Terma 68 - Omar Le Rouquin (4) :

Quant ma femme, qui a découvert mes relations de sodomies avec Moussa et possédant plusieurs photos compromettantes, m’a convoqué pour qu’on discute de l’affaire, j’étais très inquiet. Elle m’a expliqué qu’elle était au courant depuis longtemps mais n’avait pas de preuves. Sur conseils d’un ami avocat, ils ont engagé un spécialiste qui a donc réussi à se procurer le double de la clé de la maison et de prendre plusieurs photos de moi et Moussa en pleines sodomies sur son lit. Alors, j’ai proposé le divorce mais elle a refusé pour éviter le scandale. Elle a préféré qu’on continue en famille, sans coucher ensemble dorénavant, bien sur, mais que je dois payer pour les avoir tous trompés, elle et sa famille et les s. Je dois, par écrit chez le notaire, lui céder la maison et une dette sous forme de rente d’au moins 36 mois pour elle et ses s. J’ai du tout accepter et j’étais même heureux que cela se soit terminé sans scandale. Et rien ne m’obligeait à cesser mes relations sexuelles avec Moussa et de continuer à donner du plaisir à ma Terma. La fréquentation de zobs n’a pas été, heureusement, discuté ni avec ma femme ni avec le notaire. Et c’est ainsi que nous avons allions vivre ensemble, chez moi, qui n’était plus ma propriété. Nous avons aménagés deux lits séparés dans la chambre et elle a été adroite pour jouer la comédie aux s et à nos parents. Seul Moussa savait ce qu’il en était, ainsi que l’agent qui nous a photographié, mais tenu par le secret professionnel.
J’avais à ce moment, 38 ans et mes relations sexuelles avec Moussa n’ont jamais cessé. Bien au contraire, j’ai décidé d’aller plus loin car je n’avais plus rien à cacher ni à perdre. Moussa avait trois amis, presque du même âge que lui, tous commerçants et assez discrets. Ils se réunissaient souvent dans son magasin, parfois, le soir pour régler leurs affaires (crédits,achats, importations). D’ailleurs, j’étais associé car ils importaient pour moi les vêtements féminins que je vendais.

On avait pris l’habitude de boire de la bière pendant nos réunions et cela nous obligeait à pisser souvent. Et un soir, alors que j’allais aux toilettes, il y avait, avant moi, Moussa qui secouait son gros zob, devant moi, pour le vider. J’ai sorti le mien et on rigolait un peu car Moussa dirigeait sa queue vers moi comme pour comparer nos deux bites. Soudain, son copain commerçant Hamid, poussé aussi par sa vessie, pénétra les toilettes et nous vit ainsi, sans être gênés. Alors, il sortit aussi son zob et en rigolant, il commença à pisser. On était tous les trois, trop proches, devant le bidet ouvert. Seulement, Moussa, ni tenant plus, ou exprès, me tapota le derrière sans se gêner et me caressa même la Terma, sous l’œil intéressé de son copain, puis, refermant sa braguette, il quitta les toilettes. Hamid qui avait trop bien saisi le message d’intimité entre Moussa et ma Terma, s’approchant de moi, et, tout en secouant son zob devant moi, imita son copain en posant sa main sur ma terma et me caressa de la même manière. Bien sur, j’aurais pu protester et reculer, comme toujours, mais c’est ma Terma qui me commande, alors je n’ai pas refusé ni reculé. Il me saisit la main et la posa sur son zob qui commençait à bander.
Nous avions fini de pisser, alors, il recula et se pointa derrière moi et en se collant à mon derrière. J’ai tout de suite ressenti son zob qui me piquait les fesses. Ensuite, comme mon pantalon était ouvert, il le glissa vers le bas ainsi que mon slip sur mes cuisses, découvrant ma Terma. Il allongea alors son zob entre mes fesses et me demanda d’écarter jambes et cuisses, et sans hésiter j’ai obéis. J’étais déjà largement excité, mon cul me démangeait comme à son habitude et j’attendais avec impatience le zob qui allait me défoncer. J’en bavais, de cette nouvelle grosse bite inconnue, autre de celle de Moussa, j’en avais envie, une grosse envie de sodomie, debout. Alors Hamid, l’opportuniste, ajouta ses doigts à son zob entre mes fesses, me frotta un peu avec les deux pour m’exciter, puis il m’ouvrit l’anus pendant qu’il me poussait à me pencher au maximum.
