Retour De Soirée

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Le mois de Juin était enfin là avec les premiers vrais beaux jours de chaleur, les apéros en terrasse et le rangement définitif des vêtements d’hiver.
Phanie, ma chérie, comme à son habitude était justement en virée apéro du vendredi soir avec ses anciens collègues. Une tradition quasiment, qui si elle me privait d’elle un soir par semaine, était pour elle un moment important de partage et de décompression.
Lorsqu’elle avait quitté notre maison le matin, je l’avais trouvée comme à son habitude, bien jolie avec sa petite jupe fluide qui lui arrivait à mi-cuisses, son petit top bleu assorti et une veste en jean. Elle portait des talons qui mettait en valeur le galbe de ses jambes.
Après ma journée de travail je rentrai donc à la maison content de savourer le début du week end. Phanie m’envoya un sms pour me dire qu’elle quittait également le boulot pour rejoindre ses amis dans un café à Montorgueil. Je lui répondais que j’avais hâte de la retrouver ce soir et que j’avais très envie d’elle. Elle me répondit par un smiley et ajouta que je n’aurai qu’à patienter alors.
Plus tard dans la soirée, je prenais de ses nouvelles. L’envie de son corps, de son odeur, le retour des beaux jours aidant je me sentis autorisé à lui demander si elle pouvait retirer sa culotte avant de rentrer. Nous aimons tous les deux ces petits jeux érotiques. Elle me répondit plus tard qu’elle tâcherait d’y penser.
Le temps passa et il était maintenant 00h30 quand je reçu un appel de Phanie. Sa voix était chevrotante et incertaine et je compris très vite qu’elle avait trop bu. Elle me dit qu’elle n’avait pas assez mangé, confirma qu’elle avait trop bu et qu’elle était à 10mn à pied à la maison. Mais elle ajouta qu’elle ne pouvait plus avancer, que ses jambes ne la portaient plus et me demanda de venir la chercher. Après avoir compris, non sans difficulté l’endroit où elle se trouvait, je lui demandai de m’attendre.


Je descendis les 4 étages de notre immeuble et me dépêchai d’aller à sa rencontre. De loin et malgré la pénombre, je la distinguais, assise sur une devanture de magasin. Arrivé à sa hauteur, elle leva la tête, me sourit et me dis qu’elle était contente de me voir. Je l’aidais à se lever et compris qu’elle était vraiment ivre. Ses jambes se dérobaient sous son poids, pourtant léger, et j’eus beaucoup de peine à la faire avancer. Je passais mon bras autour de sa taille et tentais de la faire avancer. Je commençais à me demander combien de temps il nous faudrait pour remonter jusqu’à la maison et surtout pour gravir les 4 étages de l’immeuble.
Nous avions parcouru une centaine de mètres et je sentais que Phanie se laissait de plus en plus aller. La maintenir debout devenait difficile. En remontant la rue du Faubourg Poissonnière nous avons dépassé un homme qui était assis sur les marches d’entrée d’un immeuble. Il était métis, d’environ 55 ans, les cheveux grisonnants. Sa tenue laissait à penser qu’il n’était pas à la rue mais il semblait lui-même un peu aviné.
La situation devait lui sembler incongrue, car il nous regardait venir à sa rencontre, d’un air amusé. Je m’arrêtais quelques mètres avant lui pour reprendre des forces. Porter Phanie était vraiment épuisant. Il me dit « Ben alors, elle a trop bu ta chérie ? Faut pas la laisser boire comme ça… » et il ponctua sa phrase par un rire un peu gras. Il n’était de toute évidence lui-même plus très frais. Je lui répondis par un sourire. Il ajouta « Une jolie fille comme ça, non mais… » Visiblement, l’homme était encore capable d’observer.
La situation était cocasse et j’y vis une occasion de m’amuser un peu. Phanie était toujours appuyée, affalée devrai-je dire, sur moi. Je la soulevais de nouveau mais cette fois-ci plaça ma main sous ses fesses, de sorte que sa jupe remonta. Nous passions ainsi devant l’homme qui assis eu, une vue parfaite sur les fesses de ma chérie. Lorsque nous passions devant lui, il me dit « Eh attention on voit les fesses de la dame ».
Je tournai la tête et lui souriais. J’en profitais même, tandis que nous le dépassions pour m’arrêter, faisant mine de mieux la supporter et plaça ma main contre sa fesse pour faire remonter sa jupe un peu plus. Là je me rendis compte que Phanie m’avait fait la surprise, comme je lui avais demandé, d’enlever sa culotte.
