La Vie Dissolue D'Une Bigote 5 : Une Séparation Et Une Maîtresse.
Avec ma fiancée, nous avons pris un appartement et ne sommes plus hébergés chez ses parents. Cela nempêche pas mes relations avec Geneviève. Je vais souvent lui rendre visite. Parfois je laccompagne pour un déplacement et une chambre dhôtel cache notre relation semi-ueuse.
Cinq ans passent ainsi. Geneviève se partage entre Pierre et moi. Petit à petit, malgré tout nous espaçons nos rencontres. Le mariage est prévu dans une quinzaine de jours. Alors que je suis seul dans notre appartement, Geneviève vient un matin, comme il lui arrive régulièrement pour porter des affaires. Ce jour là semble-t-il, elle sest habillée plutôt sexy, même si pour elle cela nest pas très visible. La connaissant bien, je note quelle a choisi une robe assez moulante et lorsquelle retire sa veste, anachronique en cet été, je devine quelle na rien dessous. Je fais celui qui na rien remarqué et lui propose de boire un café. Elle acquiesce, alors quelle nen prend jamais en dehors des repas. Je la laisse venir, sentant son embarras mais ne fais rien pour laider. Je la sens nerveuse.
« Je ne vous dérange pas au moins ?
Pas du tout ! Mais vous-même, - jai maintenant pris lhabitude de la vouvoyer en dehors de nos « relations intimes » - vous allez quelque part ?
Je
Non
Je passais simplement vous voir.
Cest gentil ! » Le silence se réinstalle.
Jean !
Oui ?
Je voulais vous dire
Vous allez officiellement devenir bientôt mon gendre.
Officiellement, oui.
Nous
Nous ne
Pouvons plus
Continuer
Continuer quoi ?
Vous le savez très bien
Je veux vous lentendre dire !
Monstre que vous êtes ! Jusquau bout, vous voulez mhumilier !
Mais tu aimes Ça salope ! Dailleurs, je crois que tu mouilles fort maintenant ! Cest la première fois que tu viens toffrir ici !
Et la dernière ! Oui ! Je veux que vous me baisiez ! Que vous baisiez votre salope de belle-mère ! Vous êtes content ?
Mais bien sûr salope ! Mais pourquoi la dernière aujourdhui ?
Vous savez bien ! Votre mariage est dans quinze jours ! Ensuite, cela ne sera plus possible !
Ah ! Cest ça qui te tracasse ?
Vous comprenez ? Cest ma fille tout de même !
Parce que jusquà présent, cela nétait pas un problème, mais à partir du moment où on officialise, cest différent,
V
Voilà !
Tu es bien une coincée du cul ! Même si je te lai travaillé.
Ensuite puisque tu le veux ce sera fini entre nous. Sache que cette décision vient uniquement de toi et que tu en seras sûrement la plus punie.
Je
Je le sais ! Mais je dois le faire ! Nous devons le faire !
Cest bien belle-maman ! Maintenant, enlève ta robe ! Tu vas finir par la tâcher avec le jus qui doit couler de ta chatte !
Mais
Quelquun peut venir !
Oui ! Cest pour ça que lon va monter à létage ! Mais je veux te voir à poil dans cette pièce. Tu monteras ensuite devant moi. Jaurais ainsi le beau spectacle de ton gros cul qui monte l'escalier et un souvenir de toi à poil ici dedans ! »
Je vais tirer les rideaux et fermer les portes à clé. Quand jai terminé, Geneviève est debout, nue au milieu de la pièce. Quand je dis nue, cest sans compter les bas et le porte-jarretelles couleur chair quelle arbore.
Je tourne autour delle, la frôlant sans la toucher. Sa peau se hérisse, mais elle ne bouge pas, raide comme une statue. Je me délecte de la vision de ma belle-mère, pour la première et donc la dernière fois nue dans mon appartement.
Jatt la robe au passage et lance :
- « Tu es magnifique ! Je vois que tu tes préparée et habillée comme une pute pour moi ! Je garderai le souvenir de ma salope de belle-mère nue au milieu de chez moi et quand tu viendras nous voir, tu sauras que jy pense.
Allez, montons maintenant ! Passe devant que je vois ton gros cul devant moi, comme une pute devant son client ! Et vas-y lentement je veux en profiter le plus longtemps possible ! »
Lascension se fait lentement. A quelques centimètres de mon visage, les grosses fesses de Geneviève, se balancent. Elle doit se tenir à la rampe. Ses jambes ont du mal à la tenir. Elle est consciente du spectacle quelle moffre.
- « Tu sens la femelle, salope ! Je vois ton jus qui coule déjà sur tes grosses cuisses ! Je vais te baiser ici, dans lescalier ! Arrête et penche-toi ! A genoux !»
Docile, ma presque belle-mère, prend position. Rapidement, je me débarrasse de mon short et lenfile brutalement. Comme prévu, sa chatte ruisselle et son soupir nest que de plaisir. Je crois même quelle a un premier orgasme à ce moment. Debout dans lescalier, je la lime profondément. Pour, le plaisir je fais trois ou quatre allers et retours, avant de sortir. Je lui faire monter une marche, je recommence et ainsi de suite presque à chaque marche.
Arrivés en haut, Geneviève nen peut plus, car cette méthode lempêche de jouir. Elle est à cran. Aussi, quand elle reste à genoux sur le palier, je lui mets dabord des claques sur ses grosses fesses avant de la prendre en levrette. Elle se lâche alors et jouit comme une folle en bramant.
Cest en arrivant dans la chambre, que je me rends compte que la fenêtre est restée ouverte. Jespère simplement que les voisins nétaient pas à lécoute.
Connaissant les facultés de Geneviève dinonder la literie jenlève tous les draps et pose une alèse. Je la fais étendre les jambes au bord du lit et entreprends de lécher sa chatte gluante. Je me régale de son jus abondant et Geneviève se pâme plusieurs fois. Cest alors que la sonnette de la porte retentit. Ma belle-mère se fige. Je lui dis de ne pas bouger, jenfile un peignoir et je descends voir limportun visiteur.
Cest le facteur ou plutôt la factrice qui vient remettre un paquet et a besoin de ma signature. Sent-elle une odeur ? Devine-t-elle loccupation à laquelle je me livrais, ou a-t-elle entendu quelque chose ? En tous cas, cest avec un sourire de connivence quelle me remet lobjet.
« Excusez-moi, lui dis-je, de vous recevoir ainsi. Jétais
Occupé ?
Cest cela, oui !
Elle a bien de la chance cette personne !
Vous êtes une coquine vous ! Mais
Ça vous plairez den profiter ?
Dy goûter ? Sûrement !
Vous aimez les femmes ?
Les femmes aussi, oui ! Beaucoup !
Celle-là est particulièrement humide et même fontaine !
Mmmmhhh !
Vous savez être discrète ?
Bien sûr !
Entrez ! »
Je referme derrière nous et nous montons.
Je lui demande de se rallonger, de surtout ne rien dire et ne pas bouger et lui pose un drap sur le visage. « Tu vas adorer, nai pas peur » Je fais entrer la factrice et lui fais signe de se taire. Elle ne traine pas et à genoux plonge entre les jambes de Geneviève. Celle-ci sursaute, mais je la maintiens et lui glisse « Ne bouge pas salope, laisse-toi faire »
La factrice semble être bien habituée à bouffer de la moule. Elle rajoute deux doigts dans la chatte et très rapidement reçoit sa récompense quelle avale sans rechigner. Elle ne sarrête pas pour autant et gouine ma belle-mère qui libère toujours autant de cyprine.
Finalement, la préposée se relève, les yeux brillants, le visage barbouillé du jus de femelle. Je lui fais signe de se taire et elle sort. Je la raccompagne à la porte où elle me remercie.
De retour dans la chambre, Geneviève voudrait bien savoir qui était-ce.