J’aidais à ouvrir mon anus dès que j’ai senti la tête de son zob me triturer le trou. Et, sans autre préparation, j’ai enfin obtenu toute sa queue qui s’était gonflée et durcie, et qui me pénétrait d’un violent coup de reins qui m’arracha un cri de plaisir. Puis elle s’enfonça dans ma Terma jusqu’au fond, jusqu’aux couilles qui frappèrent l’intérieur de mes cuisses et moi j’ai poussé un long gémissement rauque de jouissances.
J’étais excité car je savais que c’est un nouveau zob qui m’avait pénétré, le premier d’une longue série j’espère, autre que la queue de Moussa. J’allais pouvoir donner à ma Terma tous les plaisirs multiples et variés qu’elle désirerait. Alors, je me suis libéré totalement, de la tête et du cul, pour gouter le maximum et je remuais même de la Terma pour ressentir son zob dans mon intérieur. C’était fascinant et pendant plus de quinze minutes, il me sodomisa, en réalité il me niqua à sec avec son zob et enfin il gueula haut en éjaculant par trois fois dans mes entrailles. Il sortit son zob, me tapota le derrière et me dit que j’avais un cul chaud et profond comme il le aime, puis il se nettoya rapidement au lavabo et ferma sa braguette et sortit des toilettes. J’étais encore un peu surpris et excité, penché en avant et le cul en l’air. Puis je me suis assis sur le bidet pour vider mon cul et me nettoyer. Ensuite, je me suis relevé pour remonter mon slip et mon pantalon. Mais, à peine debout, et toujours nu par-dessous, je vois, avec surprise que le second copain de Moussa, nommé Tarik, qui pénétrait dans la salle de bain, braguette ouverte et le zob à la main, déjà en partie gonflé. Il me fit signe de le rejoindre et j’ai compris ce qu’il voulait. Ils se sont donné le mot et ce soir, ils veulent tous me passer dessus, en somme, me niquer les uns après les autres. Après tout, j’étais d’accord tout à l’heure, en pensée, d’accepter d’autres zob dans ma Terma pour le futur, alors, autant commencer tout de suite. Alors, laissant mes vêtements sur mes mollets, je me suis retourné et, penché contre le mur, avec cuisse largement écartées, je lui ai offert, à lui aussi, ma Terma et mon cul.
Lui, ce fut plus vite, c’était un rapide. En vitesse, sans préparation et sans un mot, mais avec quelques gémissements de plaisir, il poussa violemment, mais facilement, son zob dans mes entrailles et démarra ses vas et viens énergiques en s’accrochant à mes hanches. Et en effet, très rapidement, il arriva au top après seulement une dizaine de vas et viens. Il éjacula dans mon cul et s’essuya sur mes fesses et sans un mot, il sortit. Je me suis assis sur le bidet pour me vider rapidement car je savais que le troisième larron allait se pointer. Et effectivement, à peine Tarik sorti, il laissa la place à Aissa, le troisième commerçant qui entra, le zob à la main. Alors, sans me vider le cul, j’ai repris ma position penché contre le mur et le derrière offert à l’invité. Le gars, Aissa, plongea son zob dans ma Terma sans se formaliser du sperme qu’elle contenait et qui suintait entre mes fesses. Il me sodomisa avec énergie et aussi rapidement que ses amis et éjacula, me remplissant le cul de son jus, ajouté à celui de ses copains. J’ai tout de même constaté que parmi les quatre qui viennent de me niquer, seul ce dernier, Aissa, avait un gros zob, plus long et plus épais que les autres même mieux que le gros zob de Moussa. D’ailleurs, en me pénétrant, j’ai constaté son épaisseur qui m’ouvrait plus fortement l’anus et le cul. Sa sodomie, malgré le trop de sperme qui inondait ma Terma, a été la meilleure en plaisir et jouissances. C’était même la seule qui m’a fait beaucoup jouir et m’a fait gémir plus que les autres. Il le constata et m’a chuchoté à l’oreille, que son zob a aimé ma Terma et qu’il voulait encore en jouir. Je me suis retourné et j’ai vu son gros zob qui bandait encore. Je savais qu’il était puissant et qu’il avait de la resistance et qu’il pouvait niquer plus de deux ou trois fois de suite sans déjanter. J’en frissonnais de fantasmes dans ma tête et de jouissances dans ma Terma. Alors, sans hésiter, je lui ai fixé rendez vous pour le lendemain soir dans son magasin, en ville.
Ensuite, il est parti et je me suis bien vidé au bidet et nettoyé.
