Simon, Petit Paysan Soumis
Simon, le petit paysan soumis
Le premier lait
Depuis tout petit je savais. Jai toujours aimé porté des bottes en caoutchouc. Cela a toujours été une évidence. A la ferme ce nétait pas très compliqué de passer mon plaisir inaperçu. Quand jai eu 13 ans, mon plaisir à les porter na fait que se renforcer et mes premières caresses solitaires me le confirmèrent ! Jaimais me branler dans lécurie, dans le fenil ou sur les tracteurs et mes bottes aux pieds. Et il ny avait pas que me bottes qui me procuraient de lexcitation, voir mon père ses collègues ou linséminateur en bottes me procurait toujours des érections immédiates et puissantes. Vertes ou noires surtout quand elles étaient portées par un paysan avec sa combi et je ny tenais plus
Je sentais bien que les garçons mattiraient irrésistiblement et que cétait mal
en tout cas chez moi. Fils de paysan et pédé ce nétait pas trop compatible. Mais vivre à la ferme était cependant la couverture parfaite pour cacher mes fantasmes. Mais de là à les vivre cétait impossible. Je me rêvais à lécurie, mais pas tant comme paysan, je mimaginais attaché avec une bride comme nos vaches, à 4 pattes et en bottes prêt à être trait
ou inséminé. Dès que je le pouvais jy allais, me mettais à 4 pattes, je sortais ma bite de ma combinaison et je mastiquais jusquà ce que je jouisse dans la paille fraiche.
Un soir me père me demanda, daller chez Roger chercher la remorque quil lui avait prêtée. Roger était le père de mon copain Laurent avec qui on trainait depuis tout petit. Roger avait une ferme à quelques kilomètres de la nôtre isolée aussi dans les collines de la Drôme. Roger avait la quarantaine et depuis que sa femme était partie il picolait un peu avec le vieux garçon du village, Etienne, mais cétait un bon gars. Quand jarrivais chez lui en fin daprès-midi, il avait déjà visiblement attaqué lapéro. « Salut Simon, Laurent est chez sa mère ! me dit il en préambule, il sest trouvé une bergère en plus tu penses quil a mieux à faire que de me donner un coup de main ».
« Je suis venu pour la remorque, jai pris le McCormick pour la ramener».
« Ah oui la remorque. Viens, elle est vers lécurie ».
Roger était en tenue comme toujours, sa combi verte à double fermeture éclair, ses bottes noirs, toujours des Dunlop. Toujours. Plus dune fois je métais branlé en pensant à Roger. Son côté frustre, son bide, ses cheveux toujours ras, ses bottes noires,
javais honte, cétait le père de mon pote mais je ny pouvais rien. Je mimaginais toujours quil mobligeait à lui faire des choses
.
Petit je venais souvent dormir chez eux mais en grandissant et après le départ de Christine, ça ne sétait plus fait et je crois que jaurais eu trop peur que mon attirance se voit et que Laurent le devine. Il y avait peu de risque pourtant. Laurent adorait le cul. Dès quil avait commencé à se branler javais été le premier informé et il se branlait sans arrêt si bien quil nétait pas rare que quand on se voyait il me dise quil fallait quil se soulage. Il inventait des concours de branle à celui qui jutait le plus ou le plus loin. Jadorais ça mais pour des raisons différentes (Laurent était un hétéro macho de base sans aucun doute). Quand on allait à la pêche. Il suffisait dévoquer un sujet cul et jétais sûr de pouvoir me branler en le matant et sans que cela ait lair louche. Mais bon son truc ça a toujours été les filles et je me gardais bien de prétendre le contraire à mon propos. Il me racontait ses aventures et moi jécoutais. De toute façon je navais rien à dire et il parlait pour deux.
La remorque était accrochée. Je pouvais partir.
« Tu as le temps de te jeter un godet ? »
« Non merci je bois pas »
« Ah cest vrai tas quoi 15 ans ? »
« Bientôt 16 comme Laurent ».
Ah oui cest vrai. Nempêche que jai soif. Il avait des bières à portée de main et en décapsula une, quil ne tarda pas à vider à moitié. Je devais paraitre un peu planté partagé entre le fait de ne plus rien avoir à faire ici et le plaisir de le regarder encore un peu.
« Ah il faut aussi que je rende la pince monseigneur à ton père si tas deux minutes, mais avant je vais pisser un coup. Tes pas pressé ? ».
Il descendit les deux fermetures de sa combi. Il avait un maillot de corps blanc et à lévidence ne portait pas de slip. Il se tourna légèrement vers la droite et mit à pisser à un mètre de moi. Le bruit de son urine sur le sol, son jet abondant, mexcita encore un peu plus. Je me raidis sans doute un peu, quelque chose dimperceptible mais qui attira lil de Roger il me dira après quil avait toujours su que « javais des tendances » comme il disait il se tourna légèrement vers moi. Son urine éclaboussa légèrement me bottes que je me mis à fixer. Jétais paralysé, figé. Je sentais quil se passait ou allait se passer quelque chose, et jy prenais plaisir mais jétais figé par la peur. Mon cur se mit à battre très vite. Comme je ne mouftais pas il se tourna franchement vers moi et me pissa vraiment sur mes bottes. La sensation était merveilleuse et intense.