« Tu as pris beaucoup de plaisir, mais était-ce un homme ? Une femme ?
Quelquun que tu connais ? Tu ne le sauras jamais, salope ! Tu croiseras sûrement la personne mais ni elle, ni toi ne saura. A moins que
Que quoi ?
Quelle nait remarqué un détail sur ton corps, car elle, à part ton visage, a vu tout le reste !
Cétait une femme ? Ce nest pas possible ! Vous navez pas fait ça ?
Je nai pas dit que cétait une femme. Jai parlé dune personne, cest vague.
Comment avez-vous osé me faire ça ! Une femme !
Tu nas pas aimé ?
N
O
Oui... Mais tout de même !
Voilà ce que cest que de venir baiser avec son gendre, belle-maman. En attendant, jai dis que pour cette dernière, jallais te prendre par tous les trous, et il en reste deux, alors viens me sucer salope ! »
Bien sur, Geneviève ne se fait pas prier. Elle déploie tout son art pour rapidement me faire bander puis me pompe afin de recevoir la récompense de mon sperme, dont elle se régale maintenant.
Après ce deuxième round pour moi, le troisième au moins pour elle, nous prenons un peu de repos. Geneviève cherche encore à savoir qui était ce visiteur inconnu, mais je reste intransigeant, elle voudrait savoir au moins si cétait un homme ou une femme.
« Ça change quoi ? Tu penses que si cétait une femme tu serais devenue gouine ? De toute façon, cest toi qui tes fait bouffer la chatte donc, même si cétait une femme, tu ne serais pas une gouine. Jai plutôt limpression que ça texciterais de savoir quune femme tas donné du plaisir. non ?
Chaque fois tu te poseras des questions. Cest lui ? Cest elle ? Moi je saurai. Alors, dis-moi. Tu aurais aimé que ce soit une femme ?
Vous ny pensez pas
Vous êtes un grand malade ! Vous êtes un monstre et moi
je
Enfin
Oui !
Tu vois que tu es une salope pour laquelle seul compte le plaisir ! Tu as envie de faire lamour avec une femme ? Je veux dire, en toute connaissance.
Mais non voyons !
Tu as répondu trop vite. Je suis sûr que tu en as envie
Vous êtes un monstre !
Jai donc raison, chaque fois que tu dis ça, cest que tu te rends compte que cest vrai. Tu veux que je te trouve une femme ?
Vous êtes un sale vicieux ! Pas question !
Bien ! Tant pis pour toi ! En attendant, prépare ton cul de salope, parce il me reste à tenculer !
Ne parlez pas comme ça sil vous plaît
Mais il me plaît et il te plait aussi que je te parle comme Ça et que je te traite de salope. A genoux vieille pute, donne-moi ton cul que je le remplisse de mon foutre ! »
Sans plus se faire prier, Geneviève se met en position. Je ne résiste pas à lenvie de la fesser. Malgré ses cris et protestations, je rougis son postérieur opulent sous de faibles gémissements de douleur se transformant comme dhabitude en gémissements de plaisir et par la demande pressante de ma belle-mère de la pénétrer.
Aujourdhui étant une occasion spéciale, je prolonge la fessée pour quelle cuise un peu plus longtemps. Leffet induit est un orgasme violent de Geneviève qui arrose le lit. Sans plus attendre alors, je me place derrière elle et guidant ma queue, jencule ma bientôt belle-mère !
La saillie dure longtemps. Dune part, jai déjà éjaculé il ny a pas longtemps. Dautre part, sachant que cest la dernière fois que je la baise, je veux faire durer ce moment. Jarrête fréquemment de limer ma partenaire.
Pas dinquiétude pour elle, car, non seulement Geneviève jouit aussi bien du cul que du vagin, mais la salope se caresse aussi dune main sur son bourgeon.
Les meilleures choses ayant une fin, je mépanche dans le rectum de Geneviève et nous nous écroulons sur le lit, ou plutôt dans lalèse trempée de son plaisir.
Après quelques ablutions bien nécessaires, nous refaisons le lit, nettoyons lalèse et, rhabillés correctement, nous nous retrouvons autour de la table de la salle à manger.
« Tu es bien consciente que tu nauras plus ces plaisirs ?
Oui, je le sais, mais je dois le faire.
Je respecterai ton désir et regretterai de ne plus voir tes tétons, et de te bouffer la chatte pour boire ta délicieuse jute.
Arrêtez ! Ne parlez plus de ça ! Nous devons maintenant avoir des rapports normaux !
Bien belle-maman, à partir de tout de suite, vous nêtes plus que la mère de ma future femme. Nos baisers seront chastes, mais permettez moi de temps en temps dadmirer vos formes.
A condition que cela soit discret et je ne vous autorise bien sûr aucun geste déplacé !
Je vous promets de ne pas trop vous serrer en vous faisant la bise ! »
Et nous tiendrons nos promesses, et naurons plus aucun rapport sexuel entre nous, durant toute la durée de mon mariage !
Le jour du mariage donc, comme promis quand jembrasse la mariée après le consentement devant monsieur le maire, je me tourne vers Geneviève. Elle est écarlate et nous sommes les seuls à savoir que son émotion est doublée par le souvenir de notre passage à Toulouse. Plus tard, pendant lapéritif dansant, comme il est de tradition je danse avec celle qui vient de devenir officiellement ma belle-mère. Le contact de son corps provoque une érection involontaire que ma partenaire ressent aussitôt. Malgré ses dires, elle ne se retire pas et madresse un regard malicieux.
Durant la soirée, nous nous retrouvons à discuter avec la cousine Madeleine chez qui nous avions passé quelques jours. Après avoir parlé dun petit peu de tout, elle nous glisse :
« Je vous ai vus tout à lheure danser ensemble. Vous alliez très bien, je vous trouve très mignons, mais restez discrets malgré tout !
Mais
Nous
marmonne Geneviève
Ttt Ttt Ttt rétorque la cousine. Vous savez, lors de votre passage, vous avez laissé quelques traces ne mont laissé aucun doute sur vos relations. Je suis contente pour toi Geneviève. Je napprouve ni ne désapprouve, vous êtes de grandes personnes, mais je ne voudrais pas quil y ait un drame.
Vous êtes charmante dis-je ». Geneviève, elle, est plutôt gênée davoir été découverte. « Jespère que lon ne vous a pas trop choquée. Sachez que nous avons décidé de cesser nos relations « coupables » à compter daujourdhui.
Vous ne mavez pas choquée, même si
en vous regardant
Ah bon ? Parce que vous nous avez espionnés ?
Ben
Le premier soir, en vous voyant, je me suis doutée de quelque chose.
Jai même pensé au début que vous nétiez pas vraiment le futur gendre, mais simplement son amant. Je ne sais si vous vous êtes rendu compte, mais le lendemain, quand jai appelé votre beau-père, je nai pas signalé votre présence avec Geneviève. Vous savez je suis une vieille femme, et jai tout de même vécu. Il y a des signes qui ne trompent pas un il averti. Jétais très heureuse de voir enfin ma cousine Geneviève paraissant heureuse. Cest pour ça que jai insisté pour vous garder. Vous êtes partis rapidement vous coucher sous un faux prétexte. Ce ne sont pas deux cent cinquante kilomètres de route qui fatiguent un jeune homme comme vous. Après un moment je me suis approchée du cottage et je vous ai entendus. Par un interstice des volets jai pu vous observer quand vous étiez devant la cheminée. Vous étiez très beaux ! Malheureusement ensuite vous êtes partis dans la chambre.»
Nous rions maintenant tous les trois, heureux de notre complicité. Nous sommes séparés par ma femme, venue me chercher et je laisse les deux cousines qui ont maintenant de quoi parler. Geneviève me confiera plus tard, que Madeleine, sa cousine, lui a proposé de venir parfois chez elle, « avec ton amant si tu veux, celui-là, ou un autre». Les deux femmes vont ensuite se visiter régulièrement, jusquà la disparition de la cousine.
