Une Erreur Qui Coute Cher
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Lhistoire débute par une nuit dété étouffante, je suis seule chez moi, mon mari est en déplacement pour la semaine et les s sont en vacances chez leurs grands parents.
Impossible de dormir avec cette chaleur, je tourne en rond dans lappartement, lhumidité laisse des perles de sueur sur ma peau, je suis pratiquement nue juste une culotte blanche.
Je suis vautrée dans mon canapé, une bouteille de vin blanc sur la table basse et je surfe au hasard sur ma tablette.
Rien de bien passionnant, je lis mes mails et comme souvent dans les spams je trouve des annonces pour des choses dont je nai pas besoin, des offres pour des prêts, etc.
Il y a même des publicités pour des sites de rencontres plus ou moins pornos.
Je me resserre un verre de vin et clique au hasard.
Je tombe sur un de ses sites, par curiosité je décide de voir ce quils proposent.
Je nai connu quun seul homme, mon mari et je ne lai jamais trompé, notre vie sest peu à peu transformée en routine mais cela me convient nayant jamais été attirée par les choses du sexe.
Je ne sais trop pourquoi je me lance sur ce site mais bon cela peut être amusant et puis je veux voir si à 45 ans je peux encore plaire.
Commençons par remplir un profil : Brune cheveux mi longs, 1m66, 53 Kg,
.
Dès que ma fiche est validée je suis submergée de messages, visiblement il ny a pas que moi qui ait du mal à trouver le sommeil.
Je me resserre un x ème verre et mamuse à répondre, les messages deviennent vite plus que suggestifs, mais cela mamuse et je joue le jeu de mes admirateurs du soir.
Un rayon de soleil me réveille, jai un peu mal à la tête et en voyant la bouteille de vin blanc vide je comprend pourquoi.
Jai dû mendormir sur ce canapé et je nai aucun souvenir de ce qui sest passé, jai vraiment dû avoir trop chaud car ma culotte est sur le sol.
Ma tablette est encore allumée et je me rends compte que la webcam est branchée et que joffre une vue intégrale de mon appartement.
Je coupe tout ça et décide daller prendre une douche pour me remettre les idées en place.
Je suis à peine sous leau que lon sonne à la porte, je maudis limportun mais jenfile un peignoir et encore mouillée je vais ouvrir.
Cest mon voisin du dessous, un bellâtre quinqua parfois croisé dans lascenseur, tout à fait le genre dhomme que je naime pas, mais bon je suis polie et bien élevée.
- Bonjour chère voisine, je ne vous dérange pas au moins ?
- Non je sortais juste de ma douche, en quoi puis je vous aider ?
- Cest un peu délicat à expliquer, puis je entrer ?
- Je vous en prie asseyez vous vous voulez un café ?
- Avec Plaisir.
Je reviens avec deux tasses, un café va me faire du bien à moi aussi.
Il est assis sur le canapé et a un sourire narquois que je naime pas du tout.
- La nuit a été difficile, dit-il en regardant la bouteille vide.
- Oui avec cette chaleur impossible de fermer lil, mais je ne sais toujours pas ce que vous désirez.
- Moi aussi jai veillé tard et je dois dire que je ne lai pas regretté.
- Ah bon mais excusez moi si je suis un peu brusque jai mille choses à faire si vous en veniez au but de votre visite.
- Disons que jai beaucoup apprécié un spectacle que vous avez donné cette nuit.
- Pardon, je ne vois pas de quoi vous voulez parler.
- Je suis sûr que vous allez comprendre, Jétais moi aussi sur le site et je dois dire que jai été surpris de voir ma voisine si sage et réservée se lâcher devant des inconnus.
Je rougis malgré moi.
- Vous devez faire erreur, si cest pour me tenir ce genre de propos je vous demanderai de bien vouloir me laisser.
- Je me doutais bien que vous auriez ce genre de réaction, aussi jai apporté quelques clichés qui devrait vous rafraichir la mémoire.
Et il me tend une série de photos où lon me voit nue dans des poses provocantes.
- La mémoire vous revient ? Jai même imprimé les dialogues et de tels mots dans une aussi belle bouche sont plus quexcitant.
