Adieux Inoubliables

L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée il y a plusieurs années maintenant. Mon ex, que j’appellerai Ange, et moi, Désiraë, avions tous deux des caractères bien trempés. Nous avions une relation extrêmement forte, fusionnelle, mais également destructrice. Ce cocktail avait tendance à être explosif lorsqu’il s’agissait de notre vie sexuelle. Il nous arrivait, lorsque nous étions en forme, de faire 10 à 12 fois l’amour dans une journée.
Cependant, après 4 ans de cette relation, nous avions fini par nous séparer, par téléphone, la distance ayant tuée notre relation, elle étant à Alençon et moi à Paris, elle étant jalouse et moi peu attentionné.
Pour nous si physiquement, je suis un grand gaillard de 1m87 et 83Kg, musclé mais loin d’être sorti d’un magazine, j’ai été rattrapé par la trentaine et train de vie festif. Je laissais à l’époque et encore maintenant pousser mes cheveux, bouclés, car je lui rappelais Tomer Sisley m’avait-elle dit une fois. Je travaillais sur Paris dans le domaine de l’ingénierie. Elle mesurait un bon 1m70, les cheveux long, lisses et châtains noirs qui lui donnait un air de femme fatale. J’ai toujours trouvé qu’elle ressemblait à Natascha McElhone de la série Californication. Elle avait une poitrine peu généreuse qui la faisait complexer un peu, mais quelle comblait par un cul à damner. Elle était prof dans un lycée difficile de la région d’Alençon lorsque notre histoire s’est terminée.
Les évènements que je vais vous raconter se sont déroulés quelques semaines après notre séparation. Elle s’était à nouveau trouvée quelqu’un et, à l’époque, je n’en étais pas heureux pour elle. Elle m’avait demandé de lui rendre la clé de son appartement, je lui avais dit que je voulais bien lui ramener pour éviter que la clé ne disparaisse par courrier mais que je ne voulais absolument pas voir son nouveau copain.
Après m’être fait beau, j’avais filé en direction d’Alençon. J’avais tout fait pour l’aguicher, de la coiffure à l’épilation, j’étais habillé en classique/sexy, t-shirt noir moulant, levis et timberland, ce qu’elle aimait mais était rare à l’époque.

J’avais sonné chez elle vers 13h00. Elle m’ouvrit, assez froidement comme je m’y attendais, et je montais les 4 étages afin d’arriver à son appartement. Cette courte ascension me rappelait quelques souvenirs, plus agréable les uns que les autres, dont un en particulier ou j’avais commencé à filmer avant d’arriver devant sa porte d’entrée et où j’avais été accueilli par une écolière qui avait oublié de mettre une culotte. En arrivant, je toquais à sa porte…
Elle m’ouvrit, avec son air blasé et m’invita à entrer, sans dire un mot. Je constatais assez rapidement que je n’étais pas le seul à avoir eu l’objectif de faire regretter à l’autre ce qu’il avait perdu. Elle avait tiré et lissé ses cheveux qu’elle portait habituellement en bataille. Elle portait une robe blanche à fleur qui lui arrivait mi-cuisse et que je n’avais jamais vu (Je me demandais si c’était pour lui ou pour moi qu’elle l’avait acheté). Elle ne portait pas de soutien-gorge et était pieds nus. Elle avait mis le paquet sur tout. Elle était habillée exactement comme elle savait que j’adorais. A l’époque, je m’amusais à lui baisser rapidement son pantalon ou lui redresser sa jupe afin de lui lécher son cul parfait et de la prendre pour faire ce qu’elle appelait un quicky avant qu’elle ne parte donner ses cours.
Je la suivais en rentrant dans son T2. Pour si un peu l’appartement, il y avait une courte entrée qui donnait lieux sur une salle à manger/cuisine ouverte/salon. La chambre à coucher se situait au bout du salon. Elle rentra assez rapidement dans le vif du sujet :
« Tu as la clé ? »
« J’ai connu des accueils plus chaleureux ! » Lui disais-je en allant m’assoir sur le canapé, ce qu’elle n’apprécia vraisemblablement pas.
« Je suis pressée, j’ai rendez-vous, et je n’ai surtout pas envie de débattre pendant des heures avec toi ».
