La Vie Dissolue D'Une Bigote 5 : Une Séparation Et Une Maîtresse.

Avec ma fiancée, nous avons pris un appartement et ne sommes plus hébergés chez ses parents. Cela n’empêche pas mes relations avec Geneviève. Je vais souvent lui rendre visite. Parfois je l’accompagne pour un déplacement et une chambre d’hôtel cache notre relation semi-ueuse.
Cinq ans passent ainsi. Geneviève se partage entre Pierre et moi. Petit à petit, malgré tout nous espaçons nos rencontres. Le mariage est prévu dans une quinzaine de jours. Alors que je suis seul dans notre appartement, Geneviève vient un matin, comme il lui arrive régulièrement pour porter des affaires. Ce jour là semble-t-il, elle s’est habillée plutôt sexy, même si pour elle cela n’est pas très visible. La connaissant bien, je note qu’elle a choisi une robe assez moulante et lorsqu’elle retire sa veste, anachronique en cet été, je devine qu’elle n’a rien dessous. Je fais celui qui n’a rien remarqué et lui propose de boire un café. Elle acquiesce, alors qu’elle n’en prend jamais en dehors des repas. Je la laisse venir, sentant son embarras mais ne fais rien pour l’aider. Je la sens nerveuse.
« Je ne vous dérange pas au moins ?
Pas du tout ! Mais vous-même, - j’ai maintenant pris l’habitude de la vouvoyer en dehors de nos « relations intimes » - vous allez quelque part ?
Je… Non… Je passais simplement vous voir.
C’est gentil ! » Le silence se réinstalle.
Jean !
Oui ?
Je voulais vous dire… Vous allez officiellement devenir bientôt mon gendre.
Officiellement, oui.
Nous… Nous ne… Pouvons plus… Continuer…
Continuer quoi ?
Vous le savez très bien…
Je veux vous l’entendre dire !
Monstre que vous êtes ! Jusqu’au bout, vous voulez m’humilier !
Mais tu aimes Ça salope ! D’ailleurs, je crois que tu mouilles fort maintenant ! C’est la première fois que tu viens t’offrir ici !
Et la dernière ! Oui ! Je veux que vous me baisiez ! Que vous baisiez votre salope de belle-mère ! Vous êtes content ?
Mais bien sûr salope ! Mais pourquoi la dernière aujourd’hui ?
Vous savez bien ! Votre mariage est dans quinze jours ! Ensuite, cela ne sera plus possible !
Ah ! C’est ça qui te tracasse ?
Vous comprenez ? C’est ma fille tout de même !
Parce que jusqu’à présent, cela n’était pas un problème, mais à partir du moment où on officialise, c’est différent,
V… Voilà !
Tu es bien une coincée du cul ! Même si je te l’ai travaillé.

Ta morale dépend de ce genre de chose de façon bizarre. Ne t’inquiète pas ! D’abord, puisque c’est la dernière, je vais te déboiter par tous les trous, en plus je vais te baiser dans mon lit conjugal, comme je t’ai baisée dans le tien.
Ensuite puisque tu le veux ce sera fini entre nous. Sache que cette décision vient uniquement de toi et que tu en seras sûrement la plus punie.
Je… Je le sais ! Mais je dois le faire ! Nous devons le faire !
C’est bien belle-maman ! Maintenant, enlève ta robe ! Tu vas finir par la tâcher avec le jus qui doit couler de ta chatte !
Mais… Quelqu’un peut venir !
Oui ! C’est pour ça que l’on va monter à l’étage ! Mais je veux te voir à poil dans cette pièce. Tu monteras ensuite devant moi. J’aurais ainsi le beau spectacle de ton gros cul qui monte l'escalier et un souvenir de toi à poil ici dedans ! »
Je vais tirer les rideaux et fermer les portes à clé. Quand j’ai terminé, Geneviève est debout, nue au milieu de la pièce. Quand je dis nue, c’est sans compter les bas et le porte-jarretelles couleur chair qu’elle arbore.
Je tourne autour d’elle, la frôlant sans la toucher. Sa peau se hérisse, mais elle ne bouge pas, raide comme une statue. Je me délecte de la vision de ma belle-mère, pour la première et donc la dernière fois nue dans mon appartement.
J’att la robe au passage et lance :
- « Tu es magnifique ! Je vois que tu t’es préparée et habillée comme une pute pour moi ! Je garderai le souvenir de ma salope de belle-mère nue au milieu de chez moi et quand tu viendras nous voir, tu sauras que j’y pense.
Allez, montons maintenant ! Passe devant que je vois ton gros cul devant moi, comme une pute devant son client ! Et vas-y lentement je veux en profiter le plus longtemps possible ! »
L’ascension se fait lentement. A quelques centimètres de mon visage, les grosses fesses de Geneviève, se balancent. Elle doit se tenir à la rampe. Ses jambes ont du mal à la tenir. Elle est consciente du spectacle qu’elle m’offre.

- « Tu sens la femelle, salope ! Je vois ton jus qui coule déjà sur tes grosses cuisses ! Je vais te baiser ici, dans l’escalier ! Arrête et penche-toi ! A genoux !»
Docile, ma presque belle-mère, prend position. Rapidement, je me débarrasse de mon short et l’enfile brutalement. Comme prévu, sa chatte ruisselle et son soupir n’est que de plaisir. Je crois même qu’elle a un premier orgasme à ce moment. Debout dans l’escalier, je la lime profondément. Pour, le plaisir je fais trois ou quatre allers et retours, avant de sortir. Je lui faire monter une marche, je recommence et ainsi de suite presque à chaque marche.
Arrivés en haut, Geneviève n’en peut plus, car cette méthode l’empêche de jouir. Elle est à cran. Aussi, quand elle reste à genoux sur le palier, je lui mets d’abord des claques sur ses grosses fesses avant de la prendre en levrette. Elle se lâche alors et jouit comme une folle en bramant.
C’est en arrivant dans la chambre, que je me rends compte que la fenêtre est restée ouverte. J’espère simplement que les voisins n’étaient pas à l’écoute.
Connaissant les facultés de Geneviève d’inonder la literie j’enlève tous les draps et pose une alèse. Je la fais étendre les jambes au bord du lit et entreprends de lécher sa chatte gluante. Je me régale de son jus abondant et Geneviève se pâme plusieurs fois. C’est alors que la sonnette de la porte retentit. Ma belle-mère se fige. Je lui dis de ne pas bouger, j’enfile un peignoir et je descends voir l’importun visiteur.
C’est le facteur ou plutôt la factrice qui vient remettre un paquet et a besoin de ma signature. Sent-elle une odeur ? Devine-t-elle l’occupation à laquelle je me livrais, ou a-t-elle entendu quelque chose ? En tous cas, c’est avec un sourire de connivence qu’elle me remet l’objet.
« Excusez-moi, lui dis-je, de vous recevoir ainsi. J’étais…
Occupé ?
C’est cela, oui !
Elle a bien de la chance cette personne !
Vous êtes une coquine vous ! Mais…Ça vous plairez d’en profiter ?
D’y goûter ? Sûrement !
Vous aimez les femmes ?
Les femmes aussi, oui ! Beaucoup !
Celle-là est particulièrement humide et même fontaine !
Mmmmhhh !
Vous savez être discrète ?
Bien sûr !
Entrez ! »
Je referme derrière nous et nous montons.
Sur le palier je demande à la factrice d’attendre. Dans la chambre, ma belle-mère s’est assise, pelotonnée.
Je lui demande de se rallonger, de surtout ne rien dire et ne pas bouger et lui pose un drap sur le visage. « Tu vas adorer, n’ai pas peur » Je fais entrer la factrice et lui fais signe de se taire. Elle ne traine pas et à genoux plonge entre les jambes de Geneviève. Celle-ci sursaute, mais je la maintiens et lui glisse « Ne bouge pas salope, laisse-toi faire »
La factrice semble être bien habituée à bouffer de la moule. Elle rajoute deux doigts dans la chatte et très rapidement reçoit sa récompense qu’elle avale sans rechigner. Elle ne s’arrête pas pour autant et gouine ma belle-mère qui libère toujours autant de cyprine.
Finalement, la préposée se relève, les yeux brillants, le visage barbouillé du jus de femelle. Je lui fais signe de se taire et elle sort. Je la raccompagne à la porte où elle me remercie.
De retour dans la chambre, Geneviève voudrait bien savoir qui était-ce.
« Tu as pris beaucoup de plaisir, mais était-ce un homme ? Une femme ?
Quelqu’un que tu connais ? Tu ne le sauras jamais, salope ! Tu croiseras sûrement la personne mais ni elle, ni toi ne saura. A moins que …
Que quoi ?
Qu’elle n’ait remarqué un détail sur ton corps, car elle, à part ton visage, a vu tout le reste !
C’était une femme ? Ce n’est pas possible ! Vous n’avez pas fait ça ?
Je n’ai pas dit que c’était une femme. J’ai parlé d’une personne, c’est vague.
Comment avez-vous osé me faire ça ! Une femme !
Tu n’as pas aimé ?
N… O… Oui... Mais tout de même !
Voilà ce que c’est que de venir baiser avec son gendre, belle-maman. En attendant, j’ai dis que pour cette dernière, j’allais te prendre par tous les trous, et il en reste deux, alors viens me sucer salope ! »
Bien sur, Geneviève ne se fait pas prier. Elle déploie tout son art pour rapidement me faire bander puis me pompe afin de recevoir la récompense de mon sperme, dont elle se régale maintenant.

