Qui Trompe Le Cocu ?

Suite à mon après-midi mouvementé avec Simon et Dieudonné, je revues régulièrement Simon en cachette de Dieudo. J'avais besoin d'un amant, et entre les deux, j'avais choisis Simon, beaucoup moins rugueux que son ami. On se retrouvait parfois plusieurs fois par semaines, et parfois il me surprenait pendant la journée dans des lieux insolites. Plein d'imagination, il échafaudait également des scénarios totalement inattendue, dont j'étais la victime consentante. Il me piègat une première fois dans mon magasin de lingerie avec la complicité d'Arlette. Elle m'avait invitée à des ventes privées pour des soldes VIP en avant-première. Arrivée à la boutique, je constatais être toute seule avec Arlette, qui me présenta plusieurs modèles dont un body exquis "Spécial Saint Valentin". Je me rendais dans la cabine d'essayage pour tester différents modèles proposés par Arlette. J'essayais le Body noir de la collection de lingerie Dentelle Design de la marque Lise Charmel Body en dentelle leavers avec des nuances de fond et des transparences graduées structurées par des bandes élégantes de tissu crêpe élastique qui accompagnait ma silhouette avec beaucoup de charme. Le rideau de la cabine s'ouvrit et je découvrais Simon souriant :
• Surprise !!!!
• Je pensais que cela, vous ferez plaisir d'avoir un avis de connaisseur ma chère Patricia, j'ai donc invité également Simon à notre séance privée, j'espère que cela ne vous dérange pas ?
• Non, mais si... Mais enfin Arlette, c'est totalement inapproprié
• T'inquiètes ma belle, Arlette est une vraie tombe... Et puis elle te fera un bon prix si tu la laisse nous regarder
Sans avoir le temps de protester, Simon entra dans la cabine pour se saisir de mes formes pulpeuses, sous le regard d'Arlette, qui nous observait dans l'entrebâillement. Après avoir palpé mes formes au travers du Body, il me prit en Levrette, écartant le l'entre-jambe du body pour bien me pénétrer. J'étais debout dans cette cabine, en train de me faire baiser par mon amant alors que Arlette s'approchait de nous pour ajuster le body sur mon corps pulpeux et utilisé comme un objet.

• T'as vu, je t'avais dit qu'elle serait d'accord, c'est une affamée de la bite.
• Oui, je m'en doutais, c'est en plus ma meilleure cliente... Ce body vous va à ravir Patricia, il me fait ressortir vos gros nichons à merveille. Ohhh depuis le temps que je rêve d'attr ces grosses miches laiteuses....
Elle me pelotait les seins alors que Simon me défonçait la croupe. Elle me roula une pelle goulue. Je n'avais jamais imaginé qu'elle était gay, et qu'elle fantasmait sur moi.... Ce jour, la Simon jouit sur nous nos 2 visages, demandant à Arlette de me nettoyer avec sa langue, ce qu'elle fit avec un grand plaisir...
Une autre fois, il me coinça dans ma voiture. Nous avions déjeuné ensemble. Habillée d'une robe pull Blanche-porte en mohair à la fois élégante et décontractée, qui se parait de jolis détails aspect cuir avec une coupe droite parfaite pour ma silhouette, je l'avais mis dans tous ses états. Étant cependant attendue à une réunion en début d'après-midi, je l'avais abandonné. À mon insu, il m'avait suivi jusqu'au parking couvert de mes bureaux et alors que je venais de me garer, quand il rentra dans ma petite Fiat vert pomme.
• Prends-moi dans ta belle bouche de butineuse ma salope...
• Simon, tu n'es pas raisonnable, j'ai une réunion dans 15 minutes, en plus on nous voir.
• Arrête de discuter, et occupe toi de ma bitte...
Il me prit, par les cheveux me poussant vers lui pour me forcer à le sucer. Refusant d'ouvrir la bouche, il m'écarta les lèvres avec ses doigts et introduits son membre de force entre mes lèvres de bourgeoise... Il me baisa la bouche, commentant ma performance...
• Ohhh, ce que tu es bonne ma salope... Heureusement que Dieudo ne sait pas que je le trompe avec toi, sinon tu prendrais cher... Oui, continue vas-y passe ta langue sur mon membre... Ouiiiii, je vais t'en mettre plein la bouche ... ahhhhhhh...
