Terma 68 - Omar Le Rouquin (4) :
Quant ma femme, qui a découvert mes relations de sodomies avec Moussa et possédant plusieurs photos compromettantes, ma convoqué pour quon discute de laffaire, jétais très inquiet. Elle ma expliqué quelle était au courant depuis longtemps mais navait pas de preuves. Sur conseils dun ami avocat, ils ont engagé un spécialiste qui a donc réussi à se procurer le double de la clé de la maison et de prendre plusieurs photos de moi et Moussa en pleines sodomies sur son lit. Alors, jai proposé le divorce mais elle a refusé pour éviter le scandale. Elle a préféré quon continue en famille, sans coucher ensemble dorénavant, bien sur, mais que je dois payer pour les avoir tous trompés, elle et sa famille et les s. Je dois, par écrit chez le notaire, lui céder la maison et une dette sous forme de rente dau moins 36 mois pour elle et ses s. Jai du tout accepter et jétais même heureux que cela se soit terminé sans scandale. Et rien ne mobligeait à cesser mes relations sexuelles avec Moussa et de continuer à donner du plaisir à ma Terma. La fréquentation de zobs na pas été, heureusement, discuté ni avec ma femme ni avec le notaire. Et cest ainsi que nous avons allions vivre ensemble, chez moi, qui nétait plus ma propriété. Nous avons aménagés deux lits séparés dans la chambre et elle a été adroite pour jouer la comédie aux s et à nos parents. Seul Moussa savait ce quil en était, ainsi que lagent qui nous a photographié, mais tenu par le secret professionnel.
Javais à ce moment, 38 ans et mes relations sexuelles avec Moussa nont jamais cessé. Bien au contraire, jai décidé daller plus loin car je navais plus rien à cacher ni à perdre. Moussa avait trois amis, presque du même âge que lui, tous commerçants et assez discrets. Ils se réunissaient souvent dans son magasin, parfois, le soir pour régler leurs affaires (crédits,achats, importations). Dailleurs, jétais associé car ils importaient pour moi les vêtements féminins que je vendais.
Nous avions fini de pisser, alors, il recula et se pointa derrière moi et en se collant à mon derrière. Jai tout de suite ressenti son zob qui me piquait les fesses. Ensuite, comme mon pantalon était ouvert, il le glissa vers le bas ainsi que mon slip sur mes cuisses, découvrant ma Terma. Il allongea alors son zob entre mes fesses et me demanda décarter jambes et cuisses, et sans hésiter jai obéis. Jétais déjà largement excité, mon cul me démangeait comme à son habitude et jattendais avec impatience le zob qui allait me défoncer. Jen bavais, de cette nouvelle grosse bite inconnue, autre de celle de Moussa, jen avais envie, une grosse envie de sodomie, debout. Alors Hamid, lopportuniste, ajouta ses doigts à son zob entre mes fesses, me frotta un peu avec les deux pour mexciter, puis il mouvrit lanus pendant quil me poussait à me pencher au maximum.
Jétais excité car je savais que cest un nouveau zob qui mavait pénétré, le premier dune longue série jespère, autre que la queue de Moussa. Jallais pouvoir donner à ma Terma tous les plaisirs multiples et variés quelle désirerait. Alors, je me suis libéré totalement, de la tête et du cul, pour gouter le maximum et je remuais même de la Terma pour ressentir son zob dans mon intérieur. Cétait fascinant et pendant plus de quinze minutes, il me sodomisa, en réalité il me niqua à sec avec son zob et enfin il gueula haut en éjaculant par trois fois dans mes entrailles. Il sortit son zob, me tapota le derrière et me dit que javais un cul chaud et profond comme il le aime, puis il se nettoya rapidement au lavabo et ferma sa braguette et sortit des toilettes. Jétais encore un peu surpris et excité, penché en avant et le cul en lair. Puis je me suis assis sur le bidet pour vider mon cul et me nettoyer. Ensuite, je me suis relevé pour remonter mon slip et mon pantalon. Mais, à peine debout, et toujours nu par-dessous, je vois, avec surprise que le second copain de Moussa, nommé Tarik, qui pénétrait dans la salle de bain, braguette ouverte et le zob à la main, déjà en partie gonflé. Il me fit signe de le rejoindre et jai compris ce quil voulait. Ils se sont donné le mot et ce soir, ils veulent tous me passer dessus, en somme, me niquer les uns après les autres. Après tout, jétais daccord tout à lheure, en pensée, daccepter dautres zob dans ma Terma pour le futur, alors, autant commencer tout de suite. Alors, laissant mes vêtements sur mes mollets, je me suis retourné et, penché contre le mur, avec cuisse largement écartées, je lui ai offert, à lui aussi, ma Terma et mon cul.