Une dizaine dannées ont passé depuis ce jour là. Pierre, lamant de ma belle-mère est décédé. Depuis lors, je me rends compte que Geneviève a « pris un coup de vieux » elle néglige sa tenue comme basculant dans la vieillesse.
Ayant réussi un jour à discuter de cela avec elle, elle me déclare quelle na plus envie de se lancer dans une autre aventure, mais que ses envies sont toujours présentes.
Lautre souci de Geneviève et cest plutôt celui-là qui la marque le plus, cest que son amante sest éloignée delle. Eh oui, ma belle-mère est aussi devenue lesbienne ! Mais cela mérite un autre chapitre.
***
Découverte du plaisir féminin
Jai raconté cet épisode, où ma belle-mère sans le savoir, sest fait lécher la moule par une femme. La factrice qui lavait fait jouir, faisant à nouveau un remplacement quelques temps plus tard, se représente à ma porte.
« Je sais qui est la dame de lautre fois ! Me dit-elle après mavoir remis le courrier.
Ah bon ?
Cest votre belle-mère ! Mais, nayez pas peur, je ne dirai rien !
Quest-ce qui peut vous faire dire ça ? Ce nest pas banal !
Ce qui nest pas banal, cest de demander à la factrice de venir brouter la chatte dune dame dâge mûr, couchée nue dans votre chambre, à quelques jours de votre mariage.
Jai limpression, mais je me trompe peut-être, que ce genre de pratique vous est familier ?
Je
Oui cest vrai ! Jaime aussi les femmes et celle-là, jai adoré la façon dont elle a joui ! Cest une vraie fontaine ! Vous avez de la chance ! Vous croyez que jai une chance avec elle ?
Je ne sais pas si vous avez une chance avec ma belle-mère, mais la femme que vous avez gouinée ne sais même pas que cest une femme qui lui a donné du plaisir. Quand à ma belle-mère, elle est plutôt collet-monté et en tentant votre chance, vous pourriez le regretter et risquer votre carrière !
Arrêtez ! Je sais bien que cest elle !
Libre à vous de le penser ! Mais franchement, vous me voyez avec ma belle-mère ?
Vous êtes assez vicieux pour faire lécher votre maîtresse
Je sais que ce nest pas votre femme, alors pourquoi pas votre belle-mère ? Bon, pour votre gouverne, je vais tout vous dire. Ce jour-là, je lai vue sortir de chez vous. J'étais revenue à la fin de ma tournée et j'ai attendu. Il faut dire que j'avais fini mon travail un peu dans le brouillard, car j'avais beaucoup aimé ce moment. Plus tard, en la croisant dans la rue avec un collègue, j'ai questionné ce dernier et il ma donné son nom, ensuite jai pu faire le rapprochement. Donc, inutile de me mentir.
Vous savez, Ça ne me dérange pas que vous la baisiez, vous nêtes pas le seul à baiser votre belle-mère, mais, je ne sais pas comment lui faire comprendre quelle me plait, si vous maidez, je ne dirai rien sur vos
relations ! Il me serait facile de faire partir une rumeur, mais je n'en ai pas envie.
Puisque nous en sommes aux confidences, je vous dirais que depuis mon mariage, cette femme nest plus ma maîtresse. Ce jour là était dailleurs le dernier où nous avons eu des relations sexuelles. Par expérience, pour fendre sa cuirasse, il faut des conditions particulières et je ne sais pas si lui rouler une pelle en lui portant son courrier, est une bonne méthode pour la conquérir. Nayant plus de rapport de ce genre avec elle, je vois mal comment faire pour vous aider.
Vous pourriez me présenter, lui suggérer que
Elle nacceptera pas à froid, lidée quune femme lait touchée ou ne la touche.
Ecoutez, je ne vous demande pas de me la mettre dans les bras ou dans le lit, mais ouvrez-moi une porte et je tenterai ma chance. Ensuite, advienne que pourra. Il faudrait quau moins, jai un petit moment pour parler avec elle en dehors du travail.
Je vous promets de vous aider.
C'est vrai ? Merci !
Tu me remercieras peut-être si tu parviens à tes fins.
Juré !
Quelques temps plus tard, loccasion se présente lors dune réunion.
Geneviève et la factrice sont présentes. A la fin, un pot est offert par lorganisation et je discute avec Geneviève, lorsque la demoiselle sapproche de nous. Je la sens nerveuse, aussi après les présentations dusage, jessaie détablir entre elles, une conversation plus légère. Peu à peu les deux femmes se trouvent des points communs. Bizarrement, Geneviève se laisse aller à parler plus que dhabitude. Le courant semble passer entre elles. Je méloigne, les laissant seules. Leur aparté dure. Je les observe à la dérobée tout en discutant avec dautres personnes. Plusieurs fois, des interlocuteurs viennent saluer ma belle-mère, mais cela nempêche pas les deux femmes de reprendre leur échange ensuite.
Un peu plus dun mois plus tard, alors que jai un peu oublié lhistoire, la factrice mapporte du courrier.
« Tu es seul ? Demande-t-elle
Oui, pourquoi ?
Je viens te remercier
Ah oui, pourquoi ?
Tu le sais bien ! Ta belle-mère.
Tu as conclu ?
Oui !
Eh bien ! Tu es une sacrée coquine toi ! Il faut que tu me racontes !
Là pour le moment, je nai pas le temps mais je peux revenir cet après midi.
Ok ! Je tattends, pas de problème. »
Il est un peu plus de quinze heures, lorsquelle réapparaît. La demoiselle a changé de tenue est ma foi, est plutôt sexy sans son uniforme habituel.
Après avoir pris un café, Ludivine, elle ma appris son prénom, commence son récit.
« Merci dabord de mavoir permis damorcer la conversation. Tout à lheure, je voudrais te remercier de façon plus
«profonde » mais puisque tu veux tout savoir espèce de vicieux, tu vas te régaler ! Le jour où tu nous as présentées, je nous ai trouvé rapidement des points communs : la cuisine et les fleurs.
Jai remarqué en effet que vous étiez assez complices, ce qui ma surpris, connaissant ma belle-mère.
Je suis assez douée pour mener une conversation. Au bout dune demi-heure, nous avions accroché, Quelques personnes sont venues pour parler à Geneviève mais elle a toujours repris le fil avec moi.
Oui, oui, je men suis rendu compte
Ah ! Tu nous surveillais ?
Tu mavais dis ton projet, alors je voulais voir comment ça se passait. Je vous regardais de temps en temps, de loin.
A la sortie de la réunion, on a discuté un peu plus sur le parking et on sest promis de se revoir. Je ne lai pas lâchée comme ça et je lui ai proposé de passer le lendemain après midi pour voir une plante qui mintéressait. Elle na pas refusé.
De retour chez moi je me suis branlée comme une folle. Plusieurs fois on sétait frôlées, me provoquant des frissons, en partant je navais pas osé lembrasser au moins chastement, sur les joues et je le regrettais, mais je redoutais tellement de me découvrir que jy allais à tout petits pas.
Le lendemain après-midi donc, je me présentais chez elle et elle ma reçue plutôt chaleureusement, me proposant un thé. Nous sommes ensuite passées au jardin. Javais pris soin la veille de me renseigner sur quelques plantes, pour avoir lair dune passionnée dhorticulture. Pendant plus dune heure nous nous sommes penchées sur des massifs, elle répondait à mes questions, me donnait des boutures. Je dois dire que je trouvais le temps long, mais je parvenais parfois à la toucher, prétextant un mauvais équilibre, ou un outil à échanger. Je voyais la peau de ses bras et de ses cuisses, je sentais son odeur, jétais sur un nuage. Je mouillais comme une folle. Le moindre frôlement me mettait en transes. Je lorgnais sa poitrine, ses fesses, ses lèvres...