Me maintenant fermement par les cheveux, il gicla dans ma bouche, me forçant à garder tout son sperme pour l'avaler entièrement. Il se vida, m'ettoufant au passage, ne pouvant déglutir et ne voulant pas avaler.... Il resta dans cette position jusqu'à ce que je me décide enfin à avaler tout son jus, pour enfin me relever et nettoyer son sexe dans mes cheveux...Alors que j'avais une réunion 5 minutes après. Je n'eu que quelques minutes pour me nettoyer, pour m'apercevoir une fois rentrée à la maison que j'avais toujours des traces blanches dans mon carré roux bourgeois.
Pour ne pas éveiller les soupçons auprès de Dieudo, il me partageait parfois avec son amant. Notamment un jour de semaine, ou il m'avait demandé de les rejoindre sur une aire d'autoroute sur le contournement de la ville. Un endroit bien connu des milieux homosexuels. Je devais les attendre dans les toilettes. Ce jour je portais une jupe crayon noir de Diletta Bonaiuti et Nausheen Shahà taille haute en cuir synthétique ceinturée Noir avec une broche pour la ceinturer et une fente d'aisance sur le devant dévoilant légèrement le haut de mes cuisses, le tout avec un pull moulant noir col roulé et des bottes moires également. Elle affinait térriblement ma silhouette pulpeuse me donnant une connotation sexy amplifiée par ma démarche de bourgeoise qui avait excité tous les gays du parking. Je sentais les regards envieux des routiers qui étaient garés sur ce parking, alors que je me rendais dans les WC pour homme. Je m'installais comme convenu, et attendais patiemment la porte fermée. Quand Simon toqua enfin à la porte je les laissais entrer. Nous étions tous les trois dans cet endroit très exigu. Sans aucun préliminaire, Dieudo s'assit sur la cuvette. Lui tournant le dos, il remontait ma superbe jupe faisant apparaître mes portes jarretelles noires. Après avoir caressait mes grosses fesses, il m'attira vers lui. Lui tourner le dos et me positionnant sur ses genoux, il me pénétra. Simon nous regardait debout sans rien dire. Il avait sorti son gros sexe et se masturbait sans me toucher. Dieudo m'enleva ma culotte pour me ballonner avec afin de ne pas exciter les autres hommes par mes gemissements bruyants. Il me prit comme un animal tout en palpant mes gros seins au travers de mon pull en laine.
• Ca te plaît que je te prenne devant ton copain, ma salope... Regarde comme il bande pour toi... Quel dommage que je lui ai interdit de te toucher... Après tout, je suis jaloux et je ne partage pas... Vas-y bouge ton gros cul... Ouiiiii remue tes grosses fesses la bourgeoise...Re garde le il va jouir... Gicle-lui sur sa jupe de bourgeoise.... Comme ca, tout le monde saura qu'elle s'est fait troncher...
Il força Simon à éjaculer sur ma jupe pourtant tellement élégante rependant son liquide blanc sur le simili cuir noir. Dieudo m'obligea à le sucer pour se vider entièrement dans ma bouche. Alors que je pensais qu'ils allaient partir, Dieudo me força à m'accroupir devant les WCs avec le visage collait sur la cuvette vers l'intérieur. Mes deux amants étaient au-dessus de moi... Ils n'allaient pas faire ce que je craignais !!!!!
• Un petit pipi avant de partir ....
Ils urinèrent dans la cuvette laissant les grands jets coulaient près de mon visage. Je sentais les éclaboussures d'urine sur mon visage, alors que Dieudo déchaînait riait aux éclats... Il voulait m'humilier, et s'était réussi... Je repartis honteuse, juste bonne pour une douche et un shampoing...
Bien qu'il était un amant exceptionnel, je redoutais mes séances avec Dieudo, trop brutal, trop animal... À chaque fois, il m'utilisait comme un vulgaire objet, et bien que me faisant jouir comme une folle, j'en sortais à chaque fois défaite, avec mes vêtements déchirés. Simon continua à tromper Dieudo en cachette avec moi pendant plusieurs semaines, jusqu'à ce que leur contrat prennent fin quelques temps plus tard. Ils devaient quitter la France pour se rendre à l'ile Maurice, ou ils avaient trouvés du travail dans un hotel de luxe.