Puis, retournant à la réunion, on a rigolé tous ensemble et on a continué notre travail. Je savais que les prochaines réunions chez Moussa seront aussi chaudes et fructueuses que celle là, pour ma Terma. De toutes façons javais déjà péché lun des quatre, Aïssa et demain soir, après une bonne séance de plusieurs sodomies, on va réfléchir à niquer à laise, ailleurs quau magasin.
Et cest ainsi, que jai continué, malgré mon mariage et ma vie plus ou moins familiale, à satisfaire les besoins sexuels de ma Terma. Cela dura ainsi pendant encore 2 années, deux années de jouissances avec ces Moussa et ses trois copains et surtout avec Aissa au gros et puissant zob. Mais après, cela ne me satisfaisait pas entièrement, alors jai choisi de divorcer totalement. Puis, jai abandonné la famille, la femme, la maison et les s, mais jai gardé le magasin loué et jai continué à travailler mon métier pour vivre et envoyer le reste de la rente à ma femme.
Jai loué, en douce, un petit studio et je me suis abonné à une pension pour mes besoins de nourriture et entretien de mes vêtements. Dans mon studio, assez loin de la pension, jai vécu pendant ces 5 dernières années, comme je le voulais.
Depuis mon divorce, jai coupé les ponts avec Moussa et ses amis et jai même changé de magasin. Jen ai loué un autre dans un autre quartier et je me suis fait de nouveaux amis et de nouveaux amants. Maintenant, je choisis des jeunes pour me sodomiser, et même parfois ce sont des mixtes. Je les laisse dabord me remplir la Terma, une ou deux fois de suite, puis cest mon zob qui pénètre leur cul où jéjacule à ma convenance, nous sommes ainsi contents tous les deux. Évidemment, les sodomies de ma Terma sont plus prioritaires et plus nombreuses. Un jour, ma Terma a gouté le gros zob noir dun homme de couleur et cela ma enthousiasmé, vu sa longueur, son épaisseur, sa résistance et labondance de son sperme. Il ma fait jouir par trois fois, une fois par derrière, classique, une seconde par devant, jambes et cuisses levées et écartées et la troisième fois, par derrière, dans la salle de bain, debout appuyé contre le mur. Chaque fois, il a éjaculé par trois à quatre fois, en abondance et restait gonflé après sa sortie de mon cul. Il ma donné, en permanence du plaisir et ds jouissances continues. Mon corps et ma terma narrêtaient pas de frémir et de me donner des frissons agréables, délicieuses. Jétais tellement accroché que même une demi heure après nous être douchés, jai refusé de le laisser partir. Je lai invité à diner avec moi et jai réussi à le garder pour toute la nuit. Et, croyez moi, il ma encore niqué par trois fois, deux en début de nuit, couchés dans mon lit comme mari et femme. Il ma caressé et fait frissonner toutes les parties de mon corps et je lai sucé et embrassé partout. Et bien entendu, il a éjaculé les deux fois. Et le matin, à laube, juste avant de me lever, javais le corps encore chaud et détendu par le sommeil, il ma couché sur le ventre et il est monté sur mon dos pour me réveiller la Terma, ensuite, mobligeant à me soulever avec un coussin sous mon bas ventre, il ma sailli avec douceur puis avec violence avec son gros zob gonflé et dur comme un pieu. Je gueulais à tu tête mais lui était calme mais narrêtait pas de me pilonner le cul par ses coups de reins violents. Javais limpression que son zob allait me trouer le ventre et sortir par devant tellement il me pénétrait profondément. Je savais que mon anus largement ouvert et mon cul coulait de son suc de désir, son zob glissait en avant et en arrière avec une aisance qui me faisait frissonner agréablement. Enfin, il éjacula pour la énième fois avec abondance son sperme brulant. Puis il est resté sur mon dos et dans mon cul un long moment et je ressentais sa chaleur sur moi et son bas ventre et ses poils me donnaient autant de plaisir. Quant il a fait le geste de se relever, je lai retenu par la voix et le bras et il est resté en moi. Encore un long moment de plaisir et de bonheur. Cette sodomie a été la meilleur de toute ma vie passée. Puis, il sest levé et après sêtre douché il est parti, sans oublier de me laisser son téléphone. Depuis ce jour, jai planifié souvent des amants de couleur et, même si je nai jamais atteint le degré de cette fameuse première nuit avec mon premier noir, jai toujours été satisfait avec leurs zob de couleur, gros, larges et longs, et leur résistance à sodomiser par trois et quatre fois de suite et éjaculer autant. Et depuis lors, dans la proportion de mes amants, ils sont les plus nombreux.