Au moment du départ, pour la remercier, je lai embrassée sur les joues vivement en lui prenant les mains. Elle est restée figée. Je me suis enfuie plus que je ne suis partie. Je devais être rouge comme une pivoine, jai entendu comme dans un brouillard « revenez quand vous voulez »
Je me suis retenue de revenir le lendemain alors que jen mourrais denvie.
Trois jours plus tard, josais enfin me représenter. Alors que je lui tendais la main, elle me rétorqua
Nous nous sommes embrassées lautre jour, vous ne voulez plus ?
Oh oui, bien sûr ! Rougissant comme une collégienne. Notre étreinte, même brève, était plus appuyée et me procurait des picotements dans le dos
et plus bas dans le ventre. J'étais déjà inondée !
Une fois encore nous avons pris le thé, puis papoté comme de vieilles amies.
Dans léchancrure de son chemisier japercevais la naissance de ses seins que jimaginais gros et sensibles. Je ne pouvais pas soupçonner encore combien cétait vrai.
Le temps a passé si vite, alors quen sortant je me rendais compte que plus de deux heures sétaient écoulées.
« Revenez vite ! Me dit-elle en partant après les baisers maintenant habituels.
Le week-end a été atroce pour moi. Jétais « accro » ! Complètement gaga de cette femme plus vieille que moi. Elle avait une classe folle. Comment pourrait-elle sintéresser à moi petite préposée. Pourtant je sentais bien que petit à petit, elle était heureuse de se trouver avec moi et de parler.
Nous avons continué comme ça plus de deux semaines. Nous étions maintenant très proches. Cette femme, distante avec tout le monde, se laissait aller à des confidences avec moi. Nous nous tenions par la main en parlant, assises côte à côte. Je ne te dis pas létat dans lequel jétais ! Jai appris plus tard, que sans que je ne men rende compte, elle était aussi troublée que moi.
Un jour, jarrive alors quelle est en plein ménage. Elle, toujours tirée à quatre épingles, ne porte quune blouse légère, sous laquelle je devine ses sous-vêtements. Ses bras nus et ses jambes qui se découvrent mobsèdent. Je laide dans sa tâche et en partant, nos baisers sont très proches des lèvres.
La complicité que nous avions eue ma poussée à oser. Ses yeux brillaient en tenant mes bras au moment de la quitter. Elle était aussi émue que moi !
Avais-je vraiment une chance ? Je ne pouvais rester comme cela ! Il fallait que je tente ma chance. Javais très peur de la perdre, mais aussi très envie de la serrer dans mes bras. Nallait-elle pas mal réagir ? Me signifier tout arrêt de nos relations ? Je ne vivais plus.
Au cours des rencontres suivantes jaccentuais mes compliments, lui disant que je la trouvais belle, quelle devrait shabiller autrement, que puisque elle me donnait des conseils de cuisine, je pouvais lui en donner pour se vêtir.
« Je ne peux mhabiller comme une jeune tout de même ?
Mais bien sûr ! Enfin, peut être pas comme vos filles mais... mieux que
Vous me trouvez vieille ?
Pas du tout ! Au contraire ! Mais franchement, ce sont vos habits qui vous vieillissent ! Je suis sûre, quavec quelques petits trucs, vous seriez magnifique !
Mais
les gens ?
Que vous importent les gens ? Vous ne voudriez pas me faire plaisir ?
Oh oui, bien sûr !
Alors, demain, on va faire les magasins, on va essayer des trucs et on verra, cela vous donnera peut-être des idées. Daccord pour demain ?
Daccord ! Mais ce nest pas dit que jachète quelque chose.
On verra bien. Le truc, cest de se faire une idée. A demain alors ! Je viens vous chercher et zou !
Avant de passer la prendre, je change de tenue, pour être un peu sexy.
Volontairement, je me dirige vers une ville quelle ne fréquente pas. Nous en avions parlé et je lui ai proposé daller à Dax. Après mêtre garée, nous partons bras dessus-bras dessous dans les petites rues. Je sens sur mon bras, son sein qui ballote. Nous entrons dans plusieurs boutiques avant de trouver une robe attrayante et qui lui plaise. Je la force à lessayer, jen profite pour prendre aussi une tenue.
Jai de la chance, il ny a quune cabine, mais elle est très vaste et tout en lui disant « entre femmes, on ne va pas se gêner » je la pousse dedans.
Elle semble résister, mais devant la vendeuse, nose pas refuser.
Jessaie dêtre naturelle pour enlever ma robe et avant denfiler ce que jai pris sur le portant, je me retrouve en petite tenue et me retourne. Elle na pas bougé.
« Allons, dis-je, vous ne voulez plus lessayer ?
Cest que
Si, si
Donnez-moi la robe, je la tiens pendant que vous enlevez la vôtre. »
Cest elle qui est rouge pivoine, mais elle nose pas passer pour coincée.
Lentement, trop pour moi, elle défait sa ceinture, puis les boutons et finalement se retrouve en fond de robe.
- « Enlevez Ça aussi. Ça ne vas pas aller avec la robe ! »
Elle le retire par la tête, ce qui me permet de voir son corps pour la première fois, alors que son visage est caché un instant par le léger vêtement.
« Mais vous êtes superbe ! Dis-je très sincèrement.
Nexagérez pas tout de même !
Pas du tout ! Il y a beaucoup de femmes qui aimeraient vous ressembler !
Cest dommage de cacher cela sous vos vêtements dun autre âge !
Arrêtez ! Sinon je me rhabille et on sen va !
Pardonnez-moi ! Mais je pense vraiment ce que je dis.
Cest vrai ?
Mais bien sur ! Allez, enfilez cette robe !
Ayant fait de même, pour détendre latmosphère je lui fais constater que sa robe est trop large, je sors de la cabine et demande à la vendeuse une taille plus petite. Une fois de plus elle se retrouve en sous-vêtements devant moi.
Je suis liquéfiée et pour cacher mon trouble, je laide à enfiler le nouveau modèle
« Elle est trop serrée ! me dit-elle
Pas du tout, au contraire, elle met vos courbes en valeur !
Justement ! Je suis grosse et là, Ça fait quand même un peu trop
Dabord, vous nêtes pas grosse mais joliment ronde ! La seule chose qui choque cest votre soutien gorge. Vous nen avez pas de plus
moderne ?
Si
mais
Il faudra voir avec alors ». Me collant derrière elle, nous ladmirons dans la glace. - « Moi je vous trouve très bien comme Ça. Cest ce que je vous disais. Changez un peu votre manière de vous habiller. Franchement, vous êtes
vachement mieux comme ça. Vous la prenez ?
Je
Je ne sais pas. Cest vrai que je me sens bien dedans, mais que vont penser
.
Laissez penser les gens. Ils vous trouveront très bien, je vous assure.
Regardez comme ça !»
Prise dans lambiance, sans réfléchir, je passe mes bras sous les siens et empaume ses seins pour les relever. Je ne savais pas encore comme elle est sensible de là.
Elle ne me repousse pas et je vois dans le miroir son regard chavirer sous mes caresses, car maintenant, je les malaxe et je sens ses tétons se durcir.
La retournant face à moi, je pose mes lèvres enfiévrées sur les siennes. Je la serre dans mes bras. Profitant du moment, ma langue tente dentrouvrir des lèvres. Elle résiste un peu, mais finit par capituler. Elle mabandonne sa bouche et bientôt sa langue communie avec la mienne. Nous sommes brûlantes et lorsque nous nous séparons je vois ses yeux briller. Elle veut parler, mais dun doigt sur les lèvres, je la fais taire.
Rapidement, nous reprenons nos tenues, Geneviève achète la robe et nous quittons le magasin sous le regard amusé de la vendeuse qui se doute bien que quelque chose sest passé dans la cabine.
