Une Erreur Qui Coute Cher (2)
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Jétais un peu désemparée après cet épisode, si la situation minquiétait je devais avouer que javais ressentie des sensations assez troublantes. Cela peut sembler bizarre mais lexcitation avait été tellement forte que je me masturbais après le départ de mon maitre chanteur.
Je ne sais pas trop pourquoi mais je restais nue dans lappartement et même si je le redoutais jattendais son retour avec impatience.
Il arriva en fin de journée, il mavait pris les clés donc jétais à sa merci.
Je fus surprise de voir quil nétait pas seul, un homme laccompagnait, assez gros et pas très soigné.
Dans un premier temps jeu le reflexe idiot de cacher ma nudité avec mes bras.
- Ne fais pas ta mijaurée, mon pote sais que tu nes quune pute. Va plutôt nous faire un café.
Jabandonnais toute pudeur et partis dans la cuisine en sentant leurs regards appuyés sur mes fesses.
Quand je revins avec les trois tasses, ils sétaient installés dans le canapé et papotaient tranquillement.
- Je te présente Paulo, il vit dans un foyer pour SDF depuis quil est au chômage et je me suis dit quil navait pas souvent loccasion de samuser, donc tu vas être ma bonne action du jour, tu as compris.
La situation si elle me semblait dégradante ne me laissait pas indifférente et je répondis que javais compris dune voix mal assurée.
- Bon je tavais dit de préparer le café mais je ne tavais pas demandé den faire pour toi. Comme je naime pas gâcher tu vas le boire mais comme la truie que tu es. Pose la tasse sur le sol et lape comme une grosse chienne.
Je dois reconnaitre que jeus un temps dhésitation mais je mexécutais et commençais à boire dans la tasse en me mettant à quatre pattes.
- Cambre-toi que mon ami voit ton gros cul et bouge-le en même temps.
Jamais je ne métais sentie aussi humiliée mais je continuais de boire en remuant mon derrière.
- Alors Paulo tu en penses quoi de cette chiennasse, tu vas bien tamuser.
- Cest sûr, elle est bien foutue cette salope, tu ne mavais pas menti, tu es certain que je peux faire tout ce que je veux ?
- Bien sûr, elle na pas le choix, tu peux te lâcher.
Ils parlaient de moi comme si je nexistai pas mais je savais que jallais faire tout ce quils demanderaient.
- Bon jai envie que cette salope me nettoie les pompes avec sa langue.
- Tu as entendu pétasse allez au travail.
Jabandonnais ma tasse et me déplaçais toujours à quatre pattes pour me mettre en face de mon nouveau bourreau.
Jeus un haut le cur en voyant létat de ses chaussures, cétaient de vieilles baskettes qui avaient dues être blanches il y a longtemps mais qui étaient noires de crasse.
- Madame veut faire sa bégueule, tu vas lécher les pompes de mon copain et tu as intérêt à tappliquer.
Je me penchais et je posais timidement ma langue sur la première chaussure, en plus de laspect répugnant il y avait lodeur.
- Allez dépêche-toi et craches dessus, montre que tu es une grosse dégueulasse.
La honte se mêlait à lexcitation et je commençais à prendre du plaisir à être à disposition de ces deux hommes.
Ils me firent astiquer les baskettes pendant assez longtemps, si javais été timide dans un premier temps, je léchais maintenant avec application et laissais même échapper de petits cris.
- Cette salope a lair daimer ça mais elle nest pas là pour prendre du plaisir. Arrête connasse et va sur la table basse, Met toi sur le ventre et écarte bien tes jambons que mon copain voit tes trous.
Inutile de dire que je nétais plus moi-même et jobéis sans protester.
Ma position sur cette table était assez inconfortable mais ils sen moquaient et continuaient de siroter le café en faisant des commentaires humiliants sur mon physique et mon attitude.
Après un temps qui me sembla une éternité, je les entendis sapprocher.
Je ne sais pas lequel cétait, mais un deux commença à me fouiller la chatte sans ménagement avec plusieurs doigts.
Je ne pus mempêcher de lever mon cul pour lui faciliter la tâche mais une claque retentissante me plaqua à nouveau sur le dessus en verre de la table.
