Terma 69 :Ma Femme Et Les Deux Jeunes Maçons Maliens :

Je vais vous conter comment j’ai été un peu cocufié par ma femme avec des travailleurs maliens qui étaient employés comme maçons sur le toit de la maison de mon voisin, juste en face de la mienne. La ruelle entre faisait moins de trois mètres et était presque toujours déserte. C’étaient deux jeunes maliens de 20 à 30 ans qui travaillaient sur les borts du toit juste face au mur de ma maison. Or, sur ce mur, au premier étage, j’avais une chambre à coucher à coté d’une salle de bain, les deux avec des fenêtres moyennes portant sur l’extérieur, donc parfaitement visibles du toit de mon voisin à cause de la ruelle étroite. Donc, du toit voisin, les maliens avaient une vue profonde et complète sur les intérieurs de la chambre à coucher et de la salle de bain, donc sur notre grand lit et toute la douche. Je n’avais pas pris conscience de cela car d’habitude il n’y avait personne sur les toits et ces deux fenêtres étaient généralement fermées.
Étant retraité, je me lève assez tard vers 10h pour me laver, prendre mon café puis sortir en ville. Ma femme généralement se levait bien avant moi, vers 8h pour prendre sa douche et aller à la cuisine. Le chantier du toit durait depuis trois jours déjà. Or, un matin, comme j’avais à faire en ville, je me suis levé tôt et suis entré dans la salle de bain alors que ma femme se douchait encore, derrière le rideau. Et qu’elle ne fut ma surprise en remarquant ces deux jeunes maliens qui nous observaient du toit en face. La fenêtre, du coté douche étant ouverte, je savais qu’ils observaient ma femme toute nue dans la douche. Eux m’ont bien vus et se sont éloignés mais ma femme ne s’était pas rendu compte de ma présence à cause du bruit de l’eau et du rideau de la douche. Alors, j’ai préféré, en douce, me retirer et retourner à la chambre. Puis, j’ai entre ouvert juste un peu la fenêtre de la chambre pour voir les maliens, en face. Effectivement, ils sont revenus à leur position et regardaient ma femme qui se douchait encore.

J’ai eu un drôle de sentiment qui m’a chatouillé le corps presque agréablement. Je ne savais pas si ma femme les avait remarqués et la question restait en instance. Quant j’ai entendu ma femme revenir vers la chambre, je suis retourné au lit.
Quelques moments plus tard, ma femme, habillée, était allé en bas dans la cuisine. Alors, je suis allé à la salle de bain et j’ai constaté que la fenêtre était fermée. Or je sais très bien que le soir, elle était fermée. Donc, ce matin c’est ma femme qui l’a ouverte pour être observée, volontairement nue, sous la douche par les deux jeunes et elle l’a refermée quant elle a fini pour que je ne remarque pas les maliens sur le toit. Et cela doit certainement durer depuis ces trois derniers jours car, maintenant, je me rappelle, ma femme se douchait chaque jour ces derniers temps, ce qui aurait du attirer mon attention. Je n’ai rien dis et j’ai attendu pour le lendemain. En effet, le matin suivant, dès qu’elle est passé à la salle de bain, je me suis levé et j’ai entre ouvert ma fenêtre de la chambre. Les deux maliens étaient sur le mur et regardaient avec avidité vers la salle de bain. J’ai entendu ma femme ouvrir la fenêtre de la douche. Les deux maliens lui ont fait un salut de la main et avec de larges sourires au visage. Ils étaient donc tous d’accord et complices. Puis j’ai entendu la douche qui fonctionnait. J’ai suivi la scène des jeunes observateurs accroupis, quant l’un d’eux farfouilla dans son pantalon et sortit son sexe. Un beau zob noir et déjà gonflé de désir. Ce fut un choc pour moi, mais au lieu d’être fâché, la vue de ce gros zob m’a plutôt excité, alors j’ai continué à observer.
Puis le jeune malien, accroupi sur le bord du toit, présenta son zob debout vers ma femme et le secoua plusieurs fois comme pour lui offrir son salut bandé. Puis il commença à se branler bien visiblement pendant que son copain fouilla, à son tour, dans son pantalon. Une seconde plus tard, j’avais en face deux gros zobs africains, noirs, gonflés et branlés avec force en s’offrant nettement à ma femme.
