Jordan - Sodomie
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Le jeudi suivant, jétais arrivé un peu en avance à lentraînement. Jordan sest pointé un peu après moi.
Il a fait en sorte de méviter. Jai pas pigé pourquoi. Je lai rattrapé.
Il avait pas intérêt à me faire faux bond, le pédé. Javais trop envie de le niquer de nouveau.
"Quest-ce qui te prend ? Tu mévites maintenant ?"
"Oui, je crois quon va en rester là."
"Ah bon, et pourquoi ? Depuis quand cest toi qui décide ?"
"Écoute, je te trouve très bandant. Mais javais envie dun plan cool, de découvrir le sexe avec un mec comme toi. Pas dêtre traité comme une merde."
Il se rebellait, le pédé ! Cétait pas pour me déplaire dailleurs.
Je sentais ma teub qui commençait à gonfler sous mon survêt.
Mais évidemment il nétait pas question de laisser passer.
Cétait pas une salope comme Jordan qui allait décider.
Maintenant que je lavais niqué, il était à moi.
Et cest seulement quand jen voudrais plus que cest moi qui le jetterais.
"Bon, je texplique. Dabord, tavais quà pas me draguer comme tu las fait.
Cest toi qui ma cherché.
Ensuite, je tavais prévenu, les plans love cest avec ma meuf.
Les pédales comme toi, la seule chose qui mintéresse, cest leurs trous.
Et cest pas toi qui décides comment je te baise quand jen ai envie.
Alors, pour cette fois-ci je vais être cool. Je t'ai dit que je voulais essayer ton cul.
Donc tu vas bien le nettoyer quant tu prendras a douche et après tu me l'offriras pour que je nike.
Je suis sûr que tu vas aimer. Maintenant, je te force pas.
Des pédales dans ton style, jen lève autant que je veux sur le net.
Et les potes ils vont bien se marrer quand ils sauront que t'as peur de mon zob."
"Tu vas pas leur en parler quand même ?"
"Pourquoi, ça te gêne ? Tes vraiment une fiotte.
Je lai laissé là, planté comme un con.
À la fin de lentraînement, il est revenu me voir.
"Écoute, Kevin, excuse moi. Je te kiffe vraiment, tu sais. Mais en même temps, c'est pas comme ça que je voyais les choses.
Mais je suis prêt à recommencer. Quand tu veux. Tout de suite si tu veux. On peut aller chez moi.
Mes parents me payent un studio, cest à dix minutes à pied. On pourra se doucher chez moi."
"OK, je te suis."
Sa « rébellion » navait pas duré. Surtout, les règles étaient désormais posées. Il était à moi, et cétait moi le Mâle. Javais bien lintention den profiter.
Son studio était à côté. Plutôt grand, un canapé lit, un bureau, un fauteuil, un coin cuisine.
Parfait comme baisodrome. Je me suis installé dans son fauteuil, en écartant les cuisses.
"Commence par te foutre à poil. Ensuite, tu viendras tagenouiller pour me montrer comment tas envie de mon zob."
Jordan sest déshabillé. Son sexe était déjà en érection.
Puis, il est venu se mettre à genoux entre mes jambes et a commencé à me caresser lemplacement du sexe.
"Embrasse le, après tu snifferas et tu pourras lécher.
Jai baisé hier avec ma copine et jai pas pris de douche ce matin, pour que tu puisses bien profiter de l'odeur."
Il sest comporté comme je le lui avais demandé.
Une vraie lope, ce mec. Ça ma fait bander direct.
"Cest bien, tas pigé quelle était ta place. Un pédé, ça doit vénérer le sexe des Mâles.
Et je suis sûr que taimes ça, hein salope ?"
"Oui, jaime ça et jen ai envie, putain."
"Tinquiètes, je vais bien te la mettre. Tas rien à boire ?"
"Si, excuse moi. Tu veux quoi ? Jai du jus dorange, du coca ou la bière ?"
"Sers moi une bière."
Il a été au frigo, a ouvert une bière et me la versée dans un verre avant de me lapporter.
Jen ai profité pour lui mettre la main au pacson.
"Tes bien monté pour un pédé et tas de belles couilles."
"Merci, Kevin."
Je les ai serrées, pas trop hard, mais suffisamment pour quil couine.
"Mais cest des couilles de pédé, et elles sont à moi.
Comme tout le reste, comme ton corps et tes trous. On est bien daccord ?"
"Ca fait mal, Kevin. Mais oui, je suis à toi. Je t'aime, j'ai envie de toi.
Excuse moi encore pour tout à lheure. Jai compris la leçon."
"Cest bien. Va prendre ta douche maintenant. Et assure toi que ton cul soit nickel."
"Tu viens pas avec moi ?"
"Non, je vais te laisser profiter de mon corps et mon odeur.
Quand tu te seras douché, tu me décrasseras avec ta langue.
Et profite pas de ce que tu seras seul sous la douche pour te branler."
Pendant quil prenait sa douche, jai tranquillement fini de siroter ma bière.
Il sest repointé quelques minutes plus tard, le corps encore humide, la queue raide.
"Dessape moi."
Il sest approché de moi, ma enlevé mon tee shirt.
"Suce moi les tétons, jaime ça."
Il a obéi, et a commencé à me les lécher, avant de les sucer doucement.