Nous avions convenu de se revoir avec Simon une dernière fois avant leur départ chez lui, toujours en cachette de Dieudo. Je me rendais donc à l'appartement entre midi et deux. J'avais participé un un colloque important le matin, et m'étais mis sur mon 31. Un ensemble Max mara espoustoufant composé d'une jupe droite en tissu léger de pur poil de chameau, munie de poches italiennes sur les côtés avec un pull droit à col roulé en fil de pure laine, tricoté au point jersey, un blazer long en tissu léger de pur poil de chameau également , avec col à revers, poche poitrine et poches plaquées à rabat, des collants opaques en microfibre et coton le tout dans une seule même couleur Boue. Pour finir des bottes cuissardes en cuir à imprimé crocodile, avec talon à bande de 10 cm, qui me rendait terriblement chic. Je montais à l'étage et sonnais à la porte. Personne ne répondit. La porte était ouverte, je décidais de rentrer, ne voulant pas rester trop longtemps sur le pallier afin de ne pas attirer l'attention.
Une fois à l'intérieur, je traversais le petit couloir pour pénétrer dans le salon et à ma grande surprise je trouvais Simon assis sur une chaise entièrement ligoté, nu et baillonné. Sur le canapé un homme. Black, véritable colosse, il était nu, et se masturber me regardant. Effrayé, je regardais Simon, et reconnus la voix derrière moi...
• Salut beauté, surprise de trouver ta copine comme ça...
• Dieudo !!! Mais qu'est-ce que cela veut dire, que se passe t'il ?
• C'est notre fête d'adieu ma belle. Je viens de découvrir vos parties de galipettes dans mon dos. Alors comme ça, tu me piques mon mec... T'as beau t'habiller comme une bourge, t'es la pire des salopes...
• Dieudo !!! Je ne te permets pas, libère Simon, et quant à moi, je vous laisse, je n'ai pas de temps à perdre à me faire insulter...
Je voulais me diriger vers la porte quand l'inconnu s'interposa entre la porte et moi, tenant toujours son sexe à la main... Je stoppais ne pouvant passer, hypnotisée par son ssexe à taille gigantesque, et n'ayant aucun doute sur ses intentions à mon égard...
• Au fait, je te présente mon cousin, Mamadou... Il est venu nous aider à déménager, et je pense qu'une petite motivation ne lui fera pas de mal... Qu'en penses tu ma belle ? Une petite séance de Cuckholding, je suppose que tu sais ce que c'est ?
• Encore une perversion de ta part, je suppose ?
• hahahahaha, ignorante. En fait tu maîtrise à la perfection la pratique de ton art, mais par contre la théorie ce n'est pas ton truc. Laisse-moi t'expliquer. Le cuckolding ou cuckold désigne une domination sexuelle féminine dans laquelle un homme est sexuellement excité par l'idée que sa compagne ait des relations sexuelles avec un autre homme ou plusieurs dans ton cas alors que lui doit rester chaste et fidèle à sa femme ou même s'abstenir.
• Tu es un pervers !!!!
• Simon, je suppose que tu ne vois pas d'inconvénient à ce qu'on s'occupe de ta copine ? Oui à voir ton sexe bandait comme ça, c'est bien ce que je pensais, alors Profite bien du spectacle...