Après ce deuxième round pour moi, le troisième au moins pour elle, nous prenons un peu de repos. Geneviève cherche encore à savoir qui était ce visiteur inconnu, mais je reste intransigeant, elle voudrait savoir au moins si c’était un homme ou une femme.
« Ça change quoi ? Tu penses que si c’était une femme tu serais devenue gouine ? De toute façon, c’est toi qui t’es fait bouffer la chatte donc, même si c’était une femme, tu ne serais pas une gouine. J’ai plutôt l’impression que ça t’exciterais de savoir qu’une femme t’as donné du plaisir. non ?
Chaque fois tu te poseras des questions. C’est lui ? C’est elle ? Moi je saurai. Alors, dis-moi. Tu aurais aimé que ce soit une femme ?
Vous n’y pensez pas… Vous êtes un grand malade ! Vous êtes un monstre et moi… je … Enfin… Oui !
Tu vois que tu es une salope pour laquelle seul compte le plaisir ! Tu as envie de faire l’amour avec une femme ? Je veux dire, en toute connaissance.
Mais non voyons !
Tu as répondu trop vite. Je suis sûr que tu en as envie
Vous êtes un monstre !
J’ai donc raison, chaque fois que tu dis ça, c’est que tu te rends compte que c’est vrai. Tu veux que je te trouve une femme ?
Vous êtes un sale vicieux ! Pas question !
Bien ! Tant pis pour toi ! En attendant, prépare ton cul de salope, parce il me reste à t’enculer !
Ne parlez pas comme ça s’il vous plaît
Mais il me plaît et il te plait aussi que je te parle comme Ça et que je te traite de salope. A genoux vieille pute, donne-moi ton cul que je le remplisse de mon foutre ! »
Sans plus se faire prier, Geneviève se met en position. Je ne résiste pas à l’envie de la fesser. Malgré ses cris et protestations, je rougis son postérieur opulent sous de faibles gémissements de douleur se transformant comme d’habitude en gémissements de plaisir et par la demande pressante de ma belle-mère de la pénétrer.
Aujourd’hui étant une occasion spéciale, je prolonge la fessée pour qu’elle cuise un peu plus longtemps. L’effet induit est un orgasme violent de Geneviève qui arrose le lit. Sans plus attendre alors, je me place derrière elle et guidant ma queue, j’encule ma bientôt belle-mère !
La saillie dure longtemps. D’une part, j’ai déjà éjaculé il n’y a pas longtemps. D’autre part, sachant que c’est la dernière fois que je la baise, je veux faire durer ce moment. J’arrête fréquemment de limer ma partenaire.
Pas d’inquiétude pour elle, car, non seulement Geneviève jouit aussi bien du cul que du vagin, mais la salope se caresse aussi d’une main sur son bourgeon.
Les meilleures choses ayant une fin, je m’épanche dans le rectum de Geneviève et nous nous écroulons sur le lit, ou plutôt dans l’alèse trempée de son plaisir.
Après quelques ablutions bien nécessaires, nous refaisons le lit, nettoyons l’alèse et, rhabillés correctement, nous nous retrouvons autour de la table de la salle à manger.
« Tu es bien consciente que tu n’auras plus ces plaisirs ?
Oui, je le sais, mais je dois le faire.
Je respecterai ton désir et regretterai de ne plus voir tes tétons, et de te bouffer la chatte pour boire ta délicieuse jute.
Arrêtez ! Ne parlez plus de ça ! Nous devons maintenant avoir des rapports normaux !
Bien belle-maman, à partir de tout de suite, vous n’êtes plus que la mère de ma future femme. Nos baisers seront chastes, mais permettez moi de temps en temps d’admirer vos formes.
A condition que cela soit discret et je ne vous autorise bien sûr aucun geste déplacé !
Je vous promets de ne pas trop vous serrer en vous faisant la bise ! »
Et nous tiendrons nos promesses, et n’aurons plus aucun rapport sexuel entre nous, durant toute la durée de mon mariage !
Le jour du mariage donc, comme promis quand j’embrasse la mariée après le consentement devant monsieur le maire, je me tourne vers Geneviève. Elle est écarlate et nous sommes les seuls à savoir que son émotion est doublée par le souvenir de notre passage à Toulouse. Plus tard, pendant l’apéritif dansant, comme il est de tradition je danse avec celle qui vient de devenir officiellement ma belle-mère. Le contact de son corps provoque une érection involontaire que ma partenaire ressent aussitôt. Malgré ses dires, elle ne se retire pas et m’adresse un regard malicieux.
Durant la soirée, nous nous retrouvons à discuter avec la cousine Madeleine chez qui nous avions passé quelques jours. Après avoir parlé d’un petit peu de tout, elle nous glisse :
« Je vous ai vus tout à l’heure danser ensemble. Vous alliez très bien, je vous trouve très mignons, mais restez discrets malgré tout !
Mais… Nous… marmonne Geneviève
Ttt Ttt Ttt rétorque la cousine. Vous savez, lors de votre passage, vous avez laissé quelques traces ne m’ont laissé aucun doute sur vos relations. Je suis contente pour toi Geneviève. Je n’approuve ni ne désapprouve, vous êtes de grandes personnes, mais je ne voudrais pas qu’il y ait un drame.
Vous êtes charmante dis-je ». Geneviève, elle, est plutôt gênée d’avoir été découverte. « J’espère que l’on ne vous a pas trop choquée. Sachez que nous avons décidé de cesser nos relations « coupables » à compter d’aujourd’hui.
Vous ne m’avez pas choquée, même si … en vous regardant…
Ah bon ? Parce que vous nous avez espionnés ?
Ben… Le premier soir, en vous voyant, je me suis doutée de quelque chose.
J’ai même pensé au début que vous n’étiez pas vraiment le futur gendre, mais simplement son amant. Je ne sais si vous vous êtes rendu compte, mais le lendemain, quand j’ai appelé votre beau-père, je n’ai pas signalé votre présence avec Geneviève. Vous savez je suis une vieille femme, et j’ai tout de même vécu. Il y a des signes qui ne trompent pas un œil averti. J’étais très heureuse de voir enfin ma cousine Geneviève paraissant heureuse. C’est pour ça que j’ai insisté pour vous garder. Vous êtes partis rapidement vous coucher sous un faux prétexte. Ce ne sont pas deux cent cinquante kilomètres de route qui fatiguent un jeune homme comme vous. Après un moment je me suis approchée du cottage et je vous ai entendus. Par un interstice des volets j’ai pu vous observer quand vous étiez devant la cheminée. Vous étiez très beaux ! Malheureusement ensuite vous êtes partis dans la chambre.»
Nous rions maintenant tous les trois, heureux de notre complicité. Nous sommes séparés par ma femme, venue me chercher et je laisse les deux cousines qui ont maintenant de quoi parler. Geneviève me confiera plus tard, que Madeleine, sa cousine, lui a proposé de venir parfois chez elle, « avec ton amant si tu veux, celui-là, ou un autre». Les deux femmes vont ensuite se visiter régulièrement, jusqu’à la disparition de la cousine.
Une dizaine d’années ont passé depuis ce jour là. Pierre, l’amant de ma belle-mère est décédé. Depuis lors, je me rends compte que Geneviève a « pris un coup de vieux » elle néglige sa tenue comme basculant dans la vieillesse.
Ayant réussi un jour à discuter de cela avec elle, elle me déclare qu’elle n’a plus envie de se lancer dans une autre aventure, mais que ses envies sont toujours présentes.
L’autre souci de Geneviève et c’est plutôt celui-là qui la marque le plus, c’est que son amante s’est éloignée d’elle. Eh oui, ma belle-mère est aussi devenue lesbienne ! Mais cela mérite un autre chapitre.
***