Une situation excitante même pour moi, alors que pouvait elle être, sinon affolante pour ma femme. Sa chatte devaient couler maintenant de désir sexuel et ses doigts enfoncés dedans jusqu’au poignée. L’eau coulait toujours dans la douche. Les deux jeunes faisaient des gestes tournants de leurs mains libres et j’ai vite compris qu’ils demandaient à ma femme de leur montrer aussi son verso. Elle était peut-être face à eux offrant sa chatte rasée, ses seins, son visage crispé de désir et ses larges cuisses et les jeunes lui demandaient de leur montrer aussi son derrière et son cul. J’imaginais qu’elle écartait ses belles cuisses laiteuses et se branlait la chatte avec vigueur et les yeux hagards de plaisir, face à ces jeunes loups comme pour répondre à leurs gros et longs zobs qu’ils branlaient eux aussi. Ou bien au contraire, elle leur tournait le dos pour leur offrir ses larges fesses blanches et charnues en les écartant pour leur offrir son sillon mystérieux et son anus qu’elle ouvrait avec ses doigts comme pour inviter leurs zobs à la pénétration. Puis, se courbant un peu et écartant ses belles cuisses, elle leur montrait, par-dessous, sa grosse chatte aux lèvres rosâtres qu’elle écartait au maximum avec les doigts pour amplifier sa propre excitation et augmenter celle des deux maliens. Effectivement, les deux maliens levèrent leurs pouces en même temps que leurs zobs dressés à la verticale pour montrer leur satisfaction. Les masturbations passionnées durèrent un bon moment que j’ai suivi avec un désir presque féminin, et enfin, l’un d’eux arriva au plaisir et éjacula en l’air plusieurs fois en montrant bien haut à ma femme le résultat du zob haut debout. Même à cette distance, je voyais nettement et admirait cet engin de chair, monstrueux, gonflé, excitant mon corps et mon esprit. D’ailleurs, depuis un moment, mon sexe bandait à fond, tout seul et je l’ai saisi pour le masser doucement. Soudain, ce fut le second malien qui éjacula à son tour et se mit debout pour bien présenter à ma femme son plaisir explosif.
Un tableau érotique dont je n’ai jamais vu pareil même dans les films porno, surtout qu’il était réel et offert à ma femme et aussi à mes sens affolés. Ce que j’avais vu me suffisait largement, et j’avais peur que ma femme me surprenne ansi, la bite dans la main, le souffle court et la bouche grande ouverte par l’excitation et le désir sexuel.
Alors, fermant doucement la fenêtre, je me suis éclipsé vers le lit de la chambre. Mais dans ma tête, j’avais encore l’image vivante de ces deux maliens debout, leurs gros zobs noirs, gonflés et dressés verticalement par le plaisir sexuel obtenu. Mon corps vibrait encore d’excitation et mon zob me faisait mal tellement gonflé, mais je savais que ma femme allait revenir, alors j’ai essayé de me calmer en m’allongeant sur le lit. Mais mon sexe refusait de se coucher, alors j’ai continué très doucement à le branler lentement sous le pyjama, espérant de ne pas atteindre l’éjaculation tout de suite. J’entendais la douche qui continuait à couler encore un moment. Quelques minutes après et ma femme revint à la chambre comme si de rien n’était. Elle a du se branler puis se nettoyer et se doucher. Elle s’habilla puis descendit à la cuisine au rez de chaussée. Alors, je me suis levé et rejoins prestement la salle de bain. Évidemment, la fenêtre était fermée. Comme je bandais toujours, je me suis branlé rapidement à fond et enfin, j’ai éjaculé. J’ai osé comparer, en esprit, mon écoulement de jus brun avec l’image de ces deux gros zobs noirs gonflés qui projetaient les longs filets de leur sperme blanchâtre, loin, en l’air, et tout cela pour le plaisir de ma femme. Bizarrement, je ne me sentais pas trop fâché pour faire un scandale. Certes, j’étais peut-être mécontent, même un peu furieux contre ma femme, mais l’excitation était telle qu’elle a tout effacée. Après tout, ce n’était qu’un spectacle, comme un film, mais du fait que c’était réel et offert à mon épouse chérie, il devenait un évènement inédit dans notre couple, surtout pour elle.