Dans la rue, je lui prends la main, sans un mot, nous marchons. Japerçois un petit bar, façon pub anglais, jentraine Geneviève à lintérieur et, au fond de la salle, une table retirée nous accueille. Dès que le garçon repart après nous avoir servies, Geneviève, assise à mes côtés sur la banquette, lance :
« Ludivine, nous ne pouvons pas
Ne pouvons pas quoi ?
Vous savez bien !
Nous aimer ? Moi, je vous aime déjà !
Vous êtes une femme ! Et si jeune!
Oui, et jaime, aussi les femmes et vous, vous êtes très belle ! Vous me plaisez beaucoup ! Vous n'êtes pas vieille et je pense beaucoup à vous !
Cest de la folie !
Parce que je suis une femme ? Vous naimez pas les femmes ?
Si
Non
enfin pas
comme ça !
Pourtant, je vous ai sentie émue tout à lheure et même encore maintenant.
Quelque chose vous gène ?
Cest que
Je nai jamais
Cest la première fois que
jembrasse
une
femme
Et ça ne vous a pas plu ?
O
Oui !
Jai encore envie de vous embrasser ! Je me penche vers elle et prends ses lèvres. Elle se laisse faire, puis se recule brusquement.
Pas ici ! Il y a du monde !
Cest ça qui vous gène ? Venez ! »
Nous quittons très vite le petit établissement, sans même finir nos consommations. Nous marchons vite vers ma voiture, je sens sa main qui serre la mienne très fort. Avant darriver, ny tenant plus, je lentraine dans une ruelle étroite et contre le mur, à labri des regards, nous nous embrassons follement. Mes mains virevoltent sur son corps, ses seins, ses hanches, sa taille. A bout de souffle, nous nous séparons, puis reprenons notre course vers la voiture.
Après nous être embrassées encore, je démarre pour nous trouver un coin tranquille dans la campagne. Durant tout le trajet, au lieu de se refroidir et se reprendre, Geneviève garde sa main posée sur ma cuisse, me communiquant sa chaleur.
Au bout dun chemin, une clairière complètement invisible que je connaissais et nous pouvons reprendre nos ébats. « Passons derrière » dis-je
Nous sommes toutes deux survoltées et nos habits sont vite éparpillés dans lhabitacle. Je découvre enfin le corps de Geneviève en entier et je ne suis pas déçue ! Ses tétons sont énormes ! Je me jette dessus comme une morte de faim et là, surprise ! Mes doigts qui sont déjà dans sa chatte, sont inondés ! Geneviève est une fontaine ! Ça je le savais puisque tu my a fait goûter salaud ! Justement, jai voulu y re-goûter à son jus, aussi, je suis descendue entre ses cuisses. Elle a bien tenté de résister, mais jai rapidement retrouvé cette chatte onctueuse. Javais la confirmation maintenant que cétait celle à laquelle je métais abreuvée chez toi.
Geneviève ma gâtée ! Je me suis régalée deux fois et ma banquette avec, mais peu mimportait. Je suis enfin remontée et nous avons échangé un nouveau baiser au goût de sa chatte.
« Je sais maintenant que cétait une femme ! Dit alors Geneviève.
Que dites-vous ?
Non rien, vous ne pouvez pas comprendre.
Si ! Expliquez-vous
En fait, jai eu un amant
Vous avez eu un amant ?
O
Oui ! Cest compliqué !
Vous êtes surprenante, mais je ne veux pas être indiscrète je rigole intérieurement car je le connais son amant mais vous avez parlé de femme.
Vous êtes gentille ! Mon
amant, qui était très vicieux, ma fait lécher
comme vous
par un inconnu, enfin aujourdhui je sais que cétait une inconnue car cétait aussi bon quavec vous et même si mon amant était doué, une femme le fait ment mieux.
Vous mavez dit que cétait la première fois, tout à lheure.
Que jembrassais une femme, oui, cest vrai.
Vous ne lavez pas vu cette femme ?
Non ! Mon amant mavait caché le visage
Mais elle, elle vous a vue !
Elle a vu le bas de mon corps. Mon dieu ! Peut être quelle ma reconnue ?
Je ne crois pas que ce soit possible. A moins que
A moins que quoi ? Vous me faites peur !
A moins quelle ne vous ait vue nue auparavant !
Ce nest pas possible !
Alors vous êtes rassurée ?
O
Oui ! Vous êtes gentille. Dites, Ludivine, je voudrais vous
Comme vous
Me lécher ?
Ouii ! Mais je nai jamais
fait ! Jai envie avec vous, de vous rendre ce plaisir que vous mavez donné ! Soyez indulgente.
Mais bien sûr ma chérie ! Vous êtes adorable ! Venez me gouiner ! Venez boire mon jus même si jen donne moins que vous.
Vous trouvez vous aussi ! Je mouille beaucoup et quand je jouis, cest terrible ! Jai honte !
Nayez pas honte ! Jadore boire à votre source ! Cest si bon ! Venez ma chérie ! Venez me bouffer la chatte comme une salope que vous êtes ! »
Geneviève ne se fait pas prier plus longtemps et timidement dabord, puis très vite goulument, elle me fourre de sa langue, mapportant ce plaisir si intense dont elle me libère enfin ! Je me répands dans sa bouche. Certes moins abondamment quelle, mais elle ne laisse rien perdre.
Les vitres de la voiture sont couvertes de buée, nous isolant encore plus du monde extérieur. Nous reposons lune contre lautre, mélangeant nos sueurs et nos odeurs. Nous sommes bien. Ni lune ni lautre na envie de se séparer.
Cest finalement une envie naturelle qui nous oblige à bouger.
Je sors de la voiture, entièrement nue, sans pudeur, je maccroupis comme jaime à le faire et jurine là, sous les yeux de ma maîtresse. Geneviève à son tour, sort du véhicule. Elle est restée nue elle aussi ce qui me surprend. A son tour elle me gratifie du spectacle de sa miction. Voir cette femme mûre, si distinguée saccroupir et se mettre à pisser nue dans la nature, mexcite particulièrement. Elle est décidément bien délurée cette femme dapparence si stricte. Alors quelle se relève, je passe ma main entre ses cuisses pour essuyer sa motte. Je lenlace. Je lembrasse. Collées nues lune contre lautre en pleine nature, ma main dans sa chatte, je la branle debout. Une nouvelle fois elle jouit vite et abondamment.
Un bruit au lointain, vous fait précipiter dans la voiture. Il est temps de se rhabiller. Encore une fois nous échangeons un long baiser. Heureusement, jai une trousse à maquillage dans le vide poche, Geneviève navais rien prévu bien sûr. Nous pouvons reprendre un visage plus serein avant de rentrer.
Je ramène Geneviève chez elle. Devant le portail, elle na pas voulu que jentre dans la propriété, alors quelle se dirige vers la maison, elle se retourne une dernière fois, puis dun seul élan, se précipite vers moi et par la fenêtre ouverte, me donne un baiser sur les lèvres avant de senfuir.
« Eh bien dis-donc toi ! Dis-je alors après ce long récit, tu es une sacrée coquine toi davoir réussi à dévergonder ma belle-mère !
Tu peux parler toi ! Mais dis-moi, Ça à lair de tavoir excité cette histoire de lesbiennes !
Tu métonnes, je mimagine bien la scène et, connaissant Geneviève jaurais bien aimé être là !
Je tai dis que je te remercierais, alors, je vais commencer »
Ludivine sapproche, se met à genoux, dégrafe mon pantalon, plonge sa main dans le boxer et sort mon sexe déjà bien raide. Sans attendre elle plonge dessus et madministre une fellation des plus agréables. Lorsquelle a obtenu ce quelle voulait c'est-à-dire mon sperme, elle se relève en léchant ses lèvres avec un grand sourire et vient membrasser.
« Je continue mon histoire ? Tu vas pouvoir tenir un peu plus comme Ça !