Jai maintenant 45 ans et un corps et une Terma que mes amants disent, splendides, bandants et affolants et jen suis fiers. Mes amants ont toujours été satisfaits et enchantés et me supplient de leur donner beaucoup plus de rendez vous, mais cest moi qui choisit et qui décide.
Jai même eu des aventures assez spéciales, et très fructueuses, comme une femme quon désire et quon entretient. Trois de mes amants, très fortunés et gros propriétaires, mont même offert pas mal de cadeaux et même proposé des biens immobiliers, mais jai refusé, car javais peur de trop me lier à eux par ces cadeaux et perdre ma liberté de choix pour ma Terma. Sauf, le cas de lun deux, Si Tameur. Cétait un de mes très riches amants, dont les sodomies étaient capables. Il avait un bon zob qui paraissait moins gros et moins long que dautres, mais suffisant pour me faire jouir. Son zob avait une autre qualité, il était un résistant merveilleux, qui pouvait me sodomiser presque par trois fois de suite, sans quil ne se débande, et il restait gonflé et dur pour la suite. Cétait cela qui mavait fait garder cet amant dans ma liste de ceux que jinvitais parfois pour plusieurs soirées et nuits de plaisirs de suite. Si Tameur était aussi un propriétaire très riche. Il avait deux grandes entreprises de commerces divers, trois hôtels en ville, quatre maisons de locations en ville et en banlieue, et peut-être dautres biens encore. Si Tameur, enchanté comme les autres, par ma Terma, et surtout les invitations de plusieurs soirées et nuits de plaisirs que je lui prodiguais, depuis six mois que je le connaissais, est devenu parmi ceux qui moffraient des cadeaux. Jai eu de lui, plusieurs habits, montre, bagues et appareils électroniques, comme avec les autres. Je ne gardais pas tous les cadeaux que moffraient mes amants. Souvent, moi aussi, je les offrais en partie, à mes amants, quant ma Terma était satisfaite par leur zob, et même à ceux, mixtes, qui offraient leur cul à ma bite, après les plaisirs de mon cul. Donc, avec Si Tameur, ce fut ainsi quune fois, au milieu dune deuxième nuit de suite, de beuveries et de plaisirs sexuels pleins à satiété de jouissances communes, il ma proposé, comme cadeau, une des maisons quil possédait et louait, mais que jai refusé, lui proposant de maider seulement dans la location de mon studio. Comme il insistait pour moffrir un logis entièrement à moi au lieu de ce studio que je louais pour mes plaisirs, il a décidé de men achète un qui sera donc entièrement ma propriété. et il accepta avec enthousiasme. Et nous avons scellé cet accord par une fin de nuit torride et bruyante de jouissances communes, par deux longues sodomies jusquà laube. Comme Si Tameur était un homme de parole, et rapide en affaires, dès le lendemain, avec mes papiers, ses multiples connaissances et son argent, il a réussi à mobtenir et les papiers du notaire et les clefs de mon nouveau studio en banlieue. Il était plus vaste que celui que joccupais. Dès le deuxième jour, Si Tameur a décidé de le faire équiper en totalité et trois jours plus tard, le studio était opérationnel. Tout était neuf, chambre à coucher et literie et drie, cuisine et salle de bain, salon et le reste. Il ma interdit dapporter quoique ce soit du studio que loccupais, sauf, les quelques affaires personnelles, et encore, il voulait les renouveler, ce que jai refusé. Et le quatrième jour, je me suis installé. Et, comme prévu, nous y avons passé la soirée et la nuit en beuveries et en plaisirs et jouissances sexuels jusquà laube. Il a même décidé ensuite daller jeter rapidement quelques coups dils dans ses biens