Le lendemain, j’ai fais exactement comme la veille et les deux maliens, très jeunes et certainement de bonne constitution physique, surtout du sexe, revenaient à la charge et se sont aussi branlés en face de ma femme et ils ont éjaculé abondamment, comme la veille. Je savais que les jeunes m’avaient vus l’autre jour mais trop brièvement pour bien me reconnaitre, et comme je n’avais pas réagi, pour eux j’étais d’accord pour ma femme qui les excitait et acceptait les démonstrations de leurs zobs et éjaculations. Ils avaient, en quelque sorte, la permission du spectacle de leurs zobs offerts à ma femme et même à moi, le cas échéant. Pour eux, et pour moi aussi maintenant, j’étais un cocu. Pourtant c’était la première fois qu’une telle chose m’arrivait et je ne savais pas que mon épouse aimait ce genre de démonstrations. J’étais même presque certain maintenant que si les maliens étaient joignables, ma femme aurait été heureuse de se faire baiser et offrir concrètement sa chatte et son cul à leurs gros et longs zobs noirs. Et comme les séances de ma femme dans la douche continuaient avec les démonstrations des zobs maliens, j’ai décidé d’une autre expérience. Et après deux jours d’hésitations je suis passé à l’action. Dès le lendemain matin, avant même que ma femme ne se lève pour aller à la douche, j’ai quitté le lit pour ouvrir la fenêtre de la chambre, faisant semblant de ne pas voir les deux maliens déjà accroupis sur le toit en face. Puis je me suis rallongé sur le lit pour les observer. Ils m’ont vu mais cela ne les a pas dérangés outre mesure, ils étaient surtout intéressés par ma femme. Seulement, elle, quant elle est allé à la salle de bain, elle n’a pas ouvert sa fenêtre pour les deux compères car elle savait que je les observais de la chambre, donc pas de spectacle pour ce matin. Elle s’est lavée en urgence mais sans se doucher ce jour là et elle est retournée très vite à la chambre, le corps protégé complètement par son peignoir. Les deux jeunes nous observaient toujours.
Alors, je suis passé à l’attaque. J’ai saisi ma femme par la taille et avec énergie et passion, je l’ai enlacée, embrassée et poussée le dos sur le lit. Elle a essayé un moment de me repousser avec des signes de tête et des yeux vers la fenêtre grande ouverte, mais j’ai continué mes baisers et mes caresses. Puis, petit à petit, et malgré quelques résistances faibles de sa part, je l’ai déshabillée entièrement et moi aussi. Puis, tous nus, allongés sur le lit, face nettement aux deux jeunes maliens sur le toit, j’ai fait l’amour à ma femme. Elle, couchée le dos sur le lit et les jambes et cuisses autour de mon dos et moi, monté sur elle, le zob enfoncé dans sa chatte, je la pilonnais avec énergie. Et, sachant que les deux maliens nous observaient, mon excitation s’est décuplée ce qui a aidé mon sexe à rester bandé pour faire honneur à ma femme, heureusement. J’étais sur elle, donc tournant le dos aux maliens, mais ma femme, face à eux, les observait nettement pendant que mes coups de reins la faisait haleter de plaisir. Parfois même, elle criait et quant elle a eu son premier orgasme, elle a crié jusqu’à ce faire entendre par nos observateurs. J’ai même cru un moment qu’ils avaient applaudi au hurlement de ma femme. Mais j’étais pris par le plaisir et j’ai continué. Mon excitation avait été boostée, sachant qu’ils nous voyaient et entendaient nos ébats. Mais comme je savais aussi que ma femme, elle aussi, les regardait se faire baiser, les jambes et cuisses bien levées et écartées derrière mon dos, cette pensée me donnait un plus de désir et mon sexe semblait augmenter de volume. C’est une sensation formidable que j’avais pas eu avec ma femme depuis de longues années. Et grâce à cela j’ai réussi à offrir à ma femme un second orgasme bruyant par son hurlement et le versement de son jus vaginal. Et j’en remerciais les deux maliens et la situation actuelle. La position de ma femme, la chatte totalement offerte, les jambes et cuisses largement écartées, devait les exciter eux aussi, et encore mieux que celle dans la douche. J’entendais les « flop ! flop ! » de nos sexes mouillés qui frottaient entre eux, et les jeunes devaient aussi certainement l’entendre, et j’imagine que leur excitation devait atteindre le maximum et affolait leurs zobs masturbés énergiquement. Pour voir, un moment, j’ai réussi discrètement à tourner un peu la tête vers la fenêtre et je les ai aperçus. En effet, comme prévu, ils étaient accroupis, la bouche ouverte, la