Et voilà, elle continue à essayer de me rendre jaloux… Et ça marche ! Je me rembruni et prends un ton décontracto/agréssif.
« Avec ton blaireau ? »
Elle n’apprécie pas du tout la remarque et prends ses airs de tornade que je déteste tant et pars au quart de tour.

« Ça ne te regarde pas et je t’interdis de parler de lui comme ça ! Je n’insulte pas les poufs que tu te tapes en soirée moi ! »
« Je ne me tape personne, MOI ! Tu l’as rencontré où ? »
« En soirée, avec des potes du lycée. On était dans la même classe en première. » Elle répondait car elle savait qu’avoir des infos sur lui me ferait mal, et elle avait raison. Je l’imaginais déjà en soirée, malheureuse à cause de notre séparation, ivre et lui tomber dans les bras. Ça m’a rendu dingue.
« Tu as couché avec ? »
« Ça ne te regarde pas ! » J’avais ma réponse et elle avait gagné. Enfin… C’est ce qu’elle pensait.
« Et il fait quoi dans la vie ? »
« Il est responsable d’une chaîne commerciale. On peut en revenir aux clés ». Elle m’achevait… Le gars avait mon âge mais était chef. J’étais plus décidé que jamais à me venger…
« Oui, mais j’ai un truc à te dire qui va pas te plaire, elle est tordue… Je l’ai utilisé pour décapsuler une bière. »
« Fais voir ! »
Je lui donne la clé effectivement tordue. C’est une clé « sécurite » à poinçons. Je ne me suis pas renseigné mais je me doute que ça coute une petite fortune à changer.
« Je pense que si tu la tords dans l’autre sens, tu risques de la fragiliser et elle risque de casser dans ta serrure. Je serai toi, je la changerais. »
Elle part dans sa chambre avec la clé et reviens avec son PC portable. Elle regarde un truc sur son PC mais je ne vois pas ce qu’elle fait.
« C’est 80€ pour changer la clé et en plus il me faut l’accord du propriétaire ! »
Je souris. « Tu n’as qu’à demander à ton mec de te la payer, il doit avoir les moyens ! »
« T’es vraiment un connard ! Prends tes affaires et casses toi, je veux plus te voir ! » Elle sortait les insultes quand elle était vraiment en pétard. Elle se leva et alla me chercher un carton dans lequel je voyais qu’elle m’avait mis, autour de quelques-unes de mes affaires, un vibro-masseur et un dildo en verre que je lui avais offert quelques mois auparavant afin de faire rentrer un peu de nouveau dans notre vie sexuelle.
Elle posa le carton sur la table à manger.
En me levant, un peu penaud et sachant que j’avais été un peu trop loin, je lui pointe ses "jouets" du doigt.
« Ça c’est à toi, je te les ai offerts ».
« J’en veux pas ! Pars maintenant ! ».
« Ok, j’y vais, mais avant moi aussi je te rends tes affaires ! ». Elle ne comprit pas. J’avais un appartement microscopique sur Paris à l’époque et, n’ayant déjà pas la place pour laisser mes affaires, il y en avait encore moins pour qu’elle laisse les sienne et elle le savait.
Je posais alors 4 clés USB sur sa table du salon.
« Qu’est-ce que c’est ? »
« Tu n’as qu’à regarder ! »
Elle prit la clé USB et la brancha sur son PC. Elle ouvrit l’unique fichier sur la clé. La vidéo démarra alors. Les clés USB étant toutes identiques je ne savais pas de quelle vidéo il s’agissait. Elle comprit rapidement ce qu’il y avait sur les clés. La vidéo démarra sur la porte d’entrée de mon appartement à Paris. Elle se vit ouvrir la porte avec un grand sourire et toute bronzée de son été passé. Elle avança la vidéo et se vit en train de se faire caresser les fesses derrière un short un peu trop court. Elle avança et se vit en train de m’avaler le sexe tout en regardant la caméra. Elle avança une dernière fois et se vit empalée sur mon sexe en train de jouir, son corps nu, bronzé, seins blancs, en train de se cambrer sous la pression de l’orgasme. Elle arrêta la vidéo.
« Je croyais que tu les avais supprimées ? » Elle avait changé de ton. Elle ne s’attendait clairement pas à ça et m’avait à priori cru lorsqu’elle m’avait demandé de les supprimer à la suite de notre rupture.