Découverte du plaisir féminin

J’ai raconté cet épisode, où ma belle-mère sans le savoir, s’est fait lécher la moule par une femme. La factrice qui l’avait fait jouir, faisant à nouveau un remplacement quelques temps plus tard, se représente à ma porte.
« Je sais qui est la dame de l’autre fois ! Me dit-elle après m’avoir remis le courrier.
Ah bon ?
C’est votre belle-mère ! Mais, n’ayez pas peur, je ne dirai rien !
Qu’est-ce qui peut vous faire dire ça ? Ce n’est pas banal !
Ce qui n’est pas banal, c’est de demander à la factrice de venir brouter la chatte d’une dame d’âge mûr, couchée nue dans votre chambre, à quelques jours de votre mariage.
J’ai l’impression, mais je me trompe peut-être, que ce genre de pratique vous est familier ?
Je… Oui c’est vrai ! J’aime aussi les femmes et celle-là, j’ai adoré la façon dont elle a joui ! C’est une vraie fontaine ! Vous avez de la chance ! Vous croyez que j’ai une chance avec elle ?
Je ne sais pas si vous avez une chance avec ma belle-mère, mais la femme que vous avez gouinée ne sais même pas que c’est une femme qui lui a donné du plaisir. Quand à ma belle-mère, elle est plutôt collet-monté et en tentant votre chance, vous pourriez le regretter et risquer votre carrière !
Arrêtez ! Je sais bien que c’est elle !
Libre à vous de le penser ! Mais franchement, vous me voyez avec ma belle-mère ?
Vous êtes assez vicieux pour faire lécher votre maîtresse… Je sais que ce n’est pas votre femme, alors pourquoi pas votre belle-mère ? Bon, pour votre gouverne, je vais tout vous dire. Ce jour-là, je l’ai vue sortir de chez vous. J'étais revenue à la fin de ma tournée et j'ai attendu. Il faut dire que j'avais fini mon travail un peu dans le brouillard, car j'avais beaucoup aimé ce moment. Plus tard, en la croisant dans la rue avec un collègue, j'ai questionné ce dernier et il m’a donné son nom, ensuite j’ai pu faire le rapprochement. Donc, inutile de me mentir.
Vous savez, Ça ne me dérange pas que vous la baisiez, vous n’êtes pas le seul à baiser votre belle-mère, mais, je ne sais pas comment lui faire comprendre qu’elle me plait, si vous m’aidez, je ne dirai rien sur vos … relations ! Il me serait facile de faire partir une rumeur, mais je n'en ai pas envie.
Puisque nous en sommes aux confidences, je vous dirais que depuis mon mariage, cette femme n’est plus ma maîtresse. Ce jour là était d’ailleurs le dernier où nous avons eu des relations sexuelles. Par expérience, pour fendre sa cuirasse, il faut des conditions particulières et je ne sais pas si lui rouler une pelle en lui portant son courrier, est une bonne méthode pour la conquérir. N’ayant plus de rapport de ce genre avec elle, je vois mal comment faire pour vous aider.
Vous pourriez me présenter, lui suggérer que…
Elle n’acceptera pas à froid, l’idée qu’une femme l’ait touchée ou ne la touche.
Ecoutez, je ne vous demande pas de me la mettre dans les bras ou dans le lit, mais ouvrez-moi une porte et je tenterai ma chance. Ensuite, advienne que pourra. Il faudrait qu’au moins, j’ai un petit moment pour parler avec elle en dehors du travail.
Je vous promets de vous aider.
C'est vrai ? Merci !
Tu me remercieras peut-être si tu parviens à tes fins.
Juré !
Quelques temps plus tard, l’occasion se présente lors d’une réunion.
Geneviève et la factrice sont présentes. A la fin, un pot est offert par l’organisation et je discute avec Geneviève, lorsque la demoiselle s’approche de nous. Je la sens nerveuse, aussi après les présentations d’usage, j’essaie d’établir entre elles, une conversation plus légère. Peu à peu les deux femmes se trouvent des points communs. Bizarrement, Geneviève se laisse aller à parler plus que d’habitude. Le courant semble passer entre elles. Je m’éloigne, les laissant seules. Leur aparté dure. Je les observe à la dérobée tout en discutant avec d’autres personnes. Plusieurs fois, des interlocuteurs viennent saluer ma belle-mère, mais cela n’empêche pas les deux femmes de reprendre leur échange ensuite.
Un peu plus d’un mois plus tard, alors que j’ai un peu oublié l’histoire, la factrice m’apporte du courrier.
« Tu es seul ? Demande-t-elle
Oui, pourquoi ?
Je viens te remercier
Ah oui, pourquoi ?
Tu le sais bien ! Ta belle-mère.
Tu as conclu ?
Oui !
Eh bien ! Tu es une sacrée coquine toi ! Il faut que tu me racontes !
Là pour le moment, je n’ai pas le temps mais je peux revenir cet après midi.
Ok ! Je t’attends, pas de problème. »

Il est un peu plus de quinze heures, lorsqu’elle réapparaît. La demoiselle a changé de tenue est ma foi, est plutôt sexy sans son uniforme habituel.
Après avoir pris un café, Ludivine, elle m’a appris son prénom, commence son récit.
« Merci d’abord de m’avoir permis d’amorcer la conversation. Tout à l’heure, je voudrais te remercier de façon plus… «profonde » mais puisque tu veux tout savoir espèce de vicieux, tu vas te régaler ! Le jour où tu nous as présentées, je nous ai trouvé rapidement des points communs : la cuisine et les fleurs.
J’ai remarqué en effet que vous étiez assez complices, ce qui m’a surpris, connaissant ma belle-mère.
Je suis assez douée pour mener une conversation. Au bout d’une demi-heure, nous avions accroché, Quelques personnes sont venues pour parler à Geneviève mais elle a toujours repris le fil avec moi.
Oui, oui, je m’en suis rendu compte
Ah ! Tu nous surveillais ?
Tu m’avais dis ton projet, alors je voulais voir comment ça se passait. Je vous regardais de temps en temps, de loin.
A la sortie de la réunion, on a discuté un peu plus sur le parking et on s’est promis de se revoir. Je ne l’ai pas lâchée comme ça et je lui ai proposé de passer le lendemain après midi pour voir une plante qui m’intéressait. Elle n’a pas refusé.

De retour chez moi je me suis branlée comme une folle. Plusieurs fois on s’était frôlées, me provoquant des frissons, en partant je n’avais pas osé l’embrasser – au moins chastement, sur les joues – et je le regrettais, mais je redoutais tellement de me découvrir que j’y allais à tout petits pas.

Le lendemain après-midi donc, je me présentais chez elle et elle m’a reçue plutôt chaleureusement, me proposant un thé. Nous sommes ensuite passées au jardin. J’avais pris soin la veille de me renseigner sur quelques plantes, pour avoir l’air d’une passionnée d’horticulture. Pendant plus d’une heure nous nous sommes penchées sur des massifs, elle répondait à mes questions, me donnait des boutures. Je dois dire que je trouvais le temps long, mais je parvenais parfois à la toucher, prétextant un mauvais équilibre, ou un outil à échanger. Je voyais la peau de ses bras et de ses cuisses, je sentais son odeur, j’étais sur un nuage. Je mouillais comme une folle. Le moindre frôlement me mettait en transes. Je lorgnais sa poitrine, ses fesses, ses lèvres...