bave pendante, secouant énergiquement leurs gros et longs zobs et je les entendais presque haleter en nous observant faire l’amour. Soudain, nous avons entendu leurs deux hurlements ensemble. J’ai jeté un coup d’œil, ma femme aussi les regardait, les deux maliens venaient d’éjaculer en même temps et, presque debout sur le mur, ils tenaient encore leurs zobs tendus, verticaux comme des flambeaux de victoire. Moi aussi, j’ai accéléré mon rythme et très rapidement, j’ai réussi à atteindre mon top en éjaculant par trois fois. Je ne sais pas ce qui arrivait à ma femme, mais mon éjaculation lui a procurée en même temps son troisième orgasme. Et comme prévu, elle s’est accroché à mes reins et a hurlé son plaisir, ajoutant son jus à mon sperme. Peut être parce que la situation était inédite, d’ailleurs aussi pour moi, sa chatte et ses fantasmes ont fait le reste pour lui procurer ces trois orgasmes. C’était, il y a plus de trente ans qu’elle avait ce genre de plaisir multiple durant nos amours. En tout cas, je me suis vidé au maximum dans sa chatte et, quoique mon produit n’était pas comparable à la puissance et abondance des éjaculations vues des jeunes maliens, j’étais assez content et satisfait. Ensuite je me suis allongé à coté de ma femme qui a reposé ses jambes et cuisses sur le lit.
Je regardais les Maliens qui ont repris leurs positions accroupis mais qui tripotaient toujours leurs zobs à découvert. Ils sont insatiables, ces jeunes, mais cela devait faire plaisir à ma femme qui leur faisait toujours face via la fenêtre. Moi je me suis mis à demi allongé à coté d’elle, avec toujours un petit coup d’œil vers la fenêtre, et je lui caressais la poitrine largement découverte. Elle avait des seins laiteux et lourds au bouts presque noirs et très gonflés de désir. Maintenant ma femme regardait ouvertement, franchement les maliens et eux aussi répondirent à cet intérêt qu’elle avait pour eux. Tout en nous observant, je remarquais qu’ils ont repris la branle énergique de leurs zobs bien debout et gonflés. Je remarquais aussi le visage de mon épouse qui rayonnait de plaisir ayant le regard fixé sur les jeunes, la bouche ouverte, le souffle haletant, oubliant totalement ma présence. Elle était en transes et en phase avec les Maliens qui secouaient leurs monstrueux zobs debout. J’avais compris que ce n’était pas ma baise, seule, qui la rendait ainsi, mais le fait d’être en spectacle direct avec le plaisir des jeunes. Elle tripotait sa chatte avec vigueur et haletait tout en restant les yeux hagards fixés sur les zobs maliens. Soudain l’un d’eux arriva au plaisir et hurla son éjaculation qui déclencha aussitôt chez ma femme un hurlement et donc un orgasme à distance. Elle ferma les yeux et se recroquevilla un moment. Puis, quant elle les ouvrit, son regard chercha directement la fenêtre et les zobs maliens. J’ai tourné mon regard vers eux. Il n’y avait plus qu’un seul, celui qui continuait à se branler, toujours accroupi sur le toit. Il secoua encore plus son zob comme un signe envoyé à ma femme, et j’ai remarqué qu’elle avait aussitôt repris, elle aussi, la branle de sa chatte. Ils se branlait en phase, les yeux dans les yeux ou les yeux de chacun vers le sexe de l’autre. Je suis resté tranquille, sans bouger pour ne pas perturber ce tableau inédit, formidable dans lequel j’étais inexistant pour ces deux acteurs. Et après un long moment, le Malien arriva au top et fit signe de la main à ma femme qui accéléra sa branle de chatte en soufflant fort, presque en criant.. Elle s’était presque redressée en partie durant sa branle de chatte et la salive coulait de sa bouche ouverte. Elle était vraiment en transes sexuelles. Soudain le hurlement du malien me fit tourner le regard vers lui et effectivement, il s’était redressé et éjaculait de longs jets de sperme bien haut en l’air. Ma femme cria encore plus fort et soudain elle hurla. Nous avions compris, moi et le Malien qu’elle venait d’avoir son cinquième ou sixième, je ne sais plus, orgasme, même à distance. J’ai regardé le jeune, toujours debout et qui levait son pouce vers ma femme comme pour la féliciter. Ils baisaient à distance ces deux là, plutôt ces trois là. Et moi, j’étais hors secteur, sur la touche. Maintenant l’autre Malien vient de rejoindre son copain, certainement pour jouir de la victoire commune. Alors, pour les laisser gouter leur résultat, je me suis levé et j’ai rejoins la salle de bain, laissant ma femme allongée nue sur le lit et la fenêtre largement ouverte.