« Non, j’ai changé d’avis. »
« Pourquoi tu me les as amenées ? Je n’en veux pas ! »
Elle bouillonnait mais se contenait et je le sentais. Je lui répondis avec un grand sourire.
« Ce sont les seules copies que j’ai. Je me suis dit que ça te ferait peut-être plaisir de les garder ! »
« Et bien non, tu peux les jeter ! »
« Ah non, je ne les jetterai pas.
Je pensais justement à les mettre sur Pornhub et peut être gagner un peu d’argent… On ne sait jamais, je pourrai peut-être gagner assez pour te rembourser la clé de ta porte. »
Elle était scindée entre la peur et l’énervement. Elle m’avait toujours dit qu’elle avait peur que ces vidéos se retrouvent sur internet et qu’elle n’était pas très chaude à l’idée de les faire. La première fois, on s’était mis d’accord qu’on la regarderait ensemble et qu’on la supprimerait ensuite. Je l’avais convaincu de ne pas la supprimer en lui disant que je la garderai sécurisée sur mon PC et que ça me permettrait de m’occuper en pensant à elle lorsque je serai sur Paris.
« T’es vraiment un connard ! Tu vas pas faire ça ! Imagine qu’on me reconnaisse ? Toi aussi tu es sur les vidéos. »
« Oui mais tu sais bien que personnellement, je n’ai aucun souci à ce que l’on me voit nu ! » Je ne mentais pas et elle le savait. J’avais, à l’époque, la fâcheuse tendance à finir souvent nu en soirée pour faire marrer les copains.
Elle perdait pied et je continuais.
« Si tu veux, tu peux les récupérer ! » lui disais-je en souriant.
Elle releva la tête et voulu ramasser les clés USB sur la table. Je les attrapais avant elle et lui souriais.
« Si tu les veux, il faudra les gagner ! »
« Comment ça ? »
« Il faudra que tu fasses des choses pour moi. »
« Quoi comme genre de choses ? » Je la connaissais et elle me connaissait. Elle savait très bien là ou je voulais en venir. Je sentais que l’énervement laissait place à l’excitation mais elle ne le montrait pas encore.
« Je veux que tu me donnes ta culotte. ».
« T’as vraiment des problèmes ! J’ai un copain et tu sais que je suis fidèle ! »
« Je sais… Et tout ça restera entre nous ! Sauf si tu refuses et il pourra voir des tutos sur Pornhub pour voir comment te faire jouir ! »
Je bluffais… Je ne l’aurai jamais fait… Mais elle ne le savait pas.
« Si je te la donne, je récupère toutes les clés ? »
« Non ! Une… C’est peu cher payé pour… Tu portes quoi d’ailleurs ? »
Je le savais, je l’avais distingué en rentrant. Un string, couleur sombre sur une robe blanche… Elle l’avait cherché.
Elle hésita… Se leva… Glissa la main sous sa robe et en me regardant dans les yeux, baissa sa main et fit glisser son string le long de ses jambes interminables que j’aimais tant. Elle s’accroupit et ramassa son string. Elle me le tendit. Je lui pris dans les mains et senti qu’il était trempé. Elle me tendit sa main ouverte.
« Donne-moi la clé maintenant ! » Elle reprenait un ton dur, sans doute pour ne pas trahir son excitation. Mais c’était trop tard, je savais qu’elle était trempée.
Je jetais la clé par terre en direction de sa chambre. Elle me regarda d’un air mi outré mi énervée.
« Ramasse là à quatre pattes ! » Si elle le faisait, elle admettait sa soumission… Et elle le savait. On passerait à un autre stade.
Elle me relança un regard furieux se mit à genoux et me tourna le dos. Elle rampa jusqu’à la clé USB me laissant une vue imprenable sur son cul et son sexe. Elle prit son temps, j’avais gagné. Elle ramassa la clé et se releva. Elle brancha la clé et vu que c’était celle où elle était habillée en écolière sexy. Encore deux et ça s’arrêterait.
Elle me regarda assise en face de moi.
« Et maintenant ? »
« Je t’excite ? »
« Non » Elle mentait et j’allais lui démontrer.
« Viens t’assoir à côté de moi ».