Au moment du départ, pour la remercier, je l’ai embrassée sur les joues vivement en lui prenant les mains. Elle est restée figée. Je me suis enfuie plus que je ne suis partie. Je devais être rouge comme une pivoine, j’ai entendu comme dans un brouillard « revenez quand vous voulez »

Je me suis retenue de revenir le lendemain alors que j’en mourrais d’envie.
Trois jours plus tard, j’osais enfin me représenter. Alors que je lui tendais la main, elle me rétorqua
Nous nous sommes embrassées l’autre jour, vous ne voulez plus ?
Oh oui, bien sûr ! Rougissant comme une collégienne. Notre étreinte, même brève, était plus appuyée et me procurait des picotements dans le dos… et plus bas dans le ventre. J'étais déjà inondée !
Une fois encore nous avons pris le thé, puis papoté comme de vieilles amies.
Dans l’échancrure de son chemisier j’apercevais la naissance de ses seins que j’imaginais gros et sensibles. Je ne pouvais pas soupçonner encore combien c’était vrai.

Le temps a passé si vite, alors qu’en sortant je me rendais compte que plus de deux heures s’étaient écoulées.
« Revenez vite ! Me dit-elle en partant après les baisers maintenant habituels.
Le week-end a été atroce pour moi. J’étais « accro » ! Complètement gaga de cette femme plus vieille que moi. Elle avait une classe folle. Comment pourrait-elle s’intéresser à moi petite préposée. Pourtant je sentais bien que petit à petit, elle était heureuse de se trouver avec moi et de parler.
Nous avons continué comme ça plus de deux semaines. Nous étions maintenant très proches. Cette femme, distante avec tout le monde, se laissait aller à des confidences avec moi. Nous nous tenions par la main en parlant, assises côte à côte. Je ne te dis pas l’état dans lequel j’étais ! J’ai appris plus tard, que sans que je ne m’en rende compte, elle était aussi troublée que moi.

Un jour, j’arrive alors qu’elle est en plein ménage. Elle, toujours tirée à quatre épingles, ne porte qu’une blouse légère, sous laquelle je devine ses sous-vêtements. Ses bras nus et ses jambes qui se découvrent m’obsèdent. Je l’aide dans sa tâche et en partant, nos baisers sont très proches des lèvres.
La complicité que nous avions eue m’a poussée à oser. Ses yeux brillaient en tenant mes bras au moment de la quitter. Elle était aussi émue que moi !
Avais-je vraiment une chance ? Je ne pouvais rester comme cela ! Il fallait que je tente ma chance. J’avais très peur de la perdre, mais aussi très envie de la serrer dans mes bras. N’allait-elle pas mal réagir ? Me signifier tout arrêt de nos relations ? Je ne vivais plus.
Au cours des rencontres suivantes j’accentuais mes compliments, lui disant que je la trouvais belle, qu’elle devrait s’habiller autrement, que puisque elle me donnait des conseils de cuisine, je pouvais lui en donner pour se vêtir.
« Je ne peux m’habiller comme une jeune tout de même ?
Mais bien sûr ! Enfin, peut être pas comme vos filles mais... mieux que …
Vous me trouvez vieille ?
Pas du tout ! Au contraire ! Mais franchement, ce sont vos habits qui vous vieillissent ! Je suis sûre, qu’avec quelques petits trucs, vous seriez magnifique !
Mais… les gens ?
Que vous importent les gens ? Vous ne voudriez pas me faire plaisir ?
Oh oui, bien sûr !
Alors, demain, on va faire les magasins, on va essayer des trucs et on verra, cela vous donnera peut-être des idées. D’accord pour demain ?
D’accord ! Mais ce n’est pas dit que j’achète quelque chose.
On verra bien. Le truc, c’est de se faire une idée. A demain alors ! Je viens vous chercher et zou !


Avant de passer la prendre, je change de tenue, pour être un peu sexy.
Volontairement, je me dirige vers une ville qu’elle ne fréquente pas. Nous en avions parlé et je lui ai proposé d‘aller à Dax. Après m’être garée, nous partons bras dessus-bras dessous dans les petites rues. Je sens sur mon bras, son sein qui ballote. Nous entrons dans plusieurs boutiques avant de trouver une robe attrayante et qui lui plaise. Je la force à l’essayer, j’en profite pour prendre aussi une tenue.
J’ai de la chance, il n’y a qu’une cabine, mais elle est très vaste et tout en lui disant « entre femmes, on ne va pas se gêner » je la pousse dedans.
Elle semble résister, mais devant la vendeuse, n’ose pas refuser.
J’essaie d’être naturelle pour enlever ma robe et avant d’enfiler ce que j’ai pris sur le portant, je me retrouve en petite tenue et me retourne. Elle n’a pas bougé.
« Allons, dis-je, vous ne voulez plus l’essayer ?
C’est que… Si, si
Donnez-moi la robe, je la tiens pendant que vous enlevez la vôtre. »