Puis, retournant à la réunion, on a rigolé tous ensemble et on a continué notre travail. Je savais que les prochaines réunions chez Moussa seront aussi chaudes et fructueuses que celle là, pour ma Terma. De toutes façons j’avais déjà péché l’un des quatre, Aïssa et demain soir, après une bonne séance de plusieurs sodomies, on va réfléchir à niquer à l’aise, ailleurs qu’au magasin.
Et c’est ainsi, que j’ai continué, malgré mon mariage et ma vie plus ou moins familiale, à satisfaire les besoins sexuels de ma Terma. Cela dura ainsi pendant encore 2 années, deux années de jouissances avec ces Moussa et ses trois copains et surtout avec Aissa au gros et puissant zob. Mais après, cela ne me satisfaisait pas entièrement, alors j’ai choisi de divorcer totalement. Puis, j’ai abandonné la famille, la femme, la maison et les s, mais j’ai gardé le magasin loué et j’ai continué à travailler mon métier pour vivre et envoyer le reste de la rente à ma femme.
J’ai loué, en douce, un petit studio et je me suis abonné à une pension pour mes besoins de nourriture et entretien de mes vêtements. Dans mon studio, assez loin de la pension, j’ai vécu pendant ces 5 dernières années, comme je le voulais.
Depuis mon divorce, j’ai coupé les ponts avec Moussa et ses amis et j’ai même changé de magasin. J’en ai loué un autre dans un autre quartier et je me suis fait de nouveaux amis et de nouveaux amants. Maintenant, je choisis des jeunes pour me sodomiser, et même parfois ce sont des mixtes. Je les laisse d’abord me remplir la Terma, une ou deux fois de suite, puis c’est mon zob qui pénètre leur cul où j’éjacule à ma convenance, nous sommes ainsi contents tous les deux. Évidemment, les sodomies de ma Terma sont plus prioritaires et plus nombreuses. Un jour, ma Terma a gouté le gros zob noir d’un homme de couleur et cela m’a enthousiasmé, vu sa longueur, son épaisseur, sa résistance et l’abondance de son sperme. Il m’a fait jouir par trois fois, une fois par derrière, classique, une seconde par devant, jambes et cuisses levées et écartées et la troisième fois, par derrière, dans la salle de bain, debout appuyé contre le mur. Chaque fois, il a éjaculé par trois à quatre fois, en abondance et restait gonflé après sa sortie de mon cul. Il m’a donné, en permanence du plaisir et ds jouissances continues. Mon corps et ma terma n’arrêtaient pas de frémir et de me donner des frissons agréables, délicieuses. J’étais tellement accroché que même une demi heure après nous être douchés, j’ai refusé de le laisser partir. Je l’ai invité à diner avec moi et j’ai réussi à le garder pour toute la nuit. Et, croyez moi, il m’a encore niqué par trois fois, deux en début de nuit, couchés dans mon lit comme mari et femme. Il m’a caressé et fait frissonner toutes les parties de mon corps et je l’ai sucé et embrassé partout. Et bien entendu, il a éjaculé les deux fois. Et le matin, à l’aube, juste avant de me lever, j’avais le corps encore chaud et détendu par le sommeil, il m’a couché sur le ventre et il est monté sur mon dos pour me réveiller la Terma, ensuite, m’obligeant à me soulever avec un coussin sous mon bas ventre, il m’a sailli avec douceur puis avec violence avec son gros zob gonflé et dur comme un pieu. Je gueulais à tu tête mais lui était calme mais n’arrêtait pas de me pilonner le cul par ses coups de reins violents. J’avais l’impression que son zob allait me trouer le ventre et sortir par devant tellement il me pénétrait profondément. Je savais que mon anus largement ouvert et mon cul coulait de son suc de désir, son zob glissait en avant et en arrière avec une aisance qui me faisait frissonner agréablement. Enfin, il éjacula pour la énième fois avec abondance son sperme brulant. Puis il est resté sur mon dos et dans mon cul un long moment et je ressentais sa chaleur sur moi et son bas ventre et ses poils me donnaient autant de plaisir. Quant il a fait le geste de se relever, je l’ai retenu par la voix et le bras et il est resté en moi. Encore un long moment de plaisir et de bonheur. Cette sodomie a été la meilleur de toute ma vie passée. Puis, il s’est levé et après s’être douché il est parti, sans oublier de me laisser son téléphone. Depuis ce jour, j’ai planifié souvent des amants de couleur et, même si je n’ai jamais atteint le degré de cette fameuse première nuit avec mon premier noir, j’ai toujours été satisfait avec leurs zob de couleur, gros, larges et longs, et leur résistance à sodomiser par trois et quatre fois de suite et éjaculer autant. Et depuis lors, dans la proportion de mes amants, ils sont les plus nombreux.
