Les Aventures Avec Ma Salope De Belle-Mère (Suite 4)

Depuis mon mariage avec Lili, les relations sexuelles que j’entretenais avec ma belle-mère, ne se faisaient que deux fois par semaines et si l’occasion se présentait, il y avait un bonus. Mais ce que Sophie tenait avant tout, c’était de me voir le mercredi après-midi, ce jour lui était réservé et m’était imposé. Travaillant uniquement du matin, cela ne me dérangeait pas trop et me permettait de me se soulager les bourses car avec ma femme Lili, elle ne voulait que le week-end.
Ce jour-là, elle m’avait prévenu afin que je vienne un peu plus tard car elle déjeunait avec deux très bonne amies Adèle et Justine qui ne resteraient pas toute l’après-midi. J’étais donc arrivé chez elle vers quatorze heures trente. Les trois femmes étaient installées dans le salon et papotaient sérieusement, elles se connaissaient depuis leur plus tendre enfance, elles bavardaient de tout. Après les avoir saluées d’un baiser sur les joues, je m’étais fait discret et écoutais la conversation depuis la cuisine. À priori, Adèle n’en pouvant plus, elle avait besoin de se confier. Son mari Vincent le boulanger, travaillait beaucoup, se levait très tôt mais se couchait de bonne heure. Elle passait donc ses soirées, seule devant la télévision, Vincent depuis trois mois et demi ne la regardait plus et surtout ne la baisait plus. Cela correspondait à peu près à la date d’embauche de la jeune et jolie Nola. Elle le soupçonnait fortement de coucher avec.
— Je suis pratiquement certaine que cette petite, baise avec lui. Tu as vu comme elle est habillée ? Même un curé ne resterait pas insensible devant cette gamine.
Sophie voulant aider son amie lui demanda :
— Tu lui en as parlé ? Tu sais avec Guillaume mon nouveau compagnon nous parlons de sexe sans tabou. Nous nous sommes connus dans une soirée libertine mais au moins les choses sont claires entre nous. L’échangisme nous permet de mieux nous retrouver.
Justine voulut expliquer comment elle gérait sa vie sexuelle :
— Avec Simon, nous faisons régulièrement l’amour, mais ils nous arrivent d’assouvir nos fantasmes avec des partenaires différents mais pas ensemble.

Mon mari aimant la sodomie, et comme je ne suis pas tellement pour cela, je le laisse prendre son plaisir avec sa maitresse. Moi, je retrouve mon amant, Richard qui est jeune et me comble physiquement. Nous sommes l’un et l’autre au courant, nous nous le permettons mutuellement.
Adèle avait du mal à comprendre, serait-elle la seule à vivre normalement ou était-elle en marge de la société ?
— J’ai du mal à parler de ses choses-là, avec lui nous n’avons pas de conversation à part la boulangerie. Les mercredis au début, il lui arrivait de me sauter le matin et le soir puis c’est devenu une seule fois. Aujourd’hui je suis en manque. À vous entendre, il me faudrait un amant aussi.
Sophie resservit le café et lui dit que tout était simple, certains couples étant consentant, s’échangeaient leur partenaire en général après qu’ils se soient préparés avec quelques caresses et baisers.