C’est elle qui est rouge pivoine, mais elle n’ose pas passer pour coincée.
Lentement, trop pour moi, elle défait sa ceinture, puis les boutons et finalement se retrouve en fond de robe.
- « Enlevez Ça aussi. Ça ne vas pas aller avec la robe ! »
Elle le retire par la tête, ce qui me permet de voir son corps pour la première fois, alors que son visage est caché un instant par le léger vêtement.
« Mais vous êtes superbe ! Dis-je très sincèrement.
N’exagérez pas tout de même !
Pas du tout ! Il y a beaucoup de femmes qui aimeraient vous ressembler !
C’est dommage de cacher cela sous vos vêtements d’un autre âge !
Arrêtez ! Sinon je me rhabille et on s’en va !
Pardonnez-moi ! Mais je pense vraiment ce que je dis.
C’est vrai ?
Mais bien sur ! Allez, enfilez cette robe !
Ayant fait de même, pour détendre l’atmosphère je lui fais constater que sa robe est trop large, je sors de la cabine et demande à la vendeuse une taille plus petite. Une fois de plus elle se retrouve en sous-vêtements devant moi.
Je suis liquéfiée et pour cacher mon trouble, je l’aide à enfiler le nouveau modèle
« Elle est trop serrée ! me dit-elle
Pas du tout, au contraire, elle met vos courbes en valeur !
Justement ! Je suis grosse et là, Ça fait quand même un peu trop…
D’abord, vous n’êtes pas grosse mais joliment ronde ! La seule chose qui choque c’est votre soutien gorge. Vous n’en avez pas de plus… moderne ?
Si… mais…
Il faudra voir avec alors ». Me collant derrière elle, nous l’admirons dans la glace. - « Moi je vous trouve très bien comme Ça. C’est ce que je vous disais. Changez un peu votre manière de vous habiller. Franchement, vous êtes
vachement mieux comme ça. Vous la prenez ?
Je… Je ne sais pas. C’est vrai que je me sens bien dedans, mais que vont penser….
Laissez penser les gens. Ils vous trouveront très bien, je vous assure.
Regardez comme ça !»
Prise dans l’ambiance, sans réfléchir, je passe mes bras sous les siens et empaume ses seins pour les relever. Je ne savais pas encore comme elle est sensible de là.
Elle ne me repousse pas et je vois dans le miroir son regard chavirer sous mes caresses, car maintenant, je les malaxe et je sens ses tétons se durcir.
La retournant face à moi, je pose mes lèvres enfiévrées sur les siennes. Je la serre dans mes bras. Profitant du moment, ma langue tente d’entrouvrir des lèvres. Elle résiste un peu, mais finit par capituler. Elle m’abandonne sa bouche et bientôt sa langue communie avec la mienne. Nous sommes brûlantes et lorsque nous nous séparons je vois ses yeux briller. Elle veut parler, mais d’un doigt sur les lèvres, je la fais taire.
Rapidement, nous reprenons nos tenues, Geneviève achète la robe et nous quittons le magasin sous le regard amusé de la vendeuse qui se doute bien que quelque chose s’est passé dans la cabine.
Dans la rue, je lui prends la main, sans un mot, nous marchons. J’aperçois un petit bar, façon pub anglais, j’entraine Geneviève à l’intérieur et, au fond de la salle, une table retirée nous accueille. Dès que le garçon repart après nous avoir servies, Geneviève, assise à mes côtés sur la banquette, lance :
« Ludivine, nous ne pouvons pas…
Ne pouvons pas quoi ?
Vous savez bien !
Nous aimer ? Moi, je vous aime déjà !
Vous êtes une femme ! Et si jeune!
Oui, et j’aime, aussi les femmes et vous, vous êtes très belle ! Vous me plaisez beaucoup ! Vous n'êtes pas vieille et je pense beaucoup à vous !
C’est de la folie !
Parce que je suis une femme ? Vous n’aimez pas les femmes ?
Si… Non… enfin pas… comme ça !
Pourtant, je vous ai sentie émue tout à l’heure et même encore maintenant.
Quelque chose vous gène ?
C’est que… Je n’ai jamais… C’est la première fois que… j’embrasse … une… femme
Et ça ne vous a pas plu ?
O… Oui !
J’ai encore envie de vous embrasser ! Je me penche vers elle et prends ses lèvres. Elle se laisse faire, puis se recule brusquement.
Pas ici ! Il y a du monde !
C’est ça qui vous gène ? Venez ! »
Nous quittons très vite le petit établissement, sans même finir nos consommations. Nous marchons vite vers ma voiture, je sens sa main qui serre la mienne très fort. Avant d’arriver, n’y tenant plus, je l’entraine dans une ruelle étroite et contre le mur, à l’abri des regards, nous nous embrassons follement. Mes mains virevoltent sur son corps, ses seins, ses hanches, sa taille. A bout de souffle, nous nous séparons, puis reprenons notre course vers la voiture.
Après nous être embrassées encore, je démarre pour nous trouver un coin tranquille dans la campagne. Durant tout le trajet, au lieu de se refroidir et se reprendre, Geneviève garde sa main posée sur ma cuisse, me communiquant sa chaleur.
Au bout d’un chemin, une clairière complètement invisible que je connaissais et nous pouvons reprendre nos ébats. « Passons derrière » dis-je
Nous sommes toutes deux survoltées et nos habits sont vite éparpillés dans l’habitacle. Je découvre enfin le corps de Geneviève en entier et je ne suis pas déçue ! Ses tétons sont énormes ! Je me jette dessus comme une morte de faim et là, surprise ! Mes doigts qui sont déjà dans sa chatte, sont inondés ! Geneviève est une fontaine ! Ça je le savais puisque tu m’y a fait goûter salaud ! Justement, j’ai voulu y re-goûter à son jus, aussi, je suis descendue entre ses cuisses. Elle a bien tenté de résister, mais j’ai rapidement retrouvé cette chatte onctueuse. J’avais la confirmation maintenant que c’était celle à laquelle je m’étais abreuvée chez toi.
Geneviève m’a gâtée ! Je me suis régalée deux fois et ma banquette avec, mais peu m’importait. Je suis enfin remontée et nous avons échangé un nouveau baiser au goût de sa chatte.
« Je sais maintenant que c’était une femme ! Dit alors Geneviève.
Que dites-vous ?
Non rien, vous ne pouvez pas comprendre.
Si ! Expliquez-vous
En fait, j’ai eu un amant…
Vous avez eu un amant ?
O… Oui ! C’est compliqué !
Vous êtes surprenante, mais je ne veux pas être indiscrète – je rigole intérieurement car je le connais son amant – mais vous avez parlé de femme.
Vous êtes gentille ! Mon… amant, qui était très vicieux, m’a fait lécher… comme vous… par un inconnu, enfin aujourd’hui je sais que c’était une inconnue car c’était aussi bon qu’avec vous et même si mon amant était doué, une femme le fait ment mieux.
Vous m’avez dit que c’était la première fois, tout à l’heure.
Que j’embrassais une femme, oui, c’est vrai.
Vous ne l’avez pas vu cette femme ?
Non ! Mon amant m’avait caché le visage
Mais elle, elle vous a vue !
Elle a vu le bas de mon corps. Mon dieu ! Peut être qu’elle m’a reconnue ?
Je ne crois pas que ce soit possible. A moins que…
A moins que quoi ? Vous me faites peur !
A moins qu’elle ne vous ait vue nue auparavant !
Ce n’est pas possible !
Alors vous êtes rassurée ?
O… Oui ! Vous êtes gentille. Dites, Ludivine, je voudrais vous… Comme vous…
Me lécher ?
Ouii ! Mais je n’ai jamais… fait ! J’ai envie avec vous, de vous rendre ce plaisir que vous m’avez donné ! Soyez indulgente.
Mais bien sûr ma chérie ! Vous êtes adorable ! Venez me gouiner ! Venez boire mon jus même si j’en donne moins que vous.
Vous trouvez vous aussi ! Je mouille beaucoup et quand je jouis, c’est terrible ! J’ai honte !
N’ayez pas honte ! J’adore boire à votre source ! C’est si bon ! Venez ma chérie ! Venez me bouffer la chatte comme une salope que vous êtes ! »
Geneviève ne se fait pas prier plus longtemps et timidement d’abord, puis très vite goulument, elle me fourre de sa langue, m’apportant ce plaisir si intense dont elle me libère enfin ! Je me répands dans sa bouche. Certes moins abondamment qu’elle, mais elle ne laisse rien perdre.
Les vitres de la voiture sont couvertes de buée, nous isolant encore plus du monde extérieur. Nous reposons l’une contre l’autre, mélangeant nos sueurs et nos odeurs. Nous sommes bien. Ni l’une ni l’autre n’a envie de se séparer.
C’est finalement une envie naturelle qui nous oblige à bouger.