Bien sûr ! Et... Merci pour la pause !
De rien ! Jadore sucer une belle bite et la tienne me plait beaucoup, toute lisse ! Donc, ce soir-là, jétais dans mon lit lorsque mon téléphone sonne.
Cest Geneviève qui a trouvé mon numéro dans le bottin.
Ma chérie ! Javais envie dentendre votre voix ! Je narrive pas à dormir !
Je nai pas pris de douche pour garder votre odeur sur moi. Je ne sais pas ce quil marrive. Je nai jamais ressenti cela. Je crois que
Je vous aime !
Cest fou ! A mon âge, de dire cela, en plus de dire cela à une autre femme !
Vous mavez ensorcelée ! Dites-moi ce que vous pensez.
Moi aussi jai du mal à dormir. Notre après-midi était super ! Ça fait un moment que je rêvais de vous.
Cest vrai ? Moi aussi je pensais beaucoup à vous, mais je ne savais pas pourquoi. Je ne pensais pas que cela pouvait être pour ça.
Nous pourrions peut-être nous tutoyer, maintenant que nous nous connaissons un peu mieux ?
Jai beaucoup de mal à tutoyer les gens, mais si vous voulez me tutoyer à moi, je ny vois pas dinconvénient.
Non ! Finalement, je trouve ça tellement excitant de dire, « ma chérie, je voudrais que vous me bouffiez la chatte et me mettiez vos doigts dans le con ! »
Vous êtes un amour ! Oui jai très envie de vous
manger comme tout à lheure. Jai adoré ça ! Vous êtes habillée ?
Je dors toujours nue, ma chérie et vous-même ?
Jai
un déshabillé
Enlevez-le, je vous veux toute nue pour moi !
Oh oui : Tout de suite !
On va se caresser ensemble. Vous avez des jouets ?
Mon
amant men a donné.
Coquine ! Alors prenez un gode, moi aussi jen ai un. On va se branler toutes les deux et je veux vous entendre crier ! »
Ce sont des soupirs qui parlent pour nous. Rapidement, ceux de Geneviève samplifient et elle râle bientôt son plaisir qui engendre le mien. Après un long échange de bisous virtuels, nous raccrochons et je mendors sereine, comme elle, surement.
« Sacré belle-maman, dis-je. Elle si prude en société, elle se déchaine comme une collégienne !
Je peux te dire quelle nhésite pas à me suivre dans tous mes délires. Elle ne prend jamais dinitiative, mais quand je propose, elle ne dit pas non longtemps, il faut que je te raconte. »
Je lai décidée à faire une virée toutes les deux à la plage. Je ne sais pas comment elle sest débrouillée, mais trois jours plus tard, nous partions de bon matin sur la côte landaise. La seule condition pour elle était ne de pas aller dans un endroit connu où elle risquait de faire des rencontres. Je lassurais dun coin tranquille. Nous avions prévu un en cas pour pique-niquer Ne rigole pas sur ce jeu de mot éculé A son habitude, elle séquipait avec chaise de plage et parasol, serviette, bref tout lattirail de la mère de famille à la plage. Elle sest étonnée de me voir sortir du coffre, une simple serviette, une natte et un sac de plage. Cétait elle il est vrai, qui sétait occupée du repas.
Au bout dun petit chemin, je stationne sous les arbres, où quelques voitures sont garées. Premier étonnement pour elle qui ne connaît que les plages « organisées » Au sommet de la dune où se trouve un blockhaus, je prends à droite sans que Geneviève ne dise quoi que ce soit. Elle na pas dû remarquer le panneau « plage naturiste non surveillée» Il faut dire que chargée comme elle est, la montée a été rude. Je lui prends le parasol pour la soulager et en profite pour déposer un baiser sur ses lèvres.
En avançant sur le sable, elle sétonne tout de même du peu de monde présent.
Après une petite centaine de mètres je marrête, pas trop loin de leau, car jaime y faire quelques aller et retour fréquents.
Jétale ma serviette et je quitte ma robe sous laquelle je nai quun string que je retire pour me retrouver nue. Geneviève sétonne alors.
« Mais
Que faites-vous ?
Ben, on est sur une plage naturiste alors je me mets nue.
Vous mavez piégée ! Vous ne pensez tout de même pas que je vais faire pareil ?
Pourquoi pas ! Je vous ai déjà vue, non ?
Vous, oui ! Mais
Il y a du monde ! Je ne ferai jamais cela voyons !
Vous devriez ! Dabord, cest vachement agréable et en plus ici on remarque plus les gens habillés que les autres. Regardez, il ny a quasiment personne.
Et ce couple là bas ?
Ils sont nus eux aussi ! Allez ! Faites-moi plaisir ! Vous verrez comme cest agréable. Et puis, jai envie de vous voir nue en pleine lumière, ma chérie !
Comme le premier jour quand on a pissé après avoir fait lamour dans la voiture !»
Geneviève hésite encore. Elle sassoit, regarde tout autour delle, voyant que personne ne la regarde elle enlève les bretelles. Attend un petit peu, puis baisse le haut du maillot.
« Jadore votre poitrine ! Je vois aussi que la situation vous plaît, vos tétons sont tout dardés !
Arrêtez ! Jai honte !
Nayez pas honte vous êtes superbe !
Je suis trop grosse
Et vieille !
Vous croyez que je vous trouve grosse ? Je vous ai prouvé quil nen était rien ! Au contraire ! Vos rondeurs maffolent ! Allez, un petit effort. Je suis là, vous ne risquez rien. »
Toujours assise, elle se dandine pour retirer enfin son dernier rempart et le glisser dans son sac.
« Alors ? Nest-ce pas plus agréable ?
Oui, cest vrai, mais Ça fait drôle !
Vous sentez lair passer sur votre chatte ?
Oui ! Oh mon dieu !
Maintenant il faut vous mettre de la crème solaire, votre peau est blanche surtout vos seins et vos fesses, je ne voudrais pas quils prennent mal.
Attendez, je vais vous la passer »
Geneviève se couche sur le ventre. Trop contente de cacher sa poitrine et son bas ventre. Je commence à la badigeonner. Les épaules et les bras tout dabord, puis je descends sur le bas du dos. Jatteins les fesses insistant un moment. Les jambes ensuite, avant de revenir sur la fourche de ses cuisses. Mes mains se font plus caressantes. Je la force à écarter les jambes et ma main parvient enfin sur sa chatte que je caresse, insinuant les doigts entre ses lèvres déjà bien humides.
Jusque là, Geneviève sest laissé faire, mais elle se rend compte que mon massage nest plus innocent. Elle resserre les jambes, consciente du changement qui sopère en elle.
« Arrêtez, voyons !
Ça ne vous plait pas ? Jai limpression du contraire.
Vous êtes une diablesse ! Je
Je coule !
Je le sens bien, moi aussi je suis excitée. On va rester comme Ça. Cest tellement agréable ! »
Je me tartine à mon tour et mallonge à ses côtés, main dans la main. Nous sommes heureuses.
Après un petit quart dheure, il faut être prudent avec le soleil. Je propose de nous retourner. A nouveau, Geneviève hésite, car maintenant il va falloir exposer son côté face. La convainquant quil ne faut pas insister dun côté au risque de prendre un coup de soleil, surtout pour une première fois, elle consent à se mettre sur le dos. Jentreprends alors le badigeonnage de sa poitrine, en mattardant bien sûr, sur les tétons arrogants. Geneviève a caché ses yeux sous son bras, faisant lautruche sur sa position et dévoilant ainsi ses aisselles poilues alors que sa chatte est épilée. Elle mexpliquera plus tard que cest toi enfin, elle dira son amant qui la obligée à rester comme ça, mais que ne le voyant plus, si je le désire elle sépilera aussi sous les bras. . Son ventre est ensuite lobjet de tous mes soins, je passe rapidement à ses jambes, que jenduis bien, jusquaux pieds que je masse délicatement. Je me rends compte que cette partie de son anatomie est particulièrement sensible.