Elle se leva, s’assit à côté de moi sur le canapé et rajusta sa robe pour ne rien dévoiler.
« Prouve-le-moi ! »
« Te prouver quoi ? »
« Que tu n’es pas excitée »
Elle savait à quoi je faisais référence. Quelques années avant, j’étais parti à l’étrangers durant plusieurs mois. Nous nous étions alors séparés avant mon départ mais avions gardé, au début au moins, des nouvelles régulières. En revenant à Alençon pour chercher un appartement, je l’avais croisé par hasard dans la rue, sortant de chez quelqu’un que je ne connaissais pas. Je l’avais alors interpellé et lui avais donné rendez-vous chez elle après ma visite d’appartement. Les retrouvailles étaient plus difficiles que nos précédentes ruptures et elle refusait de succomber à mes charmes. Je lui avais alors demandé si je ne l’excitais plus. Elle m’avait dit que si, que ce n’était pas la raison. J’avais alors insisté en lui disant que je ne voyais que ça et que ses conquêtes du moment avaient dû la faire changer d’avis sur moi. Elle avait alors dégrafé son jean, pris ma main et glissé ma main dans sa culotte où j’avais pu constater qu’elle était littéralement trempée.
Elle me regarda dans les yeux et prit ma main. Elle la glissa sous sa robe blanche jusqu’à son sexe. Nos regards ne se sont pas lâchés jusqu’à ce que le dos de ma main atteigne son clitoris. Elle ne gémit pas, se reteint mais ne pu s’empêcher de baisser les yeux. Elle retira alors rapidement sa main pour essayer de garder le minimum de contrôle qui lui restait.
« Donnes-moi une des clés USB maintenant ! »
« Non, je t’ai juste posé une question, il n’a jamais été question que je te donne une clé USB en échange de ce que tu viens de faire ! »
Elle comprit les règles du jeu et ne dit rien. Elle savait qu’il ne servait à rien de discuter et que j’avais toutes les cartes en main.
« Qu’est-ce que je dois faire maintenant ? Tu veux que je te suce ? »
C’est vrai que j’en avais envie. Mais je ne voulais pas gâcher bêtement mes dernières cartes.
« Je te propose de choisir la prochaine clé USB maintenant et qu’on la regarde ensemble. Nous reproduirons ensuite le contenu de la vidéo. »
Elle hésita car elle savait ce qu’il y avait sur les deux dernières clés et je savais qu’il y en avait une qu’elle voulait particulièrement récupérer.
« D’accord mais on ne couchera pas ensemble ! »
« On verra ! »
Elle choisit la clé de gauche et la mis dans son PC. On la distinguait alors assise sur son lit, en string, en train de se caresser. Je lui avais demandé à l’époque de m’offrir ce présent pour mon anniversaire. Elle s’était alors caressée jusqu’à l’orgasme pendant que je la filmais. A la fin de la vidéo, excitée par l’idée de voir sa copine se procurer du plaisir devant moi, je l’avais rapidement pénétrée et jouis en quelques secondes.
Elle se leva.
« Viens, on va dans la chambre ! Mais je te préviens, je sais ce qu’il y a à la fin de la vidéo et on ne couchera pas ensemble ! ».
Je ne dis rien pour ne pas se lancer dans un débat qui risquerait de tout stopper net. Je m’assis sur le bout du lit et elle, adossée au mur en face de moi, comme sur la vidéo. Elle écarta alors ses jambes dévoilant ainsi son sexe. Son sexe était poilu mais rasé court, en triangle, comme je l’adore. Elle commença à se caresser tout en me regardant dans les yeux, comme elle le faisait sur la vidéo. Pour l’avoir regardé une tonne de fois, je la connaissais par cœur. Le plaisir commença à lui venir rapidement, la situation devant l’exciter en tous points. Je l’interrompis alors.
« Sur la vidéo, tu retires ton string au bout de quelques minutes… Puisque tu n’en portes pas, tu pourrais retirer ta robe. »
Elle se redressa et retira par le haut sa robe pour dévoiler son corps nu. Elle reprit ses caresses comme si de rien n’était. Après quelques minutes je l’interrompis à nouveau.