Je sors de la voiture, entièrement nue, sans pudeur, je m’accroupis comme j’aime à le faire et j’urine là, sous les yeux de ma maîtresse. Geneviève à son tour, sort du véhicule. Elle est restée nue elle aussi ce qui me surprend. A son tour elle me gratifie du spectacle de sa miction. Voir cette femme mûre, si distinguée s’accroupir et se mettre à pisser nue dans la nature, m’excite particulièrement. Elle est décidément bien délurée cette femme d’apparence si stricte. Alors qu’elle se relève, je passe ma main entre ses cuisses pour essuyer sa motte. Je l’enlace. Je l’embrasse. Collées nues l’une contre l’autre en pleine nature, ma main dans sa chatte, je la branle debout. Une nouvelle fois elle jouit vite et abondamment.
Un bruit au lointain, vous fait précipiter dans la voiture. Il est temps de se rhabiller. Encore une fois nous échangeons un long baiser. Heureusement, j’ai une trousse à maquillage dans le vide poche, Geneviève n’avais rien prévu bien sûr. Nous pouvons reprendre un visage plus serein avant de rentrer.
Je ramène Geneviève chez elle. Devant le portail, elle n’a pas voulu que j’entre dans la propriété, alors qu’elle se dirige vers la maison, elle se retourne une dernière fois, puis d’un seul élan, se précipite vers moi et par la fenêtre ouverte, me donne un baiser sur les lèvres avant de s’enfuir.
« Eh bien dis-donc toi ! Dis-je alors après ce long récit, tu es une sacrée coquine toi d’avoir réussi à dévergonder ma belle-mère !
Tu peux parler toi ! Mais dis-moi, Ça à l’air de t’avoir excité cette histoire de lesbiennes !
Tu m’étonnes, je m’imagine bien la scène et, connaissant Geneviève j’aurais bien aimé être là !
Je t’ai dis que je te remercierais, alors, je vais commencer »
Ludivine s’approche, se met à genoux, dégrafe mon pantalon, plonge sa main dans le boxer et sort mon sexe déjà bien raide. Sans attendre elle plonge dessus et m’administre une fellation des plus agréables. Lorsqu’elle a obtenu ce qu’elle voulait c'est-à-dire mon sperme, elle se relève en léchant ses lèvres avec un grand sourire et vient m’embrasser.
« Je continue mon histoire ? Tu vas pouvoir tenir un peu plus comme Ça !
Bien sûr ! Et... Merci pour la pause !
De rien ! J’adore sucer une belle bite et la tienne me plait beaucoup, toute lisse ! Donc, ce soir-là, j’étais dans mon lit lorsque mon téléphone sonne.
C’est Geneviève qui a trouvé mon numéro dans le bottin.
Ma chérie ! J’avais envie d’entendre votre voix ! Je n’arrive pas à dormir !
Je n’ai pas pris de douche pour garder votre odeur sur moi. Je ne sais pas ce qu’il m’arrive. Je n’ai jamais ressenti cela. Je crois que… Je vous aime !
C’est fou ! A mon âge, de dire cela, en plus de dire cela à une autre femme !
Vous m’avez ensorcelée ! Dites-moi ce que vous pensez.
Moi aussi j’ai du mal à dormir. Notre après-midi était super ! Ça fait un moment que je rêvais de vous.
C’est vrai ? Moi aussi je pensais beaucoup à vous, mais je ne savais pas pourquoi. Je ne pensais pas que cela pouvait être pour ça.
Nous pourrions peut-être nous tutoyer, maintenant que nous nous connaissons un peu mieux ?
J’ai beaucoup de mal à tutoyer les gens, mais si vous voulez me tutoyer à moi, je n’y vois pas d’inconvénient.
Non ! Finalement, je trouve ça tellement excitant de dire, « ma chérie, je voudrais que vous me bouffiez la chatte et me mettiez vos doigts dans le con ! »
Vous êtes un amour ! Oui j’ai très envie de vous… manger comme tout à l’heure. J’ai adoré ça ! Vous êtes habillée ?
Je dors toujours nue, ma chérie et vous-même ?
J’ai… un déshabillé
Enlevez-le, je vous veux toute nue pour moi !
Oh oui : Tout de suite !
On va se caresser ensemble. Vous avez des jouets ?
Mon… amant m’en a donné.
Coquine ! Alors prenez un gode, moi aussi j’en ai un. On va se branler toutes les deux et je veux vous entendre crier ! »
Ce sont des soupirs qui parlent pour nous. Rapidement, ceux de Geneviève s’amplifient et elle râle bientôt son plaisir qui engendre le mien. Après un long échange de bisous virtuels, nous raccrochons et je m’endors sereine, comme elle, surement.
« Sacré belle-maman, dis-je. Elle si prude en société, elle se déchaine comme une collégienne !
Je peux te dire qu’elle n’hésite pas à me suivre dans tous mes délires. Elle ne prend jamais d’initiative, mais quand je propose, elle ne dit pas non longtemps, il faut que je te raconte. »
Je l’ai décidée à faire une virée toutes les deux à la plage. Je ne sais pas comment elle s’est débrouillée, mais trois jours plus tard, nous partions de bon matin sur la côte landaise. La seule condition pour elle était ne de pas aller dans un endroit connu où elle risquait de faire des rencontres. Je l’assurais d’un coin tranquille. Nous avions prévu un en cas pour pique-niquer – Ne rigole pas sur ce jeu de mot éculé – A son habitude, elle s’équipait avec chaise de plage et parasol, serviette, bref tout l’attirail de la mère de famille à la plage. Elle s’est étonnée de me voir sortir du coffre, une simple serviette, une natte et un sac de plage. C’était elle il est vrai, qui s’était occupée du repas.
Au bout d’un petit chemin, je stationne sous les arbres, où quelques voitures sont garées. Premier étonnement pour elle qui ne connaît que les plages « organisées » Au sommet de la dune où se trouve un blockhaus, je prends à droite sans que Geneviève ne dise quoi que ce soit. Elle n’a pas dû remarquer le panneau « plage naturiste non surveillée» Il faut dire que chargée comme elle est, la montée a été rude. Je lui prends le parasol pour la soulager et en profite pour déposer un baiser sur ses lèvres.
En avançant sur le sable, elle s’étonne tout de même du peu de monde présent.
Après une petite centaine de mètres je m’arrête, pas trop loin de l’eau, car j’aime y faire quelques aller et retour fréquents.
J’étale ma serviette et je quitte ma robe sous laquelle je n’ai qu’un string que je retire pour me retrouver nue. Geneviève s’étonne alors.
« Mais… Que faites-vous ?
Ben, on est sur une plage naturiste alors je me mets nue.
Vous m’avez piégée ! Vous ne pensez tout de même pas que je vais faire pareil ?
Pourquoi pas ! Je vous ai déjà vue, non ?
Vous, oui ! Mais… Il y a du monde ! Je ne ferai jamais cela voyons !
Vous devriez ! D’abord, c’est vachement agréable et en plus ici on remarque plus les gens habillés que les autres. Regardez, il n’y a quasiment personne.
Et ce couple là bas ?
Ils sont nus eux aussi ! Allez ! Faites-moi plaisir ! Vous verrez comme c’est agréable. Et puis, j’ai envie de vous voir nue en pleine lumière, ma chérie !
Comme le premier jour quand on a pissé après avoir fait l’amour dans la voiture !»
Geneviève hésite encore. Elle s’assoit, regarde tout autour d’elle, voyant que personne ne la regarde elle enlève les bretelles. Attend un petit peu, puis baisse le haut du maillot.
« J’adore votre poitrine ! Je vois aussi que la situation vous plaît, vos tétons sont tout dardés !
Arrêtez ! J’ai honte !
N’ayez pas honte vous êtes superbe !
Je suis trop grosse…Et vieille !
Vous croyez que je vous trouve grosse ? Je vous ai prouvé qu’il n’en était rien ! Au contraire ! Vos rondeurs m’affolent ! Allez, un petit effort. Je suis là, vous ne risquez rien. »
Toujours assise, elle se dandine pour retirer enfin son dernier rempart et le glisser dans son sac.
« Alors ? N’est-ce pas plus agréable ?
Oui, c’est vrai, mais Ça fait drôle !
Vous sentez l’air passer sur votre chatte ?
Oui ! Oh mon dieu !
Maintenant il faut vous mettre de la crème solaire, votre peau est blanche surtout vos seins et vos fesses, je ne voudrais pas qu’ils prennent mal.
Attendez, je vais vous la passer »
Geneviève se couche sur le ventre. Trop contente de cacher sa poitrine et son bas ventre. Je commence à la badigeonner. Les épaules et les bras tout d’abord, puis je descends sur le bas du dos. J’atteins les fesses insistant un moment. Les jambes ensuite, avant de revenir sur la fourche de ses cuisses. Mes mains se font plus caressantes. Je la force à écarter les jambes et ma main parvient enfin sur sa chatte que je caresse, insinuant les doigts entre ses lèvres déjà bien humides.
Jusque là, Geneviève s’est laissé faire, mais elle se rend compte que mon massage n’est plus innocent. Elle resserre les jambes, consciente du changement qui s’opère en elle.