Enfin je remonte comme tout à lheure, sur sa chatte, déjà bien ouverte, preuve de son excitation. Je la caresse là aussi, la pénétrant de deux doigts qui simprègnent de cyprine rapidement. Je ne résiste pas au plaisir de les lécher ensuite. Finalement, je remonte contre elle et nous échangeons un baiser voluptueux.
« Sil vous plaît ! On pourrait nous voir !
Mais on nous regarde ma chérie ! Regardez le couple sur notre droite. Le monsieur qui est couché sur le côté vers nous, arbore une belle érection ! Ça doit lui plaire de voir deux gouines !
Nous ne sommes pas
Des gouines ? Non ! Nous aimons les hommes et aussi les femmes. Cest la différence avec les gouines qui naiment que les femmes. Mais cest aussi le fantasme de tous les hommes, de voir deux femmes faire lamour. Regardez sa femme. Elle aussi a lair dapprécier.
Je noserais pas !
Ici, personne ne nous connaît. Vous allez me passer de la crème à votre tour, vous pourrez les regarder discrètement.
Il faut que je me lève pour ça !
Bien sûr ! Ils verront alors votre adorable silhouette de femme mûre, vos tétons bandés, vos gros seins et votre gros cul ! Vous verrez comme cest agréable de sexhiber ma chérie ! »
Je me couche alors sur le dos, attendant que Geneviève menduise de crème.
Elle attend, mais je lui dis que je ne veux pas cramer sur place et quil faut me protéger. Je ne sais si cest cela qui la décide, mais la voilà à genoux au dessus de moi.
Elle applique bien lambre solaire. Elle se prend au jeu petit à petit et ses mains deviennent caressantes au fur et à mesure de son massage. Elle fini même par me caresser le bouton et glisser deux doigts dans ma fente.
Je lui réclame un baiser, à la fin duquel je la fais regarder vers le couple.
Lhomme bande toujours autant. Préservant la vue de son sexe aux autres occupants de la plage, mais nous loffrant à nous. Sa femme nous cligne de lil et pose sa main sur le sceptre de son mari en souriant. Montrant quelle approuve notre petite exhibition.
Nous passons un moment étendues sur le dos, repassons sur le ventre après une nouvelle application, puis je décide daller dans leau nous rafraîchir.
Geneviève tente de reprendre son maillot, mais je len empêche.
« Vous allez voir comme cest agréable de se baigner nue !
Mais
les gens vont nous voir !
Je vous rappelle ma chérie, quils sont nus eux aussi. Que ici, tout le monde se fiche que vous soyez jeune, vieux, beau ou laid, gros ou maigre, quils sont exhibitionnistes ou voyeurs ou les deux à la fois et que seul le plaisir du corps importe. Enfin, que je vous trouve très belle et très « bandante » !
Jai très envie que lon nous voit toutes les deux, main dans la main, marcher nues sur cette plage. Je veux quils sachent que nous sommes lesbiennes et amantes. Je vous promets que vous allez adorer cela.
Vraiment, vous me faites faire des folies !
Et vous le regrettez dhabitude ?
Non, bien sûr !
Alors, on y va ! »
Je me lève et entraîne Geneviève avec moi. Elle se trouvait relativement à labri sur sa serviette et sous le parasol ; seul le couple proche de nous lavait vue. Maintenant elle sexpose à toute la plage, même sil ny a pas énormément de monde. Sur les plages naturistes, les gens restent assez loin les uns des autres ce nest pas la promiscuité des plages « textiles » familiales. Il lui semble malgré tout être le centre dintérêt de tous. Sa main tremble dans la mienne, aussi, je la prends pas la taille et lembrasse tendrement au vu de tous.
Lentement, nous avançons vers le bord de leau. Quelques mètres avant dy parvenir, un couple marchant le long du rivage, passe devant nous. Ils sont entièrement bronzés. La femme a des seins plats, descendant bas sur son ventre comme deux « gants de toilette ». Lhomme lui est petit et plutôt bedonnant. Ce ne sont pas des canons de beauté, paraissent plus âgés que Geneviève. Ils ont lair heureux et nont pas de complexe. Je le fais remarquer à ma chérie dont jai aperçu le regard sur eux. Elle en convient et sourit même, quand je lui déclare quelle est cent fois mieux que la femme, sauf son bronzage.
« Vous vous rendez compte si quelquun me voit un jour entièrement bronzée comme cela ?
Pourquoi ? A part moi il y a quelquun qui vous voit ? Je croyais que votre mari ne vous approchait plus. Ah ! Cest vrai ! Il y a votre
amant !
Il nest plus mon amant !
Je croyais que vous en aviez toujours un !
Pas celui-là, lautre !
Lautre ? Mais combien en avez-vous ma chérie ? » Dis-je pour la taquiner, sachant bien quelle parle de toi
« Je nen ai quun voyons ! Oui, enfin
je ne peux pas tout vous dire. Quand à lactuel, depuis que
avec vous
je ne le vois plus
pour ça ! Il se demande dailleurs pourquoi.
Je ne vous empêche pas de le voir !
Non, ce nest pas ça ! Cest moi, qui n'ai pas
envie
Cest gentil ce que vous me dites là. Vous me parlerez de lautre un jour ?
Je
Je ne sais pas.
Il est marié ?
O
Oui, mais
bon ! Parlons dautre chose !
Oui, baignons-nous ma chérie ! » Je sens bien quelle est tendue. Elle ne peut tout de même pas mavouer comme ça que son ancien amant nétait autre que son beau-fils »
Leau est assez fraîche en entrant, aussi nous barbotons un peu au bord, je marrose la tête, le cou et le ventre, je fais de même à Geneviève pour quelle sacclimate à la température. Il nous faut un moment pour être complètement dans leau, mais ensuite, le bonheur ! Leau passe entre les jambes, caressant le clito et les lèvres. Les tétons de Geneviève sont dressés fièrement et paraissent encore plus gros, ce qui attire bien sur mes mains et bientôt mes lèvres sur sa peau granuleuse.
Dans leau, Geneviève se sent plus à laise. Protégée des regards, mais aussi, portée par leau salée, nous rions en nous caressant. Nous nous embrassons. Bref Geneviève retrouve son âme d.
Plusieurs fois nous allons faire laller et retour pour nous rafraîchir mais aussi pour nous exhiber ce que ne redoute plus ma partenaire. A un moment, alors que nous sommes enlacées dans leau, elle me glisse « Je vous aime !»
Jen suis toute retournée. Cette femme de la noblesse, si prude, honorable mère de famille, femme du monde, bonne catholique pratiquante, est en train de sébattre nue dans locéan et de déclarer son amour à une autre femme ! Je la sens émue de sa déclaration, comme si elle lui avait échappée.
Il est bientôt treize heures. Il commence à faire chaud sur le sable, aussi nous décidons de nous replier dans la forêt pour déjeuner et profiter de lombre. Il sera bien temps de revenir quand le soleil sera moins fort.
Nous redescendons la dune après nous être rhabillées et trouvons un coin agréable sous les pins, pas très loin de la voiture. Le pique nique est agréable. Geneviève parle de cette nouvelle expérience quelle adore déjà, même si la honte sen mêle un peu. Elle se traite de folle et me reproche gentiment de la pervertir par des pratiques que la morale réprouve. Elle est maintenant décontractée. Seules dans la nature au milieu de la forêt cest comme un havre de paix qui nous entoure. Étendues sur un plaid, nous savourons ce moment de calme, même si, enlacées, nous échangeons caresses et baisers.
Nous allons rester un bon moment sous les ombrages afin de profiter de la fraîcheur des sous bois. Geneviève s'endort. Je la regarde un long moment.
