapin encule-moi encore.
Après encore quelques allers retours, je ne pouvais plus me retenir, je ressortis ma longue bite de son cul et métais remis devant son visage. Sophie ne voulait pas en perdre une seule goutte, elle ouvrit la bouche en grand recevant ainsi les longs traits blanchâtres de mon sperme qui remplissait sa bouche. Elle referma ses mâchoires et avala ce précieux liquide, quelle affectionnait tant.
Guillaume toujours en elle avait repris des forces, la situation avait redressé son pénis suffisamment, il sactivait de nouveau.
Oui Guillaume, baise-moi encore cest bon...
Lui aussi voulait se vider dans sa gorge. Il poussa sa fiancée pour se lever, se plaça devant elle et lui enfonça sa verge tout au fond de sa gorge en la prenant derrière la tête et en faisant des longs va et vient.
Il se retira, Sophie ne pouvait plus respirer, il se branla pour se finir, elle venait de tendre sa langue, avec un regard gourmand, afin quil ny ait pas de jaloux. Il posa sa verge sur sa langue et cracha son sperme quelle avala goulument. Nous étions tous les trois épuisés et comblés. Sophie vint vers nous et nous dit, après nous avoir tous les deux embrassé :
Cétait génial, je suis votre salope. Ça ta plu Guillaume ? La prochaine fois cest toi qui mencules, je ne tai jamais offert mon cul. Tu le mérites aujourdhui.
Tu baises avec ton gendre ? Tu métonneras toujours. Répondit Guillaume.
Ça tétonne tant ? « Ma salope de belle-mère » est insatiable. Finis-je par dire.
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