J’ai maintenant 45 ans et un corps et une Terma que mes amants disent, splendides, bandants et affolants et j’en suis fiers. Mes amants ont toujours été satisfaits et enchantés et me supplient de leur donner beaucoup plus de rendez vous, mais c’est moi qui choisit et qui décide.
J’ai même eu des aventures assez spéciales, et très fructueuses, comme une femme qu’on désire et qu’on entretient. Trois de mes amants, très fortunés et gros propriétaires, m’ont même offert pas mal de cadeaux et même proposé des biens immobiliers, mais j’ai refusé, car j’avais peur de trop me lier à eux par ces cadeaux et perdre ma liberté de choix pour ma Terma. Sauf, le cas de l’un d’eux, Si Tameur. C’était un de mes très riches amants, dont les sodomies étaient capables. Il avait un bon zob qui paraissait moins gros et moins long que d’autres, mais suffisant pour me faire jouir. Son zob avait une autre qualité, il était un résistant merveilleux, qui pouvait me sodomiser presque par trois fois de suite, sans qu’il ne se débande, et il restait gonflé et dur pour la suite. C’était cela qui m’avait fait garder cet amant dans ma liste de ceux que j’invitais parfois pour plusieurs soirées et nuits de plaisirs de suite. Si Tameur était aussi un propriétaire très riche. Il avait deux grandes entreprises de commerces divers, trois hôtels en ville, quatre maisons de locations en ville et en banlieue, et peut-être d’autres biens encore. Si Tameur, enchanté comme les autres, par ma Terma, et surtout les invitations de plusieurs soirées et nuits de plaisirs que je lui prodiguais, depuis six mois que je le connaissais, est devenu parmi ceux qui m’offraient des cadeaux. J’ai eu de lui, plusieurs habits, montre, bagues et appareils électroniques, comme avec les autres. Je ne gardais pas tous les cadeaux que m’offraient mes amants. Souvent, moi aussi, je les offrais en partie, à mes amants, quant ma Terma était satisfaite par leur zob, et même à ceux, mixtes, qui offraient leur cul à ma bite, après les plaisirs de mon cul. Donc, avec Si Tameur, ce fut ainsi qu’une fois, au milieu d’une deuxième nuit de suite, de beuveries et de plaisirs sexuels pleins à satiété de jouissances communes, il m’a proposé, comme cadeau, une des maisons qu’il possédait et louait, mais que j’ai refusé, lui proposant de m’aider seulement dans la location de mon studio. Comme il insistait pour m’offrir un logis entièrement à moi au lieu de ce studio que je louais pour mes plaisirs, il a décidé de m’en achète un qui sera donc entièrement ma propriété. et il accepta avec enthousiasme. Et nous avons scellé cet accord par une fin de nuit torride et bruyante de jouissances communes, par deux longues sodomies jusqu’à l’aube. Comme Si Tameur était un homme de parole, et rapide en affaires, dès le lendemain, avec mes papiers, ses multiples connaissances et son argent, il a réussi à m’obtenir et les papiers du notaire et les clefs de mon nouveau studio en banlieue. Il était plus vaste que celui que j’occupais. Dès le deuxième jour, Si Tameur a décidé de le faire équiper en totalité et trois jours plus tard, le studio était opérationnel. Tout était neuf, chambre à coucher et literie et drie, cuisine et salle de bain, salon et le reste. Il m’a interdit d’apporter quoique ce soit du studio que l’occupais, sauf, les quelques affaires personnelles, et encore, il voulait les renouveler, ce que j’ai refusé. Et le quatrième jour, je me suis installé. Et, comme prévu, nous y avons passé la soirée et la nuit en beuveries et en plaisirs et jouissances sexuels jusqu’à l’aube. Il a même décidé ensuite d’aller jeter rapidement quelques coups d’œils dans ses biens et