Jadmire le corps de cette femme qui sabandonne. Je métonne encore quelle soit mon amante. Je suis heureuse et je mouille mais je sombre moi aussi et mendors à ses côtés. La peur de se faire surprendre nous a fait rester en maillot. Seules nos mains glissées sous les culottes trahissent nos envies lubriques.
Je suis réveillée par les lèvres de Geneviève qui est venue y déposer un baiser. Je lenlace et nous nous roulons une pelle effrénée. Nos mains courent sur la peau de lautre à la recherche des points sensibles. Nous oublions que nous sommes dans la nature et que nimporte qui pourrait nous surprendre. Néanmoins, après avoir rangé nos affaires alors que nous allons repartir, Geneviève me glisse à loreille :
« Jai envie
De vous lécher
Ma chérie ! Cest si gentiment demandé ! Je ne peux vous refuser ce plaisir !»
Je mappuie contre un arbre. Elle sagenouille, repousse ma culotte sur le côté et sa langue se faufile dans ma fente. A une dizaine de mètres de nous, dans les fougères, j'aperçois un homme qui nous matte. Je n'en dis rien à Geneviève et fais signe à notre voyeur de ne pas faire de bruit. Je relève une jambe et donne ainsi plus d'accès à la tête de ma maîtresse qui lape mon suc abondant. Sous l'action de sa langue et de ses doigts qui ont investi mon antre, je me liquéfie et laisse éclater mon plaisir dans sa bouche.
Contente de son uvre, Geneviève se relève, le sourire aux lèvres et vient m'embrasser. Ses lèvres sont couvertes de mon jus que nous partageons goulument.
Sachant que le voyeur doit toujours roder, je reste en éveil, mais il a disparu.
La chaleur baisse, il est plus de seize heures, aussi nous regagnons la plage. Cette fois, sans hésiter, Geneviève se met nue. Elle prend plaisir à cet état. Aussitôt nous partons dans leau rafraîchissante. Sous prétexte de ne pas savoir nager, Geneviève sagrippe à moi à la moindre occasion, menlace et membrasse en jouant comme une , à la différence que ses caresses ne sont pas si innocentes.La marée descend et nos allers et retours sur le sable sallonge. Geneviève
nest plus du tout gênée de sexhiber nue dans une attitude qui montre à tous notre relation homosexuelle. Cest elle qui me prend la taille et se tourne vers moi pour un baiser sur les lèvres.
Lors dun retour, alors que nous nous sommes embrassées fougueusement au bord de leau en sortant, deux hommes assis côte à côte nous regardent avec un grand sourire. Ils sont entièrement bronzés et glabres et arborent tous deux une magnifique érection.
Arrivées sur nos serviettes je dis en riant :
« Ma chérie, vous faites même bander les homos !
Vous croyez que
Regardez, ils sembrassent ! »
Effectivement, les deux hommes échangent un baiser. Lun deux a sa main entre les jambes de lautre.
La plage se vide peu à peu vers dix huit heures. Il fait si bon que nous restons jusqu'après que le soleil se soit caché à l'horizon. Nous n'avons pas envie de quitter ce bon moment. Nous faisons de fréquentes baignades, restant parfois allongées au bord de l'eau qui, au gré des vagues, vient recouvrir les jambes et chatouiller la chatte parfois. C'est l'étale. Les couleurs sont chatoyantes. Parfois, un promeneur passe près de nous et Geneviève n'y prête plus attention.
Malgré tout, avec regret, nous quittons la plage. Geneviève n'a même plus envie de se rhabiller et attend la limite autorisée pour enfiler une robe légère sur son corps nu. Elle a vite pris goût à la nudité.
Le retour se fait lentement, nous avons envie de prolonger ce moment et c'est à la nuit que nous arrivons chez elle.
« Voudriez-vous rester avec moi ce soir ? Demande-t-elle
Vous voulez dire cette nuit ma chérie ?
Oui ! J'ai envie de vous ! Je crois que... Je vous aime !
Oh ! Ma chérie ! Moi aussi, je vous aime !
C'est vrai ? Oh que je suis heureuse ! Je n'ai jamais aimé comme Ça ! En plus c'est avec une femme ! Peu m'importe ! Je vous aime !! »
Cette déclaration nous précipite dans les bras l'une de l'autre pour un baiser passionné qui dure... Heureusement, il n'y a personne à la maison.
En entrant, nous trouvons sur la table, un mot de son mari, qui ne viendra pas déjeuner le lendemain. Ce qui rend Geneviève toute joyeuse.
« Non seulement nous allons pouvoir traîner au lit, mais en plus, nous pourrions retourner à la plage ! Vous ne travaillez pas demain ?
Non ! Vous devenez « accro » au naturisme ma chérie, je vais adorer vous lécher partout sur votre peau bronzée !
Vous êtes un amour ! Vous êtes MON amour! »
Nous préparons rapidement un repas léger à base de salade de riz qui permet de préparer également pour demain. Passage sous la douche pour enlever tout le sable et la crème. Nous constatons que nous avons déjà pris une belle couleur et qu'aucune marque de maillot ne vient marquer notre épiderme.
Geneviève convient que c'est beaucoup plus joli.
Nous passons dans la chambre que je découvre avec son armoire à grande glace
Mais je n'ai pas besoin de t'expliquer, tu connais ?
- Oui, bien sur ! Dis-je
La nuit est chaude, nous faisons l'amour longtemps. Chacune reprenant tour à tour quand l'autre n'en peut plus. Geneviève sort son gode « Rabbit » un monstre que tu lui as offert paraît-il ?
Oui ! C'est mon cadeau pour la fin de nos relations intimes. Je lui ai dis qu'elle pourrait ainsi se donner du plaisir n'importe quand.
Je peux te dire, qu'elle a appris à s'en servir ! C'est terrible ce truc ! Le double dong n'est pas mal non plus !
Ah ! Celui-là ne vient pas de moi !
Tu crois que c'est son amant actuel qui lui a offert ?
Je ne crois pas ! Il n'est pas du style ! Mais on ne sait jamais ! Il te reste à interroger ta chérie ! J'ai l'impression que toi aussi tu es amoureuse, non ?
Oui ! C'est fou ! Tu sais, après la première fois, j'ai adoré et eu envie de recommencer, mais maintenant il y a autre chose qui se passe !
Ça se voit dans tes yeux ma belle ! Tu en pinces ! Je regrette de ne pas vous voir à l'uvre toutes les deux !
Espèce de vicieux ! Je te rappelle que c'est ta belle-mère et que vous avez décidé de cesser vos relations coupables.
Oui, mais rien ne m'empêche de vous regarder et de te baiser pendant que tu la gouine !
Regardez-le celui-là ! Tu es un pineur toi ! Tu penses « cul » en permanence et la moindre occasion texcite ! ! La différence cest que nous, on s'aime !
Ce n'est déjà plus une histoire de cul entre nous. Tu sais qu'elle veut que je m'installe chez elle ?
Cest pas possible ? J'y crois pas ! Mais... son mari, sa famille, les gens ?
Elle est futée tu sais. Mais viens me baiser ! Ça m'a excitée de te raconter
tout Ça, j'ai envie d'une bite. En plus j'ai promis.
Tu vas la tromper ?
Je lui ai dis que je ne pourrais jamais me passer complètement des hommes et elle m'a avoué qu'elle non plus. Donc son amant actuel pourra toujours la grimper et toi si tu veux, tu me baiseras! »
Inutile de dire que je souscris à sa demande. Ludivine s'avère une maîtresse experte et notamment capable de faire jouer ses muscles intimes en restant assise sur ma verge. Ses seins ronds et pommelés sont un ravissement pour mes lèvres et ma langue. Elle aime jouir, mais est capable d'attendre ma propre jouissance pour se laisser aller.
Après cela, elle me propose de revenir un autre jour pour me narrer la suite de sa relation avec ma belle-mère.
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