- Ravie que cela vous ait plus mais maintenant il faut me laisser, sortez.
- Tout doux ma belle, tu te doutes bien que si je suis venu te voir ce nest pas uniquement pour faire la causette.
- Moi je nai pas envie de discuter avec vous, sortez je vous en prie.
- Avant tu vas mécouter, je suis certain que dans limmeuble ils seraient choqués de savoir que la si sage voisine du 5 eme est en vérité une petite trainée qui sexhibe sur internet et qui se branle avec une bouteille devant des inconnus.
Là je dois dire que jai du mal à encaisser, je me tasse dans le canapé, le tutoiement et le ton quil emploi mont surprise mais je nai plus trop la force de réagir.
- Voilà tu vas comprendre, Si mes informations sont exactes tu es seule cette semaine, donc cela offre des perspectives intéressantes.
Je suis de plus en plus décontenancée et tout à coup je commence à craindre le pire.
- Jai une proposition à te faire, tu es libre de refuser mais si cest le cas ces jolies clichés seront affichés dans lentrée de limmeuble et au delà des voisins jai bien peur que ta petite famille modèle napprécie pas.
- Je vous écoute mais sachez que je nai pas dargent à vous donner.
- Qui parle dargent, jai envie de bien mieux que ça. Tu vas vite comprendre, Donc tu es seule cette semaine et je te propose dêtre à moi pendant tout ce temps.
- Comment ça à vous, vous êtes fou !!!
- Je vois que tu saisis ce que je veux dire, tu seras à ma disposition cette semaine, tu devras obéir à toutes les demandes.
- Nimporte quoi, vous êtes un gros malade.
- Il va falloir changer de ton ma petite dame parce que tu nas pas vraiment le choix, mais comme je suis bon prince je vais te laisser une heure pour réfléchir, je vais partir mais je reviendrai, si tu ouvres cest que tu acceptes sinon les photos seront affichées, une derniere chose si tu acceptes mon offre tu devras ouvrir en étant complètement nue.
Sur ce il se lève sans un regard et quitte mon appartement en claquant la porte.
Je reste prostrée me demandant comment me sortir de cette situation. Comment ai-je pu être aussi stupide, il ma à sa merci et il le sait.
Je tourne toutes les possibilités dans ma tête mais je reviens toujours aux photos et à ma réputation, je risque de tout perdre
.
Lheure passa rapidement, jétais sous le choc.
Lorsque la sonnerie de la porte dentrée retentie, je me levais sans réfléchir, laissais tomber mon peignoir et allais ouvrir.
Le regard de lhomme devant ma nudité me gêna mais il était trop tard pour reculer.
- Je vois que tu as pris ta décision, je sens que nous allons bien nous amuser.
Il entra sans me toucher et sinstalla dans un fauteuil.
- Viens devant moi, écartes les jambes et mets tes mains dans le dos, baisses la tête.
Le ton était sans appel et je me surpris à obéir.
- Bien, Ecoutes moi attentivement. A partir de maintenant tu mappartiens pour la semaine, tu devras rester nue chez toi à mattendre, interdiction de sortir, je tapporterai de quoi manger, je pourrais venir quand bon me semblera.
Je lécoutais avec effroi, mais à quoi bon protester il me tenait.
- Tu dois mappeler Monsieur, bien sur, tu peux arrêter quand tu veux mais tu connais les conséquences. Tu as compris ?
- Oui.
- Tu commences mal je tai dit de mappeler Monsieur.
- Oui Monsieur.
- Voilà qui est mieux, maintenant on va voir si tu es vraiment la petite salope que je crois. Tourne-toi et penches toi en avant.
Je ne pouvais plus refuser et puis la boule au ventre que je ressentais se transformait peu à peu en excitation.
- Joli petit cul, penches toi plus et écartes tes fesses avec tes mains.
Cette position dégradante faisait de moi un jouet sans volonté, je ne contrôlais plus rien, jétais la chose qui obéissait sans autre désir que dobéir.
- Décidemment tu me plais beaucoup, je vois un gros potentiel en toi.
Je ne sais trop pourquoi mais je laissais échapper un merci Monsieur dune toute petite voix, cette fois jabandonnais toute pudeur.