L’homme malgré son état le constata et me dit « Tu laisses sortir ta femme sans culotte, son petit cul à l’air ? » Et il ria de plus belle. Je me sentis obligé de lui répondre qu’elle m’avait fait une surprise.
« Je vois même sa petite chatte » ajout a-t-il. Effectivement il avait surement une vue arrière parfaite sur son joli sexe, étant assis. J’étais un peu gêné mais à la fois très excité par la situation. « Attends, je vais t’aider » me dit-il « Tu habites loin ? » Je lui répondis que nous habitions à une centaine de mètres d’ci. En temps normal j’aurai refusé l’aide d’un type dans son état mais j’étais déjà épuisé d’avoir quasiment porté Phanie sur une si longue distance et il restait encore les 4 étages à gravir à pied.
L’homme s’approcha de nous et pris Phanie sous les bras. Je la sentais soudain plus légère. L’homme étant plus grand que moi, je lui proposais de prendre Phanie par le dessous des bras et lui par la taille. Il le fit mais je vis qu’il plaça alors sa main sous les fesses de ma chérie par-dessus la jupe.
Je ne dis rien et continua à avancer. Même à deux il était difficile de la porter, tant elle était amorphe. Nous nous arrêtions tous les 2 mètres pour reprendre des forces. A un moment je regardais ou la main de l’homme se posait et vis qu’il l’avait placée sous la jupe. Il avait sa main sur ses fesses maintenant. Je fus surpris mais aussi très excité d’imaginer ou ses doigts s’étaient posés. Nous arrivâmes enfin devant l’immeuble. Je composais le code et ouvris la porte. A ce moment précis, je ne me voyais pas monter les 4 étages et en fit part à l’homme. J’étais un peu rétif à l’emmener jusque devant notre appartement mais il m’était d’une grande aide.

Il me répondit que ça ne lui posait pas de problème et ajouta que ce n’était pas tous les jours qu’il pouvait porter une aussi jolie demoiselle.
Nous commencions à monter les escaliers avec beaucoup de difficultés. Nous cherchions le moyen de pouvoir porter Phanie à deux et décidâmes que je la prenais sous les bras et lui par les jambes. J’étais conscient que dans cette position l’homme avait une vue directe sur le sexe de mon amour. Je remarquai d’ailleurs qu’il ne se privait pas et que son regard était maintenant fixé sur son entrejambe. C’est lui qui me fit la remarque « Elle est toute rasée ta femme, ça donne envie ». Sa voix accusait son état d’ébriété. Je ne répondis pas. Arrivés au 2eme étage, nous posâmes Phanie pour reprendre des forces. Quand nous repartîmes je décidais de changer de sens pour faire face aux escaliers. Quand je me retournais l’homme avait repris Phanie non pas par les jambes mais par le dessous des fesses, de sorte que je vis ses grandes mains noires entourer le petit cul de ma chérie mais surtout que son index et son majeur étaient maintenant en contact de son intimité. Le début de son index écartait légèrement les petites lèvres.
Nous arrivâmes enfin sur le palier de l’appartement. J’avais le choix de remercier notre homme mais je me dis qu’il pouvait m’aider à porter Phanie jusqu’à notre lit.
Nous rentrâmes dans l’appartement et arrivés à notre chambre, nous posâmes Phanie sur le lit et sur le ventre. Elle dormait de tout son saoul. Je me demande même si elle avait la moindre idée de l’aide que nous avions reçue.
Cette situation était extrêmement excitante et voir l’homme debout devant ma chérie allongée, amorphe sur le lit, me donnait des idées salaces.
Je décidais de demander à l’homme de m’aider à la déshabiller. Il ne se fit pas prier et c’est lui qui lui enleva ses chaussures, descendit sa jupe découvrant ainsi son petit cul qu’il avait maintenant sous les yeux. « Elle est belle ta femme » me dit-il.
Je le remerciais de ce compliment. Il enleva maintenant son haut et dégrafa son soutien-gorge. Phanie, toujours endormie et saoule se laissa faire. Toujours allongée sur le ventre, et malgré la pénombre de la chambre, elle offrait à notre vue la beauté de son petit corps. Ses jambes légèrement écartées laissaient entrevoir sa fente rasée.
L’homme se tenait toujours à genoux au pied du lit et scrutait son postérieur avait un air de gourmandise et de perversion.