À cet instant, je vins les rejoindre au salon et m’installai au côté de ma belle-mère. Elle me prit par le cou me parla à l’oreille puis nous nous sommes s’embrassés à pleine bouche de longues minutes, elle me massait les épaules et le torse et moi je lui triturais les fesses. Adèle voyait nos langues tourner l’une contre l’autre, je passai sa main sur le corsage de Sophie lui caressai le sein. En réponse, elle mit la sienne entre mes jambes en me massant délicatement les testicules par-dessus mon pantalon. Nous ne s’occupions plus de ses hôtes qui étaient observatrices et devinrent très vite excitée par la situation. J’avais même déboutonné le chemisier et pris de ses deux doigts un téton qui grossissait à vue d’œil, tandis de Sophie continuait ses caresses à travers mon pantalon, que l’on voyait enfler à travers le tissu. Après nos caresses, Sophie reprit la parole :
— Qu’en avez-vous pensé les filles ?
Adèle et Justine se regardèrent et dirent en même temps :
— C’était très excitant.
Justine devait se sauver, elle avait pris congé malgré elle, mais elle avait trouvé cette situation bien étrange et très excitante, elle avait apprécié.
Sophie voulant que je soigne et libère son amie, nous avait laissé et était partie raccompagner Justine. Je m’étais donc retrouvé seul avec Adèle, c’était une femme de 43 ans, légèrement enrobée mais avait des formes agréables, sa poitrine généreuse, ne demandait qu’à être caressée, ses fesses rebondies et fermes n’attendaient que des mains d’un homme qui sauraient lui pétrir. Elle avait un très joli visage, avec une belle chevelure ondulée. Elle s’était mariée avec le Boulanger du village. elle reprit la parole :
— C’était étrange, j’avais très envie de participer mais je ne savais pas comment m’y prendre ?
— Tu vois, c’est simple, il faut se laisser aller au plaisir et ne pas avoir d’aprioris.
— Je ne sais pas, tu es si jeune. Lili sait que tu couches avec sa mère ?
— Non ! C’est notre secret.
Je vins me mettre debout derrière elle et commença à lui caresser ses épaules puis la partie visible de la peau de son décolleté, puis me penchai et l’embrassai. Adèle eut un léger recul mais avait sorti sa langue pour répondre à mon baiser. Sans s’en rendre compte, avec ce qu’elle avait vu et en parlant ainsi de sexe, elle commençait à être très excitée, lorsque notre baiser prit fin, elle s’excusa.
— Arrêtons-nous là, s’il te plait, je n’ose pas aller plus loin.
Je ne répondis pas et continuai mes caresses mais cette fois mes mains étaient à l’intérieur de son corsage, ses seins étaient gros, ses tétons s’étaient durcit, je sentais qu’elle appréciait car elle écartait les bras afin que je puisse accéder sur toute la partie ventrale de son corps. Elle fermait les yeux et poussait de tous petits gémissements. Mes mains étaient descendues sur son ventre, mes doigts arrivaient à la hauteur de l’élastique de sa culotte, elle s’appuya sur les pieds afin de se relever un peu pour que je puisse descendre sur son triangle d’or. Elle mouillait, c’était une évidence, je m’interromps pour venir me placer devant elle, je lui déposai un baiser sur sa bouche, elle tremblait légèrement, ce n’était pas de la peur, mais bien de l’excitation avec un brin d’appréhension.
Je m’étais agenouillé devant elle, et lui baissai la culotte, elle s’était laissée aller et m’aida à le faire, elle s’était penchée en arrière sur le fauteuil et me tendait son bas ventre, ma langue, mes doigts avaient joué avec sa vulve, ses lèvres, son clitoris, elle était en extase et gémissait un peu plus fort que précédemment, il se tendait, me prenait la tête en l’appuyait sur son sexe, elle ne voulait pas que j’arrête, elle prenait plaisir à s’offrir :
— C’est super Grégoire continue, ne t’arrête pas. Oui... !

J’étais bien resté plus d’un quart d’heure à lui lécher le minou ais dans mon pantalon, ma verge n’avait plus de place pour s’étendre, l’érection me faisait mal. Je fus dans l’obligation de stopper et de baisser mon Jean et mon bon slip. Adèle ouvrait les yeux, elle vit devant elle ma queue raide comme la justice qui ne demandait qu’une chose, une bouche pour l’aspirer. Impressionnée par la grosseur de mon engin, elle me dit
— Rocco n’a qu’à bien se tenir, elle est superbe ta bite.
Adèle n’avait plus du tout, les mêmes pensées qu’au début de l’après-midi, ses états d’âme avaient complètement disparu, elle me soupesa ma verge, se pencha en avant et l’enfila entre ses lèvres, pendant que j’avais repris possession de son vagin avec deux doigts qui coulissaient d’avant en arrière dans le fruit trempé de cyprine. Elle hochait du bassin tout en faisant la même chose avec sa tête, elle m’astiquait le gland et me triturait les couilles, je m’enfonçai un peu plus dans sa petite bouche mais elle ne pouvait pas accepter, je ressortis ma bite et lui demanda de se retourner. Sans hésiter une seule seconde, elle exécuta les ordres donnés, se mis à genoux sur le fauteuil, se pencha en avant, la tête au-dessus du dossier m’offrant ainsi tout son arrière train :
— Viens Grégoire, prends-moi comme tu veux mais fait vite...
J’avais placé mon gland à l’entrée de son sexe et enfonçai doucement mes vingt centimètres d’un seul coup sans gestes brusque.
Elle tressaillit au début mais dès que les aller et retours avaient pris leur rythme, très vite je sentis son jus sortir pour arroser mes couilles qui se plaquait sur l’entre jambe à chaque fois que je me trouvais au plus profond d’elle-même. Lorsqu’elle jouit bruyamment, Sophie avait passé la tête par l’entrebâillement de la porte et me signe avec son pouce levé. Je ne m’en occupais pas, j’allais jouir aussi et je ne savais pas encore quel endroit de son corps choisir. Les grands esprits se rencontrent, elle me dit :
—Viens éjacule sur mes seins j’adore.
Je m’étais retiré, Adèle se retourna, écarta largement son chemisier avec ses deux mains et me tendit sa forte poitrine. Je me branlai devant ses yeux écarquillés lorsqu’elle vit les longues saccades de spermes atterrir sur sa poitrine généreuse. Je m’essuyai le bout du gland sur un téton, elle me baisa le méat avant de me dire :
— Merci Grégoire, Merci pour

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