« Arrêtez, voyons !
Ça ne vous plait pas ? J’ai l’impression du contraire.
Vous êtes une diablesse ! Je… Je coule !
Je le sens bien, moi aussi je suis excitée. On va rester comme Ça. C’est tellement agréable ! »
Je me tartine à mon tour et m’allonge à ses côtés, main dans la main. Nous sommes heureuses.
Après un petit quart d’heure, il faut être prudent avec le soleil. Je propose de nous retourner. A nouveau, Geneviève hésite, car maintenant il va falloir exposer son côté face. La convainquant qu’il ne faut pas insister d’un côté au risque de prendre un coup de soleil, surtout pour une première fois, elle consent à se mettre sur le dos. J’entreprends alors le badigeonnage de sa poitrine, en m’attardant bien sûr, sur les tétons arrogants. Geneviève a caché ses yeux sous son bras, faisant l’autruche sur sa position et dévoilant ainsi ses aisselles poilues alors que sa chatte est épilée. Elle m’expliquera plus tard que c’est toi – enfin, elle dira son amant – qui l’a obligée à rester comme ça, mais que ne le voyant plus, si je le désire elle s’épilera aussi sous les bras. . Son ventre est ensuite l’objet de tous mes soins, je passe rapidement à ses jambes, que j’enduis bien, jusqu’aux pieds que je masse délicatement. Je me rends compte que cette partie de son anatomie est particulièrement sensible.
Enfin je remonte comme tout à l’heure, sur sa chatte, déjà bien ouverte, preuve de son excitation. Je la caresse là aussi, la pénétrant de deux doigts qui s’imprègnent de cyprine rapidement. Je ne résiste pas au plaisir de les lécher ensuite. Finalement, je remonte contre elle et nous échangeons un baiser voluptueux.
« S’il vous plaît ! On pourrait nous voir !
Mais on nous regarde ma chérie ! Regardez le couple sur notre droite. Le monsieur qui est couché sur le côté vers nous, arbore une belle érection ! Ça doit lui plaire de voir deux gouines !
Nous ne sommes pas…
Des gouines ? Non ! Nous aimons les hommes et aussi les femmes. C’est la différence avec les gouines qui n’aiment que les femmes. Mais c’est aussi le fantasme de tous les hommes, de voir deux femmes faire l’amour. Regardez sa femme. Elle aussi a l’air d’apprécier.
Je n’oserais pas !
Ici, personne ne nous connaît. Vous allez me passer de la crème à votre tour, vous pourrez les regarder discrètement.
Il faut que je me lève pour ça !
Bien sûr ! Ils verront alors votre adorable silhouette de femme mûre, vos tétons bandés, vos gros seins et votre gros cul ! Vous verrez comme c’est agréable de s’exhiber ma chérie ! »
Je me couche alors sur le dos, attendant que Geneviève m’enduise de crème.
Elle attend, mais je lui dis que je ne veux pas cramer sur place et qu’il faut me protéger. Je ne sais si c’est cela qui la décide, mais la voilà à genoux au dessus de moi.
Elle applique bien l’ambre solaire. Elle se prend au jeu petit à petit et ses mains deviennent caressantes au fur et à mesure de son massage. Elle fini même par me caresser le bouton et glisser deux doigts dans ma fente.
Je lui réclame un baiser, à la fin duquel je la fais regarder vers le couple.
L’homme bande toujours autant. Préservant la vue de son sexe aux autres occupants de la plage, mais nous l’offrant à nous. Sa femme nous cligne de l’œil et pose sa main sur le sceptre de son mari en souriant. Montrant qu’elle approuve notre petite exhibition.
Nous passons un moment étendues sur le dos, repassons sur le ventre après une nouvelle application, puis je décide d’aller dans l’eau nous rafraîchir.
Geneviève tente de reprendre son maillot, mais je l’en empêche.
« Vous allez voir comme c’est agréable de se baigner nue !
Mais… les gens vont nous voir !
Je vous rappelle ma chérie, qu’ils sont nus eux aussi. Que ici, tout le monde se fiche que vous soyez jeune, vieux, beau ou laid, gros ou maigre, qu’ils sont exhibitionnistes ou voyeurs ou les deux à la fois et que seul le plaisir du corps importe. Enfin, que je vous trouve très belle et très « bandante » !
J’ai très envie que l’on nous voit toutes les deux, main dans la main, marcher nues sur cette plage. Je veux qu’ils sachent que nous sommes lesbiennes et amantes. Je vous promets que vous allez adorer cela.
Vraiment, vous me faites faire des folies !
Et vous le regrettez d’habitude ?
Non, bien sûr !
Alors, on y va ! »
Je me lève et entraîne Geneviève avec moi. Elle se trouvait relativement à l’abri sur sa serviette et sous le parasol ; seul le couple proche de nous l’avait vue. Maintenant elle s’expose à toute la plage, même s’il n’y a pas énormément de monde. Sur les plages naturistes, les gens restent assez loin les uns des autres ce n’est pas la promiscuité des plages « textiles » familiales. Il lui semble malgré tout être le centre d’intérêt de tous. Sa main tremble dans la mienne, aussi, je la prends pas la taille et l’embrasse tendrement au vu de tous.
Lentement, nous avançons vers le bord de l’eau. Quelques mètres avant d’y parvenir, un couple marchant le long du rivage, passe devant nous. Ils sont entièrement bronzés. La femme a des seins plats, descendant bas sur son ventre comme deux « gants de toilette ». L’homme lui est petit et plutôt bedonnant. Ce ne sont pas des canons de beauté, paraissent plus âgés que Geneviève. Ils ont l’air heureux et n’ont pas de complexe. Je le fais remarquer à ma chérie dont j’ai aperçu le regard sur eux. Elle en convient et sourit même, quand je lui déclare qu’elle est cent fois mieux que la femme, sauf son bronzage.
« Vous vous rendez compte si quelqu’un me voit un jour entièrement bronzée comme cela ?
Pourquoi ? A part moi il y a quelqu’un qui vous voit ? Je croyais que votre mari ne vous approchait plus. Ah ! C’est vrai ! Il y a votre… amant !
Il n’est plus mon amant !
Je croyais que vous en aviez toujours un !
Pas celui-là, l’autre !
L’autre ? Mais combien en avez-vous ma chérie ? » Dis-je pour la taquiner, sachant bien qu’elle parle de toi
« Je n’en ai qu’un voyons ! Oui, enfin… je ne peux pas tout vous dire. Quand à l’actuel, depuis que… avec vous… je ne le vois plus… pour ça ! Il se demande d’ailleurs pourquoi.
Je ne vous empêche pas de le voir !
Non, ce n’est pas ça ! C’est moi, qui n'ai pas… envie
C’est gentil ce que vous me dites là. Vous me parlerez de l’autre un jour ?
Je… Je ne sais pas.
Il est marié ?
O… Oui, mais…bon ! Parlons d’autre chose !
Oui, baignons-nous ma chérie ! » Je sens bien qu’elle est tendue. Elle ne peut tout de même pas m’avouer comme ça que son ancien amant n’était autre que son beau-fils »
L’eau est assez fraîche en entrant, aussi nous barbotons un peu au bord, je m’arrose la tête, le cou et le ventre, je fais de même à Geneviève pour qu’elle s’acclimate à la température. Il nous faut un moment pour être complètement dans l’eau, mais ensuite, le bonheur ! L’eau passe entre les jambes, caressant le clito et les lèvres. Les tétons de Geneviève sont dressés fièrement et paraissent encore plus gros, ce qui attire bien sur mes mains et bientôt mes lèvres sur sa peau granuleuse.
Dans l’eau, Geneviève se sent plus à l’aise. Protégée des regards, mais aussi, portée par l’eau salée, nous rions en nous caressant. Nous nous embrassons. Bref Geneviève retrouve son âme d’.
Plusieurs fois nous allons faire l’aller et retour pour nous rafraîchir mais aussi pour nous exhiber ce que ne redoute plus ma partenaire. A un moment, alors que nous sommes enlacées dans l’eau, elle me glisse « Je vous aime !»
J’en suis toute retournée. Cette femme de la noblesse, si prude, honorable mère de famille, femme du monde, bonne catholique pratiquante, est en train de s’ébattre nue dans l’océan et de déclarer son amour à une autre femme ! Je la sens émue de sa déclaration, comme si elle lui avait échappée.
Il est bientôt treize heures. Il commence à faire chaud sur le sable, aussi nous décidons de nous replier dans la forêt pour déjeuner et profiter de l’ombre. Il sera bien temps de revenir quand le soleil sera moins fort.