affaires et revenir avant la nuit. Ce qui fut fait. Pendant la journée, je me suis fourni chez un préteur tout ce qu’il fallait en nourritures et boissons pour au moins trois jours et je l’ai attendu. Et vers 19h, il Si Tameur s’est pointé, fringuant et heureux comme un jeune marié le soir de ses noces, car dès son entrée, il m’a entrainé vers la chambre à coucher. Il nous a fallu moins de trois minutes, pour nous déshabiller, nous jeter sur le lit, moi couché sur le dos et les jambes et cuisses haut levés et largement écartés, et que son zob m’a pénétré par devant, sous mes couilles. Il s’est glissé dans mon cul en vitesses car j’étais moi aussi très excité et ma Terma assez moite de désir, à cause des projets de plaisirs libres que je faisais dans ma tête, dans mon propre studio. D’ailleurs, tout à l’heure, quant j’avais fini de ranger toutes le affaires et nourritures dans le frigo et les armoires, j’ai eu envie de me sentir réellement chez moi, alors je me suis déshabillé entièrement et j’ai dansé, totalement, dans toutes les pièces, puis entendu sur le lit, sur le dos puis sur le ventre, jambes et cuisses écartées, j’attendais les zobs de toutes tailles et couleurs pour ma Terma et ma bouche. Puis, pour attendre Si Tameur, j’ai préféré m’habiller légèrement, juste ma gandourah de nuit. Il s’en est aperçu après la sodomie et son éjaculation. Il a remarqué juste ma gandourah par terre et il m’a questionné. J’ai dit que je l’attendu ainsi, prêt pour son zob et si je n’avais pas un peu honte, je l’aurais attendu, totalement nu, les fesses en l’air. Il m’a regardé, les yeux arrondis et m’a enlacé et embrassé sur la bouche. Je lui ai demandé son zob et il s’est redressé sur ma poitrine, m’offrant son zob que j’ai englouti dans ma bouche. Il était toujours gonflé et brillant de son sperme. Je l’ai léché et sucé, nettoyé et branlé, je ne savais pas comment le remercier de son cadeau. Après tout, les sodomies qu’il me faisait, c’était une chose normal que j’avais avec lui et avec autres sans problème, sans condition spéciale, sans cadeau. Mais avec cet homme, il me fallait le remercier , lui donner tout mon corps et tous les plaisirs que je pouvais faire. Je l’ai pompé et quant il se sentais prêt, il m’a poussé à me retourner. J’avais compris et je me suis mis à genoux sur le lit. Il s’est pointé derrière et m’a pénétré avec puissance car dès que j’ai senti son zob contre mon anus, j’ai moi aussi poussé mon cul vers lui et c’est ainsi que sa pénétration a été commune et rapide jusqu’aux couilles et jusqu’à mes fonds. Ensuite, il a démarra sa série de vas et viens vigoureux et accélérés et moi, je dans dinais parfois du derrière pour mieux exciter son zob dans mon cul. Je voulais qu’il sente que je suis à sa disposition, entièrement, comme ou peut-être mieux que sa femme et que rien ne lui soit interdit avec moi. Il faut sortir de son fin fond le plaisir de ses couilles et de ses fantasmes. Et quant il a éjaculé pour le seconde fois, l’abondance de ses couilles ne m’a pas surprise du tout. Et ainsi, dans mon nouveau studio, j’ai passé mes trois premières soirées et nuits de joies et de plaisirs sexuels avec mon bienfaiteur Si Tameur. Par la suite, bien sur, chaque fois qu’il en avait envie, on y revenait pour une ou plusieurs nuits, à sa guise et quant il m’appelait assez tard l’après midi, j’annulais sans hésiter tout ce que je prévoyais ce jour là et les suivants, les réservant à Si Tameur et à son Zob, en réalité, je l’avoue, au plaisir aussi de ma Terma. Cet homme généreux m’a aussi attiré avec ses manières simples, directes mais aussi son zob dont j’ai déjà parlé de ses qualités.