Je me suis un peu nettoyé et j’ai ouvert un peu la fenêtre de la douche. Les deux Malien n’étaient plus sur le toit. Alors je suis retourné dans la chambre. Ma femme, toujours allongée, nue et cuisses largement ouvertes, montrant sa chatte brillante de son jus et de mes restes de sperme, semblait dormir. J’ai refermé la fenêtre et me suis allongé sur le lit à coté d’elle. Elle s’est réveillée et m’a regardée. Que pouvait elle dire, tout était clair et j’avais prouvé que j’acceptais la situation. Elle essayait de s’excuser mais je l’ai arrêtée, lui confirmant que son bonheur, son plaisir et ses joies seuls, comptaient pour moi. Ce n’était pas comme si elle m’avait trompée concrètement avec un homme, mais comme une excitation obtenue à la vue d’un film, d’une vidéo porno, à la maison. Nos deux fenêtre n’étaient que des écrans de télé et ce qu’il y a en face, c’était fictif et ce qui se passait ici était seul réel. Elle semblait se calmer et m’a embrassait avec fougue en me remerciant de l’avoir comprise. En réalité, je n’étais pas totalement heureux car, après tout, elle a osé se montrer nue et se masturber face à de vrais hommes, et en plus des étrangers, et a pratiqué ses branles en admirant, rêvant et espérant ces deux gros et longs zobs noirs gonflés. Elle a donc comparé avec le mien et cela n’était pas à mon avantage. Mais au fond de moi, j’ai senti que je lui pardonnais et que j’allais tout faire pour lui faire continuer ce genre de plaisirs à distance. Le chantier sera terminé dans une quinzaine de jours et j’essayais de réfléchir à la manière de satisfaire les désirs de ma femme après le départ des Maliens.
Le lendemain, dès le matin, en pensant aux évènements d’hier, je commençais à bander, ce qui était bien nouveau pour moi. J’étais content et il fallait réagir vite. Je me suis levé pour ouvrir la fenêtre de la chambre et je remarquais que ma femme attendait cela depuis un moment. J’ai donc décidé de lui faire l’amour mais différemment d’hier matin. Nos deux amis étaient en poste et les zobs en l’air et ils se branlaient doucement, attendant nos évènements. Je savais que le fait d’être observé, nu sur ma femme boostait mes désirs et mon sexe. Mieux que cela, j’éprouvais, à cause de cette présence d’observateurs, des sensations étranges mais agréables sur tout le corps. Alors, on a démarré en nous mettant totalement nus sur le lit et rejetant entièrement les draps. Au lieu de la baiser en face, j’ai décidé de contenter sa chatte par derrière. Repoussant ma femme sur le lit, accroupie, la tête sur le matelas et le derrière bien en l’air, je me suis installé à genoux entre ses cuisses et enfoncé mon zob vers sa chatte sous ses fesses. Je faisais beaucoup plus le spectacle pour les maliens que par nécessité de baise réelle. Heureusement mon sexe aidé par la situation est resté assez dur et gonflé. Et rapidement, je l’ai enfoncé dans la chatte douce et chaude à la fois de mon épouse qui bombait du derrière. Ensuite, j’ai démarré ma série de vas et viens en m’accrochant à ses hanches.