Nous redescendons la dune après nous être rhabillées et trouvons un coin agréable sous les pins, pas très loin de la voiture. Le pique nique est agréable. Geneviève parle de cette nouvelle expérience qu’elle adore déjà, même si la honte s’en mêle un peu. Elle se traite de folle et me reproche gentiment de la pervertir par des pratiques que la morale réprouve. Elle est maintenant décontractée. Seules dans la nature au milieu de la forêt c’est comme un havre de paix qui nous entoure. Étendues sur un plaid, nous savourons ce moment de calme, même si, enlacées, nous échangeons caresses et baisers.
Nous allons rester un bon moment sous les ombrages afin de profiter de la fraîcheur des sous bois. Geneviève s'endort. Je la regarde un long moment.
J’admire le corps de cette femme qui s’abandonne. Je m’étonne encore qu’elle soit mon amante. Je suis heureuse et je mouille mais je sombre moi aussi et m’endors à ses côtés. La peur de se faire surprendre nous a fait rester en maillot. Seules nos mains glissées sous les culottes trahissent nos envies lubriques.
Je suis réveillée par les lèvres de Geneviève qui est venue y déposer un baiser. Je l’enlace et nous nous roulons une pelle effrénée. Nos mains courent sur la peau de l’autre à la recherche des points sensibles. Nous oublions que nous sommes dans la nature et que n’importe qui pourrait nous surprendre. Néanmoins, après avoir rangé nos affaires alors que nous allons repartir, Geneviève me glisse à l’oreille :
« J’ai envie… De vous lécher…
Ma chérie ! C’est si gentiment demandé ! Je ne peux vous refuser ce plaisir !»
Je m’appuie contre un arbre. Elle s’agenouille, repousse ma culotte sur le côté et sa langue se faufile dans ma fente. A une dizaine de mètres de nous, dans les fougères, j'aperçois un homme qui nous matte. Je n'en dis rien à Geneviève et fais signe à notre voyeur de ne pas faire de bruit. Je relève une jambe et donne ainsi plus d'accès à la tête de ma maîtresse qui lape mon suc abondant. Sous l'action de sa langue et de ses doigts qui ont investi mon antre, je me liquéfie et laisse éclater mon plaisir dans sa bouche.
Contente de son œuvre, Geneviève se relève, le sourire aux lèvres et vient m'embrasser. Ses lèvres sont couvertes de mon jus que nous partageons goulument.
Sachant que le voyeur doit toujours roder, je reste en éveil, mais il a disparu.
La chaleur baisse, il est plus de seize heures, aussi nous regagnons la plage. Cette fois, sans hésiter, Geneviève se met nue. Elle prend plaisir à cet état. Aussitôt nous partons dans l’eau rafraîchissante. Sous prétexte de ne pas savoir nager, Geneviève s’agrippe à moi à la moindre occasion, m’enlace et m’embrasse en jouant comme une , à la différence que ses caresses ne sont pas si innocentes.La marée descend et nos allers et retours sur le sable s’allonge. Geneviève
n’est plus du tout gênée de s’exhiber nue dans une attitude qui montre à tous notre relation homosexuelle. C’est elle qui me prend la taille et se tourne vers moi pour un baiser sur les lèvres.
Lors d’un retour, alors que nous nous sommes embrassées fougueusement au bord de l’eau en sortant, deux hommes assis côte à côte nous regardent avec un grand sourire. Ils sont entièrement bronzés et glabres et arborent tous deux une magnifique érection.
Arrivées sur nos serviettes je dis en riant :
« Ma chérie, vous faites même bander les homos !
Vous croyez que…
Regardez, ils s’embrassent ! »
Effectivement, les deux hommes échangent un baiser. L’un d’eux a sa main entre les jambes de l’autre.
La plage se vide peu à peu vers dix huit heures. Il fait si bon que nous restons jusqu'après que le soleil se soit caché à l'horizon. Nous n'avons pas envie de quitter ce bon moment. Nous faisons de fréquentes baignades, restant parfois allongées au bord de l'eau qui, au gré des vagues, vient recouvrir les jambes et chatouiller la chatte parfois. C'est l'étale. Les couleurs sont chatoyantes. Parfois, un promeneur passe près de nous et Geneviève n'y prête plus attention.
Malgré tout, avec regret, nous quittons la plage. Geneviève n'a même plus envie de se rhabiller et attend la limite autorisée pour enfiler une robe légère sur son corps nu. Elle a vite pris goût à la nudité.
Le retour se fait lentement, nous avons envie de prolonger ce moment et c'est à la nuit que nous arrivons chez elle.
« Voudriez-vous rester avec moi ce soir ? Demande-t-elle
Vous voulez dire cette nuit ma chérie ?
Oui ! J'ai envie de vous ! Je crois que... Je vous aime !
Oh ! Ma chérie ! Moi aussi, je vous aime !
C'est vrai ? Oh que je suis heureuse ! Je n'ai jamais aimé comme Ça ! En plus c'est avec une femme ! Peu m'importe ! Je vous aime !! »
Cette déclaration nous précipite dans les bras l'une de l'autre pour un baiser passionné qui dure... Heureusement, il n'y a personne à la maison.
En entrant, nous trouvons sur la table, un mot de son mari, qui ne viendra pas déjeuner le lendemain. Ce qui rend Geneviève toute joyeuse.
« Non seulement nous allons pouvoir traîner au lit, mais en plus, nous pourrions retourner à la plage ! Vous ne travaillez pas demain ?
Non ! Vous devenez « accro » au naturisme ma chérie, je vais adorer vous lécher partout sur votre peau bronzée !
Vous êtes un amour ! Vous êtes MON amour! »
Nous préparons rapidement un repas léger à base de salade de riz qui permet de préparer également pour demain. Passage sous la douche pour enlever tout le sable et la crème. Nous constatons que nous avons déjà pris une belle couleur et qu'aucune marque de maillot ne vient marquer notre épiderme.
Geneviève convient que c'est beaucoup plus joli.
Nous passons dans la chambre que je découvre avec son armoire à grande glace
– Mais je n'ai pas besoin de t'expliquer, tu connais ?
- Oui, bien sur ! Dis-je
La nuit est chaude, nous faisons l'amour longtemps. Chacune reprenant tour à tour quand l'autre n'en peut plus. Geneviève sort son gode « Rabbit » un monstre que tu lui as offert paraît-il ?
Oui ! C'est mon cadeau pour la fin de nos relations intimes. Je lui ai dis qu'elle pourrait ainsi se donner du plaisir n'importe quand.
Je peux te dire, qu'elle a appris à s'en servir ! C'est terrible ce truc ! Le double dong n'est pas mal non plus !
Ah ! Celui-là ne vient pas de moi !
Tu crois que c'est son amant actuel qui lui a offert ?
Je ne crois pas ! Il n'est pas du style ! Mais on ne sait jamais ! Il te reste à interroger ta chérie ! J'ai l'impression que toi aussi tu es amoureuse, non ?
Oui ! C'est fou ! Tu sais, après la première fois, j'ai adoré et eu envie de recommencer, mais maintenant il y a autre chose qui se passe !
Ça se voit dans tes yeux ma belle ! Tu en pinces ! Je regrette de ne pas vous voir à l'œuvre toutes les deux !
Espèce de vicieux ! Je te rappelle que c'est ta belle-mère et que vous avez décidé de cesser vos relations coupables.
Oui, mais rien ne m'empêche de vous regarder et de te baiser pendant que tu la gouine !
Regardez-le celui-là ! Tu es un pineur toi ! Tu penses « cul » en permanence et la moindre occasion t’excite ! ! La différence c’est que nous, on s'aime !
Ce n'est déjà plus une histoire de cul entre nous. Tu sais qu'elle veut que je m'installe chez elle ?
C’est pas possible ? J'y crois pas ! Mais... son mari, sa famille, les gens ?
Elle est futée tu sais. Mais viens me baiser ! Ça m'a excitée de te raconter
tout Ça, j'ai envie d'une bite. En plus j'ai promis.
Tu vas la tromper ?
Je lui ai dis que je ne pourrais jamais me passer complètement des hommes et elle m'a avoué qu'elle non plus. Donc son amant actuel pourra toujours la grimper et toi si tu veux, tu me baiseras! »
Inutile de dire que je souscris à sa demande. Ludivine s'avère une maîtresse experte et notamment capable de faire jouer ses muscles intimes en restant assise sur ma verge. Ses seins ronds et pommelés sont un ravissement pour mes lèvres et ma langue. Elle aime jouir, mais est capable d'attendre ma propre jouissance pour se laisser aller.
Après cela, elle me propose de revenir un autre jour pour me narrer la suite de sa relation avec ma belle-mère.

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