« Sur la vidéo, tu te caresses avec mes doigts si je ne me trompe pas ! »
Elle baissa alors les yeux sur moi, pas gênée par ma demande mais saoulée par mes interruptions. Elle attrapa alors mes doigts et commença à caresser son clitoris avec. Le plaisir montait en elle et se matérialisait par des gémissements et des mouvement intempestifs de son bassin sur ma main devenu son jouet. Elle prit alors deux de mes doigts et leur fit pénétrer son intimité. Elle gémit de plus belle. Son plaisir atteignant bientôt son paroxysme, elle décida de finir à la main, comme cela était fait sur la vidéo. Elle reprit son mouvement circulaire de doigts sur son clitoris ce qui augmenta ses gémissements. L’excitation m’emportant également et étant déjà en érection depuis que je montais les escaliers jusqu’à son appartement, je me mis à genoux sur le lit, en face d’elle, et déboutonnait mon pantalon. Me voyant faire, je m’attendais à des reproches mais elle continua son activité ce qui m’encouragea. Je sorti alors mon sexe devant elle et commença à me caresser. J’étais à califourchon sur une de ses jambes en train de caresser mon sexe à quelques centimètres de son corps lorsqu’elle ouvrit les yeux. Elle me regarda en continuant de se caresser ce qui m’excita de plus belle. Je sentais que son orgasme montait, les mouvements de son bassin n’étant plus cycliques mais anarchiques. Elle ferma alors les yeux et je la senti partir dans un orgasme magistral. Ses jambes se mirent à trembler, son corps à se cambrer et elle poussa un cri d’exaltation comme elle n’en avait jamais poussé. La voyant au comble de son excitation, je ne pu pas plus me retenir et jouis sur son corps nu. Je l’inondai du visage au ventre de mon sperme pendant qu’elle terminait son orgasme.
Après quelques minutes, haletants et reprenant tous deux notre souffle, elle reprit la parole.
« Donne moi les deux clés USB restantes et va me chercher de quoi m’essuyer. »
« Pourquoi je te donnerai les deux clés restantes ? »
« J’ai fait bien plus que ce que je devais. Tu m’as joui sur le visage chose que je t’avais toujours refusé. J’ai joui et tu as joui. On peut arrêter là maintenant ! »
Je lui donnais la première clé, celle où elle se caressait en solo.
« Tu sais que la dernière vidéo est en HD, que c’est la plus longue, et qu’on te distingue parfaitement. Qui plus est, je t’appelle par ton prénom plusieurs fois. Je veux te donner cette vidéo mais il faut que tu la mérite. Tu vas appeler ton copain et lui dire que tu pars chez tes parents pour le week-end, invente quelque chose de crédible. Ensuite, si tu veux la clé, tu m’appartiendras jusqu’à la fin du week-end, nous referons tout ce que nous avons déjà fait ensemble et même plus, tu devras assouvir toutes mes envies et mes fantasmes. Ensuite, nous nous dirons au revoir, et tout ça restera entre nous. »
« Très bien, mais j’espère que ce sont les seules et uniques copies. Donne-moi quelque chose pour m’essuyer. Je n’ai pas besoin de le prévenir, il est en week-end avec des potes. »
C’était donc bien pour moi qu’elle avait mis la robe dans un premier temps.
« Non, tu l’as dit, c’est la première fois que je jouis sur toi comme ça et ça m’excite. Je vais te baiser maintenant on ira prendre une douche ensemble après. »
Je lui attrapais la tête et l’approcha de mon sexe ou elle commença à me sucer. Il ne me fallut pas longtemps avant d’être prêt à la faire jouir à nouveau. Je l’allongeais sur le dos où elle était redevenue mon objet sexuel et moi le sien. Je la pénétrais pour la première fois d’une longue série qui achèverait notre relation, son corps et son visage encore recouverts de mon sperme chaud. Après que nous ayons chacun jouis, nous allions prendre une douche où j’allais lui faire redécouvrir les plaisirs de la langue, la poussant ainsi à jouir une troisième fois sous l’eau chaude. Nous sortîmes alors de la douche. Il était 15H et nous avions tout notre temps afin de réaliser tout ce qui nous passerait par la tête jusqu’à ce que nous nous disions adieu définitivement.

J’espère que cette histoire t’a plu, mon ange.

Désiraë





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