Je lai laissé faire, le temps quils durcissent sous ses caresses.
Ensuite, jai posé la main sur sa tête.
"À genoux, enlève mes pompes et mes sox et sniffe le slob avant de me lenlever.
Il doit bien puer le Mâle et je suis sûr que tu vas aimer."
Il sest exécuté et je me suis retrouvé nu à mon tour, le sexe dressé.
Jordan a commencé à le lécher, en commençant par mes couilles, comme une bonne petite pute.
"Tu veux quon aille sur le lit ?"
"Ouais, ça sera plus cool."
Il a ouvert le canapé lit et sest allongé. Je me suis couché sur le dos, à coté de lui.
Jai mis mes mains sur ma tête.
"Décrasse-moi les aisselles, bâtard !"
Après mavoir léché longuement les poils sous les bras, il sest occupé du reste de mon corps, des tétons aux panards (qui devaient être bien odorants), en finissant par mon sexe.
Ma touffe et ma queue puaient un max, résultat de mes ébats de la veille avec Marie, avec en plus lodeur de sa mouille à elle.
Il ma longuement nettoyé, prenant successivement mes couilles et mon zob en bouche, finissant par mon gland, déjà bien trempé, léchant ma mouille jusquà la dernière goutte avant décraser sa tronche sur mon pubis pour bien le humer.
Pas dégoûté, le bâtard.
Je me suis retourné sur le ventre.
"Lautre côté, maintenant."
Il a recommencé à me décrasser, la base du cou, le dos, ré-insistant sur les aisselles, me léchant les fesses.
"Bouffe moi la rondelle !"
"Mais cest dégueulasse."
"Ta gueule. C'es justement cest pour ça quil faut que tu me la nettoies."
"Sil te plait, jai vraiment pas envie. Pas ça"
Il me gonflait, le pd. Je me suis retourné et je lui ai envoyé mon poing dans la tronche.
"Jen ai rien à foutre de tes envies. Tu obéis !"
Il sest exécuté, sans moufter davantage.
"Suce la !"
"Je dois faire quoi ?"
"Ce que je tai dit. Tu me lèches le trou, tu suces, tu aspires avec ta bouche et tu rentres ta langue. Tas vu, je suis sympa, jautorise même un pédé à me pénétrer, mais seulement avec sa langue."
Il a obéi. Putain, ce que cétait bon.
Ça mexcitait grave. Jamais jaurais osé demander ça à Marie, cétait trop dégueu.
Mais lui cétait quune fiotte. Jen avais rien à foutre de lui.
La seule chose qui comptait, cétait mes envies à moi, mon plaisir.
Il ma bouffé le cul un long moment. Quand il a fini, mou trou était nickel.
Et javais une trique denfer. Jai bougé, je me suis retourné. Lui aussi bandait.
Pas dégoûté le bâtard. Cétait vraiment une pute.
"Je vais te tirer direct maintenant."
Il a pas reparlé de capote.
Et comme jétais cool, avant de le mettre, je lui ai craché sur le fion,
histoire de le lubrifier un minimum.
Et je lai défoncé. Il a quand même gueulé quand je lui ai rentré ma queue et cest vrai quil était super serré.
Mais cétait dautant plus jouissif pour moi.
Il a fallu que je me maîtrise pour pas gicler trop vite.
Mais ça je sais faire. Quand je sentais que jallais partir, je me retirais quelques instants, avant de remettre ça, en le défonçant ensuite encore plus profond.
Après lavoir bien limé, je suis ressorti une dernière fois.
"Prends moi en bouche maintenant. Je veux te jouir dans la gueule."
Là, cétait carrément trop bon.
Jai craché presque tout de suite, plusieurs fois de suite, à longs traits de foutre.
"Avale !"
Je lui ai ensuite fait me décrasser le zob bien à fond, je me suis rhabillé et je me suis cassé.
Avant, jai eu le réflexe de lui demander son phone, je lavais pas, et je lai noté sur le mien.
Jétais pas vraiment en avance, mais bon mes vieux avaient lhabitude.
Sur le chemin, jai repensé à la séance avec Jordan. Javais les couilles total à sec.
Mais jétais plutôt content de moi. Javais maté sa minable tentative de rébellion.
Il connaissait maintenant les règles du jeu et savait qui décidait.
En plus, il montrait un vrai potentiel comme lope.
Lavantage, avec un pédé comme lui, cest que je pourrais essayer des trucs que joserais jamais proposer à Marie.
Avec elle, je faisais lamour, je veillais à lui donner du plaisir, il était pas question de juste la baiser.
Avec Jordan, cétait différent. Cétait juste une pédale dont javais rien à foutre.
Et comme je le sentais grave accro, jallais pouvoir moccuper de le prendre en mains sérieusement. Juste avant de rentrer, je lui ai passé un sms :
Je lui ai envoyé un sms.
"Ça va, salope ? Ten as encore envie de mon zob? Quest ce quon dit à son mec?"
"Merci Kevin. Oui, j'en ai envie. On remet ça quand tu veux. Merci"
"Tu tes branlé, pédé?"
"Oui, en pensant à toi. Jai joui tout de suite"
"Tu vois que je suis sympa. Je permets même à ma pute de se branler.
Alors que jouir, ça devrait être uniquement réservé aux mâles."
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!