Ashley - 4 Ashley Se Transforme.
Pearl est restée au même endroit, les mains croisées et les yeux baissés. Elle est belle : beaux seins, beau cul, longues cuisses, chatte épilée. Alan la rappelle à lordre :
Demande à Mademoiselle Ashley ce quelle veut.
Elle se lève vient aussitôt sincliner devant moi, en disant :
Que désirez-vous, Mademoiselle ?
Des ufs au bacon, du pain, du beurre et du café.
Certainement Mademoiselle, je vais tout préparer.
Elle entre dans la maison. Je dis aux autres :
Je ne sais pas sil y a tout ça...
Wendy, la plus jeune des femmes, répond :
Sil manque quelque chose, elle sera punie.
Oh, putain ! Une esclave quon peut punir sans raison, je trouve ça... trop injuste. Mais en même temps, cest très troublant. Alan me dit :
Tu as le droit de la punir et même de la fouetter, mais on ne laisse pas de marques qui durent longtemps ni de blessures. Cest contre-productif et puis je veux pouvoir la revendre un bon prix, si jai besoin dargent.
Puis il explique aux trois autres, à mon sujet :
Ruby et Enzo trouvent quelle est spécialement belle.
Il se tourne vers moi en disant :
Déshabille-toi, quils puissent juger.
Je ne demande pas mieux, je suis la seule habillée ici avec le jeune homme. Linstant daprès, je suis toute nue, tournant sur moi-même.
Ils me font tous des compliments, trop belle, sublime....
À ce moment-là, Pearl arrive avec un plateau. Elle attend quon lui dise quelque chose. Ce nest sans doute pas ce quelle devrait faire, parce quEmily lui dit sèchement :
Pose ça sur la table, espèce de gourde !
Oui, pardon Madame.
Elle dépose le plateau. Il y a du café et deux ufs, ce qui est conforme à ce que jai demandé, mais avec ça, seulement des beignets et des biscuits. Je massieds à la table. Pearl vient se mettre à genoux à côté de moi, en disant :
Pardon pour le pain et le bacon, Mademoiselle Ashley.
Elle se baisse et embrasse mes chevilles. Jadore... Alan me dit :
Si tu veux, tu peux lenvoyer chercher le fouet pour la punir.
Même si jai vraiment envie de... sentir ce que ça fait, jattendrai quelle ait fait une véritable bêtise pour la punir. Sa peur et sa soumission me suffisent... pour le moment. Je lui dis :
Cest bon, je ne te punirai pas cette fois-ci.
Elle bredouille des :
Merci, merci Mademoiselle Ashley.
Les autres me regardent en souriant... Emily me dit :
Quand tu en as envie, ce nest pas nécessaire davoir un motif.
Oui, jessaierai, je ne lai jamais fait
Tu as raison... Elle sait que tu le feras, mais ni quand, ni comment. Cest comme ça quon rend les esclaves soumises.
Ma chatte a un... spasme. Jadore ces nouvelles lois. Alan me dit :
Je dois te déposer chez le coiffeur et lesthéticienne.
Je voudrais dabord me laver...
Ils le feront au salon de beauté.
Jembrasse les filles, puis Bobby. Il me tend un dessin en disant :
Cest pour toi.
Oh ! Cest moi toute nue à cheval sur Pearl... Cest super bien fait, je suis trop belle en dessin. Bon, dans la vie aussi... Je lui dis :
Tu dessines trop bien... Si tu pouvais le scanner et me limprimer...
Non, tu peux lavoir.
Merci, cest super gentil !
Je lembrasse à nouveau, mais sur la bouche cette fois.
Alan me montre les toilettes... Ensuite, je vais vite dans la chambre, glisser le dessin dans mes affaires. Je passe mon jean et un tee-shirt avant de le rejoindre dehors. Comme il fait plus de 30°, pas besoin de mettre une veste. Je monte sur la moto et colle mes seins contre son dos, les bras autour de sa taille. Je me demande pourquoi il ne ma pas encore baisée... Il ne serait pas gay, des fois ? Je glisse mes mains plus bas pour vérifier sil y a du matos. Ah oui, il a lair bien pourvu. Il me demande :
Tu as lintention de tagripper à ma bite ?
Je peux ?
Il rigole avant de répondre :
Tas tellement envie de te faire baiser ?
Par vous, oui.
Je moccuperai de toi, ma belle.
Jai hâte de le sentir en moi. Les baisers de Pearl sur mes chevilles mont vraiment émoustillée. Il démarre... Je regarde autour de nous. Arrivés en ville, je suis surprise de voir lanimation, au fur et à mesure quon sapproche du Centre. On ne passe pas inaperçus, les gens admirent ce costaud et sa gracieuse compagne collée à lui.