et affaires et revenir avant la nuit. Ce qui fut fait. Pendant la journée, je me suis fourni chez un préteur tout ce quil fallait en nourritures et boissons pour au moins trois jours et je lai attendu. Et vers 19h, il Si Tameur sest pointé, fringuant et heureux comme un jeune marié le soir de ses noces, car dès son entrée, il ma entrainé vers la chambre à coucher. Il nous a fallu moins de trois minutes, pour nous déshabiller, nous jeter sur le lit, moi couché sur le dos et les jambes et cuisses haut levés et largement écartés, et que son zob ma pénétré par devant, sous mes couilles. Il sest glissé dans mon cul en vitesses car jétais moi aussi très excité et ma Terma assez moite de désir, à cause des projets de plaisirs libres que je faisais dans ma tête, dans mon propre studio. Dailleurs, tout à lheure, quant javais fini de ranger toutes le affaires et nourritures dans le frigo et les armoires, jai eu envie de me sentir réellement chez moi, alors je me suis déshabillé entièrement et jai dansé, totalement, dans toutes les pièces, puis entendu sur le lit, sur le dos puis sur le ventre, jambes et cuisses écartées, jattendais les zobs de toutes tailles et couleurs pour ma Terma et ma bouche. Puis, pour attendre Si Tameur, jai préféré mhabiller légèrement, juste ma gandourah de nuit. Il sen est aperçu après la sodomie et son éjaculation. Il a remarqué juste ma gandourah par terre et il ma questionné. Jai dit que je lattendu ainsi, prêt pour son zob et si je navais pas un peu honte, je laurais attendu, totalement nu, les fesses en lair. Il ma regardé, les yeux arrondis et ma enlacé et embrassé sur la bouche. Je lui ai demandé son zob et il sest redressé sur ma poitrine, moffrant son zob que jai englouti dans ma bouche. Il était toujours gonflé et brillant de son sperme. Je lai léché et sucé, nettoyé et branlé, je ne savais pas comment le remercier de son cadeau. Après tout, les sodomies quil me faisait, cétait une chose normal que javais avec lui et avec autres sans problème, sans condition spéciale, sans cadeau. Mais avec cet homme, il me fallait le remercier , lui donner tout mon corps et tous les plaisirs que je pouvais faire. Je lai pompé et quant il se sentais prêt, il ma poussé à me retourner. Javais compris et je me suis mis à genoux sur le lit. Il sest pointé derrière et ma pénétré avec puissance car dès que jai senti son zob contre mon anus, jai moi aussi poussé mon cul vers lui et cest ainsi que sa pénétration a été commune et rapide jusquaux couilles et jusquà mes fonds. Ensuite, il a démarra sa série de vas et viens vigoureux et accélérés et moi, je dans dinais parfois du derrière pour mieux exciter son zob dans mon cul. Je voulais quil sente que je suis à sa disposition, entièrement, comme ou peut-être mieux que sa femme et que rien ne lui soit interdit avec moi. Il faut sortir de son fin fond le plaisir de ses couilles et de ses fantasmes. Et quant il a éjaculé pour le seconde fois, labondance de ses couilles ne ma pas surprise du tout. Et ainsi, dans mon nouveau studio, jai passé mes trois premières soirées et nuits de joies et de plaisirs sexuels avec mon bienfaiteur Si Tameur. Par la suite, bien sur, chaque fois quil en avait envie, on y revenait pour une ou plusieurs nuits, à sa guise et quant il mappelait assez tard laprès midi, jannulais sans hésiter tout ce que je prévoyais ce jour là et les suivants, les réservant à Si Tameur et à son Zob, en réalité, je lavoue, au plaisir aussi de ma Terma. Cet homme généreux ma aussi attiré avec ses manières simples, directes mais aussi son zob dont jai déjà parlé de ses qualités.