« tes du genre à te faire pisser sur les bottes toi ! »
Je relevais légèrement la tête et ne pipait mot. Mes bottes étaient trempées. Mon regard remontait doucement : ses bottes, les pans de sa combi qui pendaient et son sexe dans sa main droite. Il avait fini de pisser et la manière dont il tenait son sexe ne laissait planer aucun doute. Il se caressait. Je nosais plus bouger.
Il laissa passer quelques secondes me laissant dans mon effroi délicieux. Il fit un pas vers moi. Il plaqua sa main gauche contre mon entrejambe. Je laissais échapper un petit grognement de surprise et de satisfaction. Je ne pouvais plus esquisser le moindre geste. Jétais figé, les bras le long du corps, la bouche sèche. Il commença à me palper et constata mon érection.
« et bien le père XX, il ta pas fait à moitié. Cest du sérieux là-dessous ».
Il monta sa main jusquà mon menton, me releva la tête et membrassa. Cétait la première fois.
« Jétais sûr que taimais la bite, tu vas me sucer ! ». Jintégrais linformation doucement, je sentais que je me relâchais. Je sentais à présent sa pression amicale sur mon épaule qui maccompagnait pour me mettre à genoux. Il me présenta son sexe que je pris dans ma bouche sans savoir vraiment
mais jen avais tellement envie. Il commença un mouvement de va et vient tout en me tenant la tête avec sa main droite. Avec la gauche il sappuyait sur la roue de mon tracteur. Je le laissais faire et jessayais de réaliser ce qui se passait. Cétait un rêve. Son sexe me remplissait la bouche. Il senfonçait jusquà la garde et ressortait mais tout en laissant toujours son gland à lintérieur. Je me laissais faire. Il commença à grogner un peu, plus vite, plus fort, plus aigu et soudain se cambra et senfonça dans ma bouche tout me tenant. Il jouissait. Me traitait de salope et de petite pédale qui aimait ça (et oui jaimais ça). Il lâcha un dernier râle une fois quil eut terminé et me libéra.
« Putain ça fait du bien ! ça ta plu hein ? Je crois que le père XX il imagine pas que son rejeton naime pas tant la ferme que les fermiers
je me trompe ? »
Jétais toujours à genoux tête baissée à réaliser que je venais de sucer Roger et davaler son sperme. Jétais à la fois hyper excité et complétement détendu. Je relevais la tête en souriant je crois et je lui confirmais sa sentence dun regard. Il me regardait sa bite était à la hauteur de mon visage, elle sentait le sperme. Je me rapprochais et prenait à nouveau son gland dans la bouche, timidement comme pour dire « oui jétais daccord et ça ma plu » et pour faire durer le plaisir.
« Branle toi cela va te faire du bien ». Roger se laissait faire. « Défait ta combi et branle toi ».
Je mécartais et me relevais. Je navais quà obéir et cela me plaisait bien ! Je fis glisser les deux fermetures.
Jadorais la sensation que me procurait sa voix les ordres quil me donnait. Je ne répondais rien, je navais quà faire ce quil me disait
. Jétais libéré de toutes mes craintes. Cest lui qui mimposait tout cela, ce nétait donc plus moi
je nétais plus le petit paysan pervers qui se cachait dans sa grange. Jétais à son service et je n avais quà obéir. Je navais plus envie de jouir au sens déjaculer, car jétais déjà tellement en train de jouir de la situation. Tout mexcitait. Jen frissonnais. A ce moment précis il aurait pu me demander nimporte quoi.
« Monte là-dessus et mets-toi à 4 pattes ». Jmexécutais et me retrouvais sur deux bottes de foin. Il me félicita en me fessant à nouveau. Pas très fort, comme pour mencourager. Il enchaina quelques fessées qui me firent pousser un petit couinement. Il commença alors à me caresser la croupe, puis lintérieur de mes fesses. Je ne pus retenir un vrai râle de plaisir quand ses doigts remontèrent le long de ma raie et sattardèrent sur mon anus. Je couinais littéralement. « Cest bon hein ? Tu vas tellement aimer que tu ne pourras plus ten passer »
« Je voudrais que vous me trayez
»
La phrase mavait échappé. Mais jen avais tellement rêvé.
« Tu veux ?! Daccord car cest la première fois et je vois bien que tu es tout excité et bouleversé mais à partir de ce jour, tu nexigeras plus rien. Je pense que tu ais fait pour obéir pas pour vouloir. Pour mobéir
et me satisfaire. Tu nes pas le premier que je dépucèle mais toi tu es parfaitement à ta place. Tu vas devenir ce que tu es : mon commis, mon objet, mon sex toy, mon outre à foutre. Mon esclave. Je tai libéré pour te mettre à mon service. Désormais tu me dois tout »
Jétais effrayé et tellement daccord. Désireux dêtre tout cela. Jétais mort de trouille, de honte et gavé de plaisir dentendre ses mots.
« oui Roger »
« oui maître ! me corrigea-t-il »
« oui maître ».
Il attrapa son petit tabouret en bois et commença sa traite. Avec sa main droite il me pompait le sexe comme il laurait fait du pis dune de ses vaches et avec sa main gauche il me caressait les couilles.
Il ne lui fallut pas plus de vingt secondes pour recueillir mon premier lait.
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