Ainsi, devenu propriétaire, je préférais utiliser le studio que je louais pour mes amants divers et mes plaisirs sexuels et quant je voulais me reposer un peu, j’allais passer quelques heures ou quelques jours dans le studio que Si Tameur m’avait acheté. Parfois, mon bienfaiteur venait passer, avec moi, des nuits entières d’orgies en alcool et en sodomies de ma Terma. Par la suite, j’ai découvert que Si Tameur, d’une façon générale, aimait les Terma, pas seulement la mienne. Alors, je suis devenu son complice. Quant il avait quelqu’un à sodomiser, généralement c’étaient des jeunes entre 20 et 30 ans, beaux, blonds de préférence, imberbes dans tout le corps, avec une belle Terma et affamés et insatiable de zob, il l’amenait chez moi pour le sodomiser. Il m’avait demandé cela une fois et j’ai accepté avec plaisir, avec la condition d’assister parfois à leurs séances, cela l’a enchanté. Je vous disais que Si Tameur était un bon vivant, amateur complet des plaisirs de Terma, même multiple. Il me demandait donc d’assister pour l’aider à régler les détails et parfois à participer aux ébats si ça me plaisait, où si ça lui plaisir. Alors, on passait une ou plusieurs nuits chaudes à trois, dans le même grand lit. J’adorais ce genre de nuit à trois où mon ami caressait nos deux Terma, la mienne et celle de son invité, puis choisissait celle à niquer. Je jouais la comédie en lui permettant de finir ses caresses et son choix, en sodomisant l’autre jeune et laisser ma Terma pour plus tard, si nécessaire. Et souvent, lorsque Si Tameur partait le matin, laissant le jeune endormi, c’est moi qui plongeait sur la jeune Terma pour contenter mon zob, puis je le réveillais et le renvoyais rapidement. Je savais aussi que Si Tameur avait plusieurs amantes, des femmes parfois même mariées, mais il n’a jamais osé en amener une dans mon studio ou même m’en in,former. C’est un amant mixte commun avec Si Tameur qui m’a donné les informations et même proposé des noms si je voulais en baiser quelques unes. Depuis que j’ai divorcé et pris et gouté ma totale liberté sexuelle, ce genre ne m’excitait plus.
Durant ces années de liberté sexuelle, mon corps s’est encore épanoui, car je l’entretenais, surtout mon derrière et ma Terma. Je faisais attention à éviter les bourrelets de graisse et les varices en faisant beaucoup de marches et de massages. D’ailleurs, c’était l’un de mes amants, encore un homme de couleur, spécialiste et propriétaire d’un salon de massages qui s’occupait de mon corps. On fait d’abord une longue et totale séance de massages. Puis, on passait au plaisir. Il me disait que c’était un complément important aux massages, et j’étais toujours prenant pour ces plaisirs. Alors, avec ce gros et large zob noir aux nerfs gonflés, qui m’impressionnait , il me sodomisait une ou deux fois, souvent de suite. Puis c’était la douche chaude et frictionnée avec du gel. Mais souvent, sous cette douche, il se passe aussi des attouchements coupables entre son gros zob et ma large Terma blanche et la troisième sodomie n’était pas loin et il me disait que c’était indispensable pour calmer mon corps, et il avait raison. Mais cela nous obligeait à nous redoucher ensuite, mais je prenais le soin de le faire, chacun de son coté, sinon…. En tous cas, chaque fois que je reviens de chez lui, mon corps est apaisé de toutes parts. Ensuite, je passe au studio pour un somme de 12 à 20 heures de suite, suivi d’une seconde douche. Après cela, je vais à la chasse des gros zobs, car je suis frais pour n’importe quel nombre de sodomies continues.
Cette vie me plait énormément et comme je peux souvent aller visiter mes s, devenus grands et étudiants et qui vivent avec mes parents, je suis comblé. J’ai toujours évité mon ancienne femme qui s’est remariée et vit dans une autre ville avec mari et deux s. Un jour, par hasard, j’ai rencontré Moussa, mon premier amant, on a discuté de tout et de rien comme de vieux mais sans évoquer nos anciennes relations. Il semblait vieux et loin de ces choses là maintenant, tant mieux. Puis, d’autres fois, j’ai rencontré mes anciens collègues et amants, mais je leur ai fait comprendre, par mon attitude et mes paroles que jeunesse était passée et que maintenant, nous sommes âgés et loin de ces anciennes pratiques. Il me semblait qu’ils avaient compris et accepté, qu’ils avaient eux aussi rompu avec le passé et nous sommes restés seulement copains.Moi, en tous cas, dans mon nouvel univers, les choix et les joies étaient multiples et nettement plus jouissifs que par le passé et je continuais à faire plaisir à ma Terma presque quotidiennement dans mon ancien studio. Par contre, mon nouveau studio, je l’utilisais seulement soit pour me reposer seul, soit parfois avec et pour Si Tameur qui adorait toujours ma Terma et nos nuits de plaisirs et qui, parfois amenait ses jeunes amis qu’il sodomisait la nuit puis me les passait à l’aube. Je prenais alors, une taxe au bénéfice de mon zob sur leur Terma avant de les renvoyer. Et c’est ainsi que je comptais continuer, aussi longtemps que possible, cette belle vie de liberté et de plaisirs sexuels.

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