Décidé à le remercier pour l’effort fourni, je lui laissai l’opportunité de profiter du spectacle en lui indiquant que j’allais chercher une bassine au cas où Phanie serait malade et lui demandai s’il voulait quelque chose à boire. Il me répondit qu’une bière ne serait pas de refus.
Je prenais mon temps pour revenir et me rapprochais sans faire de bruit de l’entrée de la chambre. Je passais une tête et vis que l’homme avait maintenant sorti son sexe et se masturbait lentement.
Cette vision m’excita au plus haut point. Je fis quelques pas en arrière et toussa pour signifier mon arrivée. Quand j’entrais dans la chambre l’homme avait rangé son sexe mais je vis que sa braguette était restée ouverte. Je remarquais aussi que les jambes de ma chérie étaient beaucoup plus écartées qu’avant mon départ pour la cuisine. Son sexe était maintenant ouvert, comme prêt à recevoir. Je lui tendis la bière. Il but de longues gorgées sans dire un mot, tout en continuant à reluquer le cul de Phanie. Il s’assit sur le rebord du lit et posa délicatement une main sur la fesse blanche de mon amour. Il me regarda et me dit « ça fait longtemps que je n’ai pas vu un aussi joli petit cul » « Elle a la peau douce ta femme »
Je le remerciai de m’avoir aidé et lui dit que j’allai maintenant prendre une douche et me coucher. Il me dit qu’il pouvait surveiller Phanie pendant que je prenais ma douche. « On ne sait jamais » dit-il. Je trouvais la demande culottée mais habile. J’acceptais, un peu embarrassé tout de même. Je pris mon caleçon de nuit, sorti de la chambre et alla à la salle de bain. Là je fis couler l’eau de la douche mais revins sur mes pas. Je me plaçais dans l’entrebâillement de la porte. L’homme avait de nouveau sorti son sexe qui était maintenant totalement bandé. Enorme. Il est possible que les dimensions des noirs ne soient pas une légende finalement.
Je le vis écarter encore un peu plus les jambes de Phanie et rapprocher son sexe de son sillon. Je vis qu’il en frottait le bout contre le sexe de ma chérie. Phanie ne disait rien, toujours endormie.
Je me demandais si je devais intervenir mais j’avoue que l’incongruité de la situation mélangée à l’excitation me poussait à rester voyeur de la scène. L’homme s’approcha encore un peu plus et je compris qu’il était maintenant en train de pousser son sexe dans celui de mon amour. Phanie qui jusque-là était restée muette, laissa échapper un soupir. Il avait conscience, surement, que la réveiller aurait couper court à toute étreinte, alors je le vis entrer en elle tout doucement, sans à-coups.
Il s’était enfoncé en elle entièrement maintenant et commençait à imprimer un lent mouvement de va et vient.
Je voyais le visage de Phanie qui, endormi, montrait des signes de plaisir. Sa bouche s’était ouverte et laissa cette fois-ci échapper un « ouiii ».
L’homme se senti encouragé par cette approbation et ses mouvements devinrent plus profonds mais jamais brusques. Je bandais devant cette scène. Je voyais le long sexe noir entrer et sortir de la petite chatte de mon amour et ses fesses écrasées chaque fois que le bassin de l’homme venait à leur rencontre. Il la possédait maintenant et la prenait de toute sa longueur. Phanie soupirait très fort malgré son état et ses soupirs étaient mêlés de mots confus. Il était certain qu’elle prenait du plaisir à recevoir cette bite au fond de son ventre. Je vis l’homme accélérer le mouvement puis se retirer d’un coup et branler son énorme tige au-dessus du cul de Phanie. Il appuya le bout de son sexe sur ce que j’imaginais être son petit trou et tandis que son visage se crispa j’imaginais qu’il se vidait sur le cul de ma chérie.
Je reparti dans la salle de bain, pris très rapidement une douche. Quand je revins dans la chambre l’homme avait disparu.
Je m’approchais de Phanie toujours amorphe et constatais qu’il n’y avait aucune trace du plaisir de l’homme. Je pensais qu’il avait nettoyé toute trace de ses méfaits avant de partir.
Je pris Phanie par les jambes pour la placer dans le bon sens du lit et la recouvrir de la couette. En écartant ses jambes, je vis sortir de son cul un peu de liquide blanc et compris enfin. L’homme avait pénétré son petit trou pour se répandre en elle. Je ne compris pas comment Phanie n’avait pu rien sentir vu la dimension du sexe de l’homme mais le fait est qu’il l’avait prise comme il le souhaitait.
Allais-je lui raconter cette aventure ? Ne s’était-elle rendu compte de rien vraiment ?

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