- Tu crois quoi salope que tu es là pour prendre ton pied, écarte tes fesses avec tes mains et vite.
Là encore jobéis et ils en profitèrent pour enfoncer leur doigt dans mon anus.
Tant pis si je prenais encore des coups mais je commençais à mouiller et à pousser de lourds soupirs.
- Ça suffit maintenant, tu vas lécher nos doigts.
Le premier à me présenter sa main fut Paulo et je dois dire que sa main nétait pas moins sale que ses chaussures néanmoins je pris ses doigts dans ma bouche et nettoyai avec gourmandise.
- Cest vraiment une grosse chienne, regarde comme elle aime ça.
Il enfonçait sa main de plus en plus loin dans ma bouche et je commençais à baver sentant la salive couler sur mon menton.
- Dis donc Paulo tu nas pas autre chose à lui mettre dans la gueule ?
Et je me retrouvais aussitôt avec un sexe flasque et malodorant entre mes lèvres.
- Suce bien je veux que mon pote prenne son pied en te défonçant ta gueule de sale bourgeoise.
Le sexe de Paulo nétait plus flasque du tout, il me tenait par les cheveux et me forçait à lengloutir complètement, je dégoulinais de bave laissant des filets tomber sur le sol. Mon voisin ne resta pas longtemps à ne rien faire et je sentis son sexe pointer vers mon anus.
Je navais jamais été sodomisée et je laissais échapper un cri lorsquil senfonça en moi mais Paulo me maintenait la tête et je ne pus opposer aucune résistance. Mes cris de douleurs étaient étouffés par le membre qui allait et venait au fond de ma gorge.
La douleur se mélangea au plaisir et maintenant je remuais mes fesses en cadence avec les coups de boutoir dans mon cul.
- Je te lavais dit Paulo, elle adore ça quon la maltraite cette pute.
Paulo ne répondit pas étant trop occupé à jouir dans ma bouche en hurlant comme un porc.
Je navais jamais vu une éjaculation aussi abondante mais je mappliquai à tout avaler, espérant que mon maitre serait satisfait de mon zèle.
- Bien salope maintenant lèche bien sa queue et nettoies.
Mon voisin accéléra le rythme et lui aussi joui dans mon cul en laissant échapper un cri.
Je les entendis se rassoir sur le canapé et je restais là étendue sur la table ,épuisée mais comblée.
- Tu es vraiment une souillon, regarde létat de ta table et de la moquette, en plus tu es sale avec cette bave et ce jus qui coule de tes trous.
Les insultes ne me faisaient plus rien, jétais devenue leur chose prête à tout pour les satisfaire. Aussi je nopposai aucune résistance lorsquils mentrainèrent en me tirant par les cheveux dans la salle de bain.
- Mets-toi à genoux dans la douche et ouvre bien grand ta gueule en tirant ta langue, on va te nettoyer comme tu le mérites.
Je pressentais ce qui allait se passer mais javais perdu tout dignité et mefforçai douvrir la bouche et de sortir ma langue au maximum.
Le premier jet durine me frappa en plein visage et je me rapprochais pour ne pas en perdre une goutte, javais la queue de Paulo contre mes lèvres et je commençais à lintroduire dans ma bouche.
- Elle en veut encore, je nai jamais vu une pute comme ça. Mais ça suffit pour aujourdhui
Mon maitre lui commença à me pisser dessus en visant non seulement mon visage mais aussi mes seins et le reste de mon corps.
- Bien salope, tu as été une bonne soumise, nous on se casse, je veux que quand je vais revenir tout soit nickel dans la maison toi y compris et bien sûr tu restes à poil.
- Merci Maitre.
Cela mavait échappé mais je nétais plus rien que sa salope et jembrassais sa main quil me tendit avant de sen aller avec son ami SDF. Je restai un moment dans un état proche de la sidération à genoux dans la douche sentant la pisse couler sur mon corps, je ne savais pas si javais envie de pleurer davoir été ainsi rabaissée mais je savais que lorsquil reviendrait jobéirai à toute ses demandes.
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