Il me dépose chez le coiffeur. Cest un beau salon en plein centre. Dans ce cadre très élégant, je suis vêtue dun jean déchiré et pas très propre et dun tee-shirt qui ne vaut guère mieux. Aux pieds, jai des sandales. Je me sens comme une souillon au bal de la cour. Je dis à la fille qui vient à ma rencontre :
Je viens de la part de Ruby du club... euh...
Difficile de dire "House of pussies". Elle me répond aussitôt :
On vous attendait, suivez-moi, mademoiselle.
Elle minstalle dans un fauteuil et rapidement, je suis entourée de trois filles. Une pour les cheveux, les deux autres pour les mains et les pieds. Celle qui soccupe de mes pieds amène un bassin avec de leau tiède en disant :
Si vous voulez tremper vos pieds, Mademoiselle...
Oui, ça vaut mieux. Il est classe, le salon, je nai droit à aucune réflexion, parce que... comment dire ? À Notasulga, je navais pas le droit de me doucher tous les jours. À partir daujourdhui, je serai plus soignée. Cest super agréable, ces filles qui soccupent de moi. Après avoir lavé mes cheveux, la fille me demande :
Vous venez darriver à Atlanta ?
Oui, depuis quelques jours. Je viens de Notasulga.
Moi de Calhoun, pas loin de chez vous.
Elle est sympa et on est du même coin. Je lui dis :
Vous avez sans doute entendu parler des esclaves.
Oui, cest nouveau. La patronne va en acheter pour faire le sale boulot. Ça va nous soulager.
Les deux autres filles sont daccord. On est enfin revenu au temps de lesclavage. On discute, je suis bien... Au bout dune bonne demi-heure, mes ongles des mains et des pieds sont impeccables et recouverts dun joli vernis.
Deux heures plus tard, celle qui ma coiffée retourne mon fauteuil et je me retrouve en face dune fille ravissante : moi ! Je sais, on ne peut pas dire ça de soi-même. Mais si cest vrai ? La preuve ? Les filles du salon et même les clientes me le disent : « Quest-ce que vous êtes belle ! »
Celle qui ma coiffée me donne ladresse du salon de beauté, cest dans le quartier. Je vais jusque-là en me faisant draguer encore plus que dhabitude. Là aussi, on mattend. Une jeune femme se présente :
Bonjour Mademoiselle Ashley. Je mappelle Éva, cest moi qui vais moccuper de vous.
Nous allons dans une cabine, elle me dit :
Déshabillez-vous et allongez-vous sur la table.
Cest vite fait et je me sens mieux, sans mes vêtements. Je mallonge sur la table. La fille me dit :
Vous pourriez lever les bras ?
Elle rit un peu avant de dire :
Oh ! mais cest la jungle là !
Je lui répondrais bien : « Le Seigneur a fait les femmes comme ça », mais bon, cest un argument qui est devenu difficile à défendre. Elle ajoute :
On va arranger ça.
Elle mépile les aisselles, puis les jambes. Ce nest pas une partie de plaisir, je dois serrer les dents pour ne pas crier. Elle me dit :
Ce sera moins douloureux la prochaine fois.
Tant mieux ! Dès que mes aisselles et mes jambes sont aussi lisses que des savons mouillés, elle me fait un toilettage de la chatte, en épilant même les poils qui tentent de sévader vers les cuisses et le nombril. Pauvres petits poils... Elle me fait une belle chatte toilettée. Lorsque cest fini, elle me dit :
Mademoiselle Ruby a apporté ces vêtements pour vous.
Aah ? Il sagit dune jupe assez courte, dun chemisier, dun string et dune paire de chaussures, pointure 38. Ce sont de jolis vêtements blancs, même les chaussures.
Je remercie toutes les filles avant de sortir de linstitut de beauté. Jai un peu de mal à marcher avec des chaussures à hauts talons.
Pardon Monsieur, je dois aller avenue Ponce de quelque chose...
Ponce de Leon ?
Oui, cest ça.
Tu travailles au club "House of pussies" ?
Après avoir un peu hésité, je réponds :
Oui, depuis deux jours.
Je viendrai te voir, tu es super belle...
Cest gentil.
Il mexplique le trajet. Je me rends compte que mes rapports avec les hommes se simplifient de plus en plus. Jarrive tard au club. Ce nest pas encore ouvert, mais toutes les filles sont déjà là en petites tenues. Je toque à la porte, Johnny vient me dire :
On ouvre dans 10 minutes, ma jolie.
Cest moi Johnny, Ashley.
Oh mon Dieu, quest-ce que ça te change !
Jentre... Au début, les filles ne me reconnaissent pas non plus, puis lune delles dit :
Cest Ashley ?
Jentends une autre dire :
Elle est vraiment belle...
À suivre.
Si vous voulez me dire quelque chose de gentil, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr
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