Ainsi, devenu propriétaire, je préférais utiliser le studio que je louais pour mes amants divers et mes plaisirs sexuels et quant je voulais me reposer un peu, jallais passer quelques heures ou quelques jours dans le studio que Si Tameur mavait acheté. Parfois, mon bienfaiteur venait passer, avec moi, des nuits entières dorgies en alcool et en sodomies de ma Terma. Par la suite, jai découvert que Si Tameur, dune façon générale, aimait les Terma, pas seulement la mienne. Alors, je suis devenu son complice. Quant il avait quelquun à sodomiser, généralement cétaient des jeunes entre 20 et 30 ans, beaux, blonds de préférence, imberbes dans tout le corps, avec une belle Terma et affamés et insatiable de zob, il lamenait chez moi pour le sodomiser. Il mavait demandé cela une fois et jai accepté avec plaisir, avec la condition dassister parfois à leurs séances, cela la enchanté. Je vous disais que Si Tameur était un bon vivant, amateur complet des plaisirs de Terma, même multiple. Il me demandait donc dassister pour laider à régler les détails et parfois à participer aux ébats si ça me plaisait, où si ça lui plaisir. Alors, on passait une ou plusieurs nuits chaudes à trois, dans le même grand lit. Jadorais ce genre de nuit à trois où mon ami caressait nos deux Terma, la mienne et celle de son invité, puis choisissait celle à niquer. Je jouais la comédie en lui permettant de finir ses caresses et son choix, en sodomisant lautre jeune et laisser ma Terma pour plus tard, si nécessaire. Et souvent, lorsque Si Tameur partait le matin, laissant le jeune endormi, cest moi qui plongeait sur la jeune Terma pour contenter mon zob, puis je le réveillais et le renvoyais rapidement. Je savais aussi que Si Tameur avait plusieurs amantes, des femmes parfois même mariées, mais il na jamais osé en amener une dans mon studio ou même men in,former. Cest un amant mixte commun avec Si Tameur qui ma donné les informations et même proposé des noms si je voulais en baiser quelques unes. Depuis que jai divorcé et pris et gouté ma totale liberté sexuelle, ce genre ne mexcitait plus.
Durant ces années de liberté sexuelle, mon corps sest encore épanoui, car je lentretenais, surtout mon derrière et ma Terma. Je faisais attention à éviter les bourrelets de graisse et les varices en faisant beaucoup de marches et de massages. Dailleurs, cétait lun de mes amants, encore un homme de couleur, spécialiste et propriétaire dun salon de massages qui soccupait de mon corps. On fait dabord une longue et totale séance de massages. Puis, on passait au plaisir. Il me disait que cétait un complément important aux massages, et jétais toujours prenant pour ces plaisirs. Alors, avec ce gros et large zob noir aux nerfs gonflés, qui mimpressionnait , il me sodomisait une ou deux fois, souvent de suite. Puis cétait la douche chaude et frictionnée avec du gel. Mais souvent, sous cette douche, il se passe aussi des attouchements coupables entre son gros zob et ma large Terma blanche et la troisième sodomie nétait pas loin et il me disait que cétait indispensable pour calmer mon corps, et il avait raison. Mais cela nous obligeait à nous redoucher ensuite, mais je prenais le soin de le faire, chacun de son coté, sinon
. En tous cas, chaque fois que je reviens de chez lui, mon corps est apaisé de toutes parts. Ensuite, je passe au studio pour un somme de 12 à 20 heures de suite, suivi dune seconde douche. Après cela, je vais à la chasse des gros zobs, car je suis frais pour nimporte quel nombre de sodomies continues.
Cette vie me plait énormément et comme je peux souvent aller visiter mes s, devenus grands et étudiants et qui vivent avec mes parents, je suis comblé. Jai toujours évité mon ancienne femme qui sest remariée et vit dans une autre ville avec mari et deux s. Un jour, par hasard, jai rencontré Moussa, mon premier amant, on a discuté de tout et de rien comme de vieux mais sans évoquer nos anciennes relations. Il semblait vieux et loin de ces choses là maintenant, tant mieux. Puis, dautres fois, jai rencontré mes anciens collègues et amants, mais je leur ai fait comprendre, par mon attitude et mes paroles que jeunesse était passée et que maintenant, nous sommes âgés et loin de ces anciennes pratiques. Il me semblait quils avaient compris et accepté, quils avaient eux aussi rompu avec le passé et nous sommes restés seulement copains.Moi, en tous cas, dans mon nouvel univers, les choix et les joies étaient multiples et nettement plus jouissifs que par le passé et je continuais à faire plaisir à ma Terma presque quotidiennement dans mon ancien studio. Par contre, mon nouveau studio, je lutilisais seulement soit pour me reposer seul, soit parfois avec et pour Si Tameur qui adorait toujours ma Terma et nos nuits de plaisirs et qui, parfois amenait ses jeunes amis quil sodomisait la nuit puis me les passait à laube. Je prenais alors, une taxe au bénéfice de mon zob sur leur Terma avant de les renvoyer. Et cest ainsi que je comptais continuer, aussi longtemps que possible, cette belle vie de liberté et de plaisirs sexuels.
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