Simon se débattait légèrement sur sa chaise en hochant la tête, comme pour exprimer son approbation. Je le regardais avec un air apeurée. Tétanisée et fascinée devant l'érection de mon amant, qui me regardait à la merci de ses deux hommes. J'étais debout dans la pièce, encerclait par mes deux violeurs, moi la bourgeoise si bien mise et tellement chic, j'allais à nouveau me faire prendre de force par deux colosses avides de mes formes. Mamadou fut le premier sur moi. M'attrapant dans le dos et m'attirant vers lui. Ses bras passèrent autour de mon corps pour s'emparer de mon opulente poitrine, qu'il malaxa avec délectation. Il me pelotait mes gros seins, alors que Dieudo devant moi m'embrassa avec gourmandise, laissant glisser sa main entre mes cuisses afin de remonter ma jupe et de passer ses doigts sous mes collants et sous ma culotte. Ils me gardèrent debout pendant plus de 10 minutes, me caressant, me doigtant, m'embrassant, me pelotant. Toutes les parties de mon corps étaient sujettes à exploration par ces 4 mains gigantesques. Simon continuait à nous regardais, sans rien faire, mais avec son sexe toujours fièrement tendu. Dieudo me poussa sur une chaise face à Simon. Une fois assise, je subis l'assaut de leur membre dans ma bouche. Chacun son tour m'obligeant à les sucer. Je les léchais, les suçais, les mordillais. Leurs sexes tellement longs me permettaient de remonter ma langue le long de leurs tiges fermes et épaisses. L'un après l'autre, alors que l'un me violait la bouche, l'autre me maintenait fermement par les cheveux. La queue de Mamadou était encore plus grosse que celle de Dieudo pourtant déjà hors normes. Ils me déshabillèrent, m'enlevant mon Blazer, ainsi que mon pull et ma jupe. Je restais en collant, botte et soutien-gorge. Leurs grosses mains continuaient à me palper ma grosse poitrine. Ils sortirent mes seins des corbeilles du soutien-gorge, afin de me sucer les tétons. Alors que leurs mains avaient envahi mon entre-jambe, je sentais leurs doigts en moi me fouiller le vagin, comme un piston. Je ne tenais debout que retenu par les grosses mains qui me malaxaient mes nichons. Je sentis un doigt dans la raie de mes fesses, s'amusant à titiller mon anus. Ils alternaient les pressions sur mes fesses, qu'ils attrapaient soit à pleines mains ou leurs doigts qui coulissaient entre mes deux globes. Un doigt plongea dans mon petit trou, me prenant des deux cotés, par ces deux brutes, qui me dévoraient de toutes les façons possibles. Ils me consommaient comme un vulgaire objet, alors que je gémissais tout en regardant Simon qui bandait comme un taureau.
Difficile de dire qui était le trompé. Peut-être Simon qui semblait être le cocu du jour me regardant me faire démonter quoique volontaire et parfaitement renseigné, et jouant un rôle actif dans son propre cocufiage. Il acceptait que j'aie rapports sexuels extraconjugaux, par soumission, s'abstenant tout en espérant pouvoir se finir sur moi après mes multiples coïts ou de me nettoyer avec sa langue du sperme dégoulinant de ma chatte ou encore sur mon corps.
Mamadou fut le premier à me pénétrer. Après avoir déchiré mon collant à l'entre-jambe pour laisser libre accès a leurs sexes. J'étais face à lui à cheval, alors que son gros sexe avait envahi mon vagin, il me dévorait mes gros seins qui ballotaient devant son visage, tout en me faisant coulisser sur son membre en me tenant par les fesses. Il me baisa ainsi pendant plusieurs minutes, alors que Dieudo s'était placé debout à cote de lui, afin de pouvoir plonger sa grande queue dans ma bouche et tout ça sous le regard d'un Simon dévoré d'excitation qui ne pouvait rien faire. J'espérais qu'ils m'utilisent ainsi jusqu'à la fin, pour d'éviter une double pénétration et une sodomie inéluctable que je redoutais au vues de la taille de leurs membres respectifs. Quand Dieudo, sorti son membre de ma bouche sans avoir joui, je sentis que le moment redouté était arrivé. Il se positionna derrière moi, mais contre toute attente, au lieu de me sodomiser, il tenta de me pénétrer le vagin déjà fortement encombré par Mamadou. J'essayais de me rebeller, mais Mamadou me plaqua sur lui, tandis que Dieudo, me bâillonna la bouche de sa main, afin d'atténuer mes protestations. Son sexe rentra doucement, jusqu'à la garde. J'étais prise en double vaginale par ses colosses, une première pour moi qui avait pourtant tenter tellement d'expérience, me faire prendre de la sorte par ces deux mâles en rut. Ils me baisèrent comme cela, jusqu'à ce que je perde littéralement connaissance, laissant juste mon corps réagir aux multiples orgasmes que me donnaient mes deux amants. Mon esprit était parti, ailleurs, laissant place à mon désir de jouir et ne répondant qu'à l'envi de me faire baiser par ces deux mâles qui continuaient à me prendre comme une bête... Je retrouvais mes esprits au contact de leur sperme chaud qui se répandait sur mon corps, et surprise, de voir Simon détaché à leur coté qui se branlait au-dessus de moi pour gicler sur mon visage... Dieudo une fois vidé, se pencha pour m'embrasser me glissant à l'oreille ...
• Allez on vous laisse entre vous les amoureux, et en espérant un jour te voir à l'Ile Maurice, j'y ai beaucoup de famille...
Je restais seule avec Simon, blottie dans ses bras, avant de partir rejoindre mon mari, et de nouvelles aventures...