Toujours aussi vicieuse, elle avait tourné la tête du coté de la fenêtre, certainement pour voir et être vue par les maliens. Derrière elle, j’ai réussi, moi aussi, à jeter un discret coup d’œil vers la fenêtre. Et encore une fois, les deux maliens étaient maintenant debout et tenaient leurs zobs bien hauts en se masturbant avec énergie. Cela me donna encore un fouet d’excitation et heureusement, une fois n’est pas coutume, j’ai réussi à éjaculer une deuxième fois par trois jets de sperme. Et, fanfaron pour nos invités, j’ai exprès essuyé mon sexe et ses restes de sperme sur les blanches fesses de ma femme, en montrant bien mes gestes aux jeunes observateurs. Puis je me suis rallongé au coté d’elle. Satisfaite du spectacle et du plaisir sexuel, elle s’est levée rapidement et la première chose qu’elle a faite avant d’aller à la salle de bain, c’est de refermer prestement la fenêtre de la chambre. Je n’ai pas compris pourquoi, mais je l’ai vue leur faire un geste complice de la main, puis elle est sortie de la chambre vers la salle de bain. Je me suis levé prestement pour entre ouvrir la fenêtre et observer les maliens. Ils s’étaient accroupis de nouveau tenant leurs zobs toujours à découvert et bandés à première vue. Ma femme a du ouvrir la fenêtre de la douche et commencé sa séance d’excitation car les deux jeunes ont levé leurs pouces traduisaient leur satisfaction du spectacle précédent, puis repris la branle de leurs zobs avec énergie démarrant la séance en cours. Je suis resté un moment à les observer se branler.
Moi, ma prestation m’a un peu épuisé et j’ai préféré me rallonger sur le lit. J’étais quant même un peu jaloux de ces deux gros zobs noirs gonflés que ma femme adoraient à l’extrême jusqu’à en jouir à distance, mais je connaissais par vidéos et oui dire la réputation des sexes africains, en grosseur, en longueur et en puissance. Ce qui est certain, c’est que ma femme doit certainement regretter de ne pas les avoir directement auprès d’elle pour en jouir concrètement et satisfaire sa chatte. De vrais pieux de chair gros, longs, durs et doux à la fois à faire frémir des chattes et des culs. De ce coté du cul de ma femme, je n’avais jamais essayé, mais connaissant maintenant ses désirs et ses secrets sexuels, je vais y réfléchir. En présence de ces jeunes maliens, catalyseurs et amplificateurs de ses excitations, je pourrais tenter de la sodomiser et il est possible qu’elle approuve, mais est ce que je suis capable de la satisfaire par derrière, rien n’est moins sûr. Ah ! si je pouvais mettre la main sur l’un de ces jeunes et l’amener chez moi pour rien qu’une nuit, tout serait possible pour ma femme, par devant et par derrière, mais je ne sais pas comment m’y faire sans créer un problème.
Pendant les jours suivants, je l’ai laissée se faire plaisir dans la douche avec ses deux jeunes observateurs et branleurs. Moi aussi, je les observais en douce de la fenêtre de la chambre et quant ça me faisait bander, je terminais cela en éjaculant ensuite dans la salle de bain. Mais, par deux fois encore, le matin, le désir avait repris dans mon zob, alors on a refait la séance de baise, tous nus dans la chambre, avec la fenêtre ouverte, face aux deux Maliens. Ce fut aussi agréables que la première fois et ma femme a recommencé avec les jeunes la suite de chaque séance par ses transes et ses plaisirs à distance avec eux. Ainsi, elle a eu encore d’autres orgasmes bruyants, en phase avec leurs eux et leurs éjaculations jusqu’à l’étourdissement. Moi j’observais seulement mais c’était tellement érotique et sincère que j’ai eu des frissons agréables dans tout le corps et j’ai rebandé pour aller finir dans la salle de bain. Et, pendant tout le reste du chantier, chaque matin, soit dans la douche soit dans la chambre ma femme et les deux Maliens se sont offert des plaisirs sexuels à distance avec mon entier consentement.

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