- Bien salope, mets-toi à quatre pattes fais le tour du salon et viens te positionner devant moi et vite.
Sans hésiter, je me mis dans cette position, je commençais à mouiller, le fait de mexhiber comme une chienne et de ramper à ses pieds me mettait dans un drôle détat.
- Maintenant tu vas embrasser mes chaussures.
- Oui Monsieur.
Retire mes pompes et mes chaussettes sale chienne tu vas lécher mes pieds.,
Je mexécutais, Ses pieds nétaient pas très soignés mais je léchais avec application.
- Prends les dans ta bouche, suces les comme si tu suçais une bite, je suis sûr que ça texcite grosse pute.
Je nétais plus rien, jenfonçais les pieds de mon bourreau le plus profondément possible, jétouffais et bavais mais mon seul but maintenant était de lui faire plaisir.
- Vraiment un fort potentiel, ma voisine si distante et froide en train de me bouffer les panards, je ne pouvais rêver mieux. Maintenant arrête je vois bien que ça te plait je nai pas envie que tu prennes plus de plaisir que moi. On va passer aux choses sérieuses.
Jabandonnais les pieds de mon voisin et instinctivement je restais à genoux mains dans le dos.
- Tu es née pour être soumise, Dégrafes mon pantalon et retires le.
- Oui Monsieur je suis votre soumise.
Voilà que maintenant je devançais ses demandes, je ne me reconnaissais plus.
- Je ne te tai pas autorisé à parler connasse. Lèches mon zob au travers du slip, voyons si tu es capable de me faire bander.
Je passais ma langue tout le long de son sexe, malgré le tissu je sentais son sexe grossir sous mes caresses.
- Baisses mon slip avec ta bouche et lèches ma bite comme une petite chienne.
Je du my reprendre à plusieurs fois mais lorsque quenfin je libérais son engin je ne pus mempêcher de le prendre en bouche.
- Je ne tai pas dit de sucer sale pute je tai dit de lécher.
- Pardonnez moi Monsieur. Et je commence à lécher ce sexe sur la longueur en mappliquant
- Tu es vraiment bonne, passe ta langue partout et noublies pas mes couilles.
Je gobais en salivant, jétais de plus en plus excitée, javais envie quil me prenne mais visiblement il avait dautres plans.
- Maintenant tu va me demander lautorisation de me sucer.
- Puis je vous sucer Monsieur.
- Vas y salope et ne me déçois pas.
Dhabitude je naime pas trop ça, mais là je voulais lui montrer que la petite bourgeoise pouvait le faire monter au ciel.
- Attarde-toi sur le gland, passes ta langue et surtout gardes tes mains dans le dos je ne veux que ta bouche.
Il commençait à perdre le contrôle et jétais fière de sentir monter le désir en lui.
Il mattrapa les cheveux et me força à engouffrer son sexe au fond de ma gorge, je ne pus contenir un haut le cur mais je continuais à monter et descendre le long de ce sexe.
- Je veux que tu étouffes, tu baves comme une grosse chienne.
Des filets de salive coulaient sur mes lèvres, sur mon menton et sur mes seins mais je ne lâchais rien et sa main sur ma tête me faisait accélérer le mouvement. Lorsquil jouit contrairement à dhabitude je le gardais entre mes lèvres. Il me repoussa violemment et pris ma tête entre ses mains.
- Ouvre ta gueule petasse je veux voir mon jus. Maintenant tu vas avaler.
Jouvris grande ma bouche lui montrant le liquide blanc qui était la preuve que javais été à la hauteur. Même si je ne pus retenir une grimace de dégout javalais semence.
- Tu en as fais tomber sur le sol, tes vraiment dégueulasse, nettoies avec ta langue.
Je me baissais et commençais à laper le sperme sur le parquet. Javais de plus en plus envie quil me baise mais il me repoussa avec ses pieds me faisant tomber nue sur le parquet.
- Tu as réussi ton examen de passage, cest tout pour aujourdhui la prochaine fois je moccuperai de tes autres trous.
Il se rhabilla et sans un regard et quitta mon appartement, me laissant là étendue sur le sol avec mon désir.
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